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[RP] Genève ! Genève !

Tibere
RP ouvert à tous, joueurs croisés comme Helvètes. Ces derniers peuvent intervenir via des missives lâchées depuis les murs de la ville ou selon votre imagination. Bon jeu.


[Campement de l'Ordre des Pauvres Chevaliers d'Aristote, sous les murs de Genève, tente du Père Général, Tibère d'Arcis, archevêque de Malines, Rédempteur des hérétiques.]

Glou, glou, glou... avec délicatesse, il remplit le verre posé sur la table. Il le saisit et le porte lentement jusque sous ses narines afin d'humer le liquide rouge sombre. Puis il l'amène à ses lèvres et fait couler le nectar dans sa bouche ; peu à la fois. Il faut en dégager les arômes, la texture, la longueur en bouche. Il fait tout cela consciencieusement et méticuleusement. Satisfait, il repose le verre sur la table et prend la plume d'oie qu'il trempe dans l'encrier devant lui.
Citation:

4 juin 1458. Vingtième jour de croisade. Ici rien n'est plat. Comme si le Très Haut voulait donner du fil à retordre à ceux qui vivent en ces contrées. On comprend mieux l'Helvète quand on est sur ses terres. Ces hommes sont comme les montagnes alentours : rudes, bourrus et austères. Un petit air de Flandre au fond, si ce n'est que les pauvres n'ont pas la mer et ses tempêtes qui forgent le caractère d'un homme pour la vie.
L'Ordre desPauvres Chevaliers d'Aristote est ce jour à pied d'oeuvre devant la ville de Genève. Nous avons installé nos tentes au centre du campement de l'armée de Makcimus. Notre ravitaillement est convenable et les champs de blés tout autour sont gage de réserve assurée. Le moral de ma troupe est excellente. La solidarité entre milites fait plaisir à voir. Leur courage et leur abnégation sont uniques.
Ce jour, nous avons mis à terre deux hérétiques qui tentaient de rentrer dans Genève. Que Dieu ait pitié de leurs âmes corrompues.
Mes espions sont en ville et sont chargés d'entrer en contact avec les gens restés fidèles à la vraie foi et qui osent encore se montrer.
Demain j'enverrai peut-être mes pigeons de Flandre bombarder Genève de mes mots.
Plaise à Dieu.


Il posa la plume et reprend un peu de ce vin de Bourgogne qui sait si bien accompagner sa plume lorsqu'il se met à écrire. Il lève la tête. Par l'ouverture de sa tente, il aperçoit les murs de Genève et les rondes qui s'organisent pour la nuit.
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Archevêque de Malines.
Lothilde
Merdaille...mais ils n'ont donc que ça à faire...

Un brin furieuse, Lothilde envoya rageusement voler un petit caillou rond de la pointe de son soleret en martelant le rebord du rempart du poing. Bon sang, mais ils n''avaient donc plus de baptêmes, de mariages, et autres amusements à célébrer, qu'ils ripaillaient là-dessous en attendant de larder les braves gens comme des gorets ??
Elle s'immobilisa et avança prudemment le torse entre deux merlons, épiant les allées et venues des petits curés caparaçonnés de fer qui s'agitaient autour des foyers. Un mince sourire étira ses lèvres, désabusée...Pour un peu, elle aurait eu pitié de ces petits scarabées qui obéissaient aveuglément aux ordres de leurs supérieurs et allaient se laisser pousser à la barbarie, une main sur le goupillon, l'autre trifouillant des entrailles de la pointe de l'épée... pouah...

Elle recula et reprit sa lente déambulation sur le chemin de ronde, songeuse....Autrefois, il y a encore si peu de temps...Elle avait pris fait et cause pour ces croisés, elle avait conduit une armée de farouches comtois contre Genève, et plus tard contre l'Anjou...Croisés, comtois, même désillusion...


Tous des lâches...

Machinalement, elle passa sa main gantée sur son épaulière droite, là où une lame s'était glissée...pas un de ces Monseigneurs en jupettes volantées de pourpre ne s'était enquis de son sort et pire, ils l'avaient...Elle ravala sa salive et les mauvais souvenirs avec...

Une lueur blafarde vers l'est annonçait l'aube prochaine et peut-être de vains combats, elle était prête...Elle ne savait faire que se battre.

