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[rp] Tournoi J2 : ça a chauffé ...

Musartine
[Luc et son émêchée de Muse]

QUAND JE BOIS DU VIN CLAIRET,
AMI TOUT TOURNE, TOURNE, TOURNE, TOURNE,
AUSSI DESORMAIS JE BOIS ANJOU OU ARBOEEEEEE,
CHANTONS ET BUVONS, A CE FLACON FAISONS LA GUEEEERRE,
CHANTONS ET BUVONS, LES AMIS, BUVONS DONC !
*

Discrétion, stratégie, tout était prêt ... mais après quelques heures passées en taverne ... tout était oublié.

Alors, c'est guillerette des bières enquillées que la Muse chantait à tue-tête. Elle n'avait pas complétement oublié le pourquoi ils étaient là : elle n'était pas en comas éthyllique, et elle prenait un malin plaisir à prolonger ce mot merveilleux "guerre" !

Ca ! Le courage était là ! la hargne aussi ! juste ... l'alcool aussi.

Alors d'où venait ce coup qu'elle ressentit dans les côtes ? Elle aurait étée bien en peine de le dire. Tout ce qu'elle savait, c'est que ça faisait mal, très douloureux même, de quoi saloper sa chanson ! Et une chanson à boire, c'est sacré ! alors pleine de rage, elle se saisit de sa poêle de guerre, la leva bien haut au dessus de sa tête, et son sens de l'orientation aidant, l'abattit ... quelque part ... pour se prendre les pieds dans une racine, se vautrer lamentablement au sol, tout juste le temps de reconnaître vaguement le Saint Patron des Taverniers (à moins que cela ne soit un effet secondaire des bières précédement ingurgitées)... et ... ben néant... gros dodo la Muse.


05/11/1460 04:05 : Vous avez été racketté par un groupe composé de Anton_voyl et de Sysko .


05/11/1460 04:05 : Vous vous êtes battu avec un groupe composé de Anton_voyl et de Sysko (coefficient de combat 10), qui essayait de vous détrousser. Hélas, il a triomphé de vous, vous laissant inanimé dans un champ.


[color=brown]Quelques temps plus tard (heures ?), enfin, elle ouvre les yeux, un mal de crâne terrible, les côtes endolories à un point inimaginable J'ai mal ... Car oui, c'est bien la première fois qu'elle se retrouve blessée la Muse ... alors elle geint, pas habituée, mais les choses reviennent ... un peu. Ils sont là pour guerroyer, ils avaient bien préparé le terrain : provoquer tout ceux qu'ils avaient pu rencontrer, choisir les bons équipements, et tout et tout.

C'est alors qu'elle les aperçoit, sisi, ce sont elles ! Et pointant du doigt vers un homme portant bandeau, elle stipula sa découverte à son homme.
Y a Ista ! Mémé doit pas être loin ! tu va pouvoir lui donner sa fessée, je m'occupe d'Ista !

Les vapeurs alcooliques n'étant pas tout à fait évaporées, c'est bâton à la main (où est passée la poêle didiou ?) qu'elle se dirigea, vociférante, vers l'homme au bandeau.

Ista !!!!
La coincée !!!!!
Cette fois-ci, tu vas pas y réchapper ! ah ça non !
ah tu croyais être ici pour faire une promenade de santé ? hein ? mais t'en fais pas ! je vais te remettre le cadran solaire à l'heure, et tu vas arrêter de m'enquiquinner avec tes préceptes de Condée, tes "fais pas ci, fais pas ça".

En garde la mégère provençale !


Ni une ni deux, vue au tip top de sa forme, sens de l'orientation le plus aiguisé qu'elle n'ai jamais eu jusqu'à présent, elle fond sur l'homme au bandeau (si quelqu'un pouvait expliquer comment confondre cet homme et Ista ... ça pourrait aider à éclaircir le mystère), et de tenter de lui assainer des coups dans les jambes, histoire de la faire tomber, les jambes en l'air, et ses jupons qui descendraient ...

Oui mais ...

ils sont tous décidés d'être contrariants aujourd'hui ...

Sa vue si perçante ne lui a pas vraiment permis de voir les contrattaques, les ruses, ou allez savoir quoi de cet acabit ... tout ce qui en ressort c'est
j'ai mal ...Oui parce que maintenant, non seulement elle a les côtes endolories, un mal de crâne comme pas permit ... mais en plus elle a trouvé le moyen de se fouler la cheville ... et ça fait mal une cheville foulée ... surtout pour quelqu'un qui ne s'est jamais cassé un ongle ...


05/11/1460 04:05 : Vous vous êtes battu avec un groupe composé de Mahaud et de Raoulleglabre (coefficient de combat 10), qui essayait de vous résister. Hélas, il a triomphé de vous, vous laissant vous enfuir en boitillant.


Ronchonne, boîtant, grimaçant, souffrant ... elle finit par lâcher un ... J'ai mal ... veux dormir ...Et de tirer son Luc, direction la tente.

menfin direction .... direction ....
C'est par où ? Tout droit ?Aux grands maux les grands remèdes ... elle prend une direction au hasard, pour sur que son Luc rectifiera cela, il a un sens de l'orientation plus développé que le sien, il n'arrête pas de le dire ... alors hein ...

toujours est-il ... que toujours dans son monde onirique, enfin éthyllique, la Muse vit alors une apparition.
Oh !!!! regarde !!!! Un ange qui me tend une échelle ! je vais pouvoir m'en servir comme béquille !

