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[rp]presentation d'un prisonier au procureur

Didier_de_sars.


votre altesse bonjour , nous venont de coincer un heretique recherché par le duché , il semble par un subterfuge avoir reussi a entrer a Macon ; nous l'avont trouvé lors de notre patruille en ville ou il venais d'enfoncer les porte de l'eglise et il recittait dans celle ci le credo des reformés . nous vous l'ammenont ici lieu par la force si besoin

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Numero_six
Medso entra la tête baissée dans cette vaste salle où se trouvait une femme qu'on appelait "votre altesse".
Il n'osait pas encore relever les yeux et Didier de Sars, l'avait fait enchainer tel un meurtrier.

Mais que lui reprochait on? Il ne le savait pas!
Dans ce duché, arrière base des armées de barbares croisées, tout était possible!

Lors de son transferment de l'Eglise de Macon vers ce lieu, il avait pu constater que la pauvreté des gens, l'exploitation des villageois était toujours aussi terrible!
En effet, le duché de Bourgogne n'avait pas encore fait sa "révolution" comme le peuple de la confédération helvètique l'eut fait en son temps...

Il releva enfin légerement la tête en direction de cette femme qui devait être son bourreau...

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Lohan
Lohan deambulait dans les rues lorsque ....oui c'est bien cela ! il crut reconnaitre son ami Didier.De Sar avec ..??? Medso ? ..il le reconnu immediatement ....il alla vers eux !
Messire De Sar ! quel plaisir de vous voir icelieu ! comment allez vous donc !
Puis il se tourna vers Medso
He bien messire Medso ! vous avez finalement reussi non ? vous etre entré dans le Duché ! bienvenue en Bourgogne !
Je vois que vous n'avez pas perdu vos habitudes ! mais pourquoi diantre ! un homme comme vous ! artiste de ses mains ?? deja en Savoie lorsque vous blasphemiez contre l'eglise, vous vous rappelez ? je vous avait demandé de revenir dans le droit chemin ! je voit que cet effort est ....surhumain pour vous ! quel dommage ! vous auriez put faire de telles choses !
De quoi donc est il accusé ? de la meme chose je parie non ?

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Numero_six
Il ne fut pas surpris de voir ses ennemis d'hier se réjouir de son forfait.

Il releva la tête en la direction du colonnel et lui déclara:

Je ne sais pas ce qu'on me reproche! On m'a entravé comme un bandit, alors que je priai seul!

La liberté de prier n'est donc t elle pas tolérée dans ce duché?
Il regarda autour de lui et continua:
Le peuple tolére t il cela?!

Ses chaines lui faisaient mal... et ses poingnés et chevilles étaient en sang.

Que me reproche t on???
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Lohan
Lohan regarda Medso en faisant non de la tete silencieusement vous etes venu en Bourgogne ? je ne comprend pas ! comment vous !! quelqun de cultivé !! avez vous pu faire une aussi grossiere erreur ! vous etes intelligent pourtant ! .....franchement je ne vous comprend pas !
Personnellement, a votre place je me serait installé ailleur ! Loin de tous ceux qui me connaissant, pouvaient me mettre en danger !
Lohan fixa un instant Medso du regard d'un air d'incomprehension puis reprit pourquoi une telle erreur de votre part ? .......
et pour la priere
reprit il
Mais mon cher ami ! prier oui ....mais les prieres d'Aristote uniquement voyons ! sinon vous vous fourvoyez ! vous le savez tres bien ! surtout en cette region !
Une region si pieuse ! qu'il ne saurait etre tolerée d'autres croyances considérées comme paiennes !

Puis Lohan commenca a partir ...et se retourna, pensivement fit à Medso en faisant la moue
Pourquoi avoir commis une telle erreur ? ...
Il se retourna et haussa les epaules en s'en alla ...sa cape flottant au vent .......
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Numero_six
Une erreur???

Medso n'en croyait pas ses oreilles.

