Afficher le menu
Information and comments (0)

Info:
Unfortunately no additional information has been added for this RP.

[RP OUVERT Tournoi] Technique ancestrale du taillage de pipe

Mortecorne
Dimanche. Quelques heures avant le début du tournoi

Note pour plus tard: Quand vous voyez quatre rousses autour d'un feu de camp, FUYEZ!

Tranquillement venue discuter près du feu de bois, alors que la nuit n’est pas levée en plein après-midi, ce qui donne envie de dormir, la voilà prise au piège !
Un cri unitaire et elle se retrouve à terre sans pouvoir émettre un seul « mais euh »:
« on va te faire rousse toi ! »

Même pas le temps de réagir, encore moins de râler, ça c’est pas sympa, par contre !
Un brouillis soudain fait de cheveux roux et de cris l’immobilise.

L’une se dédouane :
« ha, j’ai rien fait moi ! », l’autre la plaque au sol dans un « Poum ! » monumental, et la troisième frictionne sa tignasse avec un truc orange qui pique les narines… Boarf… La quatrième se marre… Pff, merci les filles !

- Non, mais je veux pas être rousse moi !

Et là, confirmation que les rousses ont une case en moins.

- Je vous sauverai mes cheveux noirs n’à moi !

Bravant le froid hivernal qui gèle quasiment la rivière dont le cours se fige presque, elle saute dedans et y plonge sa tignasse.
Avant elle avait les pieds gelés, mais ça c’était avant, car à présent, elle est frigorifiée.
Mais, ça rend les cheveux brillants… et moins roux ! Gla gla, quoi…

Et toc, ravie finalement de ses mèches aux burnes, ha non, auburn, elle réfléchit à sa stratégie, préoccupée tout de même par ce fameux taillage de pipe.

Note pour très bientôt : Il faut apprendre à tailler des pipes, comme à Sainte Claude.

Quel est le rapport entre la pipe et le racket ?

Oui, telle est la question, qui veut répondre ?

Sa tactique est la suivante: le bouclé et le blond devant, elle derrière, enfin dessous, et aussi agile et leste que le renard, elle allège ses adversaires de tous leurs biens, hop ! Ni vue, ni connue, je t’embrouille et tu t’empatouilles !

Ca c’est une bonne stratégie d’équipe, je vous le dis !

_________________
Sabo
Cet endroit pue la merde.

Depuis qu'ils étaient arrivés et même en route pour y venir, le destin avait pris un malin plaisir à faire chier notre blondinet préférer. -Si si-. Pis la blonde enceinte avait le don de les lui biser à longueur de journée. Le gâteau sur le pompon à la cerise, était de la voir participer avec un homme qui lui était complètement inconnu. Ils avaient même fini par se séparer. Pendant plus d'une heure. UNE HEURE entière, tout ça pour vous dire que l'ambiance ici était assez pesante.
Une sorte de karma incompatible avec celui du blondinet.
Bientôt il pourrait enfin se défouler. Et même si la blonde l'avait laisser tomber pour un homme plus fort. Pour se faire « pardonnée » elle lui avait dégoté une espèce de timbrée qu'il commencer à bien aimer. Ils formeraient donc un groupe de trois. Cornelia, son nouvel ancien frère et lui. Un groupe de choc.

Il fait le tour du champs de bataille, histoire de repérer les lieux.
La petite crevasse qui fera basculer l'adversaire, le cailloux à moitié enterré sur lequel il faudra faire chuter le plus fort. Juste pour l’assommer, ou lui fracasser le crane selon l'envie.
Et l'envie de fracasser ne lui manque pas.
Dans le coin nord ouest du cercle réservé au combat. -Oui le coin du cercle et alors ?- Il remarque une silhouette qui remonte péniblement sur les berges. L'eau était sans doutes gelée. Il n'y avait que deux personnes capables de se jeter à l'eau par un temps pareil. Cornelia et .. et … fin l'autre là … bref j'sais plus. Instinctivement il enlève sa cape et se rapproche d'elle.


