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Aldyr


RP profile

[Crève-toi les yeux avant de lire cela.]

 

Premier village:

Aurillac:

 

Preuve irréfutable qu’un vagabond tout crotté n’est pas natif du Limousin/Marche !

 

Villes traversées, avec ou sans déboires:

Murat

Ventadour

Limoges

Angoulême

Périgueux

Bergerac

Limoges

Bourganeuf

Guéret

Châteauroux

St Aignan

Blois (Rencontre de Messire J.L.)

Tours

Loches

Chinon

Saumur (N'ai pas vu un certain B********u)

Angers (N'ai toujours pas vu un certain B********u)

La Flèche

Le Mans

Vendôme

Tulle

Clermont

Thiers

Montpensier

Moulins

Bourbon

Nevers

Cosne

Sancerre

Gien

Orléans

Montargis

Conflans les Sens

Tonnerre

Sémur

Dijon

Dole

Poligny

Saint Claude

Genève

Lausanne

Sion

Fribourg

Murten

Berne

Solothurn

Basel

Lörrach

Schaffhausen

Zürich

Luzen

Annecy

Chambéry

Belley

Bourg

Mâcon

Chalon

Cahors

Agen

Lectoure

St Bertrand de Comminges

Muret

Castres

Castelnaudary

Carcassonne

Narbonne

Béziers

Montpellier

Espalion

Rodez

Millau

Villefranche de Rouergue

Albi

Castres

Craon

La Trémouille

Polignac

Lyon

Foix

Uzès

Nîmes

Tarbes

La Test De Buch

 

Vagabond professionnel et tout crotté, de flore pileuse et de faune puceuse

 

Plus d'un an dans le Comté du Limousin et de la Marche, ou dit Trépané's Land:

Février 1456:


Connaissance d'une certaine G******e au nom où les voyelles et leurs positions sont à géométrie variable...

Avril 1456:

Ouverture d’une taverne et première charge toute crottée comme tavernier, les femmes au pouvoir, la patronne est la certaine aux voyelles mélangées...En parlant de nom, celui du tripot pouvait accepter certaines déformations peu ou prou scabreuses…Selon l’esprit retors de circonstance.
Dans tous les cas et mise à part cet esprit pour eux, les trépanés savaient avoir soif et devaient avoir un malin plaisir à se faire bannir de ces tripots locaux.

Connaissance d'une certaine A***a se nommant avec trois voyelles semblables…Par fantaisie toute crottée, le nom pouvait gagner comme terminaison sur-son-bidet. Le fin mot de l’histoire s’en était même tombé dedans…

Mai 1456:


Rencontre d'une Périgourdine, du nom d’E*** a, ayant toujours sept heures de décalage sur la plupart des gens qu'elle connaissait. C'était pour cela qu'elle se disait folle. Mais elle ferait mieux de faire réviser son cadran solaire. Correspondance fleuve et nourrie…Une légère mélancolie se faisant toujours sentir entre deux puces.


Des difficultés d'embauche avec des patrons peu scrupuleux.

Des difficultés de compréhension avec les autochtones trépanés.

Etudes de la trépanation sous toutes ses formes:
-l'aération crânienne
-L'éclairage naturel de la cavité crânienne par le palet
-Le néant du cervelet
-Le son creux du haut du crâne si bien sûr il n'y a pas encore de trou béant à la place...

Etude de la trépanation en campagne électorale
Etude de la trépanation en gestion de mairie
Etude de la trépanation en gestion d'affaires de justice
Etude de la trépanation dans les comportements en taverne (la bière a bon dos)
Etude de la trépanation dans les interventions en halle.

Juin 1456:

" Vous avez acheté à B*********42 une épée pour 240,95 écus":
Certain et premier déboire avec une épée...Les trépanés du Limousin n'aimaient pas les épées à 240 écus...Qui a dit qu'ils étaient xénophobes des épées ?!

