Dioscoride.
[ouvert à tout le monde, participants ou non, parce que l'autre Topic du Tournoi ressemble plus à un Topic d'inscription à présent.]
[Genève, veille du départ pour la mine, rue du Corsaire Cendres]
Sale temps.
Pour tout.
Pour mettre le nez dehors, pour faire sécher ses chemises sombres (voulait pas salir ses beaux atours de marchand...), pour jouer avec les enfants...pour chasser la mélancolie de jours compliqués.
La pluie se reflétait dans lil du borgne, restait des braises qui ne demandaient qu'à faire jaillir de nouvelles flammes...ardentes.
Un écueil de plus à passer.
Faudra qu'il songe à être moins différent, moins taciturne. Pas gagné.
Il voyait bien du monde courir devant leur demeure pour se réfugier entre deux averses dans les bouges genevois, l'agitation que générait chaque tournoi semblait cette fois plus...étouffée.
Mais les choses sérieuses n'avaient pas encore commencé.
Pour le Borgne l'intérêt de ces joutes était de circonstance, l'essentiel était de faire heureuse son amoureuse, lui offrir un moyen de rendre la monnaie de sa pièce à un Issime, puisque Deos les avait bloqués là.
Lui se sentait rouillé, voilà un moment qu'il n'avait eut l'occasion de rejoindre une mêlée.
Mais le cur y était, parce que cette fois, ils seraient ensemble, et qu'il n'aura pas à causer, qu'elle ne lui en voudra pas s'il cogne...et s'il ne sourit pas.
Il avait donc soigneusement évité toute expédition en charrette cette fois, l'année passée un essieu fatigué et une aventureuse réparation avaient eu raison de sa participation à la fête.
Un tirage de manche et de réflexion, de Léandre, son fils aîné:
-P'pa, m'man elle demande si c'est toi qui a rapiécé les chemises ?
Un soupire.
-Hum...mauvais temps...
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[Genève, veille du départ pour la mine, rue du Corsaire Cendres]
Sale temps.
Pour tout.
Pour mettre le nez dehors, pour faire sécher ses chemises sombres (voulait pas salir ses beaux atours de marchand...), pour jouer avec les enfants...pour chasser la mélancolie de jours compliqués.
La pluie se reflétait dans lil du borgne, restait des braises qui ne demandaient qu'à faire jaillir de nouvelles flammes...ardentes.
Un écueil de plus à passer.
Faudra qu'il songe à être moins différent, moins taciturne. Pas gagné.
Il voyait bien du monde courir devant leur demeure pour se réfugier entre deux averses dans les bouges genevois, l'agitation que générait chaque tournoi semblait cette fois plus...étouffée.
Mais les choses sérieuses n'avaient pas encore commencé.
Pour le Borgne l'intérêt de ces joutes était de circonstance, l'essentiel était de faire heureuse son amoureuse, lui offrir un moyen de rendre la monnaie de sa pièce à un Issime, puisque Deos les avait bloqués là.
Lui se sentait rouillé, voilà un moment qu'il n'avait eut l'occasion de rejoindre une mêlée.
Mais le cur y était, parce que cette fois, ils seraient ensemble, et qu'il n'aura pas à causer, qu'elle ne lui en voudra pas s'il cogne...et s'il ne sourit pas.
Il avait donc soigneusement évité toute expédition en charrette cette fois, l'année passée un essieu fatigué et une aventureuse réparation avaient eu raison de sa participation à la fête.
Un tirage de manche et de réflexion, de Léandre, son fils aîné:
-P'pa, m'man elle demande si c'est toi qui a rapiécé les chemises ?
Un soupire.
-Hum...mauvais temps...
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