T'es tarée ou quoi ?

Tu veux noyer nos adversaires sous la morve ?

Et notre technique ? Traîtresse !


Il s'approche en grognant.
_________________

Une seule vie, une seule chance.
Mortecorne
Mouillée. Quoi ? Ben oui, forcément, mouillée et gelée.

Lorsqu’elle aperçoit le blond ahuri, la brune, enfin l’ex-brune à moitié rousse, mais pas trop- Faisons court, disons la Brousse- fait comme si de rien était en essorant ses cheveux.
Sans demander, elle attrape la cape pour se réchauffer et s’essorer.


- Tout va bien ! La rivière est sans danger !

Même si elle renifle, non elle ne sera pas malade, quoique la technique de l’immersion par la morve, elle en a eu un petit aperçu avec une blonde.

- Ben, ça pourrait être une tactique hein, quand même… Mais bien sûr, notre stratégie à nous est beaucoup meilleure, oui, oui, très beaucoup.

Cornélia lui adresse un sourire angélique qu’elle souhaite rassurant, un peu compliqué car ses yeux explosent d’espièglerie.

- Faut se presser ! Ober a proposé de faire un cours sur le taillage de pipe. C’est la meilleure, il paraît ! T’y connais quelque chose toi, au taillage de pipe ? Faut amener du matériel ?
_________________
Sandrine28
4 rousses autour d'un feu de camp et Cornelia qui arrive, sans s'être concertées les rouquines décident que la brune ne pouvait pas rester ainsi, même le feux avait des flammes rousses.......

Sand se jeta sur Cornelia et la ceintura pendant qu'une autre rousse lui faisait une teinture digne de ce nom.... elle avait des cheveux flamboyants c'était donc parfait. Notre rouquine lâcha donc la brunette devenue rousse, mais direct elle plongea la tête dans la rivière. Sand éclata de rire en la voyant faire.

Norf mais tu vas attraper la crève t'es pas bien dans ta tête ?

puis son neveu arriva et engueula la brousse, Sand ne dit rien sur le coup et les écouta en souriant. Pourquoi elle irait dire qu'elle était à l'origine de leur dispute en fait. Elle les laissa et alla voir si le brun allait bien.

La soirée passée avec lui elle se dirigea pour en découdre avec les autres..... loupant au passage le cours d'Ob.
_________________
Sabo
Ooooh ben regarde t’es toute mouillée ! Vite allons au cours de Pipe avant de passer à l’étape supérieur !

-Avis aux personnes choquées par les sous-entendus : vous avez l’esprit tordu … ou pas-

Elle lui arrache la cape des mains puis l’enroule autour de son corps détrempé. Sur l’instant le blondinet regrette que son chemisier soit bleu au lieu d’être blanc. Puis le remord s’empare de lui et il se met à regretter, cette fois, d’être un homme esclave de ses hormones ébulitionères. Il pense à sa blonde … et l’aime un peu plus.
En apercevant le filet de morve qui s’échappe de son nez, le blondinet pense a associé la technique de la pipe avec un bon molard bien dégoûtant. Double effet garantit.


La rivière n’est pas un danger, toi t’en es un.

Il lui renvoie le même sourire, heureux de voir autant de malice briller dans ses yeux.
Puis sourit un peu plus à sa déclaration, oui Ob’ est la meilleure dans bien des domaines.


Non jamais taillé de pipe, m’en suis déjà fait faire une mais ça remonte à un p’tit bout de temps. J’pense que c’est un travail de femme, mais j’vais venir par pure curiosité.
Pis une pipe gratuite c’est carrément tentant, vu le prix que ça coûte !


Il fait un demi-tour droite, DROITE -pour les connaisseurs- et plisse les yeux en direction des divers feux de camps, à la recherche de sa seconde blonde préférée. Puis exaspérer et surtout impatient de nature il se lance à l’assaut de l’arbre le plus proche, grimpe aussi haut que les branches le lui permet et prend une grande inspiration.

