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[RP ouvert] Itinéraire d'une famille éclatée...

Pattricia
Remue ménage dans les domaines sudistes de la tribu, celle-ci va pas tarder à y passer, y dormir, y bouffer, faudrait pas s'louper. Chronique d'un voyage à rallonge pour une famille qui ne ressemble pas à grand chose si on ne prend pas le temps de comprendre. Voyez la rousse par exemple, celle qui s'est plus ou moins instaurée chef de la tribu sans même faire de coup d'état, ben là comme vous la voyez, elle fomente quelque manigance pour rajouter encore des fringues planquées dans une nouvelle malle, ni vu ni connu au nez et à la barbe de son époux. Pas sûr qu'elle y arrivera, mais les méninges fument du réflexionnement intense que ça lui provoque.
Mais voilà un valet qui se pointe avec une missive, elle prend, décachète, déroule et plante ses jades sur le vélin couvert d'encre plus ou moins lisible.


Citation:


très chere soeur
coucou ,

Tu as cru que j'allais te faire un courier avec des formules de politesse et tout ... mouais pas demain là veille .

Comment vas tu soeurette ? Moi ça vas très bien , je suis à troyes et je joue de mon charme auprés de jolie femme . Que demander de mieux ? ah si je vais déménager a Sémur , une ville remplis de belle femme et peut être si l'envie me viens je viendrais te voir pour t'embêter un peu . Et sinon comment vont tes enfants ? toujours des envies de tué leurs oncles ? Sont vraiment très charmant ....

tu les embrassera de ma part , surtout la plus sale ...comment elle s'apelle encore ..ah vii lucie .

Ton frère qui t'embrasse ... puis non pas envie .

Estheban .



La vindicative s'installe à son écritoire, mordille sa plume quelques secondes et la laisse enfin glisser sur le parchemin afin d'y délivrer une réponse.

Citation:

Sarlat, le 20 février 1462

Bonsoir frère immature,

Je suis bien aise de te savoir vivant, après tout cela ne fait que quelques années que je suis sans nouvelle. Comment je vais est, tel que je te connais, le cadet de tes soucis, si tu espères hériter, sache que je suis en excellente santé et que de toute manière tu peux te fouiller pour que je te lègue quoi que ce soit.

Alors ainsi tu joues toujours les cigales, roucoulant auprès de la gente féminine qui doit sans doute être aveugle et sourde pour t'accorder ses faveurs. La jeunesse de nos jours n'a vraiment plus aucun gout. Je ne peux donc pas compter sur toi pour remplir tes devoirs de frère, d'autant plus si tu comptes déménager. Les pauvres habitants de Sémur n'ont aucune idée du cauchemar qui les attend.

Ah si un évènement qui t'intéressera peut-être, quoi que... Notre frère nous a retrouvé, enfin la tribu. Il s'avère qu'il vit à Cahors, village à un jour de Sarlat, et qu'il va se marier. Son épouse est rousse, notre frère est maso... Toi qui te distrairas surement de la suite, sache que nous avons des demi-soeurs, des jumelles, notre père n'aurait pas été l'époux fidèle que je pensais. Sans doute tiens-tu de lui...

Pour terminer, nous avons eu un imposteur se faisant passer pour notre jeune frère, une fois démasqué, j'ai procédé personnellement à son exécution. On ne bafoue pas l'honneur des La Canéda et l'on ne touche pas à un cheveu d'un membre de la tribu.

Puisque tu ne sembles pas pressé de venir retrouver ta famille, je pense qu'en effet les enfants de la tribu auront surement quelques châtiments en réserve pour nos prochaines retrouvailles. Je leur ferai part de tes embrassades, mais je gage qu'ils ne soient pas enclins à les accepter.

Ta soeur qui préfèrerait plutôt se couper une main que de t'embrasser,

Au revoir vilain frangin.