Juillet 1456:

Premier jour en prison...à Périgueux…Pour une première, la localisation aurait pu être mieux:

"Le vagabondage est interdit dans cette ville. Vous avez passé la nuit derrière les barreaux, comme une loque que vous êtes.":

La municipalité devait être de droite dans ce patelin. Une certaine hésitation sur le nom du bourgmestre de l’époque…B.H…Ou C.G…ou E.B…Ou, l’un était effectivement bourgmestre, l’autre tribun, et le dernier agent de voiries…Ou Lycée de Versailles.

Août 1456:

Nouvelle charge toute crottée : Sergent de la Prévôté ou comment s’occuper de la trépanation à l'embauche

Septembre 1456:

Autre fonction intérimaire toute crottée : Marchand Ambulant itinérant affublée de la patronne patronyquement multi-facettes.
Comment ça marche ?
Partir faire des emplettes pour les Grands trépanés du Limousin, de façon tous azimuts, et plus si affinités...Long voyage, gros mandats...Première rencontre intempestive sur un nœud berrichon...Grand merci à Dame J****e. Diatribes bien poussées et avec quelques temps de retard sur l’entièreté du pelage…Du moindre poil à l’insondable puce, pour avoir rendu service à la communauté trépanée…Ils n’avaient même pas proposé par la suite l’intégration dans leur ordre du grand couffin en remerciement…Bande d’ingrats !

Octobre 1456:

"Votre offre de travail a été rejetée.":
Le poil n'offre pas,  la puce postule !

Novembre 1456:

Promotion de charge toute crottée : Lieutenant de la Prévôté ou comment s'occuper de l’escroquerie, de la spéculation, et des brigands trépanés…Tout en soutenant les brigands encore vierges de leur caboche à brigander les trépanés...

Janvier 1457:

Surcroît de charge toute crottée : Douanier de la Prévôté ou comment dissuader toutes les personnes venant en Limousin de s'y installer, de traverser ce Comté, de commercer avec les autochtones, et même d'entrer en relation avec eux en taverne ou en place publique.

Février 1457 :

Connaissance d’une certaine A****a aux chignons protéiformes et aux pommes maniaques, comme sa manière bien que sans manche de tenter de rentrer dedans.

Avril 1457:

Décharge puceuse, tabula rasa pileuse, la Prévôté Limousine et trépanante devait en avoir assez d’un vagabond tout crotté droit dans ses braies, intègre dans ses bottes...La double casquette Lieutenant-Douanier pouvait donner de l'urticaire sur le cuir chevelu en dessous du foulard avec le temps…Avis aux amateurs.

Mai 1457:

Charge hautement puceuse : CAMeuh, ou comment renouer avec une  première activité de comptage de cailloux de la mine...A chaque fin de journée, à l’époque, la comptabilité se soldait à un  total de dix cailloux, bien que le compte pouvait être bien plus en une seule et même journée...Allez savoir pourquoi ! La faute aux dix doigts tous crottés peut-être...

Juin 1457 :

Rencontre d’une certaine S**v dont  la mauvaise habitude était de disparaître du jour au lendemain et de redonner des nouvelles subitement dans un lieu par delà chemin, tanches et bûches. La bonne habitude  pour elle de faire découvrir d’autres variétés de fruits plus rares que ceux que l’ont pouvait trouver dans un verger.

Août 1457 :

Histoire trouble, passionnée, et de morale particulière avec un écureuil et ses amis de la forêt, sur sa branchette.

Septembre 1457 :

Connaissance d’une blondo-tullisto-bretonno-K*******c qui n’avait de Dame que les attributs… Caractère bien trempé et à l’attitude faussement garçon manqué, de par le lambig peut-être. Domiciliation en salle d’audience, au grand plaisir des conseillers comtaux et de leur Comtesse qui étaient muets et bien seuls à force de ne voir personne dans leur salle d’audience…

Octobre 1457 :