Tu vois ! toute à l'heure c'est bien Anton que j'ai vu ! il a eu pitié, et il a envoyé un ange !! hein ??? 'c'est ça ???


Et c'est échelle sous le bras, qu'elle suivi sagement son Luc, avec ce petit air qui lui trottait dans la tête (surement lui qui lui fait si mal au crâne), et qu'elle marmonnait.

quand je bois du vin clairet,
Ami tout tourne, tourne, tourne, tourne,
Aussi désormais je bois Anjou ou arboééé
Chantons et buvons, à ce flacon faisons la gueeeeerre,
Chantons et buvons, les amis, buvons donc !
*


05/11/1460 04:15 : Vous voyez l'ange Gabriel en songe. Il vous tend une échelle en vous disant : "Ceci est mon corps." Puis il s'envole en criant : "Vive le Québec libre !" Qu'est-ce que tout cela signifie ?


05/11/1460 04:11 : Vous êtes affaibli : vous avez perdu des points à certaines de vos caractéristiques.




Edit pour donner les réfèrences de la chanson quand même ... tsss
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Istanga
L'oie dauphinoise a été embrochée, sa graisse recueillie dans une poêle où ont rissolé les magnifiques champignons rouges tachetés de blanc. Nous nous sommes empiffrées, arrosant le tout de boukhra.

J'ai un peu tournoyé sur moi-même. Ça montrait que j'étais contente. Puis je me suis sentie partir.


Aaaaaaaah ! Donne moi ta bourse, vermine ! ai-je éructé, secouant une gigantesque amazone, d'au moins dix pieds de haut, tandis qu'Oberthur s'occupait du gaillard qui l'accompagnait.

La bourse avait déjà été visitée. Du coup j'ai vomi.


05/11/1460 04:05 : Vous vous êtes battu avec un groupe composé de Aubanne. et de Mandorrallen (coefficient de combat 10), qui essayait de vous résister. Vous avez triomphé, l'obligeant à vous ouvrir sa bourse.
05/11/1460 04:05 : Vous avez racketté un groupe composé de Aubanne. et de Mandorrallen qui possédait 0,00 écus.


Puis ça s'est embrouillé, encore. J'ai vu un cyclope se jeter sur moi, et sa succube sur Ober, Je n'ai pas eu le temps de me demander ce qu'un cyclope venait faire dans l'histoire que je me suis retrouvée par terre.

05/11/1460 04:05 : Vous vous êtes battu avec un groupe composé de Mahaud et de Raoulleglabre (coefficient de combat 10), qui essayait de vous détrousser. Hélas, il a triomphé de vous, vous laissant inanimé dans un champ.
05/11/1460 04:05 : Vous avez été racketté par un groupe composé de Mahaud et de Raoulleglabre


Musartine est venue à mon secours. Elle est maligne, elle a fait semblant de m'attaquer pour distraire mes assaillants. Enfin, je crois. Parce que je n'ai pas eu le temps de vérifier. Un gros coup sur la tête, venu de je ne sais où,

Qu'est-ce que je fous là, dans ce fossé ? Et qui m'a volé mon bonnet ?


05/11/1460 04:05 : Vous vous êtes battu avec un groupe composé de Voncarstein et de Zyvelyne (coefficient de combat 10), qui essayait de vous détrousser. Hélas, il a triomphé de vous, vous laissant inanimé dans un champ.
05/11/1460 04:05 : Vous avez été racketté par un groupe composé de Voncarstein et de Zyvelyne
05/11/1460 04:10 : Vous êtes affaibli : vous avez perdu des points à certaines de vos caractéristiques.

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Je nettoyais ma fourche... le coup est parti tout seul.
Luc_la_misere
Apres avoir espioné toute la journée le campement du rouquin et de sa bande il revint cherché sa muse a la taverne armé d'un filet a crevette pour les pécher


QUAND JE BOIS DU VIN CLAIRET,
AMI TOUT TOURNE, TOURNE, TOURNE, TOURNE,
AUSSI DESORMAIS JE BOIS ANJOU OU ARBOEEEEEE,
CHANTONS ET BUVONS, A CE FLACON FAISONS LA GUEEEERRE,
CHANTONS ET BUVONS, LES AMIS, BUVONS DONC !

A ben t'en tient une couche toi! allez vient on va se faire vite fait les rouquins avant de partir se battre pour le plaisir

En avançant vers le campement il ne vit que trop tard Anton et son acolyte se prenant les pieds dans le filet il chuta tentant de s'en libérer il s’emmêla encore plus
Son alcoolique a lui ne semblait pas en bonne posture non plus....

Il senti une main tentant de lui arracher sa bourse et celle qu'il avait saisi sur la Brousse


PAS MES BOURSES PAS MES BOURSES......