_________________
Lorenzo...
Estheban regarde l'oiseau se poser sur le rebord de la fenêtre , il savais que c'étais l 'oiseau de sa soeur et il décida de ne pas y prêter attention pour le moment . L'oiseau ne devais certe pas être presser , quoi d'autre il aurais à faire . Puis remis son regard sur la charmante demoiselle présents à ces cotés en taverne , puis cettte derniere décida de le laisse afin de reprendre la route mais dans quelques temps c'étais pévue qu'il la retrouve . Bref , on es pas ici pour parler de lui ! il s'ennuya , retourne son regarde vers l'oiseau et decide d'aller récupérer le courier de sa soeur pour passer le temps . Il se mis assis et se mis a lire le courier , tout en se caressant sa Barbichette avec un grand sourire aux mots de sa soeur . Il sort un parechemin et une plume , puis répond au courier

Estheban a écrit:
Toyes , le 20 février 1462

Rebonsoir la soeur ,

Je ne compte pas hérité de ta part , je m'en sort très bien seul et j'en suis que si je recevrais quelques chose de ta part ben ça sera une chose sans doute maudite . Alors comme j'aime pas te donner satisfaction , je le refuserais .

Jouer les charmeur ? non pas de ma faute si les dames mise apart toi , sont charmante et me font tourner la tête . Comment resister à leur jolis regard et leur séduissant sourit , j'en passe. Ben je vois que papa , n'as pas pu resister au diabiolique charme de ces dames , que je le comprend . Puis on nous critique mais ces femmes avec leur sort envoutant hmmm que c'est bon à vivre !

Quoi le frère se mari ?? Mais il es fou !!! le pauvre une fois la corde passer autour du cou , il sera fichus ! En plus une rousse , il a pas vue le resultat en te regardant ??
Ce serais peut être temps que je viens pour que je lui parle , car là l'heure est grave . Mais bon pour le moment , je ne peux pas je vais m'installer à sémur comme dit dans le précédent courier et ensuite je dois apprendre a nager une charmante demoiselle . Partir avec elle et des amis en italie et ensuite je viens vous voir .

Pour tes enfants , j'en doute pas car on sais tous qu'ils ont comme leur mère donc je te laisse deviné ce que je veux dire !

Ton frère qui ne t'embrasse pas , de peur d'abimé ces lèvres.

Au revoir ma soeur .


Accroche le courier a la pate du satané oiseau de sa soeur et le fait partir .
Plumenoire
[Mont de Marsan, La veille]

La soirée en taverne avait été plutôt … Remuante ! Et elle avait décidé d’écrire à sa môman adorée pour avoir de ses nouvelles, et de celles de son père, indirectement …
D’abord … le B-A-BA … pour s’attirer les bonnes faveurs de sa moman !


Citation:
Bonsoir Ma maman adorée que j’aime et que je chéri !

Comment vas-tu ?
J’ai tardé à te répondre je le sais …


Puis ce pourquoi elle a besoin d’elle …

Citation:
Que te raconter !
Après ma seconde « fuite » j’ai rejoint Milo, comme tu t’en doute …
Arga l’a très mal prit … Lorsque je lui ai écrit … il a dit ne pas souhaiter que je vous suive en Italie … Je resterais donc en retrait je pense …


Ensuite …

Citation:
Sauf que Milo … les élections royales approchant … Il est intenable … Il me parle sans arrêt de « fiche le souk » ! ‘fin tu comprends …. Tu l’connais … Donc je ne pourrais pas rester longtemps à ses côtés avant d’être assimilé à ses actes et passer du mauvais côté de la force. Je suis un peu coincée quoi !


Puis pasque ça la travaille …

Citation:
D’ailleurs, puis je te demander tes intentions de vote ? Pis j’ai lu rapidement le programme de Jean de Cetzes, Il parle de demander à toutes les familles de lui présenter leurs filles … j’espère que vous n’avez pas l’intention de le faire avec Lucie et moi ?