Découverte du son sous toutes ses formes et toutes ses longueurs par la grâce d’une bombarde, dont on pourrait se demander si cet instrument pourrait être vraiment l’analogie d’une partie toute crottée, dont la morale pourrait faire taire le nom. Cet « instrument » permettait de faire égayer et ravir les écoutilles auditives des conseillers comtaux, de leur Comtesse, et des pauvres malheureux de passage en salle d’audience.
La musique est un langage… Mais, un conseil comtal est toujours dur d’oreille.
Point positif : un presque prix d’interprétation par un jury berrichon avec une quasi manquée statuette toute crottée comme récompense en place de Bourges

Fin novembre 1457:

Sans charge mais tout aussi tout crotté,  voyage...Groupe à géométrie variable...trois membres, puis, quatre, cinq, et six, et cinq, et repuis quatre...trois...A Quand le zéros ?!...Bah non, ça ne serait plus un groupe ! Ni un voyage !!
Voyage sans destination préétablie. Accompagnement pour une quête consanguine...Cabotage pépère...

Janvier 1458 :


Perdu dans les alpines helvétiques, entre deux gutturales vapeurs de houblon, un pschiitt annoncé et préparé, groupe à géométrie trilogique, la bretonne était demandée ! Loin de la mer, le chouchen pouvait trébucher sur un pentagone difforme. Bombarde en avant, le « pouet » bien placé pour mieux vaincre l’appréhension. Tentons-teutons…Avec une légère contrition.

Février à avril 1458 :

Ou comment goûter les joies toutes relatives ; la joie étant un sentiment devant être partagé s’il devait se commuer en bonheur…Mais le seul problème à cette équation est l’inconnu ; d’un passage clair-obscur parait-il. Tu voulais voir du pays, et bien en supplément de ta quatre fromages, tu auras, non pas de la vache qui rit, mais une certaine tripotée de névrosés de bac à sable. Lorsque la forme change sans penser au fond on se salit les braies tout pareil.

Mai 1458 :

Il y a des pschiit qui étaient un peu comme des réacteurs nucléaires ou…Des pochettes surprises. Interruption de l’image et du son à la veille d’une énième névrose collective assez heureuse et d’un lambig oxygéné toujours aussi loin de son atlantique mazouté par le moka qui dit. Note pour plus tard : si tu n’as plus l’air du large dans les narines, saute dans un fourré, si possible épineux, les jambes en avant et écartées. Retour façon d’un lendemain trop arrosé…Snifé…Ingurgité…intraveineux…En ayant le léger doute qu’une redescente possible sera pour une autre vie. Les Charles de bois n’ayant fait que trois jours de perchage ininterrompu ne sont que des petits joueurs.

Juin 1458 :

Oh ! Un cassoulet ! Qu’ouïs-je ? Un fitou ? Allons-y pour une caisse, j’ai de la route. Le plus court chemin était de tourner autour de chaque arbre rencontré et non de suivre une ligne droite dans une forêt.
Un pschiit, et surtout sa sortie, laissaient des séquelles. Tour, détour et retour sur la côte languedocienne et l’arrière pays avec une énième couleuvre à avaler, pris pour un pantin avec une option de pion. Arrivée sans attente en Rouergue, les « Je bois », « Patati et patata », « Bordel G**w K*******c » et autres « Vous dansez mademoiselle » n’étaient que des coups de couteaux de mer dans le lac de Millau.

Juillet 1458 :

Le triptyque qui en valait quatre parait-il, se résumait par un « Je suis dans la cacahuète et je vous encacahuète ».
Dur travailleur, reprise du service, il fallait bien le passer à défaut de le tuer, le temps, ma bonne bru ! Essayage au tape-séant de conseiller surprise, mais surtout au tribunat intérimaire éphémère par deux fois, le p’tit morveux à l’œil hagard, il n’y avait que cela de vrai. Les forces vives de la nat…Du Rouergue, le véritable visage de l’avenir du royaume. Lorsque l’on engendre des monstres, il faut les assumer, mon bon gendre !