Est ce une erreur que de croire en la Vraie religion qu'est la Réforme?!
Est ce une erreur que de s'élever conte l'infamie que représente la discrimination que prône ce duché?!
Est ce enfin une erreur que de retourner dans une ville où se trouve sa demeure?!


Puis affichant un leger sourire...
Je ne vois là qu'une erreur:
C'est de me traiter de la sorte!

Medso se tut et songea à la Savoie et les tribulations qui suivir son arrestation semblable à celle ci.
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Armoria
Armoria relisait les minutes des procès en cours, tentant de soupeser les chances d'en voir au moins un aboutir sur son verdict préféré : le pilori. Les preneurs de Cosne auraient été de bons candidats, mais cela posait souci : ils avaient été brûlés vifs. Pas pratique, de mettre des cendres sur son objet fétiche... Objet fétiche quand il était question de justice, évidemment. Elle avait des objets fétiches différents selon les circonstances.

Tout cela pour dire qu'elle était assez absorbée quand Didier fit son entrée, en bonne... Euh, non, en mauvaise compagnie. Elle se redressa, le coin droit de ses lèvres se releva dans un demi-sourire pas forcément aimable ni accueillant pour Medso, et ses yeux se plissèrent une seconde : le contentement.


Bravo, Didier, belle prise !

A peine le temps se se réjouir de tout ceci que la salle, si calme un instant auparavant retentit de paroles, puis de cris. Pour le coup, elle s'empara du codex - qui était encore en vigueur, et pour une fois, elle s'en réjouissait. Elle le leva à un bon cinquante centimètres de son bureau, et le laissa y retomber bruyamment.

Ben oui : la juge avait un marteau, mais elle, elle devait faire avec les moyens du bord... Soit dit en passant, elle nota dans un coin de son esprit que sitôt que le codex appartiendrait au passé, elle le garderait tout de même à portée de main.


Pour les interrogatoires.

Hé, ho ! La foire, c'est sur la grand-place, ici, c'est la Cour de Justice de Bourgogne !

Après cette entrée en matière, elle murmura quelque chose à son valet, qui partit en hâte, porteur d'une mission urgente et double : prévenir la juge, et aller lui chercher quelque chose dans son bureau.

Medso, hein ? C'est curieux, ce nom me fait penser à Annecy...

Cette fois, les dents se découvrirent dans un sourire qui n'en était plus un demi, mais pas plus agréable pour autant. Quelque chose de... Oui, de sadique. Elle se carra confortablement au fond de son siège, posa les coudes sur le bureau, et la pointe de son menton sur le bout de ses doigts joints. Attentive. Presque joyeuse, au fond.

En même temps, Didier, c'est presque dommage de me l'avoir amené icelieu... Alors que chez moi, sur mes terres, où je puis livrer justice comme bon me semble, nous nous serions beaucoup plus amusés. Las, ici, je ne suis que Procureur, et tenue, qui plus est, de respecter les lois. C'est dommage, oui... Fort dommage. Nous serions sans cela déjà en mes oubliettes, à regarder agir mes petites merveilles d'appareils de torture, avant que de couper ce vilain col.

Elle émit un soupir, et se reprit quand le valet, revenu, lui montra ce qu'il avait ramené. Elle lui fit signe de le confier à Didier.

Mais à propos d'instruments... Didier, placez donc à ce chien la fourchette à hérétique, qu'il apprenne à ne parler que lorsqu'il en a le droit. Le moins possible, donc.

Elle regarda de nouveau Medso.

Je serais toi, je me tairais, une fois la fouchette à sa place... C'est très douloureux, paraît-il.

Gardes ! Ouvrez grandes les portes, un procès va se tenir dès que la Juge sera là !
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Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique
Maud
Blablabla... Medso.. un hérétique.. maud.. traîné au tribunal.. Une missive de Didier de Sars pour enchaîner un hérétique qui souillait l'église de Mâcon.. Sauf que Maud avait quitté l'armée pour un retour à la Prevôté. Trop jeune, elle ne connaissait pas l'individu, mais si Didier lui disait que c'était un malfaisant, c'était tout aussi bon pour Maud.. Un réformé, elle apprit.. Tout comme Falco..