Rejoignant l'échauguette où veillaient ses compagnons d'armes, elle entonna une petite chanson gaillarde à mi-voix...

_________________
Izaac
[Dans le bourg]

Par les Saints P'tits Couillons du pape Eugène ! Regard rond sur les trefs de France et d'Ailleurs.

Si je n'ai jamais mis en colliers les perles de la prière, je ne T'ai jamais caché cette poussière de péchés qui souille mon visage ; c'est pourquoi je ne désespère pas de Ta miséricorde, car je n'ai jamais dit que l'Un était Deux.

Savez-vous, monsieur Dusalève, qu'à Constantinople, le Grand Turc se fait construire un palais immense au bord du Bosphore ?

Du quoi ?

Le palais de Topkapichou... Ou de Pokemon... Je crois... La langue de là-bas est gutturale et je ne l'entends guère. Mon ami vénitien, vous savez, le marchand, m'a affirmé que les coupoles s'alignaient sur des pas et des pas au bord de l'eau.


Genève est grande place de commerce internationale, ne l'oublions point. On y trouve moult nations. Surtout d'avril à juin. Cité du Sans Nom dit-on. Cité des coffres Sans Nom, certainement. La rumeur assure que le monstre du Lac abrite outre le trésor du messager fauve de la tribu perdue et retrouvée de Juda, celui des templiers et des hospitaliers, d'un pharaon - allez savoir comment - et d'un trouvère à succès, aujourd'hui embaumé, qui refusa jadis de payer ses impôts au roi de France. Pour les détails, il faut demander à Notwen.

Un peu comme monsieur Schmurtz à coté de la criée ?

[...]


Le silence assourdissant de l'aurore n'est troublé à l'instant que par l'Astre levant qui darde de ses dards débonnaires la brume en volutes vaporeuses et vespérales sur l'onde irisée du lac de Genève. C'est beau...

Je ne crois pas que monsieur Schmurtz ait ordonné à ses charpentiers d'élever des coupoles, si ?

Il pourrait. C'est tendance à Genève.

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P4. Heureux soient les fêlés, car ils laisseront passer la lumière
Sunja
[AU CAMPEMENT.... ]


La jeune femme ajusta le capuchon sur sa tête et prit la direction de la tente de Tibère.
Hier elle avait retrouvé ses amies en taverne et l'accueil fut ... spécial dirons-nous. Ils étaient tous haineux et sans doute que le sans nom avait fait du bon travail, se ralliant les pauvres âmes tourmentées dont les esgourdes se fermaient au moindre mot de raison.

Sunja déposa son épée et son écu à l'entrée de la tente, poussa le tissu et entra. Elle venait en voisine saluer Monseigneur Tibère.
La jeune femme s'avança vers le père général avec un sourire et s'agenouilla devant lui. Elle prit la main tendue et déposa ses lèvres sur l'anneau épiscopal.



Dominus vobiscum Monseigneur.


Elle attendit qu'il lui demande de se relever; une fois fait Sun alla saluer quelques connaissances.
--Theo_poil
[VISITE CHEZ LES HERETIQUES...]





Tapi derrière un buisson en pleine foret, Theo Poil épiait des soldats qui discutaillaient vertement autour d'une table. L'archer tendit l'esgourde tout en barrant son visage d'un énorme sourire.

Le jeune homme était grand, à peu près la même taille que Bayan, son fidèle ami et chevalier imaginaire qui pourfendait surtout les airs ... qu'il se donnait d'ailleurs.
Theo possédait une belle chevelure à laquelle il tenait énormément. Il passait un temps fou à se coiffer chaque matin, chaque midi et .. chaque soir ... Oh non, rien d'efféminé chez cet homme. Il prenait soin de son apparence voila tout.

Donc il était là, agenouillé, tendant l'oreille et souriant comme un gosse à qui l'on a confié un secret qu'on sait d'avance qu'on va répéter ...

Les soldats étaient au nombre de quatre. Ils avaient installé tables et chaises devant une tente et deux d'entre eux regardaient ce qui ressemblait à une carte.


La seule chose dont on est sur, c'est que leurs hommes sont positionnés ici ... et là. L'homme montra un endroit sur la carte. Les éclaireurs ont trouvé leur camp ici. Pointage de doigt à côté d'un trait bleue qu'évidement Théo ne pouvait voir de là où il se planquait.