OOOOOB’ T’ES OUuuuuUUU –oups petit dérapage vocale- ON SE LES TAILLES CES PIPES ?

Il tend l’oreille, en quête d’une onde sonore réponse.
_________________

Une seule vie, une seule chance.
Toutpm
Après avoir coloré la noiraude, à qui le aux burnes allait si bien.... elle lui avait généreusement passé sa cape, toute ses histoires pour une ou deux mèches de cheveux de la bonne couleur, à la place de prendre cela comme un honneur, voilà qu'elle en fait toute une histoire.
Elle regarde Sand l'instigatrice de la bi-colorité de Morti, lui sourit au bord du fou rire,
le début des combats sonnait.
Elle s'éloigna du feu pour allez déposer ses bottes dans un fourré.


Pas de cours pour moi ce soir j'ai ma rousseur à entretenir.

_________________
Mortecorne
Ils l’ont attendue, mais jamais, non jamais elle n’est venue… Bouh la déception !

- Et ma pipe, alors !

Déception totale pour la brune qui ne trouve pas la blonde pleine de la soirée. Du coup, elle cogite, cogite, se demandant bien pourquoi tailler une pipe, c’est si sacré et si secret que tout le monde veut savoir, surtout les hommes étonnement, qui se languissent tous d’assister à une démonstration.

Cependant, avec le coucher du soleil arrive la vraie animation. Chaque groupe se rassemble, revoit sa stratégie et va se planquer sur l’aire de jeu. Ou pas. Oui, car certains font leurs fier-à-bras, faisant un inventaire peu discret du contenu de leur besace.
Forcément, la fureteuse, se prenant pour un goupil, est aux affûts, planquée derrière un fourré, espérant qu’un pressé ne vienne pas se soulager de son pipi de la peur.

La brousse rejoint le blond et le bouclé, c’est très chamarré tout ça. Voir la vie en couleur rend heureux qu’ils disaient.
Ben eux, ils vont attraper la vieille mégère qui râle tout le temps et l’imprudent dont les délicieuses denrées font baver.

Encore un petit tour, et ils approchent du groupe convoité. Deux contre trois, c’est pas équilibré, vous dites ? On va se gêner, tiens, Cornélia est frêle et candide comme un renardeau qui vient de naître, d’abord. Interdit de dire le contraire sinon elle vous mord !

Impatiente, elle commence à gigoter dans tous les sens, ne tient plus en place, donne des coups dans l’air, et se fait enguirlander par Marc, qui a enfin oublié qu’il veut la tuer.
C’est que la bagarre est serrée entre la vieille et ses adversaires. La boue gicle, les cris et les râles rythment la danse. Et quelle belle danse !

Finalement, l’accalmie et les roustes laissent place aux gémissements et au pillage en règle. En se rapprochant, Cornélia reconnaît Poum qui est dans un sale état. Ca ne fait que l’exciter encore plus.


- On touche pas aux coupines ! C’est à nous ? C’est à nous ?

Et voilà que le trio rentre en piste, stratégie à l’esprit, ou presque…
_________________
Sabo
Stratégie, là est la clé du succès, le nerf de la guerre, plus que l’or ou les bordels assiégés.
Ils y avaient mûrement réfléchit, soit ce n’est pas crédible, le blond y avait mûrement réfléchit, toujours pas crédible, et pourtant cette fois ce n’est que pure vérité.
Le blond réfléchit souvent, trop souvent, trop tout le temps. Et jamais rien n’en ressort de bon.

Le p’tit truc qui faisait la différence, c’est que cette fois le blond avait la rage.
Une envie de fricasser d’os à la bolognaise, manque de bol la tomate ne court pas les rues en cette saison, bah en plus les tomates ça n’a pas de jambes. Pour le rouge faudra trouver autre chose, de plus chaud, plus épais, plus excitant.
Le genre de fluide que les Roys chérissent tellement qu’ils couchent avec leur sœurs et leurs cousines pour le préserver.
Du sang, il avait soif de sang.

