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Info:
Grâce à l'énergie de Dame Isabeau des Hautes Rives, l'Hôpital du Pont du Rhône a (re)pris vie. L'hôpital lui-même est situé sur la Colline de Fourvière, à Lyon. Il a été décidé d'ouvrir des antennes dans chaque ville du Lyonnais Dauphiné, avant une "tournée" des médecins et autres personnels soignants dans le Duché. Voici l'antenne de Valence. L'accueil est fait par un PNJ, Coline Fourvière, qui est disponible pour tout joueur de personnel du dispensaire de Valence.

[RP] HÔPITAL DU PONT DU RHÔNE - Antenne de Valence -

Istanga


Affiche posée sur la façade du bâtiment réquisitionné auprès de la Mairie, je recule pour juger de l'effet et souris.

Voilà, Omar! Demain, nous installons le mobilier et je préparerai l'inauguration du dispensaire avec Melliandre, Orphéa et peut-être Elywen, si elle est encore là...
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Elywenn
Son entrée à l’Hôpital de Lyon était récente pour ELYWENN donc elle s'empressa de ce pas à rejoindre ses collègues.
Le temps de faire un aller retour sur Dié ,pour une petite visite commerciale et elle reprit chemin sur Valence. Elle poussa la porte puis sourit en apercevant Istanga déjà présente.


Bonjour !
Tu es bien rapide.
Alors pas de grand malade en ces lieux ? Du moins pas encore ?


Pas encore très réveillée de sa nuit sur les chemins , Ely essaya tant bien que mal de rester les yeux ouverts et de garder le sourire malgré le sommeil qui lutter pour l’assommer.
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Istanga
De bon matin, j'arrive devant le dispensaire, accompagnée de tous mes gens qui se sont proposés pour aider à l'installation,

La bâtisse est simple et les murs intérieurs ont été blanchis à la chaux.

Lorsqu'on pousse la porte à double battant, on arrive dans la salle d'accueil où sont disposés, contre les murs à droite et à gauche, de longs bancs de chêne fleurant bon la cire d'abeille. Au fond, un imposant comptoir derrière lequel siège la femme chargée de l'accueil, Dame Coline, une jeune blondinette à l'air fragile. C'est à elle qu'auront affaire les malades, dès leur arrivée au dispensaire.




Sur la droite, on trouve les salles réservées aux hommes, sur la gauche, celles des femmes. Chaque domaine possède sa salle d'examen, dotée d'une table sur laquelle on dispose des draps propres, d'un meuble à tiroirs où sont rangés les instruments de torture et une salle-dortoir où l'on a installé quatre lits séparés par un rideau.

Derrière Coline, une autre porte mène à la pharmacie, dont la clé est sous sa responsabilité.

Sur le côté du comptoir, à droite de Coline, j'affiche l'aide au diagnostic des urines.




En-dessous, j'accroche la composition du personnel du dispensaire.

Citation:


Personnel soignant – Dispensaire de Valence
Annexe de l'Hôpital du Pont du Rhône


Médecin-chef : Dame Isabeau des Hautes Rives
Etudiante en médecine : Flore de Lendelin
Guérisseuse, Herboriste : Istanga de Lendelin
Infirmières : Elywenn, Orphéa et Melliandre
Aide-Soignante : Coline Fourvière

Un dernier coup d'oeil sur le linge entreposé à la lingerie, au fond de la cour intérieure, un sourire de satisfaction, je peux me détendre un peu en attendant l'arrivée de mes collègues.

D'ailleurs, voici Elywenn, déjà revenue de Dié.

Bonjour, Elywenn, tu es la première ! Et, tu sais quoi ? Je me demande si on ne devrait pas lancer une journée Portes Ouvertes, et offrir un bilan de santé à nos valeureux et solides valentinois, histoire de les familiariser et de leur montrer qu'on ne mord – presque – pas ! Qu'en penses-tu ?
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Orphea
Orphéa arriva sur les lieux comme convenu et sourit en regardant la bâtisse.
Elle vit aussitôt Istanga et Elywenn.


- Vous voilà déjà ici ! C'est un plaisir de vous retrouver pour ce grand jour. Je vois que vous avez déjà bien avancé, la bâtisse est superbe !

Orphéa, ravie, s'avança vers le dispensaire regarda les lieux avec la volonté de se mettre au travail sans plus attendre.
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♥ Darkangeluna, Emeraude et Arthur ♥
Elywenn
Un repérage rapide des lieux afin de se familiariser et de ne pas se perdre si elle devait prendre un patient, elle retourna auprès de Istanga. Ce n'était pas une mauvaise idée , les gens parfois appréhendaient les lieux inconnus et plus particulièrement les milieux hospitalier.

Très bonne idée que tu as là.
Puis je t'aider à œuvrer à la tache ?


Ely se retourna et sourit en voyant Orphea arriver. Elle la salua puis partit à son tour faire du tri dans les remèdes restant à l'écoute d'Istanga.
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--Le_louis


[A l’extérieur de la ville]

Une fermette sans prétention où l’on cultivait quelques arpents de blé, c’est là , avec volaille et lapins, que vivaient un vieux couple depuis des années., la Jane et le Louis.

Ce matin là, après avoir dégagé une poule d’un revers de main, la Jane posait la bouillie de gruau sur la table rustique.
En face d’elle , le Louis, qui allongeait le bras pour présenter son bol , ne put retenir un grognement qui n’échappa pas à sa compagne .


Quand que tu vas te décider à aller voir un docteur?
Quand que tu pourras pu tirer la charrette ou manier la faux ?


Nouveau grognement du vieux qui plongea sa cuillère de bois dans l’épaisse bouillie , marmonnant unpas le temps !