Apres quelques mandales et coups de latte il du se rendre a l'évidence il venait de se faire rançonner et était saucissonné dans son propre filet

Désaucissionné par sa muse il se redressa en grommelant

05/11/1460 04:05 : Vous avez été racketté par un groupe composé de Anton_voyl et de Sysko .


C'est fini la stratégie! maudit filet on fonce dans le tas et on fait un malheur

Y a Ista ! Mémé doit pas être loin ! tu va pouvoir lui donner sa fessée, je m'occupe d'Ista !


Regardant dans la direction quelle lui indiquait il reconnut.......Mahaud depuis son arrivée a Genève qu'il la cherchait en taverne!

s'approchant d'elle en souriant et brandissant le poing en criant


REVOLTE!!!!!

Alors comment va et patati et patata......

il tentait d'endormir sa vigilance c'était pas n'importe qui Mahaud ils avaient quand même détruit une armée champenoise a 4 .... et d'une main leste il tenta de se saisir discrètement de sa bourse mal lui en prit

la suite elle vous le racontera elle même il était déprimé le Luc et allait se finir a la taverne pour se faire payer a boire et oublier ses déboires....



05/11/1460 04:05 : Vous vous êtes battu avec un groupe composé de Mahaud et de Raoulleglabre (coefficient de combat 10), qui essayait de vous résister. Hélas, il a triomphé de vous, vous laissant vous enfuir en boitillant.

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Swan
[Groupe Swan et Nic]


Jour 2 et dernier jour de ce tournoi un peu spécial et c'était peu de le dire !

Cette fois un peu de sérieux, les choses allaient changer. Elle voulait faire les poches de son père qui étaient extra pleine et pour ça, elle avait sa petite idée. La « super flasque » rempli de chouchen. Avec ça, il ne pourrait pas résister et elle aurait le temps de faire son oeuvre en toute tranquillité et elle pourrait même montrer quelques trucs à sa soeur par la même occasion ... Oui mais voilà, les choses ne s'étaient pas passées comme elle le voulait !


Citation:
05/11/1460 04:05 : un malfaiteur nommé un groupe composé de Laryssa. et de Marieladamnee (coefficient de combat 10) a tenté de vous détrousser. Vous lui avez infligé une bonne correction, et il est parti en boitant, après s'être excusé à genoux.


Alors qu'elle expliquait ce qu'elle voulait faire à Nic qui lui courrait toujours après les nobles qu'il n'aimait pas, en lui montrant la flasque, deux femmes leur tombèrent sur le collet. Non mais elles croyaient quoi les donzelles ? Qu'elles allaient lui piquer sa flasque comme ça ? Hors de question !

Le bâton dans son dos se retrouva dans ses mains. Attention, ce bâton n’était pas un bâton ordinaire. Depuis que son bâton modifié par son paternel avait été détruit, elle en avait fait faire un autre, tout comme celui de son père. Il avait des morceaux de lame d’épée brisé incrusté dans le bois à chaque extrémité. Elle savait très bien s’en servir, elle avait eu un très bon professeur. Elle sourit en pensant à Richard et elle fit tournoyer son bâton, les yeux brillants.


'Lors l'filles ? On cherche quoi ?

Arrêt brutale du bâton et des coups qui partirent rapidement, portés au niveau des jambes. Rien de bien méchant, elle n'avait pas frappé avec l'extrémité coupante, mais elles auraient un gros bleu à coup sûr. Après quelques excuses qui l'amusèrent et bien humiliante pour elles, elles déguerpirent en boitant.

Un clin d'oeil à Nic et la voilà qui remettait ça, avec sa flasque en la répandant à quelques endroits stratégiques. Son père savait renifler le chouchen à des lieux à la ronde ! Pour sûr, cette fois c'était la bonne !


Citation:
05/11/1460 04:05 : Vous vous êtes battu avec un groupe composé de Natasha et de Serguei.novgorod (coefficient de combat 10), qui essayait de vous résister. Hélas, il a triomphé de vous, vous laissant vous enfuir en boitillant.


Seulement voilà, ce n'était pas son père et sa soeur qui se pointèrent et, au premier coup d'oeil, elle vit que ce n'était pas du tout le même gabarit que les deux donzelles d'avant, là on sentait l'expérience. Pas impressionné pour autant la rouquine, elle ne se laisserait pas faire et le combat s'engagea. De nouveau son bâton en main, les coups fusaient, jetant des oeillades de temps en temps à son coéquipier pour voir comment il s'en sortait. Essoufflé, elle tenta une petite ruse, peut être que ça marcherait.

D'solé, mais on est fauché ! D'autres sont passés avant vous !

Un dernier coup porté et elle serra les dents, trop fière pour crier qu'elle avait un mal de chien, mais les deux partirent sans rien leur prendre. Au moins l'honneur était « presque » sauf, ils avaient gardé leur bien.

Appuyer sur son bâton de combat, elle regarda Nic qui n'était pas en meilleur état qu'elle et elle abandonna l'idée de faire les poches de son père. Elle allait se faire chouchouter maintenant !


Citation:
05/11/1460 04:13 : Vous êtes affaibli : vous avez perdu des points à certaines de vos caractéristiques.