Août 1458 :

Il parait que lorsque vous venez pour l’été dans le Rouergue, c’est pour la vie…Ou presque. Essayer n’était pas adopter, le temps d’une saison partielle et on verra. Entre des allers et retours sur les quelques foyers de tanches et de bûches pendant une reconstruction à l’envers, une rencontre plumeuse d’une N*****a, une invitation sévèrement toute crottée sur fond « on ne vieillira pas ensemble », une fuite minutieuse de petits bouts perdus, c’est une persécution pelagineux-plumeuse qui commençait…Sincèrement Constance, tout en se méfiant de ses crocs et de ses griffes.

Septembre 1458 :

Entre deux initiations aux salutations, des boulets partagés mais néanmoins torves, un castrais au manche long, promotion toute crottée qui se profilait : Maire d’un jour, maire sans marée. Angoumois sans répit et incessamment, mieux que les immortels…saletés de jeunots !

Octobre à décembre 1458 :

D’une difformité à la volo-eau quintet-céphalée d’un asservissement qui en valait un autre, le duettisme duveteux-puceux, de qualité partagée et sélective s’affirmait au fil des chemins, avec mares plait-il, bûche et tanches toujours malmenées.

Janvier-février 1459 :

Sans caboche baissée vers des petits bouts qui n’étaient plus, mais toujours poursuivi par des plumes, les pérégrinations de duvets ne cessaient. La Touraine pour les transhumances ineptes, l’Anjou, des imbroglios qui ne valaient pas des salutations savoureuses, rencontre d’un village de morveux se craon applaudir de deux mains mais ne le faisant comme un manchot amputé des doigts de la main.

Mars 1459 :

Le bourbonnais ou le présupposé. Vagabonds circulés ! Panoplie de procès et de sentence s’agrandissant. L’aligoté bourguignon au bordeaux ne pouvait que se peaufiner.

Avril 1459 :

Duettistement perdu en Bourguignon. Cela ne s’embourgeoisait pas…Cela n’élisait pas une bicoque tout en cela que le doute habitait…Sans saint. Expérience de boulange, pains, baguettes et miches sautant de main en main, entre chaleur du four et humidité de circonstance sur fond de cauchemar d’un avenir rose entre bicoque dans une verte prairie et marmots au lait de houblon, trois pommes à l’horizontal et à la verticale aux fourneaux…Pour mieux rechercher des dauphins dans des lions, suite à un capotage de bourgmestre…Vive les transhumances !

Mai 1459 :

Exit…Vive le retour de boulange ! Heureusement que poulaines et tablier subsistaient. Rouergue mon amour, d’une présentation pour le tape-séant de bourgmestre, crachez de l’eau, mangez du Mil à Avoine. Juste retour des choses…Que nenni, et pourquoi donc ?
 
Juin-juillet 1459 :

Le printemps battant son plein, saison des amours oblige, l’été enchaînes douces, tout en boulets triportant et bien portant. Gestations et mises à bas aléatoirement intempestives, dressage et éducation de longues durées, d’un Mont et de Reins, sans…Flamands roses et piverts chantant et pêchant les louanges de ces immaculées ferrées conceptions plumeuses reniant de donner la gou-goutte. Brave constance, pelage de chevilles malmenées, salutations digne de ce nom, et peut-être sans nom, ou d’une nouvelle variante de la persécution duveteuse sur du puceux.

Août-septembre 1459 :

Puce marine ou plume de mer nécessitées étrangement et tétonnamment énormément un trou à terre fixe. Faisant sien tout en leur laissant le hoquet langoureux, salutations et politesses sans courbette forcenées, intensives, azimut rose de la tramontane au mistral sur un pont ou non loin de créneaux de carcasse sonnant. Le trou de Mont et de Reins s’amoncelant sans rempart mais trébuchant, pérégrination mi tanche mi bûche, ponctuée de mares, pour mieux faire mentir la nature moinesque d’une caboche en frottant les séants pelagineux-plumeux sur les tapes-estudiantins, gardant un œil sur cet astre sonnant silencieusement vers des limites de méditation à repousser sempiternellement.


Dernière étude sur la trépanation, résultat:

Le village de Rochechouart en est le foyer infectieux

Maintenant :

Je fuis la trépanation et les trépanés...
Il faut sauver les vaches limousines !!