Puis on fait passer la pilule en douceur … avant de distraire sa mère avec autre chose …

Citation:
Pour l’instant nous sommes à Mont de Marzan … Milo m’y a emmené pour escorter/voir la fille de Namay. J’y ai retrouvé Athanasios, le futur de Sashah !
Mais je te préviens, ils ont décidé de me séquestrer ! Ils cherchent des maréchaux, des nobles, et se sont mis en tête d’écrire à Arga pour faire déménager tout le monde à Mont-de-Marzan…


Lui demander gentiment de viendre la chercher …

Citation:
Que faire ? Que faire ? Je ne peux suivre Milo … surtout avec ses envies actuelles … C’est un peu compliqué ! Mais peut être pourriez-vous venir me chercher … Sauf si l’ours ne veut toujours pas de moi bien entendu … je le comprends tu sais, ce n’était pas « une bonne chose » que de filer comme ça.
Dit moi, quand partez-vous pour l’Italie et Avec qui ?


Puis conclure !

Citation:
Je t’embrasse fort !
Plume,
Ta fille.


Et voila, une lettre menée avec Brio par la brunette. Quoique … Brio … C’est vite dit ! Il faudrait attendre la réponse de la rousse pour savoir …
_________________
Pattricia
[Après une mauvaise nuit de sommeil, pas le temps de bailler aux corneilles...]


Porte close... Non pas qu'il ait essayé de la franchir, cela aurait été inutile et provoqué de la houle dans la fausse quiétude des Mûres. La vindicative était en mode "vindicator, si tu viens me faire ch... t'es mort !" et toute personne voulant savoir si elle allait bien risquait de se faire recevoir. La veille, son cher et tendre époux avait tout simplement été odieux. Ils étaient à deviser en taverne avec une connaissance quand, allez savoir pourquoi, il s'était mis à la faire passer pour une femme gauche, mal dégrossie et en plus avec des tares.
Une plaisanterie c'était une chose, mais là... Elle avait donc quitté la taverne folle de rage, mangé dans sa chambre et fermé la porte de l'intérieur.

Alors quand on toque le lendemain matin, c'est les crocs qu'elle montre en premier à la femme de chambre qui se dandine devant la porte, deux parchemins à la main. Elle les tend en silence prête à détaler au premier grognement.


Merci, apportez-moi une tisane, un petit pain, de la confiote et quelques chataignes cuites, je prendrai mon petit-déjeuner dans la chambre. A part pour le courrier, je ne veux être dérangée sous aucun prétexte.
Revenez dans une heure pour remplir ma baignoire d'eau chaude.
Merci...


La donzelle hoche la tête et file sans demander son reste, trop heureuse de s'en tirer à si bon compte. Pendant ce temps, la rousse a refermé la porte, attrapé un châle dans lequel elle se drape et file ouvrir les volets de la grande porte-fenêtre qui donne sur le jardin. Elle frissonne, l'hiver n'en finissait pas, la neige fondait mais toute cette pluie était surtout déprimante. Tirant le fauteuil au plus près de la cheminée, Patt s'installe et décachète la missive la plus importante, celle de sa fille...

Au fur et à mesure de la lecture, la mère fronce les sourcils, mais la rousse sourit. "Quel tempérament ! Peuvent pas être trognons et le rester ?"
Elle s'étire comme une chatte et attrape son écritoire pour rédiger sa réponse.


Citation:

Bonjour ma fille qui, quand elle m'adore, me prépare encore une catastrophe digne du déluge !



Comment je vais ? Comme quelqu'un qui a clos la porte de la chambre à son époux et ce, pour plusieurs jours tellement je suis furax. Ne me demande pas pourquoi, c'est sans intérêt et en plus ça ne te regarde pas.

Tu as effectivement tardé à me répondre, et je suis également en colère contre toi. Je me suis faite un sang d'encre te sachant avec le pénible et tout ce que cela comporte de conneries en tous genres, et à priori je ne me suis pas trompée. Le jour où il se tiendra tranquille celui-là...

