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[Rp ouvert] l'Auberge du Chat Perché

Merlin_dit_dozilus
doz rentra dans sa chambre et put enfin se détendre
a peine eu t'il jeter c'est affairs sur son lit

qu'il se mit sur le rebord de la fenêtre
et penser encore une fois a elle
d’ailleurs il ne penser qu'a elle

depuis se voyage le voire ne lui suffisait plus il fallait qu'il la touche
qu'il sentent sa presence il lui en fallait plus...
pourquoi se privée t'il d'aimer...
n'avait t'il pas le droit d'avoir sa chance lui aussi


il soupira...
posent la tête sur la fenêtre froide il souffla sur le carreau pour faire de la buée s'amusent a faire des dessin

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Loh
J'en avais profité pour filer comme une étoile, laissant des étincelles d'interrogation derrière mes paluches. Marjo? Enelia? Je leur expliquerai plus tard. Le guerrier? Je le fuis... pour le moment. Il m'est insupportable de fixer son regard. Comme il m'est indispensable de me trouver à ses côtés. C'est agaçant à la fin! Je me sens fébrile, stupide, forte et colérique pour un rien. Mais j'y pense. Marjo ne l'a-t-elle appelé Soren? Est-ce son véritable nom?

Je marche au hasard dans le village de Compiègne. Il neige toujours. Finement. Mes pieds minuscules y laissent une empreinte. Effaçable puisque je ne compte rester en Champagne. Un résident arrive-t-il à marquer le sol longuement? A creuser! Je parle de l'idée, bien entendu. Des flocons artistiques glissent sur le bout de mon nez, le rougissant très certainement. On doit me prendre pour une alcoolique. Pourtant, la cape de mon amie propriétaire me protège point mal le visage. Ainsi que le reste. Je lui rendrai le tissu laineux ce soir. Ou demain. Après l'avoir secoué avec soin.

La noblesse? En fais-je partie? Impossible! Je suis orpheline! Des parents dignes de ce nom ne déposent guère un enfant au couvent! Sauf pour s'en débarrasser! C'est certain! Toutefois ce médaillon doré m'interpelle. Que veut-il dire? Pourquoi m'appartient-il? Même s'il ne résolve guère les fantômes de mon passé, il cessera de me donner des maux de tête insoutenables!

Oh, une boule de poils! Foncée! Avec des yeux comme les miens! Ou presque. C'est la première fois que j'en aperçois un. Qu'est-ce donc? Quatre pattes moltonées? Une longue queue? Dis donc! Il agrippe un poisson presque aussi gros que lui. C'est rigolo! Il ne bouge plus. Autant la poiscaille que la bestiole noire. Je souris de curiosité. Je l'appelle " Bidule ". Je tends une main en pliant les genoux. Il file dans la direction opposée.



- " Tu ne vas pas t'y mettre toi aussi! Tu dois être un mâle! Bazar, revient!"

Je cours. Je ris. On est pas sérieux lorsqu'on a 14 ans!
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Emilie33


Le lendemain matin


Quant elle ouvrit les yeux, la vagabonde sentit sa présence... La chose qui la rongeait depuis déjà pas mal de temps s'était réveillé et elle avait faim. Posant une main sur son estomac elle ferma les yeux en espérant que ça passerait.
Les sœurs lui avait recommandé de se ménager sinon la chose allait se réveiller et la faire souffrir... Ça Émilie était tout a fait capable de le deviner.

Elle avait dit a Doz attendre le printemps pour partir en voyage car il ferait meilleur mais ce n'était pas la véritable raison. C'était juste qu'il fallait qu'elle se ménage et quand il lui avait proposer de partir quelques jours elle n'avait pas pu refuser.

Soupirant tout en gardant sa main appuyer sur son estomac, la jeune femme se leva et alla vers la salle d'eau. Se débarbouillant elle espéra que ça passerait rapidement... Elle n'avait pas envie d'être malade aujourd'hui. Elle devait aller se promener avec Doz et il lui tardait de le retrouver.

Tout en se dépêchant de se vêtir de sa houppelande elle laissa son esprit vaguer et sourit en pensant a la journée froide qui l'attendait en sa compagnie. Il y avait si longtemps qu'elle n'avait pas été nerveuse comme ça.

Emy ramassas son châle jaune et l'ajusta puis elle sorti de sa chambre en tenant les deux bouts du châle contre son ventre. Elle savait que ça ne se portait pas ainsi mais ça permettait d'appuyer sur son estomac et souffler entre deux crampes.