Euh, 'scusez si j'dis une connerie hein ... mais je comprends pas d'où ils arrivent. Le petit jeunot qui avait coupé son chef, se grattait l'arcade sourcilière.
Son chef soupira et lui jeta un regard noir.
Mais ils arrivent pas du con ! ils sont déjà là ! ça fait une heure qu'on vous explique !!
Le jeunot regarda la carte et s'exclama : Mais on va se faire tuer !! Ils sont beaucoup trop nombreux !!
Regard échangé entre les chefs Comment ça trop nombreux ? Mais vous n'avez rien compris du tout, sombre crétin !
Le jeunot plissa un oeil ... Bah les ennemis, c'est les trucs verts sur la carte, non ?
Mais non abruti, ce sont les arbres là !!! Oh purée virez le moi avant que j'le tue !

Theo se marrait bien. Il tendit encore l'oreille, la main devant son bouc pour étouffer un rire.

Chef chef j'ai une idée !! Un lourdaud leva le doigt et le chef ferma les yeux et en pinçant les lèvres, grinça : Quoi encore ? ... Vous allez tous m'achever avant la bataille !

Le gros souriait niaisement. Ah nan, z'allez voir, c'est que j'en ai la 'dans ! Faut faire comme avec les scorpions qui se suicident quand ils sont entourés par le feu, faut faire un feu en forme de cercle, autour d’eux, comme ça ils se suicident, pendant que nous on fait le tour et on lance de la caillasse de l’autre côté pour brouiller… Non ?…

C'est marrant comme des fois on sent le danger venir .. le type recula quand le chef, mains à plat sur la table, pencha la tête vers le sol yeux clos et épaules tendues à l'extrême. Soufflant il eut quelques mots avant de rentrer dans sa tente.
Le premier qui me sort " on fait un sloubi ", je lui démonte sa gueule, et je la fous sur un piquet et ce sera le premier à s'en prendre plein la gueule par les Saintes Armées !!

Theo se marrait .. c'était ça les hérétiques ? mouhahahahaha ! Il ne faisait pas parti des Saintes Armées, il était juste là pour guetter les possibilités que pouvait lui offrir une jolie guerre ... comme une montagne d'écus sonnant et trébuchant !

Hommage à la serie Kaamelott
[/i]
Mymu_v_strass_
[Au Campement]

Mymu était arrivée avec sa lance, suivant d'abord puis intégrant l'armée de Messire Makcimus ensuite..
Pourtant elle ne connaissait personne, hormis Monseigneur Tibère et ceux de sa lance.

Connaître ? voila un bien grand mot ,surtout pour elle , la Dame solitaire qu'elle était depuis bien longtemps .
Non ce n'était point par fierté qu'un mince voile de solitude s'était tissé entre elle et les "autre" , juste une douce tristesse pareil à un souffle de vent le soir au clair de lune.

Installée depuis peu dans le campement, elle avait montée sa tente silencieuse comme à son habitude.
Pareil à un chat qui se déplace sans bruit, elle en avait positionné l'entrée en bordure des autres juste assez pour être la et juste assez pour ne pas l'être.
Laissant ses compagnons tout loisir de choisir leur point de chute ou d'attente , elle se décida à aller rendre visite à Monseigneur Tibère son Supérieur dans la Compagnie D'Aristote ou elle s'était glissée en tant que médecin afin d'apporter soutien physique aux malades et aux blessés avec le message d'Amour du Seigneur.
Non , elle ne s'était pas précipitée dans cette croisade pour le sang et les batailles mais au contraire, pour réparer ce que les hommes avec l'aide du Sans Nom arrivaient à détruire.

Arrivée devant la grande tente, elle referma davantage sa capuche, cachant ainsi son visage fin de femme et sa longue natte.
Elle pénétrât en silence dans la tente subissant les regards de chacun et se dirigea vers Monseigneur Tibère .

La jeune femme s'avança et s'agenouilla devant le Père Général, lui prit la main tendue et déposa ses lèvres sur l'anneau épiscopal...

Dominus vobiscum Monseigneur.

Mymu_Von_Strass_D'Alhuy.....

Elle resta la , attendant la réponse de Monseigneur Tibère pour se relever.