Pour les petits curieux au sujet de la trépanation et de sa théorie, voici sa genèse:

"J'ai pas mal parcouru le Royaume, pour preuve j'ai eu dix procès, et bien, de tout ce que j'ai vu, le Limousin est le Comté le plus ennuyeux qui soit. Il est peuplé d'êtres inférieurs, pour les classer sur l'échelle de la chaine alimentaire, nul besoin de rajouter des barreaux, juste de creuser. A la naissance, la trépanation est obligatoire sinon l'adaptation au milieu de ces décérébrés devient aussi difficile que de trouver leur Comtesse N. intelligente." B.de P.

De même que les rédhibitoires "Bizoux dans votre ou vos corps" en sortie de taverne viennent du même auteur que la citation !...Oui je sais ! J'aime bien pomper...Sur les autres !


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PUCE’S BLACK LIST:

-A**14
-S********o
-E***86
-I******1
-M*************y
-S*****n
-W*******y
-L***_b***
-F*****d
-A******e
-G******t
-V****e
-C********e
-N***n
-W******k X



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DEBOIRES DE TAPE-SEANTS BOURGMESTRES :

20-09-2010 04:06 : Votre révolte a abouti ! Vous étiez un groupe nombreux contre un nombre important de gardes.
20-09-2010 04:06 : Félicitations ! Vous avez pris le pouvoir dans le village !
21-09-2010 04:05 : La mairie a été saccagée. Vous avez été destitué.

30-05-2011 Gadej est élu maire de Millau
Gadej a été élu maire de Millau. Il recueille la majorité des suffrages exprimés.
1. Gadej : 54.2%
2. Aldyr : 45.8%
30-05-2011 Révolte à Millau ! Aldyr prend le pouvoir
Révolte à Millau ! Aldyr prend le pouvoir.
30-05-2011 04:04 : Votre révolte a abouti ! Vous étiez quelques valeureux camarades contre une poignée de gardes.
30-05-2011 04:04 : Félicitations ! Vous avez pris le pouvoir dans le village !
31-05-2011 04:04 : La mairie a été saccagée. Vous avez été destitué.


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BOULET ‘S LOVE STORY :

En Toulouse :
1 procès
4 jours de prison

En bourbonnais :
3 procès
4 jours de prison
2 mois de bannissement

En Rouergue :
4 procès

30 jours de prison

50 écus d’amende



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CARNET DE SALUTATIONS :

Janvier 1459 :

Vous avez racketté S.85. qui possédait 391,45 écus et des objets.

Vous avez racketté E.13. qui possédait 80,80 écus et des objets..

Vous avez racketté un groupe composé de T. et de N. qui possédait 12,60 écus et des objets.

Mars 1459 :

Vous vous êtes battu avec un groupe composé de E.86. et de S. (coefficient de combat 10), qui essayait de vous résister. Hélas, il a triomphé de vous, vous laissant vous enfuir en boitillant.

Vous avez racketté Z. qui possédait 0,00 écus.

Avril 1459 :

Vous avez racketté G. qui possédait 0,00 écus
Est de Montbrisson (nœud 189)

Vous avez racketté I. qui possédait 14,00 écus.
Entre Lyon et Vienne (nœud 243)

Mai 1459 :

Vous avez racketté T. qui possédait 76,83 écus et des objets.
Vous vous êtes battu avec T. (coefficient de combat 5), qui essayait de vous résister. Vous avez triomphé, l'obligeant à vous ouvrir sa bourse.
Entre Vienne et Valence (nœud 245)

Vous avez racketté C. qui possédait 25,15 écus et des objets.
Entre Valence est Montélimar (nœud 247)

Vous avez racketté un groupe composé de B. et de C. qui possédait 13,48 écus et des objets.
Sud-Est de Montélimar (nœud 281)

Vous avez racketté un groupe composé de A.54 de T.54700 de P. et de B. qui possédait 412,82 écus et des objets.
Vous vous êtes battu avec un groupe composé de A.54 de T.54700 de P. et de B. (coefficient de combat 16), qui essayait de vous résister. Vous avez triomphé, l'obligeant à vous ouvrir sa bourse.
Lieu-dit Avignon (nœud 283)

Vous avez été racketté par un groupe composé de I.1. de M. de S. et de W.
Vous vous êtes battu avec un groupe composé de I.1. de M. de S. et de W. (coefficient de combat 19), qui essayait de vous détrousser. Hélas, il a triomphé de vous, vous laissant inanimé dans un champ.