Elle descendit tranquillement les marches et arriva a l'étage de Doz. Elle jeta un coup d'oeil vers sa porte se demandant si il était encore là ou si il était déjà en bas. Haussant les épaules elle descendit les dernières marches et salua la tenancière.


Bonjour dame... Dites moi auriez vous de la tisane s'il vous plait ?
Merlin_dit_dozilus
le lendemain matin ...

doz c’était endormie tout habiller comme d'hab il avait passer la nuit a tourner en rond et d’épuisement c’était affaler sur son lit

encore une nuit bien courte....

il se rendit dans la salle de bain au fond du couloirs
il enlèvent son foulard
et son gilet puis prit un sceau
se le jetant au visage qui eu la raison escompter
un réveille immédiate

il se rhabilla a la hâte a peine eu t'il sortit qu'il vit emilie descendre et regarder si il n’était au première étage il n'eu pas le temps de lui dire qu'il etait la qu'elle descendit il lui emboita le pas...

et descendit il l'entendit emilie dire a la tenanciere qu'elle voulait une tisane ce qui le fit sourire

descendit les marche et la rattrapent il rajouta


2 Tisane!!
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Emilie33
La jeune femme se retourna et sourit en le voyant entrer. Il avait l'air encore bien fatigué. Le voyage avait été éprouvant avec ce froid...

Bonjour, Vous avez bien dormi ?

Puis elle se dirigea vers la salle a manger en attendant que la dame les serves. Elle ne savait pas où s'assoir et elle se tourna donc vers lui pour voir ce qu'il voulait faire.
Merlin_dit_dozilus
il la regarder descendre les dernière marche plus belle qu'a l'habitude rien n'avait changer pourtant elle était rester Fidèle a elle même

ce n’était peu être pas elle qui avait changer mais plutot lui qui avait une vision différente d'elle...

elle se retourna en sa direction et ne comprit pas tout de suite ce qu'elle attendait il lui fallut quelque seconde pour comprendre qu'elle attendait qu'il lui montre une place

dans un petit coin une petite table proche de la fenêtre
et sans aucune gène il prit la main de emilie et l'amena avec lui dans la direction voulut a l'approche de la table doz tira la chaise pour inviter emilie a s’asseoir

il ne savait pas pourquoi mais aujourd'hui il avait envie de la bichonner de l’attendrir plus qu'a l'habitude il etait devenu plus docile...

quand elle fut assise il se mit face a elle et s'affala...
plongent son regard dans le sien il lui souriat


bien dormit...
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Emilie33
La jeune vagabonde sent son cœur accélérer quand il lui prend sa main et l'entraine vers une table. Elle s'assoit quand il lui tire sa chaise et lui sourit de nouveau.
Elle se sent bien en sa présence, elle oublie la douleur et a juste envie de sourire.

En rajustant son châle et posant sa main sur son ventre Emilie elle laissa son regard croiser le sien puis elle détourna. A chaque fois qu'elle voyait ses yeux elle ne pouvait plus ce concentrer et sa respiration se bloqué doucement.

Baissant les yeux sur sa main posé sur la table elle commença a jouer avec la nappe en faisant des dessins au hasard en écrivant des mots au hasard... Elle était bien en sa présence et pour le moment ça lui convenait. Elle ne voulait pas en demander plus et ne voulait pas en avoir plus. Pas de suite.
Merlin_dit_dozilus
il la trouver nerveuse ou sans doute c’était lui qui la mettait mal a l'aise
il ne savez pas trop...

la nuit lui avez porter conseil et il fallait croire qu'elle lui avais ouvert les yeux sur sa vie fermer et vide...

il ne put s’empêcher de sourire....elle était la c'est de tout évidence la raison de son bonheur

il avait oublier la raison même de sa venu ici il n'y en avait plus que pour Emilie

dans c'est pensée il c’était détacher de l’environnement mais revenu rapidement a c'est esprit


bon ou allons nous en premier?
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Emilie33
Emilie releva les yeux et réfléchit a sa question. Les tisanes venaient d'être servit et elle remercia la tenancière. Puis elle reporta son attention sur Doz.

Cet homme avait réussit a faire flancher toute ses résolutions et aujourd'hui elle était là, assise face a lui, nerveuse et rougissant pour un rien. Elle n'aimait pas se sentir gauche et troublait comme ça.

Elle essaya de reprendre contenance et répondit a sa question.