Tibere
[Campement de l'Ordre des Pauvres Chevaliers d'Aristote]

Deux femmes venaient d'entrer sous la tente. Il se leva pour les accueillir, leur tendit à chacune l'anneau épiscopal et leur demanda de se relever.

Dame Sunja, j'apprends que vous passez chez les Teutoniques ? Un bien grand ordre que voilà, et je comprends votre choix, compte-tenu que la Milice d'Aristote est naissante et en cours de constitution. Néanmoins, je trouve bien plus stimulant de travailler à la mise sur pied de quelque chose de neuf, où chacun peut apporter sa pierre à l'édifice, que de rejoindre un vieil ordre bien ancré dans sa routine.


Se tournant vers Mymu.

Dame Mymu, vous me semblez en grande forme. Avez-vous des nouvelles du miles Jeanbus ? On me dit qu'il serait parti compter fleurette à une hérétique, sans doute pour lui soutirer des informations. Du moins est-ce ce que l'on a bien voulu me faire croire.

Dans les prochains jours, nous mettrons en batterie notre bombarde de 20 livres, le "Grand Pardon". Nous verrons son efficacité sur les murs des hérétiques et brigands du Lion. Nul doute que cela va faire du dégâts. Cela pourrait d'ailleurs en faire aussi de notre côté...

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Archevêque de Malines.
Nicbur
[En ville]

C'est la guerre!!! c'est la guerre!!! Les croisés sont arrivés!!! Tous à vos armes il faut défendre la ville

Vu comment le bougre hurlait en courrant comme si le sans nom était à ses fesses, nul doute que la ville entière serait au courant de l'arrivée des armées ennemis avant l'heure du repas.

L'Issime monta sur les remparts, suivi de Lepam, pour observer l'adversaire. Deux armées étaient au bas des remparts, les armes de sièges étaient en train d'être assemblées et les campements montés.


Il vont attaquer cette nuit? lui demanda Lepam

Non mon ami, ils n'oseront pas... ils n'attaqueront que lorsqu'ils seront à quatre contre un. Tu sais, les curés, ça gueule fort, mais ça pisse pas loin. Alors, ils vont attendre d'avoir tout un tas de Gus à qui ils auront bourré le mout, puis il les enverrons contre nos remparts.

Et nous, on les repoussera, hein?

Comme toujours Lepam, comme toujours. Allez viens, on va aller voir en avoierie si on peut aider


Avant de quitter les remparts, Nicbur repensa à la première croisade, La grande croisade comme disent les anciens, celle durant laquelle Petitced avait été tué par Yohann le défroqué. Déjà à l'époque, bien qu'en infériorité numérique, les genevois avaient tenu la ville, et repoussé l'envahisseur romain. Cette fois encore, il perdrait des amis, mais Genève resterait debout
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Qui qui c'est l'plus balèze? c'est bibi!!!
Sunja
[SOUS L'ATTENTE....]


Sun se redressa un peu surprise par le ton de Tibère. Elle haussa un sourcil et attendit qu'il ait fini de saluer la jeune dame pour lui répondre.

Monseigneur, vous me voyez gêner et étonner. Que je rejoigne les Teutons ou La Compagnie d'Aristote... nous oeuvrons pour la même cause... non ?
Il est clair que je suis venue sur votre appel, je le reconnais et ne mens jamais. Maintenant veuillez pardonner mon ... intrusion sous votre tente, je rejoins de ce pas notre campement et prendre les ordres.


Sunja baisa de nouveau l'anneau au doigt du père général puis se releva en s'inclinant. La jeune femme se tourna vers la dame et lui sourit.

Dame, heureuse de vous connaitre. Si vous avez un moment et que cela vous plaise, rejoignez-nous donc pour un repas, frugal certes, mais repas quand même ou bien prendre une boisson autour du feu, un soir. Nous pourrions ainsi faire connaissance et causer un peu entre femmes. Quoiqu'en pensent certains, il n'y a pas que des pardonnez l'expression je ne fais que reprendre leurs mots si souvent entendus il n'y a pas que des curetons dans les Saintes Armées.

Le sourire aux lèvres, elle lui fit un clin d'oeil des deux yeux, et poussa le tissu de la tente en sortant. Sun récupéra son épée gravée ainsi que son écu et sourit à Theo qui lui offrit son bras.

Eh bien mon ami, vous voilà bien tombé ! La brunette prit son bras le remerciant d'un sourire et mit son pas dans le sien.