Aller Nic, on rentre ç'vaut mieux ...
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Somica
{Pendant la nuit}

Glouglou glouglou…, les bébés filaient vers la sortie. Cette fois, elles participeraient, aussi excitées que phel, elles battaient des ailles vers le champ d’attaques, sautillant et secouant leur postérieur a toute vitesse vers un objectif bien précis apparemment….

Les cheveux de muse auraient ils fonctionné ?

So’ les suivait d’un pas énergique, quand elle s’aperçut qu’elles allaient droit vers l’âne…oh non !! Pas là…pas l’âne !!

Elle en avait entendu parler, fallait pas approcher de l’âne, mais les oies fonçaient droit dessus…Mouarf mouarf…bon ben je ne vais pas les laisser se faire piétiner par un âne, sans réagir…So’ les rattrapa, pour se retrouver face au propriétaire du canasson…hum…un regard sur Phel…heu…c’est pas qu’il faisait peur, mais les rumeurs sur lui… oui !

Fallait jouer tactique, il était temps d’utiliser leur technique… Hector, Narcisse occupez-vous de l’âne ! Moi je…heu…me charge du messire…

Elle avança mielleuse devant Aqwa, ajusta son décolleté et se mit à quelques centimètre de lui. Salut...dit elle d'une voix tout en sensualité...

Rhan phel…qu’est-ce que tu vas me faire faire…Mais là, pas le choix, on va finir découper en morceau dans le cul d’un âne sinon …Allez ma so’ souvient toi du protocole….Elle se signa puis entama la manœuvre.

Dans une grande sensualité, elle mit un doigt dans sa bouche à demi ouverte, puis glissa son doigt le long de son décolleté, pour terminer sur son sein droit. Où elle titilla son bout de petits cercles délicats avec son index humide…faisant mine d’apprécier cela, elle laissa le mâle se faire ensorceler tout en soutenant son regard ...approche ...approche petit...

L’ensorcellement bien avancé, le visage d'Aqwa était suffisamment près a présent... elle sortit son sein droit du bustier et Paf grand coup sur une joue et le gauche sur l’autre joue pif ! Amusée ou excitée par les effets, elle se mit à éclater de rire… nerveux ?… Mordiou, mais qu’est ce je fais là ??…

So ‘ relança une claque, puis deux puis quatre..., pour que finalement, la tête d’aqwa jonglait de plus en plus rapidement entre les deux seins, sans réaction ! ça fonctionnait les claques aux seins !

Faudra qu’elle vende la technique a L’ost…. Elle fît un clin d’œil à Phel et termina par un poing bien fermé dans le nez du messire…
splash ! Hé! oh! hein!...Elle n’allait pas jouer du sein toute la soirée non plus...Pour enfin lui soutirer sa bourse et filer rapidement très rapidement se planquer dans les fourrées avec ses bébés…Pas folle non plus…Tout en songeant, a toi de jouer phel…j’ai fait ma partie…et chui traumatisée a vie maintenant !


05/11/1460 04:05 : Vous avez racketté un groupe composé de Aqwaqwaqwaqwa et de Grazziela qui possédait 22,20 écus.
05/11/1460 04:05 : Vous vous êtes battu avec un groupe composé de Aqwaqwaqwaqwa et de Grazziela (coefficient de combat 9), qui essayait de vous résister. Vous avez triomphé, l'obligeant à vous ouvrir sa bourse.

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Serguei_et_natasha
[Novgorod's styyyyyyyle… C'est pour ça qu’on y va sans filet, on progresse encore dans le noir
On y met tellement de coeur qu’on a pas besoin d'y voir
Pas besoin d'auditoire, tout se passe à l'extérieur
C'est tout en direct, l’spectac’, avec de la rigueur
Pas de temps pour les sceptiques
On mettra à sac tes sacs à l'heure dite
… Novgorod's styyyyyyyle !]


Pas de beuglement à la Joe l’Escarre, troubadour célèbre pour son « Coule, chêne », succès moyen-âgeux détonnant, s’il en est ; pas d’histoire de fouine en train d’se nipper, pas de bout bas, ni cette chanson angloise « disease »** sur la peste, ou cette chanson languocienne « Aïe ! Ame ! », histoire d’un amour déçu ; rien de tout cela, non… pas avec le duo Novgorod ; avec eux, c’est pas la même chanson. Or, comme le disait si bien l’autre « t’occupes pas d’la musique, danse… », et ce soir, chez les Slaves, c’est… soirée macabre !*

Réunis tous deux à un des tripots éphémères, guettant LE moment, à savoir celui de réitérer les exploits de la veille, Le Lion et la Princesse patientent, et chacun saura que l’attente, c’est pas un truc novgorodien. Les comparses ont un peu morflé, mais elles pourront se refaire ce soir, et le duo des platines sera concentré pour ne pas subir le même sort, même si, soit dit en passant… Il n’imaginait guère cela ; ils étaient divins, après tout.

[Dans les starting blocks… 2ème jour]

… non en fait, pas mieux que la veille hein. Mais si, savez bien, une taverne érigée plus vite que l’étendard d’un homme un peu trop stimulé par une professionnelle du… ouais, une catin quoi !