J'aimerai bien vous montrer la forêt. Celle ci est agréable et j'aime bien m'y promener. Ça fait si longtemps que je ne suis pas allée dans une forêt...

Elle se mordit avant de dire que la dernière fois c'était pour chercher la cascade a Argonne. Emilie détourna les yeux et regarda sa tisane. Passant ses deux mains au tour elle enchaina sur autre chose avec un faible sourire

Après je ne sais pas où vous voudrez aller. Je ne sais pas quoi vous montrer non plus.
Merlin_dit_dozilus
la foret!! cette endroit qui était unique pour lui un endroit ou avait sut la decouvrire et ou tout était possible loin de la ville et de tout le reste il si sentez libre

il glissa sont doigt sous le menton d’Émilie pour diriger son regard vers le sien


je ne vous les pas encore dit mais...merci d’être venu avec moi et...
allons-y!!!



il lui prit la mains et sortit dehors en direction de la foret
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Emilie33
La vagabonde frémit au contact de son doigt sur son visage et plongea son regard dans le sien. Elle lui sourit et se laissa entrainer en direction de la forêt sans un mot. Elle était heureuse d'être là mais elle ne savait pas comment lui exprimer alors elle se laissa entrainer main dans la main.
Loh


Vêpres du 3 janvier de l'An de Grâce 1460.

Le guerrier est parti Dieu sait où. Je suis seule dans la chambre. Assise sur le lit. Le regard dans le vague. Ou plutôt plongé au-travers des vitraux légèrement colorés de la fenêtre de l'auberge.

Cet après-midi, j'ai fait la connaissance d'une saxonne à la chevelure flamboyante. Et au tatouage étonnant. Ses armoiries paraît-il. Je me sens proche d'elle. Est-ce parce qu'elle a été brutalement séparée de sa famille. Est-ce parce qu'elle provient d'une famille importante? Est-ce parce qu'on se ressemble vaguement? Ou est-ce parce qu'elle a accepté de me donner des leçons de défense? Contre les hommes? Non, c'est Enelia qui s'en charge ça! Avec son rouleau à pâtisserie! Les brigands? Les voyous? Les malhonnêtes? Une femme seule doit savoir se défendre. C'est certain! Et mon protecteur semble si occupé ces derniers temps. Que mijote-t-il d'ailleurs?

Les jambes glissées hors de la couche, pendantes dans le vide, mes paluches sont posées sur mes genoux. Digne d'une jeune fille exemplaire. Ce n'est guère voulu. C'est juste que cela permet à mon dos de ne pas trop souffrir en cas de méditation. La faute à la vieillesse!

Depuis quelques jours, je me suis mis à pratiquer divers travaux pour des villageois. Et villageoises! J'ai ainsi pu économiser quelques piécettes dorées et argentées. Ainsi, j'ai pu m'acheter des affublements. Pas très féminins certes. Mais ils sont prévus pour le combat. La facilité de bouger. Braies, chemise, et paire de bottes. Le tout chaudement agencé. Et de couleur clair. Guère pratique mais des plus ravissants!

Le soleil penche dangereusement vers le sol. Il cherche à se cacher. J'espère que Syuzanna ne va pas tarder. Je désire faire une surprise à mon confident. Lui montrer que je sais me battre! Sans son aide!
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Syuzanna.
Le soleil est en train de descendre à l'horizon. Il fait un froid polaire, mais cela n'empêche pas la Saxonne de vagabonder, arcs en main, dans les rues de Compiègne. L'air glacé lui mord les joues, les bras, et les cuisses, mais Syu ne semble pas s'en rendre compte. Elle parvint à l'auberge, qui n'est qu'à deux minutes de chez Enelia. Elle entre, et cherche aussitôt des yeux la jeune Loh.
Par malchance, personne n'est là pour l'accueillir et lui indiquer où la trouver.
La Saxonne ne perd pas espoir, ce n'est d'ailleurs pas son genre. Ni une, ni deux, elle grimpe les escaliers. Elle finira bien par trouver. Une enfilade de chambre, et au bout, des escaliers. Elle s'approche de chacune des portes, collant son oreille à chaque battant pour tenter de repérer un bruit. Elle monte les degrés, de nouveau, et écoute à la première porte s'offrant à elle. Elle repère une respiration régulière. Est-ce elle ? La rousse prend le risque, et toque plusieurs fois.


- C'est Syuzanna NicDouggal, lance-t-elle à tout hasard.