Nous nous rendons au mariage de Sashah comme tu le sais, nous te récupèrerons sur place. Il y a une auberge près de la cathédrale, bonne facture et avec une table qui sert bonne chair. Tu nous y attendras, j'y ai fait réserver tout un étage, tu partageras ta chambre avec Lucie. J'en profiterai pour t'apporter tes tenues, car évidemment il est hors de question que tu ailles à ce mariage habillée comme une va nu pied !

Pour ce qui est du voyage en Italie, il est évident que c'est toi qui décides, et pas ton père qui manque totalement de jugeote quand il est en colère. Il serait le premier à se plaindre que tu lui manques si jamais tu décidais de rester plutôt que de nous accompagner. Nous partirons au plus tard le 10ème jour de mars, le temps dévaluer la taille de notre convoi et que chacun le rejoigne surtout.

Pour qui je vote n'est pas ton affaire, mais je ne soutiendrai pas un candidat suppôt du borgne ou encore une girouette qui retourne sa veste comme vient le vent et n'hésite pas à renier son propre roy.

Je t'embrasse fort également vilaine brunette qui ne me ménage pas,
Prend soin de toi.






La vindicative se penche ensuite sur la missive de son frère, celui quelle appelait en son fort intérieur "la plaie". Légèrement agacée, en supposant qu'elle puisse l'être plus en cette humide matinée, elle s'empresse de gratter le vélin.

Citation:


Bonjour mon frère boulet,


Tu fais bien de ne rien espérer de bon de ma part, je ne fais pas dans la charité de toute manière. Où alors peut-être une potion dans une belle couleur que je t'affirmerai être du parfum afin que tu t'en pares et que tu disperses une odeur nauséabonde qui fera fuir les dindes qui te porteraient quelque intérêt.

Être charmante avec toi c'est donner de la confiture à un pourceau et je déteste le gâchis. Ne va pas te trouver d'excuses, bientôt tu feras porter le chapeau aux femmes de tes propres déviances.

Si tu pointes ton museau dans la région, je te préviens, va pas fiche le souk dans le ménage de notre frère ou je te colle au pilori pour un mois !
Quant à la demoiselle à qui tu dois apprendre à nager, veille à ne pas la noyer sous tes paroles doucereuses et insipides, tu pourrais la dégouter de la gente masculine dont tu n'es qu'un piètre spécimen.

Ta sœur à qui tu ne manques plus et qui risque pas de t'embrasser.







Satisfaite de ses épitres, Patt scelle les parchemins et les tend quand à la bonne lui apporte justement le petit-déj.
Laissant de côté ses soucis conjugaux et familiaux, elle entame avec un bon appétit son premier repas de la journée...

_________________
Lorenzo...
Estheban qui se relaxer dans le baquet , vois se posé le satané oiseau de sa sœur et c'est tout en soupirant qu'il sort de l'eau puis se passe une serviette autour de la taille . Il dirige doucement vers la fenêtre , l'ouvre et récupère le courrier . Quand il entend un :

- Esthéban !! tu es fou d'ouvrir la fenêtre , ferme la vite car il fait froid !!!

C'est tout en souriant qu'il répond à cat et béa .

- Je sais , je sais et pas besoin de parler en même temps !! prenez vous en a ma sœur car je viens d'avoir un courrier d'elle


il l''ouvre et c'est avec un sourire au coin qu'il la lis puis finir par rire sur les derniers mot de sa soeur .

- Cat je t'emprunte une plume et un parechemin , pour lui répondre .

Se dirige vers le bureau de cat et se met à écrire :

Estheban a écrit:
Orléans , le 26 février 1462

très chère soeur ,

Quel charmante lettre que je reçoit de ta part , je ne peux que te remercié de ces doux mots .

Désolé de te décevoir au sujet de ton flacon mais je ne met jamais d'eau parfumé donc je l'ouvrirais jamais . Puis si tu te laverais régulièrement , tu en aurait certes pas besoin d'en mettre pour camouflé ton odeur .