Bref, au deuxième jour, les Slaves n’avaient pas prévu de créer quoique ce soit dans ce monde de vauriens – sont trop modestes pour se prendre pour Déos ou un d’ses potes (ouais, de pire en pire mais j’assume toujours^^)- ; ils s’étaient donc retrouvés dans un bouge ambulant et attendaient le signal, dans un calme tout relatif… nul ne pouvait les plagier, imiter, copier, dépouiller, usurper dans cette relation fraternelle et ô combien personnelle ; n’est pas Novgorod qui veut et, par les couilles du Sans Nom lui-même, si l’Paradis chantait les louanges d’une étoile et d’un lion, l’enfer adulait déjà LE Poison et LE Lion.

La Novgorod’s Touch, comme diraient les anglois... ou styyyyyyyle, selon l’envie !

Nat et Serg’ – coup de coudes et attaques de haut voooool (oui, je ne doute de rien) -, c’était un peu comme voir les nuages danser… mais en mieux, forcément, quand ils combattaient. Dos à dos, corps presque mêlés, leur équipe était une chimère, une sorte de créature supplantant le Sphinx – cet amateur -, dans la série « créatures d’apocalypse redoutables mais sublimes de superbe ». Vous dites « parfaits » ? J’réponds « carrément ! »

La discussion métaphysique et passionnante car les concernant fut cependant interrompue par quelques bruissements extérieurs ; quittant la douce quiétude de l’endroit – quel lieu ne le serait pas, avec ces deux-là à l’intérieur ? -, ils comprirent qu’il était temps – petit navire -, et les deux Slaves parfaitement parfait de sortir d’un pas commun.

Bref, ils devisaient sagement, sur les bienfaits que leurs présences apportaient à l’humanité quand ils perçurent une certaine animation à l’extérieur... ouais, ouais, l’ouïe aussi affutée que crocs et griffes acérés, entre autres hein ! Hop, on s’rassemble parce que bon… sans intérêt pour le lecteur d’ailleurs ; on s’rassemble donc et notre Divin duo de quitter l’Issimesque.

Bras dessus, bras dessous… ce qui, vous en conviendrez, est bien plus pratique en position verticale ; à l’horizontale, on aurait dit, corps dessus, corps dessous, mais ça avance beaucoup moins bien…, ils se fondirent, encore, dans la pénombre afin de jauger l’étendue des dégâts.

Et là, c’est le drame !

La scène qui les accueillit n’eut pas franchement le mérite de les réjouir ; le regard sororal se dirigea vers le sien, et le Lion pouvait lire à son visage – divin, l’ai-je déjà dit ? – qu’elle n’était pas ravie du tout, mais alors pas du tout, par ce qu’elle voyait. Force était de constater que le Lion non plus, la crispation visible à la façon dont son torse se bomba en se rehaussant, à l’instar de son menton :


- Dis, Princesse, qu’est-ce qu’on fait, cette nuit ?*** On en laisse d’autres coucher les Louves ? Moi qui m’voyais déjà – en haut de l’affiche**** – conquérir le monde !

Oui, oui, là, devant eux… un couple qui s’en prenait à ses Louves, que dis-je, qui osait leur résister. Plissement des yeux, froncement du nez, étirement des lèvres ; autant dire que le fabuleux minois n’arborait plus qu’une horrible grimace à faire trembler d’effroi, même elle. Le regard plongea dans l’azur fraternel et, finalement, de se trouver super délicieuse malgré le rictus colérique plaqué sur son visage… Rien à faire, perfection quand tu nous tiens !

Le pire ? Voyez pas que la donzelle fanfaronnait d’avoir vaincu les « sœurs » de la Platine ? Ni une, ni deux… enfin si, deux justement ; les Blondeurs s’approchèrent en silence, un coup d’œil à son Tsar et la Divine de fondre sur la rouquine comme une morte de faim alors qu’Il fusait sur… ô comme le hasard fait bien les choses… Nicbur ! Celui que tous voulaient croiser, celui qu’elle voulait décasquer depuis des lustres, depuis son arrivée à Genève quelques années plus tôt.


Aussi sec, c’est à pas de Lo… Félins que les deux Slaves s’approchèrent du groupe ; le combat s’engagea, sans lames, cette fois, mais les bâtons atteignirent les deux Novgorod. Petit bout de bois deviendra grand, sans doute, mais moins que le Colosse, qui choisit finalement d’arquer le dos, pour prendre l’homme à la taille, - façon match de soule -, essuyant au passage nombre de coups – combien, il ne saurait dire -, et ses poings de s’abattre à leur tour aux flancs et côtes du type, son visage protégé par un casque, et abîmer des mains si habiles à caresser les femmes... Vous n’y pensez pas.

Féroce, la lutte ; habile la résistance, mais toujours est-il qu’au final, la correction était donnée, et lorsque la Platine s’adressa à lui – avec ce surnom qui lui valait de ne rien se voir refuser par le géant blond -, celui-ci cracha un filet de sang au sol, empoigna l’homme vaincu et le maintint du mieux qu’il put, pour permettre à sa sœur de commettre son forfait. Riant de l’entreprise sororale, il crut bon d’ajouter, hilare et exalté :


- Ca mon vieux, tu vas, ça mon vieux tu vas, ça mon vieux tu vas… nous l’payer… Fallait pas commencer… Tu regrettes tes écarts ? Mais maintenant c’est trop tard… On ne touche pas aux Louves ! On ne touche pas à… la famille !