Ils sont trois, trois jeunes gens. Trois contre deux. Mais les forces sont équitables. Les groupes ont été formé comme tel.

Nul besoin de vérifier, il sent sur le lui le regard de sa famille, ses tantes, ses sœurs, son frère.
En particulier celui de son père, devant lequel il ne souhaite en aucuns cas perdre la face. Et celui de sa blonde, a qui il veut prouver qu’il est assez fort pour la protéger, que l’autre homme n’est qu’un réconfort fictif.

Galvaniser par le public porté sur le jugement d’autrui. L’adrénaline prend possession de lui, poussée par sa rage et son envie de réussir. Lorsque le coup d’envoi est donné, il parle vite et clairement.

Marc, Cornélia, occupez vous de la femme qui a agressé notre amie.
Je me charge de l’autre rigolo.


Son champ de vision rétrécit peu à peu, les yeux ne quittent plus sa cible masculine.
Alors que le brouhaha s’estompe devenant un bourdonnement lointain, les battements de son cœur se mettent à résonner dans ses oreilles. Les poings se serrent, l’afflux sanguin s’accélère.
L’homme s’approche de de lui, le blondinet recule son pied fort de sorte à s’ancrer dans le sol, un point d’appui essentiel à toute bonne frappe. Il se met en garde, instinctivement, puisque sans entraînement. Le bras droit s’arme, son biceps se contracte et le poing se prépare au niveau des côtes du blondinet. Comme une flèche prête à être décochée.
La main gauche, elle levée au niveau de son visage, peut servir à parer en cas d’attaque ennemie. Les genoux se plient. Le blondinet est prêt.

L’adversaire se met lui aussi en garde, face à lui. Une garde haute.

En un éclair, le bras droit se déploie avec force, non pas pour frapper la cible mais pour servir de force centrifuge. Tout son poids sur la main gauche maintenant posée au sol et la jambe tendue, il pivote avec agilité et se sert du tibias pour frapper la cheville de son adversaire, puis de son pied comme un crochet pour amener la seconde jambe dans sa course circulaire. L’adversaire chute lourdement, surpris par une attaque aux jambes.



180° plus tard, le blondinet se relève et saute sur sa cible, les genoux se placent au niveau de ses épaules afin d’empêcher tout mouvement. Il place sa paume de main sur son coup, puis se penche, bras tendu, se servant de son poids pour étouffer son adversaire qui ne tarde pas à abandonner.

Cependant, il manque quelque chose d’essentiel au plaisir de la victoire. Le blond se redresse lentement et observe sa victime qui inspire à grande bouffée l’oxygène de nouveau disponible. Sans comprendre il arme son poing et l’abat sur son nez. Le cartilage, puis l’os se brise sur le coup. Le sang gicle jusque dans ses fines bouclettes dorée.

Il regrette déjà son geste. Mais déguste avec gourmandise, cette sensation qui l’envahi.

_________________

Une seule vie, une seule chance.
Mortecorne
Froncement léger de sourcils pour ne pas exprimer une petite contrariété. Le blond va tabasser le gars qui possède toutes les bonnes choses qu’elle convoite. Et puis la vieille, franchement, pas besoin d’être deux.

Elle l’a observé pendant un moment et seul son bagou bruyant lui donne de l’épaisseur, donc elle fait aussi sa stratégie. Une simple pichenette suffira à l’évincer.


- Marc, allez vous occuper de la brune là, moi j’assure vos arrières !

Pas folle la broussette. Elle laisse les garçons se battre et va tranquillement ramasser le butin, prenant soin d’en mettre de côté une bonne partie : un pain, dix sacs de maïs, trois morceaux de viande, plein d’herbes et de fleurs, un bocal de foie gras, deux dés et deux couronnes de Noël, juste pour elle. Seulement Cornélia reste assez perplexe aux sujets des trois dernières choses, dont elle ne connaît pas vraiment l’utilité.