Je ne vais plus à sémur , je me rend à Vendôme rejoindre cat ... Donc je ne vais plus apprendre à nager a la jeune fille comme prévue . Puis je suis heureux avec L.. et elle , sa me réjouit que les gens ne sont pas comme toi mais qu'il y'a encore des gens formidable .

Au sujet de mon frère ne t'en fait pas je ne ferais pas la souk , tu t'en sort très bien toute seule pour le faire donc pour le pilori n'hésite pas a t'y coller toute seule .

A ton retour d'Italie , je me ferais une grande joie de venir te voir comme ça je pourrais voir ton coup de vieux depuis toute ces années .Et je me ferais une joie de venir voir c'est sale morveux que tu appelle " mes enfant" .

Parlant morveux , je devrais peut être pensé a allé voir les miens et allé sur la tombe de Survivante ...

Ton frère qui te renvoie ton satané oiseau , je vois que tel bête tel maitre et bien vérité .

Estheban




Ferme le courrier , l'accroche a l'oiseau et lui jette 3 grains de maïs .

-Allez oust mange et apporte le à la rouquine qui t'envoie jusqu'ici .
Plumenoire
[Quelques temps plus tard … Au retour d’une brune - Sarlat]

Il y a quelques jours, après sa dernière missive à la rousse Patt’, la brunette avait trouvé des voyageurs qui allaient, heureusement, dans le même sens elle, et avaient accepté qu’elle les accompagne. Arrivé à Sarlat, à l’aube, elle avait chaleureusement remercié ses accompagnateurs avant de filer rejoindre sa maison, son chez elle, non loin des Mûres.

Il était encore trop tôt pour rejoindre ses parents, surtout qu’Arga risquait de lui passer un gros … gros … gros savon et elle n’avait pas franchement envi de se faire gronder immédiatement …

Plume passa donc chez elle, le temps de se rafraichir, de se changer. Un tour vers ses champs, histoire de voir leur état. Un sourire satisfait au coin des lèvres, elle se dirigea vers la maison familiale. Les Mures.


Inspire … Expire … Tout va bien se passer Plume …

N’allez pas croire que son père l’inquiète … Mais après avoir réussi à s’échapper une seconde fois, les mots échangés avaient été un peu froid et Plume redoutait un peu la réaction de l’ours.

Serrant le manche de sa dague d’une main, caressant la fourrure d’Evil de l’autre, savourant ses contacts rassurant, elle frappe de manière sure au grand portail. Autant s’annoncer convenablement après presque un mois d’absence ….

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Argawaen
Il savait que sa fille adoptive allait arriver dans peu de temps, il savait qu'elle devait avoir la frousse de sa réaction, mais il avait bien réfléchit, mais il lui en voulait à mort.
Le Dehuit de Malemort était en train de tourner en rond dans le salon lorsque l'on vint annoncer une personne à l'entrée. Poussant le garde doucement il se rendit d'un pas décidé jusqu'au portail et vit sa fille accompagné de sa bête poilue à longs crocs.


Le vieil homme se pencha et vint caresser entre les oreilles de Evil puis fit un pas sur le côté afin de se placer face à sa fille. Son regard ne montrait aucune émotion, ses sourcils étaient froncés, il devait être effrayant...
Le Dehuit de Malemort fixait la brune avec insistance puis l'attrapa par le col, un grognement se faisant entendre de la part du vétéran.
Puis ni une ni deux il la serra contre lui, laissant sa main lui caresser les cheveux...


Ose abandonner ton père encore une fois... Et je jure par la catin de Junon de te pendre haut et court ma fille...

Il l'embrassa sur chaque joues et lui prit le bras, l'invitant à entrer dans leur maison bourgeoise.
Il la conduisit jusqu'au salon, lui fit signe de s'asseoir et s'installa face à elle. Patt ne saurait tarder, ainsi que le reste de la tribu, le Dehuit de Malemort tapota des doigts sur les bras de son fauteuil et prit la parole.