La Saxonne est quasiment sûre que c'est la jeune fille. Elle sourit, songeant que les enseignements de son père ont porté leurs fruits. Elle est dotée, grâce à lui et à ses entrainements, d'une vue aïguisée et d'une ouïe très fine. Des heures de souffrances pour en arriver là, mais Syu ne regrette pas.
Elle toque de nouveau, affermissant sa prise sur ses arcs. Passant une main légère sur son kilt pour le remettre en place, elle remonte ensuite de sa main libre, la large ceinture de cuir qui lui ceint la taille. Une taille si fine et gracile... Qui aurait pu croire que ce corps menu appartenait autrefois, dans son pays,à la seconde personne la plus crainte de son Clan ?
Et la voilà aujourd'hui, qui attend qu'une délicate jeune fille veuille bien lui ouvrir la porte, pour pouvoir lui donner son premier cours de chasse, et de défense.

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Loh
Je m'imagine dans la forêt. Je rêvasse. Le regard plongé dans le vague. Je vais danser avec les lames, entre les lames. Je vais devenir gracieuse et douée. Avec un tel professeur, il n'en est pas autrement! Je vais enfin pouvoir impressionner mon guerrier!

Toc toc toc? Un écureuil qui gratte le bois de ma caboche? Un sanglier qui frotte ses crocs sur mes pensées? Douce brioche, quelqu'un frappe à la porte!

Je me lève à la hâte, tentant de paraître sûr de moi. Effet raté. Je dois avoir un air ahuri.

- " Suyzanna! "

Comme avec les personnes qui prennent soin de moi, je suis câline. Je la sers dans mes bras malgré la charge militaire qui pèse dans ses bras. Je me recule bien vite, me rendant compte de mon impulsivité. J'en profite pour la toiser d'admiration. Qu'est-ce que j'aimerais devenir comme elle!

- " Je t'attendais! Suis-je convenablement vêtue? Puis-je t'aider à porter quelque chose? Dois-je emporter ma dague et mon bâton? La forêt est-elle loin d'ici? "

Mes mirettes brillent d'impatience. Et cela se voit!
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Syuzanna.
La porte s'ouvre, et la ravissante figure de la jeune fille apparait. Syu sourit, elle a l'air surpris d'une personne tirée de ses réflexions. Mais voici que la demoiselle la serre dans ses bras. Passé le moment de stupeur, la Saxonne lui rend maladroitement son étreinte. Elle est plus habituée aux coups qu'aux démonstrations d'affection. Mais ce n'est pas si désagréable, en réalité.
Alors que Loh lui demande si elle est convenablement vêtue, Syu ne peut retenir une lègère grimace.


- Eh bien, c'est clair. Le ton de ta tenue. Mais ma foi, tu n'es au moins pas vêtue de ces... (Elle fait un signe écoeuré dans le vide) Des ces robes.

Le mot même ressemble à une grossierté. Elle sourit à la jeune fille, tandis que celle-ci la noie sous les questions. Elle lui ressemblait. Sauf qu'elle, elle avait pris son premier cours à l'âge de sept ans.

- Tu vas prendre un arc, fait-elle en lui en fourrant un dans les mains. Prends ta dague, oui. Ton bâton... Oui, aussi.

Elle lui sourit, et détachant un des deux carquois pendant à sa taille, elle se penche pour le suspendre autour des hanches de son apprentie.

- La forêt n'est pas loin si tu marches vite. Et pour aller encore plus vite, nous allons courir.

Elle hésite à poursuivre. Cette jeune fille a l'air si délicate. Pétrie de rêves, et d'amour. Tellement d'affection à distribuer ! Et un sacré caractère. Qu'il lui fallait dompter. Elle poursuit enfin :

- Je vais t'apprendre à chasser. C'est le premier des combats, celui pour sa pitence. Il va te falloir de la patience. Et m'obéir en tout. Tu seras capable ?

La Saxonne lui sourit doucement, et ajoute :

- Nous partirons dès que tu es prête. Prends donc une cape, ou une couverture. Nous passerons probablement la nuit dehors, et les Dieux savent qu'elles sont glaciales en cette saison.

Même si ce n'est rien, en comparaison des hivers en Northumbrie. Mais pour les demoiselles peu habituées, c'est plus qu'il n'en faut pour tomber malade. Et une guerrière fiévreuse n'est jamais bonne à rien.
S'approchant de Loh, elle lui tresse rapidement sa brune chevelure en une lourde natte, et la noue à l'aide d'une lanière de cuir.


- Voilà, ainsi, ce sera plus aisé.
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