Misère de misère, mais ils se r'produisent pire que des lapins cette race-là.

Elle quitta un instant son bureau de prevôt.. faut dire que Maud avait un faible pour le concret avec les brigands.. loin de la paperasserie.. Une bonne bastonnade.. ou un tour au pilori.. sachant que la Princesse était procureur, Maud se frotta presque les mains en pensant à toutes les joyeusetés à venir.

Ni une, ni deux, elle prit son panier plein d'oeufs pourris..Sans odeur tant qu'ils n'éclataient pas en pleine tronche d'un malfrat et entra dans le tribunal au moment où la Princesse tapait du maillet pour se faire entendre.

Profitant de son nouveau statut, fallait bien que ça amène quelques privilèges..


sxcusez.. Prevôt de Bourgogne..
Nan, mes oeufs sont pas à vendre.
zavez pas d'chance mes sabots sont en bois..


Bref, elle se fraya un chemin vers les premiers rangs pour reluquer le chien en procès et graver en mémoire son faciès au cas où...
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Didier_de_sars.
le bruit sourd du codex que la procureur vennait de faire claquer sur le bureau vennait enfinde faire taire les geremiades du prisonnier , l'assemblée savait que le temps etait passé a l'orage

Citation:
Didier, placez donc à ce chien la fourchette à hérétique, qu'il apprenne à ne parler que lorsqu'il en a le droit. Le moins possible, donc.

recevant l'engin du valet de sont altesse , avec un sourire a peine dissimulé l'officier fit placez par ses gardes l'engin de silence sur la gorge de l'heretique
Voila votre altesse , chose faite ,desolé mais je n'ai pas penssé a Menessaire , mais bon ca ne vas pas changer grand chose au final
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Numero_six
Medso fut interloqué par le ton du procureur qu'il reconnaisait maintenant.
Et avant que la fameuse fourchette à hérétique ne fut installé, il eut tout de même le temps de répliquer aux attaques de la bête en la pointant du doigt.


Toi, femme procureur qui te permet de me parler sur ce ton, saches que je te connai pour avoir fréquenté les mêmes tripots que toi et ceux de ta race lorsque je n'étais pas sur la bonne voie...
Lorsque mon esprit était occupé par des sombres pensées comme tu l'es maintenant:
-par la haine
-par le mépris
-par l'arrogance!
Milles fois j'aurai pu de tuer en ce lieu que les dépravés comme toi souillent, ce lieu où ceux de ta clique n'ont pas leur place: le Louvre!
Ta grandeur n'a d'égale que ta cupidité, princesse aux dents vertes!


Il vit l'engin de torture arriver ...
La peur commenca à gagner sa voix, mais il continua encore à s'exprimer, malgré les gardes qui essayaient de le faire taire.


Je ... je... suis un prisonnier politique! Et je demande à ce qu'un ambassadeur helvète vienne pour me représenterrrrrrrr

L'engin en place sous sa gorge, il dut se taire.
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Armoria
Procurator, ainsi interpelée, sentit son sourire - comment on a dit, déjà ? ah oui, sadique. Oui, pour le coup, plus aucun doute : sadique - gagner en largeur.

Un ambassadeur helvète. Ah ah ah... Il est mignon...

Elle commença à griffonner quelques notes pour la mise en accusation.

... Enfin, c'est tout de même mieux quand il se tait... Ces délires ne favorisent guère la concentration.

Elle regarda la fourchette : si elle avait été plus vieille de 550 ans, elle aurait ajouté ça déchire !".

Et on reste bien sage en attendant la Juge, sans quoi on va se prendre un bon coup de Codex sur la tête.

