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[RP]pfff, quelle plaie

Ghost60
Suite du post fait dans midi et minuit, Mp à Xalta si envie de participer.


Cela faisait déjà 4 ou 5 jours que cette maudite lame avait pénétré sa peau, il avait pris le temps de voyager en convoi plus ou moins confortablement. Sa plaie n'avait rien eu de plus qu'un simple nettoyage et un pansage rapide fait à base de morceaux de tissu prit par ci par là. Mais cela faisait deux jours qu'une fièvre venait pointé son museau, que Ghost mentait à son entourage sur sa condition physique. Est ce là pure fierté ou juste une façon de ne pas les inquiéter pour rien. Mais à Gien sa cousine future ex femme l'avait un peu prit à son propre jeu le forçant à dévoilé son pansement de fortune, même si elle ignorait finalement ce qui se cachait la dessous. Une égratignure qu'il avait dit, une branche dans la pénombre..

Ils venaient de revenir sur Bourges mais l'état de santé de Gaultier semblait se dégradé, la fièvre prenait de l'ampleur, les frissons envahissaient le corps du barbu de plus en plus régulièrement. Le grog préparé par sa cousine n'a pas eut l'effet escompter et Ghost délire légèrement en fin de matinée, fatigué, fiévreux, c’est accompagner Anne qu'il fini par monter dans une des chambres de l'étage. Pas de fausses idées hein elle la juste accompagné parce qu'il ne pouvait pas y aller tout seul.

Quelques heures plus tard, alors qu'elle attendait sagement a son chevet, la peste de duc ouvrit les yeux, visage toujours aussi fatigué, toujours la présence de cette fièvre et même si les délires semblent s'être estomper, son état général n'inspire rien de bon. Il finit par redescendre dans la salle ou seule sa cousine et celle qui avait veiller sur lui étaient. Les minutes passaient et le teint de plus en plus pale venait à trahir de plus en plus la mauvaise santé du duc. Depuis gien il évitait les conversations , les demandes insistante de sa cousine et d'Anne... un médecin à quoi bon, lui qui pensait que çà se soignerait tout seul était loin d'imaginer ce qui se tramait. Arthur, Victoire, Hécat... non, pas hécat on lui avait dit pas la sorcière... mais là il était peut être temps de se réveiller et d'enfin aller voir ce fameux médecin, qu'importe qui il était. Mais ca devenait dur, ses jambes semblaient l'abandonner à leur tour et c’est quand il voulu se lever qu'il s'en rendit compte. La chute fut rude dans un grand bruit sourd Ghost se retrouva au sol...

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Catherine_sorel
[ Le 24 août 1462, en début de matinée]

Son réveil fut accueillit par une lettre déposé sur sa table de nuit, portant le cachet du Duc de Sedan. Elle sourit et s’empressa de la lire, comme une enfant déballant un cadeau le lendemain de la nuit de noël.
La réponse de la Joncheray ne se fit pas attendre, et elle répondit favorablement à son souhait, de l'attendre à son arrivé, prés des remparts.

La jouvencelle se para d'une robe bleu ciel, mettant en valeur ses yeux saphir. Elle était simple et élégante. Par dessus, elle se couvrit d'une lourde cape en soie bleu nuit. Certes nous étions au mois d’août, mais le temps n'était pas d'une chaleur externe, surtout en début de mâtinée.

Anne déambula dans les rues de Bourges, pour se rendre aux remparts. Au moment, où elle arriva au lieu de rendez vous, le voyageur arriva.

Les deux amis se promenèrent tout en longeant les remparts, tout en discutant de tout et de rien. Le duc, quand à lui, prenait un malin plaisir à tenter de faire rougir les joues de la jeune Joncheray. D'ailleurs, il y arrivait sans mal ou presque.
Dans ce cadre idyllique, aucune ombre ne semblait vouloir l'assombrir.

Le soleil commençait doucement sa course, il montait de plus en plus. Les deux amis décidèrent de se quitter pour le repas de midi.