Juillet 1459 :

Vous avez racketté un groupe composé de I_v. de L. et de L_v. qui possédait 105,45 écus et des objets.

Vous vous êtes battu avec un groupe composé de I_v. de L. et de L_v. (coefficient de combat 5), qui essayait de vous résister. Vous avez triomphé, l'obligeant à vous ouvrir sa bourse.

 

Vous avez racketté L. qui possédait 1,23 écus.

 

Vous avez racketté un groupe composé de I. et de M_m. qui possédait 426,09 écus et des objets.

Sud de Millau (nœud 1129)

 

Un malfaiteur nommé Nikkita (coefficient de combat 5) a tenté de vous détrousser. Vous lui avez infligé une bonne correction, et il est parti en boitant, après s'être excusé à genoux.

 

Vous avez été racketté par Nikkita .

Vous vous êtes battu avec Nikkita (coefficient de combat 5), qui essayait de vous détrousser. Hélas, il a triomphé de vous, vous laissant inanimé dans un champ.

Lysalore ! Au secours !

Sud de Narbonne (nœud 600)

 

Août 1459 :

Vous vous êtes battu avec un groupe composé de K. et de B.72. (coefficient de combat 10), qui essayait de vous résister. Hélas, il a triomphé de vous, vous laissant vous enfuir en boitillant.

 

Vous avez racketté P. qui possédait 46,22 écus et des objets.

Entre Castelnaudary et Carcassonne (nœud 1114)

Vous avez racketté R. qui possédait 287,17 écus et des objets.

Vous vous êtes battu avec R. (coefficient de combat 1), qui essayait de vous résister. Vous avez triomphé, l'obligeant à vous ouvrir sa bourse.

Entre Muret et Toulouse (nœud 1109)

Vous avez racketté L. qui possédait 699,88 écus et des objets.

Vous vous êtes battu avec L. (coefficient de combat 5), qui essayait de vous résister. Vous avez triomphé, l'obligeant à vous ouvrir sa bourse.

Entre Muret et Saint-Lizier (nœud 1097)

 

Vous avez racketté S. qui possédait 9,15 écus.

Vous vous êtes battu avec S. (coefficient de combat 4), qui essayait de vous résister. Vous avez triomphé, l'obligeant à vous ouvrir sa bourse.

Est d’Uzès (nœud 282)

 

Vous avez racketté un groupe composé de L_ de V. et de M. qui possédait 751,85 écus et des objets.

Vous vous êtes battu avec un groupe composé de L_ de V. et de M. (coefficient de combat 10), qui essayait de vous résister. Vous avez triomphé, l'obligeant à vous ouvrir sa bourse.

Lieu-dit Avignon (nœud 283)

 

Septembre 1459 :

Vous avez racketté G. qui possédait 10,62 écus et des objets.

Vous vous êtes battu avec G. (coefficient de combat 5), qui essayait de vous résister. Vous avez triomphé, l'obligeant à vous ouvrir sa bourse.

Entre Saint-Bertrand de Comminges et Saint Liziers (nœud 1095)

 

Vous avez racketté H._le_p. qui possédait 274,08 écus et des objets.

Entre Orthez et Peau (nœud 1102)

 

Vous avez racketté un groupe composé de M. et de N. qui possédait 69,10 écus et des objets.

Vous vous êtes battu avec un groupe composé de M. et de N. (coefficient de combat 10), qui essayait de vous résister. Vous avez triomphé, l'obligeant à vous ouvrir sa bourse.

Entre Mimizan et Dax (nœud 1077)

 



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