Le temps de prendre quelques coups de bâton, la renarde agile quand même, de lui mettre une bonne raclée alors qu’elle essayait de communiquer ; léger sourire comme elle répondit :

Mhm, t’en fais pas pour ta bourse Rouquine, juste qu’fallait pas taper sur les mignonnes… Celles-là sont mes sœurs, mauvaise pioche !


Un ultime coup bien sentit… par la belette… et la Novgorod de foncer sur le genevois en beuglant après son frère :

Tiens-le Amour, des années que j’rêve d’faire ça !


Attention, attention… âmes sensibles, s’abstenir… la Féline, exaltée mais surtout, à la limite d’être enragée, agrippa le casque de Nibcur et tira tant qu’elle pu ; il faut savoir, pour sa défense, qu’en d’autres temps, elle avait subodoré qu’il élevait quelques bestioles, que ledit casque était collé à force de le porter, que les cheveux n’étaient plus qu’un amas de gras gluant collant… bref, que du bonheur !

L’humiliation rendue et vengeance des copines en cours, l’ultime assaut mené avec succès – ou non, allez savoir ! -, dans tous les cas, la branlée assumée, sa sœur toujours – sans aucun doute avec une grâce certaine -, à tenter de faire céder la prise du métal sur la tête du bougre aussi sûrement agenouillé que son orgueil, l’œil léonin fut attiré par une scénette des plus intéressantes. Non loin d’eux, deux hommes, dont l’un avait été croisé en taverne à Genève, dépouillait un petit groupe ; un mouvement du menton vers sa conquérante sœur, et le Slave de murmurer :

- Maint’nant qu’ces deux là font plus les malins, si on passait aux choses sérieuses ?


Relâchant d’autant le corps qu’il maintenant jusque là fermement, il se redressa et, pour faire bonne mesure, ajouta un large coup de pied dans ses côtes – ce serait dommage qu’il tente une riposte. Il s’approcha de la rousse déjà vaincue par sa sœur, leva la main et… lui ébouriffa les cheveux, avec un sourire avenant :

- Ma belle, on tente un corps à corps quand tu veux.

Sourire taquin à sa Princesse, qui ne manquerait pas de relever, et le Lion de tendre la main vers elle, dans une invitation ô combien galante à poursuivre le ballet.

Toute à son exaction, le crime de lèse-majesté, et tout c’que vous voudrez, à savoir : s’enorgueillir d’avoir mis à genou l’orgueilleux… Alors, alors, qui c’est l’plus modeste maintenant ? Hein, hein ?

05/11/1460 04:05 : Un groupe composé de Nicbur et de Swan (coefficient de combat xx) a tenté de vous détrousser. Vous lui avez infligé une bonne correction, et il est parti en boitant, après s'être excusé à genoux.


Toute à sa connerie donc, la voix fraternelle l’interpella… Elle suivit son Autre des yeux, esquissa un sourire amusé et, finalement, abandonna le prétentieux blond pour prendre la main tendue ; elle lui emboita le pas, sans trop savoir ce qu’il en était, mais même aveugle, il n’en aurait pas été autrement.

Les prunelles dorées balayèrent les alentours et le minois d’afficher la satisfaction ; elle reconnut sans difficulté le tavernier ambulant, croisé à Genève et, d’autant, compris parfaitement les attentions de son Tsar.
Le Lion se pencha à l’oreille féminine comme elle avait saisi sa main et se trouvait dorénavant à son côté ; cachés encore par quelque buisson – la nature est tellement bien faite -, ils avaient tout loisir d’échanger quelques mots avant l’assaut :


- Ces deux là viennent de dépouiller les deux aut’, là-bas, et a priori, ça vaut le coup d’rend’ une p’tite visite à leurs bourses ; j’parle toujours pas d’l’aut’ tête de nœud d’Genevois. C’est l’type qu’ouvre des tavernes partout, t’sais… L’aut’, j’le connais pas. Mais bon, sont du métier… t’préconises quoi ?


Attentive, elle écoutait son frère et haussa un sourcil ; l’ambre se posa sur le visage masculin et nul doute qu’il pu y lire le mécontentement… c’est vrai quoi, ils sont là pour tournoyer, contre des adversaires hein, et lui, Lui, il cherchait sans arrêt les noises ; jaloux comme un pou, il lui menait la vie dure depuis la veille. Non mais fallait avoir entendu les saloperies qu’il lui avait balancées hein, le goujat, le mufle, l’odieux personnage ! Une chance pour lui, sa sœur était d’une nature douce, gentille, agréable, compréhensive ; une sainte en somme, mais Môssieu Sergueï ne pensait qu’à l’embêter… elle acquiesça néanmoins comme il lui faisait l’article sur le duo et de réfléchir un instant :

Mhm, on leur saute sur l’poil, on les savate et on les rançonne ! Clair, net, précis.