[ Dans l’après midi, de cette même journée]

Après avoir terminé son ouvrage de broderie, la brune décida de se promener dans les rues de Bourges. Elle arriva non loin des tavernes et aperçut dans la taverne municipale, son ami Ghost et sa cousine.
Elle entra joyeuse comme à son habitude. L'atmosphère, elle n'était pas des plus joyeuses, le duc semblait très mal en point et sa cousine-épouse s’évertuait à qu'il consulte un médecin.

Rapidement Anne fut prise dans la tourmente, tentant de prêter main forte à la Duchesse. Leur labeur n'était pas simple, le Duc de Sedan offrait une belle résistance, se parant derrière : "une simple égratignure".

Quelques heures passèrent, où les deux femmes s’égosillaient ou presque à le conduire chez un médecin. Malheureusement, le dimanche peu de cabinet de médecine était ouvert. La duchesse faisait des allers retour, laissant au bon soin Ghost à Anne.
Anne réussit, tout de même un exploit, qu'il accepte de se reposer à l'étage.

Pendant son repos, Anne le veillait sur une chaise, non loin du lit et de la porte, tout en lisant ses notes médicinale apprise au couvent. Mais tout comme le sanglier, le duc avait la tête dure ainsi que la peau, alors que les deux femmes discutaient au rez de chaussé, il déballa les escaliers, sans aucune délicatesse.

Ce n'est qu'en fin de journée, après une fièvre accru qu'il se résigna à trouver un médecin. Alors qu'Anne allait le soutenir pour trouver la sortie, il se leva sans aucune aide et s'écroula à terre dans un bruit sourd.

Effrayé la Jouvencelle s'approcha de lui et regarda la Duchesse.


Nous pourrions tenter de ralentir l'infection, en attendant un médecin. Le miel est censé ralentir cela et nettoyé les plaies...

Sans réellement attendre un consentement de sa part ou autre, Anne couru en cuisine, cherché un pot de miel. Il fallut qu'elle retourne pratiquement la cuisine, pour en déniché un.
La brune l'apporta là aussi rapidement à Xalta, et lui tendit.

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Xalta
Gien

Elle avait trouvé Ghost bien pâle, fébrile. Inquiète, elle s'était enquis de son état de santé, il avait nié. Il avait refusé d'avouer qu'il était blessé mais elle savait qu'il l'était quelques heures plus tôt elle avait appuyé sur son flanc, il en avait grimacé de douleur. Elle avait fait semblant de le croire, mais elle était revenue à la charge. Finalement il avait cédé, elle avait soulevé sa chemise pour découvrir un bandage, souillé par du sang, le sien. Il lui expliqua qu'il ne s'agissait que d'une égratignure. Elle était demeurée dubitative mais n'avait pas voulu insister plus que de raison, elle le connaissait si bien Le Sanglier de Sedan, son cousin depuis trente-et-un an et son époux depuis quelques mois. Même si finalement ce mariage se dirigeait à sa demande sur sa fin. La fièvre avait empiré à Gien mais il refusait et elle aussi, d'aller voir le médecin giennois. Elle n'avait pas confiance en elle, et puis imaginer qu'elle puisse poser les mains sur le corps d'un homme qu'elle aimait la révulsait.

Sancerre

Gaultier va de plus en plus mal, il prend diverses plantes pour tenir mais elle le sent s'affaiblir, son inquiétude s’accroît au fur et à mesure des heures. Elle a peur pour lui. Mais il continue de la rassurer. Elle veut y croire mais au fond d'elle, elle sait que rien ne va. Il délire même parfois, il a des bouffées de chaleur. Ils font la route avec Romuald, laissant Guyenne à Sancerre, elle a hâte de rentrer et lui aussi. Elle pour lui trouver un médecin digne de confiance, lui parce qu'il veut revoir une jeune demoiselle. Elle devrait être jalouse mais elle ne l'est pas. Enfin pas vraiment.