[Le lendemain matin]

Après une longue nuit de combats acharnés, enfin pour certains, car le trio n’a rencontré qu’un groupe d’adversaires, le repos est bienvenu. Il faut avouer que dans ce cas, ce n’est pas la quantité qui compte, mais plutôt la qualité du butin récolté. Et Cornélia est ravie.

Après s’être empiffrée d’un énoorme morceau de viande, elle se rend à la taverne pour avoir des nouvelles des autres. Elle, toute heureuse, se vante de sa récolte fructueuse, ne se rendant pas trop compte que certains lorgnent déjà sur le foie gras. Pourtant le foie gras, c’est guère appétissant, ça ruisselle de gras jaune…

Pauvre Poum est presque démantibulée, la poitrine en feu. Cornélia tombe des nues quand elle lui apprend que c’est la vieille à qui ils ont mis une déculottée qui lui a fait ça !
Chacun fait l’inventaire de ses conquêtes, voire de ses pertes. Quand il s’agit des fleurs, plantes diverses, et feuilles odorantes, chacun se met d’accord pour en trouver une utilité utile, c’est mieux…


Une bonne pipe, enfin !

- Une pipe à quatre, c’est possible ? Quelqu’un s’exclame inquiet.

En effet, le cours de taillage de pipe que tout le monde attend n’a pas encore eu lieu et, outre l’avide enthousiasme que suscite le thème, il est évident que beaucoup n’y connaissent pas grand-chose sur la question.

Et c’est ainsi que Cornélia fume sa première pipe, digérant tranquillement son repas presque orgiaque –bah oui, de la viande en plein tournoi, c’est juste le luxe, quoi !-, en bonne compagnie.

_________________
Toutpm
Trop heureuse d'avoir la Germaine se faire mettre en bouillie par des amis, malmenée à son tour, elle sourit malgré les griffures,
Des baffes par ici, des coups par là.

Morti (Cornélia petit nom que Poum lui donne) est déchainée elle à l'air du furie furieuse alors imaginez.....
Ses mèches lui ont fait l'effet d'une super potion magique, ahh le roux il n'y a que ça de vrai.
Elle sent l'envie de chanter sa vengeance.


Vas-y Morti c'est bon, Vas-y Morti c'est bon bon bon ..... Que la rousseur soit avec toi jeune Morti.


Le crépuscule enfin après quatre victimes, et une cuisante défaite, surtout au niveau des seins, elle se dirige vers le feu.

Ils sont là souriants.

elle s'approche


Fumeuse Morti, sur un caillou perché,
Tenait en son bec une pipe.
Goulue Poum, par l'odeur alléchée,
Lui tint à peu près ce langage :
"Hé ! bonjour, Amie gentille.
Que vous êtes jolie ! que vous me semblez belle !
Sans mentir, si votre bourrage
Se rapporte à votre visage,
Vous êtes la Phénix des hôtes de ces bois."
A ces mots la fumeuse ne se sent pas de joie ;
Et pour montrer sa belle voix,
Morti ouvre un large bec, laisse tomber sa proie.
Poum s'en saisit, et dit : "Mon bonne amie,
Apprenez que tout fumeur
Vit aux dépens de celui qui l'écoute :
Cette leçon vaut bien une pipe, sans doute. "
Morti, honteuse et confuse,
Jura, mais un peu tard, qu'on ne l'y prendrait plus.


Ben alooors on ne m'a pas attendue ?
Elle se saisit de la pipe, tire une longue bouffée avant de s'écrouler aux côtés de son amie en riant de plus en plus.
Souriant aux combattants en plus ou moins bon état.


[toute ressemblance avec jean de la fontaine est totalement non fortuite, merci Jean ]
_________________
See the RP information
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)