Parait qu y’a des docteurs de Lyon qui sont en ville et même qu’ils soignent gratuitement poursuivit la vieille.

T’es donc si corniaud que tu préfères souffrir ?

Cela faisait des semaines que le sujet de conversation tournait autour de cela et la Jane était bien décidée cette fois à aller jusqu’au bout.
Comment elle ferait si son homme pouvait pu travailler le champ ! Elle avait déjà bien assez à faire elle-même.


Je descends en ville pour aller vendre les œufs. Viens y donc , si ça te fait pas de bien , ça peut pas de faire de mal.

Elle le serina tant, qu’agacé, le vieux repoussa brusquement sa bolée et céda

Mordiou ! il suffit femme ! allons voir tes charlatans, mais qui s’avisent pas de me charcuter ceux là.

C’est ainsi qu’une charrette brinquebalante, qui avait connu de meilleurs jours, s’arrêta devant le dispensaire de fortune.


[A Valence]

Une fois sur place, la Jane, en femme décidée, prit aussitôt les choses en mains.
Des fois qu’il change d’avis, valait mieux faire vite.
Elle l’entraina à l’intérieur, et quoique un peu intimidée, appela


Hola ! quelqu’un ?
Coline de Fourvière, incarné par Istanga


Coline avait préparé quelques fioles, passées à l'eau bouillante et soigneusement essuyées, et les avait disposées en rang d'oignon sur le comptoir d'accueil derrière lequel elle trônait, reine des abeilles qui s'affairaient dans le nouveau dispensaire,

Quelques curieux étaient passés, « juste pour voir », mais avaient refusé l'auscultation gratuite proposée jusqu'à la fin du mois. Coline ne comprenait pas cette peur du médecin que semblait ressentir la quasi totalité du peuple.

C'est donc avec joie qu'elle vit entrer un couple plutôt âgé, dont la femme semblait mener la barque et, accessoirement, son mari à l'abattoir. Enfin elle allait pouvoir démontrer son savoir-faire...

Assise derrière son comptoir, seul le haut de son visage était visible, et elle eut tout le loisir de détailler l'homme. La manière dont il avançait, sa façon de retenir les mouvements de son bras droit lui indiquaient que l'âge et les durs travaux commençaient à lui ronger les os.

Hola ! quelqu’un ?

Elle se leva enfin et sourit aux arrivants.


Approchez-vous, vous venez pour l'auscultation ? Oui ? Pour votre époux, c'est ça....

Elle déposa devant elle une fine tablette d'un bois très léger, sur laquelle elle inscrivit, en haut à droite, le chiffre 1 et, à gauche, la date du jour.
Votre nom ?
Père Louis...
nota-t-elle avec soin, comme Istanga l'avait demandé.
Votre âge ?
De quoi souffrez-vous ?
Elle écouta et résuma en quelques mots la réponse sur la fiche.

Prenant une fiole sur le comptoir, elle la tendit au Père Louis.


Nous avons besoin de votre pissat pour vérifier votre état de santé.
Vous pouvez vous isoler ici...
lui dit-elle en l'accompagnant jusqu'à une petite alcôve dissimulée par un rideau.
Il y a une cuvette et du linge propre, au cas où …

Tandis qu'il s'exécutait, Coline retourna auprès de la Mère Jane, pour une précision.

Mère Louis ! Qui voulez-vous que votre époux rencontre ?
Nous avons, disponibles, Elywenn, Orphéa et Melliandre, les infirmières, et Istanga devrait arriver, c'est la guérisseuse, herboriste aussi.
Je ne sais si DameIsabeau sera là aujourd'hui, elle est le médecin-chef …
Choisissez !

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La médecine fait mourir plus longtemps Plutarque
--Le_louis


C’était la toute première fois de sa vie, que le Louis allait voir un médecin.
Faut dire qu’il était fort comme un bœuf et que toutes ces années au grand air lui avaient étés profitables.
En se présentant devant la femme en blouse, il se demandait encore ce qu’il faisait là , et n’avait qu’une envie, c’était de repartir
.
L'était pas malade crénom ! C’est comme les bondieuseries , des histoires de bonnes femmes tout ça.
La preuve : C’était quoi ces questions ?
Son âge ? qu’est ce qu’il en savait lui ! A quoi ça pouvait bien servir de savoir son age d’façon ?
Il aurait pu répondre qu’il était encore assez vert pour la culbuter , faut dire qu’elle était gironde la petite, n’étant pas du genre loquace, il grogna plus qu’il ne répondit aux questions.


Votre nom ?
Louis
Votre âge ?
….chai pô
De quoi souffrez-vous
………………..


Devant son hésitation à répondre, la Jane s’interposa.
Voudra pas l’avouer m’dame, mais peut plus faucher le blé comme avant et j’ vous dis pas,
pour rentrer le foin, z’avions du embaucher un commis, ça nous a couté ben des écus tout ça.


Appuyant d’un signe du menton en direction du Louis , elle ajouta :
J’crois que c’est son bras qui marche pus,

Haussement d’épaules de Louis
Pardi ! je te vois ben grimacer quand tu l'bouges.

Se retournant vers la femme
Faudrait regarder sous sa chemise, j’sais point ce qui y’a là-dessous.

Après un regard noir en direction de son épouse, Le Louis prit la fiole en marmonnant .

Pisser dans une fiole Manquait pu qu’ça tiens.
Ah les bonnes femmes !!


Et disparut derrière la tenture
Jane les suivit du regard, puis la femme revint , lui demandant de choisir entre plusieurs noms inconnus.


J’sais pas m’dame, mais faut me le remettre d’aplomb mon Louis hein!
Comprenez ,y’a des cochons à tuer que je fassions le pâté.
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