Bourges

Un froncement de sourcils quand elle le voit partir se promener avec Anne. Elle réprime un soupir, il ne devrait pas, il n'est pas en état. Mais il est plus têtu que dix mules réunies. Elle rejoint la taverne municipale. Puis elle se met en quête d'un médecin. première déconvenue, Arthur ne semble pas disponible, mais elle continue de démarcher. Elle retrouve plus tard Anne et Ghost en taverne, elle a découvert qu'il était mal au point et elle trouve en la jeune femme un soutien inespéré pour tenter de faire entendre raison au duc. Il résiste. Elle lui prépare une mixture qu'elle lui fait boire après quelques réticences de sa part. Elle s’éclipsait de temps en temps, cherchant un médecin.

Quand elle revint de l'une de ses pérégrinations vaines, elle découvrit qu'il se reposait à l'étage de la taverne. Anne veillait sur lui. Un léger pincement au cœur, une petite piqûre de jalousie, chose qu'elle niait généralement ressentir. Puis elle est rejointe par la jeune femme, elle lui propose un verre de vin blanc, un Rebréchien, un vin orléanais, un vin de Val de Loire. Elles discutent. Ghost les rejoint, il est hagard, sa mine encore plus défaite. Mais il fait son dur, il tient, il veut tenir. Puis finalement il se résigne à son grand soulagement. Qui ne va pas durer. Il se lève et s'écroule sur le sol dans un bruit mat. Elle se précipite à ses cotés.

Elle le tourne, il est lourd le bougre comme le veut un poids mort. Il est livide, son cœur s'étreint, elle panique intérieurement, elle se penche sur lui mais elle est rassurée, il respire , rapidement, trop. Il est bouillant. Anne disparaît et réapparaît rapidement un pot de miel dans la main. Elle lui adresse un sourire reconnaissant.

Oui nous pourrions. Aidez moi, nous allons l'installer au mieux. Pouvez vous me trouver des coussins ?

Impossible de le porter. Ghost fait bien le quarante kilogrammes de plus qu'elle. Même avec l'aide d'Anne, elle ne pourrait le porter à l'étage. c'est un poids mort, ce qui double facilement la charge. Elles l'installent aussi confortablement que possible. Puis elle lui ôte sa chemise avec douceur, ses gestes sont doux, maternels. Elle dévoile son torse et le bandage. Elle lui retire avec précaution, elle découvre alors une plaie de quinze centimètres suintante. Elle grimace.

Je ne sais pas si le miel va suffire. Cela semble profond et bien abîmé. Il faudrait trouver des hommes pour nous aider à le porter dans un lit à l'étage.

D'un geste tendre, elle caresse d'un index ganté la joue du barbu.

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Catherine_sorel
Elle regarda Xalta, l'état de son ami, confident, la terrifié au plus haut point. Il était bon, certes, d'apprendre quelques théories médicinales, mais le mieux était la pratique combinait aux connaissances. Quant à elle, elle n'avait jamais pratiqué, et surtout jamais sur un homme. La peur envahit la jeune femme. Heureusement qu'il ne s'était pas écroulé quand elle était seule avec lui. La présence de La duchesse la rassurait à ce moment, alors que quelques heures plus tôt elle en était presque jalouse. Comme quoi les sentiments changent.

Xalta la tira de ses songes, elle lui demandait des coussins. La gorge nouée Anne n'arrivait pas à parler. Ainsi sans un mot, elle se leva et monta à l'étage en quatrième vitesse, chercher de quoi l'installer confortablement.
Quelques minutes plus tard, elle réapparut les bras chargés de coussins de tout genre : traversin, coussins.

Les deux femmes l'installèrent le plus confortablement possible. Elle laissa sans se faire prier, la rousse ouvrir la chemise du blessé. Anne cacha ses main tremblante comme elle pouvait. Elle ne pouvait se résoudre à le toucher. Elle ne pensait pas voir le torse d'un homme pour la première fois dans ses conditions, surtout le sien..