Prêt pour l'entrainement ?

Ils partirent bras dessus, bras dessous vers le campement où les filles devaient déjà les attendre.
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Histoire
Frimoden


Chaleur lourde , orages en vue . Frimoden se retournait ne sachant plus quelle position prendre pour éviter de coller de partout . N'y tenant plus , elle décida d'aller se balader , au moins , marcher lui donnerait une vrai raison de transpirer .
Elle fit quelques pas et vit son chef de lance faire les cents pas . A sa mine , il était évident qu'elle était à fond dans ses pensées ….............
L'espace d'un instant , Frimoden se demanda à quoi pouvait bien penser cette femme , était elle à réfléchir à une stratégie pour vaincre l'ennemi ? Elle admirait beaucoup cette femme de part la légende qui la poursuivait ou qu'elle aille .

Quelle femme !!!!

Les armées ennemis étaient bien la , on voyait leurs campements aux portes de la ville . Cette guerre ne s'arrêterait donc jamais ??
Depuis le début , Frimoden luttait contre ces envahisseurs venu de nul part et qui , pour la plupart , ne savaient même pas le pourquoi ils guerroyaient !
Elle se souvenait des premières batailles en Savoie , le tout début de cette guerre sans fin . Quand avait elle commencé ? Frimoden cherchait dans sa mémoire , mais aucune date précise ne lui revenait ….......Septembre ? Octobre ? Novembre ?
Impossible de se souvenir ! Aprés la Savoie , Genève , puis la course à travers l'Helvétie après ce lâche de Namay qui avait fui à toutes enjambées !

De retour à Genève , elle s'était mise de suite dans la défense de la ville , ils reviendraient , c'était certain !
cette guerre , elle la ferait jusqu'au bout ! Blessé , elle reviendrait au front après soin , mais elle ne lâchera que si la mort l'emporte ou la guerre se termine !!!!

Aujourd'hui , ils étaient la !

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Arca
[Campement de l'Ordre des Pauvres Chevaliers d'Aristote]

Arca était arrivé depuis quelques jours dans les contrées de Genève avec sa lance et l'armée de Messire Makcimus.

Le voyage s'était déroulé sans encombre. Avec ses frères d'arme, ils installèrent leur campement et montèrent leurs tentes.

L'accueil des Genevois était froid tout comme le climat de cette région.

Il décida de se diriger vers la tente de Monseigneur Tibère. Arca se souvient de sa première rencontre avec lui.

Deux gardes étaient postés à l'entrée. Arca se présenta. Monseigneur Tibère reconnu la voix de son frère d'arme. Il entrouvrit l'un des pans de sa tente.

Arca s'agenouilla et baisa son anneau épiscopal :


Dominus vobiscum Monseigneur.

Il attendit qu'il lui demande de se relever. Une fois fait Arca salua ses frères d'armes présent dans la tente du Général.

Monseigneur Tibère lui tendit un verre de vin de Bourgogne.

_________________
Mymu_v_strass_
[Sous la Tente]

Monseigneur Tibère invita Mymu à se relever tout en lui demandant nouvelle d'un de ses compagnon de lance perdu quelques part ...

Tibere a écrit:
Dame Mymu, vous me semblez en grande forme. Avez-vous des nouvelles du miles Jeanbus ? On me dit qu'il serait parti compter fleurette à une hérétique, sans doute pour lui soutirer des informations. Du moins est-ce ce que l'on a bien voulu me faire croire.


A ces mots , Mymu frémit..

Monseigneur hélas non point de nouvelles de messire Jeanbus malgré mes appels et mes messages.Il semblerai en effet que son âme tourmenté se soit tourné vers un autre cœur mais je ne peu juger si celle ci est hérétique . J'ose espérer qu'il reviendra vers nous ...

A ce moment une des Dames présente et interpellé aussi par Monseigneur Tibere sur son changement de communauté lui sourit avant de sortir de la tente ...

Sunja a écrit:
Dame, heureuse de vous connaitre. Si vous avez un moment et que cela vous plaise, rejoignez-nous donc pour un repas, frugal certes, mais repas quand même ou bien prendre une boisson autour du feu, un soir. Nous pourrions ainsi faire connaissance et causer un peu entre femmes. Quoiqu'en pensent certains, il n'y a pas que des curetons dans les Saintes Armées...