Elle n’avait pas réagi à la pique, et Sergueï savait fort bien qu’elle n’oublierait pas de la lui rappeler au moment opportun, et cette perspective n’avait rien de bon. Pourtant, il avait de tous temps été charmant, doux, tendre… Enfin, la plupart du temps. Toujours est-il que même s’il avait « un peu » débordé, elle l’avait bien cherché, hein. Hein ? Enfin, préférant repousser l’idée de se faire éclater la tronche par sa frangine, verbalement ou de façon plus physique, il hocha la tête à ses directives.

- On n’peut plus. A trois ?

Et de compter… un ! Elle prit ses appuis… deux ! Elle s’assura d’aucune autre présence… trois ! Elle bondit tel un félin sur sa proie. Qui et comment ? Elle n’aurait su le dire mais, ce qui était certain, c’est qu’en moins de temps qu’il ne fallait pour le dire, les Slaves avaient vaincu Anton et son collègue, n’oubliant pas de les rançonner au passage.

05/11/1460 04:05 : Vous vous êtes battu avec un groupe composé de Anton_voyl et de Sysko (coefficient de combat xx), qui essayait de vous résister. Vous avez triomphé, l'obligeant à vous ouvrir sa bourse.

NTM - Back dans les bacs, revisité.
*Mes excuses à dans l’ordre : Joey Starr, Kool Shen, la Fouine, Sniper, Booba, Disiz la peste, I AM, et vaguement Boris.
** disease : maladie sous forme d’épidémie/catastrophe
*** Allusion à Minus et Cortex
****Allusion à Aznavour


Phelim
[Combats J2]

Repartis pour un tour, non sans un passage au préalable des deux Lyonnas en taverne pour espionner l'adversaire.
Mais entre eux, Seth, Lest et Muse, c'est à ceux qui brouilleront mieux leurs cartes sur leurs futures stratégies.

Du genre :

Vous allez utiliser ces oies de combat?
Ouais on va le faire.
Ah, ils vont utiliser les oies.
En mode, je suis plus malin que tout le monde : non en fait on va pas le faire.
D'accord, c'est sur, ils vont utiliser les oies.

So, ce soir on réfléchit pas, on y va bourrin.
Je veux tomber contre les dauphinois ce soir !
Moi aussi !
Bon, en fait on va pas être bourrin.
J'veux tomber contre les dauphinois ce soir !
Défection !

A force d'embrouilles, de désembrouilles et de surembrouilles, Phelim sortit de là ce soir complétement embrouillé et perdu, ne sachant ni s'il était bien là où il pensait être, et n'étant plus très sur de quel équipe il faisait parti. Etait-il avec So, ou avec Benoit?

Heureusement que la pucelle était là pour lui répondre et l'aider à se reprendre !

Ainsi la nuit venue, ce fut deux ombres déterminées qui reprirent le chemin du champ de bataille, en pataugeant difficilement dans la boue accumulée par tous ces jours pluvieux. Soudain, alerte, l'âne, heureusement encore une fois, la vierge prit les choses en main. L'était bien pratique celle là à trouver des solutions tout de suite quand le Vicomte aurait perdu son temps à débattre d'un plan d'action convenant à ce genre de situation.

Un homme en vue, elle s'avança. Elle savait ce qu'elle avait à faire. Sourire en coin, le grand brun l'observait fièrement. Elle suivait parfaitement le protocole qu'ils avaient élaboré, et ça fonctionnait, preuve du grand esprit de stratège Dauphinois. Quel dommage que Musartine ne fut pas présente pour le constater par elle même. Pour peu, il irait presque la chercher.

Mais c'est que la partenaire de l'Aqwa se rebiffa et commença à tenter de redonner ses esprits à l'hypseintisé. Coup de genoux dans les couilles, fourreau dans le fion ... ouch ! A cette vue, le grand brun grimaça. Il fallait qu'il intervienne avant qu'elle ne parvienne à ces fins.

En silence, le Guerrero s'approcha d'elle, gourdin en main, et l'abattit sur son crâne. Le bâton se rompit, mais la Grazzie ne se retourna même pas, le laissant lui pantois ... la force qu'il avait mis dans son coup aurait pu assommer un ours !

Hum .... plus lourd !

Tenant difficilement une roche énorme du bout des bras, Phelim, de toute la force de ses bicpes l'abattit sur la trogne de l'oursonne qui encore une fois, ne lui prêta aucune attention et continua à latter les parties de son compagnon. Flûte !
Changeant de méthode, il lui pelota les fesses.
Et là, la réaction fut immédiate quand les yeux noirs de la rageuse se posèrent sur lui.

Se mordant la lèvre, il tenta à son tour le coup de se caresser les seins pour la calmer, mais alors qu'elle s'avançait vers lui avec détermination, elle semblait être tout, sauf hypseintisée !
Tout en reculant, l'Imprévisible lui envoyant avec ses poings des droites, des uppercuts et des crochets dans sa face rouge de colère mais inexorablement, elle progressait vers lui. D'un bond, elle le rejoignit et le choppa par le col.

Et là, se fut le début de la fin, le Vicomta vola à travers les arbres, un coup à gauche, un coup à droite, car à chaque fois, elle venait l'empoigner à nouveau avant qu'il n'ait le temps de se relever. Entre deux hurlements, il cria à sa partenaire, alors qu'il éraflait la cime d'un pin.