Le progrès, ça commence par de petites idées toutes simples.
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Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique
Didier_de_sars.
didier souriait ... le prisonnier ce disait Maconais !! , pauvre bourguignon , exploité !!!! et voila que quant la peur le gagne , il ce dit politique !! et demande un helvete !!! ,ben si il y en a un dans le coin , il peut le prendre comme avocat .... l'heretique n'etait pas mieu que d'autres brigands quant il falait passez devant ses juges , comme un autre il pouvait mouiller ses braies , mais bon au moin la fourchette pouvait limiter ses sanglots
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Numero_six
Medso regardait, tant bien que mal, le petit peuple entrer dans la salle.
Les gens paraissaient horrifiés par le sort qu'on lui réservait déjà, alors qu'on ne lui avait toujours pas officiellement expliqué de quoi il en retournait.
Les femmes cachaient les yeux de leurs enfants qui voulaient faire demi tour pour ne pas assister à cette scène, où l'homme n'est plus considéré comme tel, mais comme moins qu'un animal.

Il fixait cette femme avec son enfant qui était apeuré.
Comment ceux qui sont censés être des "élites" pouvait faire subir cela, à qui que ce soit!

Ils devaient surement être obligés d'assister à de tel ignominie afin qu'ils ne se "réveillent pas", qu'ils restent sous la coupe des tous puissants qui s'accaparent tous les pouvoirs, tous les postes et qui s'accrochent.
Quitte à tuer, à torturer pour prouver leur supériorité.

Il ferma les yeux et pensa très fort aux défenseurs de la vraie foi, de la liberté et du peuple...

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Ingeburge
S'il y en avait une qui n'était pas horrifiée, c'était bien la duchesse d'Auxerre, cardinal-Archevêque de Lyon à ses heures perdues, amenée là non pas par la rumeur publique mais par deux lettres que lui avait adressées Didier de Sars, capitaine de l'armée « Legio Burgundia » et pourfendeur de vermine à plein temps. La première missive l'avait tout bonnement scandalisée, c'était son église que l'on avait souillée, violentée; la seconde l'avait tout à fait rassérénée, l'hérétique avait été appréhendé et mené à la terreur des prétoires, le cauchemar des délinquants, la thuriféraire du châtiment physique, Armoria de Mortain. A divers titres, il convenait donc pour la duchesse d'Auxerre de se rendre là où un procès était désormais annoncé – l'affaire, avançait à tout allure et les divers messagers chargés de la prévenir se fatiguaient de tous ces allers-retours. Elle libéra ceux-ci en se rendant elle-même à la source, non sans avoir préalablement fourré divers rouleaux de parchemin dans le havresac qui ne la quittait jamais et empoigné sa besace ainsi lestée.

Quand elle arriva au seuil de la salle – pas horrifiée du tout, cela a été dit – on lui communiqua un élément qui ajouta à son alacrité toute rentrée, allégresse qui s'exprima par un demi-sourire qui étira ses lèvres purpurines. Avançant tout à fait, tenant d'une main son chargement et relevant légèrement de l'autre un pan de sa houppelande noire, elle lança à la cantonade :

— Il paraît que l'on a demandé un ambassadeur! Me voici donc.

Car oui, Ingeburge, c'était une diplomate et dans tout un tas de domaines.

S'approchant tout à fait du premier rang, elle dédaigna du regard le païen pour saluer Procurator :

— Votre Altesse, le bonjour.
Puis, ses yeux morts se posèrent sur Maud :
— Prévôt.
Pour achever leur course sur la silhouette martiale de l'Ours de Bourgogne :
— Capitaine... merci à vous, infiniment.

Que du beau monde en somme – hormis la graine de potence –, dont la qualité avait été sans conteste accrue par le débarquement de la Prinzessin. Les réjouissances promettaient d'être des plus réussies.
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Numero_six
Medso était vraiment mal dans cette position...
Les gens arrivaient.. encore et encore...
Meme l'ambassadrice!
Cette salle allait être trop juste pour ce grand spectacle
pensa t il.

Son esprit artistique divagait en attendant le juge.
Il s'imaginait la princesse sado maso dans un des bordels de la région.






Cela le fit sourire un instant... elle ferait un tabac!
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