Après la chemise vint le bandage de fortune, intérieurement elle ne put s’empêcher de pester contre lui. S'il se réveillait, elle allait pour sur lui faire passer un mauvais quart d'heure, les joues rougit, oui, mais pas de timidité, mais de colère. Comment avait-il pu faire semblant lors de ses balades ? Il aurait du lui dire qu'il se ne sentait pas en force pour marcher..il aurait du lui dire tout simplement qu'il était blessé, gravement blessé.
Un perle d'eau coula sur la joue d'Anne, une larme de culpabilité de n'avoir pas vu son état, de douleur de le voir comme cela, et de peur, peur de perdre un ami. Elle l'essuya d'un revers de la main, il fallait qu'elle se reprenne, elle n'était plus une enfant. Elle était une Joncheray.

Toujours sans un mot, après la sombre découverte d'une plaie d'une quinzaine de centimètres. Anne se leva, et couru à nouveau en cuisine. Dans une grande casserole, elle mit de l'eau à bouillir sur le feu, dans lequel elle mit des linges afin de les désinfecter pour nettoyer la plaie.

Plusieurs dizaines de minutes plus tard, elle revint avec une bassine d'eau claire qu'elle dépose prés de la rousse. Anne fila de nouveau en cuisine prendre les linges bouillit et du vinaigre.
Elle apporta le tout. Elle prit une grande inspiration et retrouva sa voix.


Avant de faire quoi que ce soit, nous devons nettoyé nos mains au vinaigre et a de l’alcool pure, puis il faudrait nettoyé la plaie.
Quand la plaie est propre, il faudrait absolument trouver un médecin..


La jeune femme paniquait de nouveau et regarda Xalta pour chercher un peu de réconfort.
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Xalta
Pendant qu'Anne s'active à la cuisine, elle se lève abandonnant le corps de son "encore" époux au sol. Il est inconscient mais il respire et c'est la seule chose qu'elle prend en compte. Elle ouvre la porte de la taverne et alpague deux hommes qui passent dans la rue. Ils la regardent étrangement quand elle leur formule une demande d'assistance: porter le corps d'un blessé à l'étage. Et même si elle est une vilaine royaliste, ils se décident à l'aider. Ils entrent en taverne et découvrent à leur tour l'homme au sol.

Vous qui l'avez blessé ?

Non du tout, c'est mon ép..cousin !
Vous pourriez nous aider à le monter dans sa chambre ?


Au même moment Anne revient les bras chargés pour soigner la plaie. Les deux hommes attrapent Ghost: l'un aux épaules, l'autre par les pieds et ils montent les marches avec précaution. Gaultier gémit, il souffre et elle n'aime pas le savoir mal au point. Son cœur s'étreint mais elle conserve une façade impassible. Elle ne veut pas se laisser emporter par le pessimisme ni par ses craintes. Il est allongé sur le lit, elle se rapproche de ce dernier, s'assoit sur le bord du matelas. Anne les a naturellement suivis. Elle remercie les deux hommes, elle glisse la main dans sa bourse accrochée à sa ceinture pour les remercier mais ils refusent poliment. Elle leur sourit reconnaissante puis ils quittent la pièce.

Ils ne sont plus que tous les trois, un silence se fait brisé seulement par la respiration sifflante du Sanglier de Sedan. Ses yeux vont de l'un à l'autre, de la jeune femme à Ghost. Puis ses yeux finissent par se poser sur Anne.

Vous avez raison, il faut nettoyer.

Elle retire alors ses gants dévoilant ses mains déformées qui ont connu la chaleur d'un brasier. Elle pose les gants puis entreprend de se laver les mains

Je vais le faire, si cela ne vous ennuie pas trop. Il m'est arrivé de voir de telles blessure par le passé , nettoyer je sais , le reste, il nous faut vraiment un médecin.