Dépêche toi Somica, je ne sais pas si je pourrais la retenir longtemps !!!!


Passant les mains autour d'un tronc, il essaya bien de s'y retenir, mais la Grazzie l'empoigna par les jambes et tira d'une telle force que les ongles du taureau restèrent planté dans l'écorce. Elle le fit tournoyer dans les airs avant de l'envoyer paitre contre un rocher.

Sonné, la lèvre fendue, des côtés brisées, une lueur de terreur au fond de ses azurs, bref poussé à bout, il n'avait plus le choix. De sa poche, le noble sortit le dernier poussin farci qui lui restait, avant de le tendre vers l'ourse.


Tu le veux, tu le veux? Va chercher.


Et le volatile vola vers le ciel avant de retomber dans le Rhône. La dernière vision qu'il eut de la musclée fut sa course effrénée dans la direction du met de luxe pour l'attraper.
Adossé à un chêne, Phelim reprit son souffle 5 minutes avant de partir rejoindre sa partenaire en se trainant péniblement.

Sur les lieux du crime, il ne vit ni la pucelle, ni les oies, seulement la pauvre victime assommée. Décidé à signer leur méfait, il lui baissa les braies, plaça une fleur dans le fonementd et traça de la pointe de son poignard sur chacune des fesses, un P et un S qui voulait dire "Psorro" .. euh Phel&So. Puis à son tour, il s'éclipsa en rampant dans les fourrées, il s'agissait d'éviter Mémé Ober et Istanga qui devaient trainer dans le coin elles aussi.


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Marieladamnee
[Défaite ? Est ce que j'ai une tête défaite ?]


Après la branlée de la veille, les filles cherchaient un moyen de triompher et donc des victimes potentielles. Mais plus de grands gaillards, la brune gardait encore quelques sequelles visibles et d'autres invisibles. Un coquard, une lèvre tuméfiée et quelques côtes endolories. Ils ne s'étaient pas contenté de lui écraser l'abdomen de leurs bottes boueuses mais ils lui avaient aussi donné une série de gifles. La brune avait tout pris arguant que c'était sa faute et craignant pour l'enfant de sa copine. Et puis ils étaient partis leur laissant leurs bourses.




04/11/1460 04:04 : Vous vous êtes battu avec un groupe composé de Le_g. et de Semrehymh (coefficient de combat ), qui essayait de vous résister. Hélas, il a triomphé de vous, vous laissant vous enfuir en boitillant.



Donc ce lendemain soir, elles voulaient juste affronter 2 faibles proies, vider leurs bourses et aller se saouler dans un coin. Mais les choses ne sont jamais vraiment comme on veut qu'elles soient. Et elles avançaient à pas de louve aux abords du champ de bataille lorsqu'un gars et une fille les prirent à revers. Elles n'eurent pas le temps de dire ouf et de dégainer leurs armes qu'elles étaient déjà à terre. Décidément il est des terres qui ne conviennent pas, elle se plaindrait à l'office de tourisme de Genève pour le sol glissant. Luttant à terre, elle reussit à sortir sa dague mais son assaillant était plus rapide et en un clin d'oeil elle se vit délester de sa bourse et de sa sacoche.



05/11/1460 04:05 : Vous vous êtes battu avec un groupe composé de Iskander et de Vero5 (coefficient de combat x, qui essayait de vous détrousser. Hélas, il a triomphé de vous, vous laissant inanimé dans un champ.
05/11/1460 04:05 : Vous avez été racketté par un groupe composé de Iskander et de Vero5



Après ça Marie ne savait plus quoi faire, elle se releva, remis de l'ordre dans ses vêtements et cheveux et aida la blonde à en faire autant. La fleur avait l'oeil perdu et hagard, elle psalmodiait une prière ce qui donnait à l'Infernale de nouvelles vagues de nausées. Et soudain Tutu se précipita vers une chevelure flamboyante qui passait par là. Marie n'avait plus de force mais elle ne pouvait la laisser y aller seule. Pourquoi eut il fallu qu'une rousse, engeance que la Tulipe execrait plus que tout se montra à ce moment là. La blonda sauta sur la rouquine et Marie dut défier l'homme casqué, ce qui dit en passant lui donnait un air niais qui fit glousser la brune qui en oublia de parer le premier coup de baton. Et paf dans les jambes, qui avaient été ignorées de ses assaillants jusque là. Rien ne lui serait épargné finalement. Elle résista comme elle pût mais elle avait trop de faiblesses pour pouvoir lutter bien longtemps. Et entendre les cris de la blonde ne l'aidait pas non plus. Elle prit le parti de mettre un mouchoir sur sa fierté et s'excusa pour les deux histoire d'éviter que les pluies de coups cessent de s'abattre sur elles. Elles se relevèrent et partirent cahin caha vers un fourré ou elles se planquèrent pour le reste de la soirée.

De là elles purent assister à la danse que mirent les platines à la rouquine et à l'homme casqué mais ça c'est une autre histoire...



05/11/1460 04:05 : Vous vous êtes battu avec un groupe composé de Nicbur et de Swan (coefficient de combat), qui essayait de vous résister. Hélas, il a triomphé de vous, vous laissant vous enfuir en boitillant.

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