Mymu sourit aux dires de la Dame , remerciant pour l'invitation .

Je suis contente de vous connaitre également Dame , en effet les capuches de chacun profite souvent à une étrange illusion de curetons.

Puis profitant de la sortie de la Dame, un Homme pénétra dans la tente , s'assit avec Monseigneur semblant apprécier le vin de Bourgogne .

En ce pays si froid autant que l'accueil voir glacial de ses habitants, un repas entre frères et sœurs de lance serait le bienvenu...

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Angel.
[Sur les remparts…]

Angel regarda la tente des croisées depuis les remparts où cela faisait quelques jours qu’il y tournait tel les cent pas d’un penseur…Le temps passe mais les souvenirs restent et cela remontait à un bon moment
qu’il n’avait pas fait cela, le vent chaud de bon matin lui caressait le visage, ses yeux verts regardait les allés et venu des soldats se disent saint… Saint mais pas fin… Angel eut un sourire se dessiné sur son visage
à cette pensé, tout en restent assit sur le montant d’une meurtrière, le sang allait encore couler, mais cela était le prix à payer dans ce genre de conflit, la folie d’un homme n’a que de limite qu’avec ce genre de chose…
Sans pour autant avoir reçu une éducation religieuse, l’homme qui se tenait là à observer se demandait si leurs très haut avait prévu assez de place pour ses soldats et dans un murmure à peine perceptible :


-« Voici ce que donne la vanité d’un seul homme… »


Dans un secouement de tête comme pour prouvé à lui-même le ridicule que pouvait avoir les hommes…
Leurs besoins de croire aux quelques inepties d’un illuminé pour assouvir l’envie qui semblerait toute humaine de faire couler le sang était bien là…
Mais personne ne porterait ce fardeau pensent que le bon droit était là… La croisade… Le mot résonnait dans sa tête comme une cloche qui ne s’arrêterait pas… La croisade… ça intervient quand leurs mots n’arrivent
plus à faire mouche mais l’acte en lui-même sonnait bien leurs incapacités à exercés ceux-ci… La croisade… Même le temps ne leur à pas apprit grand-chose, comment rester obtus devant une détermination
si prononcer de Genève… Comment peuvent-ils encore croire que faire couler le sang leur donnera satisfaction… Certains érudits sont ils dans une incapacité profonde a ne pas pouvoir apprendre des actes passés…
Les questions s’enchainaient les unes après les autres, cela était presque amusé de voir que les moutons ne pouvaient nettoyés par leurs bouches insatiables que les pâturages des voisins sans même regarder ce qu’il
y avait dans leurs propres enclos…

Le regard des soldats s’afférés de part et d’autres en bas des remparts, tel des moutons bien éduqués… Souriant et Angel posa la main sur sa paume d’épée avant de soupirer quelques mots :


-« Vous allez payer un cher tribu les moutons… »


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Vero5

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--Le_vert_capuchon
Un lourd hibou arriva tard dans la nuit au milieu du camps des croisés et y déposa un message.



Ce jour 6 du moi de Juin de l'an de grâce 1459,

Après de trop longues années de dénigrement et les derniers incidents survenus à Berne, le canton de Sion prend acte de la différence criante entre la pensée des institutions bernoises et de son esprit propre.

En effet, Sion ne reconnaît plus l'esprit helvète dans le discours de la majorité des conseillers.
Cette majorité se pense supérieure aux maires des cantons souverains, se sent le pouvoir de les exclure des relations qui unissent notre pays, elle ne cherche que la discrimination et ne travaille qu'à perdre chacun dans des discours interminables pour ne faire valoir que leur pouvoir usurpé.

De ce fait le canton de Sion s'estime insulté, muselé, et refuse à être terre soumise à une institution qui ne lui est en rien supérieure.

Le canton souverain de Sion ne reconnaît plus en la politique commune la sienne et s'en défait en totalité.
Qu'il soit ainsi entendu par tout les monts d'Helvétie et d'ailleurs qu'il ne faut plus entendre la voix de Sion dans quelques discours prononcés par le conseille de berne ou n'importe lequel de ses membres sans l'approbation claire des autorités régulières sédunoise.

Sion ploie mais ne rompt pas.

Par et pour Sion.
Amaurum de Sion, dit Lucius Sergius Catilina, diacre et maire de Sion.

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