Elle prend un linge qu'elle humecte avec la solution préparée par la Joncheray. Elle s'applique avec soin à désinfecter la plaie, elle pince les lèvres, concentrée pour essayer de le faire souffrir le moins possible. C'est qu'elle y tient au Champenois, son cousin. Cela lui prend quelques minutes, elle suspend parfois ses gestes quand un gémissement de douleur filtre entre les lèvres du Barbu. Puis elle dépose un linge propre sur la plaie et finalement remonte le drap sur torse robuste dont la poitrine se soulève rapidement, signe d'une importante fièvre. Elle se lève, s'éloigne du lit, lave de nouveau ses mains avant d'enfiler ses gants.

Anne, acceptez vous de rester près de lui ? Le temps que je trouve un médecin.

Etrange demande qu'elle formule à celle qu'elle pourrait considérer comme une rivale.

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Catherine_sorel
Quand elle entra à nouveau dans la taverne les bras chargés de linges propres, vinaigre et miel, deux hommes bien gaillard étaient entrain de porter le blessé dans une chambre à l'étage,sous la direction de l'épouse/cousine.

La Brune suivit le cortège, grimaçant lorsque le Duc gémissait de douleur. A chaque gémissement, le cœur de la Jouvencelle se fendait. Elle allait pour la première fois de sa vie, s’inquiète et tenté de gardé en vie un homme jusqu’à l'arrivé du médecin. Quelle angoisse pour une jeune femme qui entrait tout juste dans la vie adulte. Non par son age, vus qu'elle était officiellement adulte depuis 4 ans, mais par son ouverture au monde enfin.

Aujourd'hui, son apprentissage de la vie réelle allait s’avérer douloureuse pour la Jouvencelle. Les livres ne saigne pas, ne souffre pas, recoudre n'est pas douloureux pour un livre, comme nettoyer, alors que la chair humaine, elle, souffre, saigne, pue l'infection. Tant de choses qu'elle ne connaissait pas encore.

Le labeur des deux hommes finit, ils partirent, laissant les deux femmes seules au chevet d'un homme auquel elles tenaient toutes les deux.
Anne posa la bassine d'eau clair sur la table non loin du lit, ainsi que les linges propres, le vinaigre, et le miel.
Alors qu'elle allait entreprendre à nouveau un lavage des mains minutieux, elle fut couper dans son élan par la Rousse. Ce fut comme un soulagement lorsqu'elle lui indiqua qu'elle allait le faire.

Elle serait le livre, et Xalta le patricien. Anne était trop absorbé par la plaie béante sous ses yeux pour remarquer les mains de la Duchesse. Elle scrutait ses gestes, comme pour les apprendre. Sait-on jamais s'il fallait à nouveau le nettoyer et qu'elle n'était pas là.

Le nettoyage fut rapide et précis, elle regarda l'epouse/cousine remontait le draps sur le torse nue du Duc. Elle s'approcha, en signe de soutien. Le duc respirait rapidement, trop rapidement..sa fièvre montait.

Alors qu'elle s'approchait du lit, Xalta, elle recula vers la sortie.La demande la surprit, mais elle comprit, enfin ,que malgré une certaine méfiance envers elle, Xalta avait confiance en ses soins et sa vigilance pour veiller la tête de mule.
Elle lui sourit amicalement.


Oui Dame, je ne bougerai pas, je vous le promet.

Quelques secondes plus tard, elle se retrouva en tête à tête avec Ghost. Anne se leva, prit un linge propre et l'humidifia, pour venir le poser sur le front du blessé.
Elle installa une chaise tout prés du lit, et s'y installa.


Vous n'auriez pas du..faire cette balade alors que vous étiez blessée..

Elle lui en voulait, elle s'en voulait de n'avoir rien vu de son état.

A se demander, qui est le plus jeune d'entre nous..normalement c'est la jeunesse qui est irréfléchi..pourquoi ne pas avoir accepter un médecin plus tôt !

Sa gorge se noua.

Je peux vous assurer votre Grace, que lorsque vous serez réveillé et remit sur pied, vous verrez mes joues rouges, oui, mais de colère !

La Joncheray épongea régulièrement le front du Sanglier de Sedan, espérant que la porte de la chambre s'ouvre rapidement avec un médecin à la suite de la Duchesse.
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