Comment ça s'est passé ?...
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Plumenoire
Ce qui devait arriver arriva, et c’est Arga qui vint lui ouvrir. Si Evil était tout heureux de le revoir et acceptait joyeusement les caresses, Plume se mordait la lèvre, se demandant si elle devait s’enfuir en courant et s’il la rattraperait avant qu’elle ne puisse se planquer dans les bois. Respirant lentement, la louve observait son père, attendant sagement la sentence de sa fugue.

Lorsqu’il posa son regard sur elle, Plume eu soudain envi de se ratatiner, peut-être pas de se jeter à ses pieds et d’implorer son pardon, non, ça ce n’était pas digne d’elle, mais de baisser la tête et de gémir un coup tout en se recroquevillant … peut être. Mais on ne sait quelle fierté louvesque l’animait, la faisant se tenir droite, tête haute devant lui, attendant les remontrances/coups s'ils devaient avoir lieux.

La main paternelle vint se saisir de son col, Plume eu un moment de recul, absolument instinctif et incontrôlable, comme la louve acculée, elle voulut montrer les crocs et résister. L’ours, bien plus fort que la louve, l’attira à lui. Surprise, elle cessa de bouger, comprenant qu’elle avait le droit à un câlin oursonesque… une étreinte des plus paternelles. Le louve se détendit immédiatement et lui rendit son étreinte, le serrant contre elle, soulagée.


- Ose abandonner ton père encore une fois... Et je jure par la catin de Junon de te pendre haut et court ma fille...

- Bas et Long c’est pas mieux ?

Il fallait bien qu’elle le taquine un peu … C’était dans leurs habitudes il faut dire ! Un léger sourire détendu étira les lèvres de la brunette tandis qu’elle lui rendait ses bises, le suivant à l’intérieur.

Elle était bien soulagée, elle qui s’était imaginé retourner dans les geôles, ou avoir le droit au pilori sur la halle de la ville. Ou encore être fouettée ? Ou même reniée ?
Enfin, les scènes de tout type et de tout genre avaient hanté un peu plus que d’habitude l’esprit de la louve.
S’asseyant sur son invitation, elle lui sourit doucement, juste contente d’être rentrée.

Comment ça s'est passé ?...

La question la pris un peu au dépourvu. C’est qu’elle ne s’attendait pas à ce qu’il veuille entendre parler de son voyage … M’enfin puisqu’on le lui demandait si gentiment ! Elle se doutait bien qu’elle devrait refaire son récit pour les frères et sœurs, alors pourquoi ne pas commencer par son père ?

Hé bien … C’est un peu dépaysant …

Elle rit doucement.

J’avais perdu l’habitude de me présenter à tout ce qui bouge en taverne … Mais c’est vite revenu. Vous m’avez beaucoup manqué tous ! J’ai essayé d’écrire souvent, mais j’crois que j’ai eu plus de mal à la fin … J’ai fait plein de belles rencontre. Comme une jeune femme qui avait presque mon âge, et nous avions plein de points communs ! Sauf qu’elle, elle est blonde …

Puis je n’ai pas pu voir beaucoup Alci … Ce fut un peu décevant cela … Les routes ont été très calme ! J’espère qu’on aura plus de brigands à massacrer quand on ira en Italie !


Puis le doute survient … Elle doit mettre ça au clair avec lui … Au plus vite ! Car même si Patt’ lui a dit qu’elle pouvait venir, elle veut l’accord de son père …

J’peux v’nir hein …. ?
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Rose_des_sables
A Vienne une soirée d'hiver

Alors que Rose revenait de la forêt apres avoir chasser, elle faillit heurter une tornade, un homme etrange, avec une stature imposante, un froncement de sourcil, quand celui ci la regarda en grognant, etrange, de vague souvenir lui revinrent en memoire, mais elle n'arriva pas a s'en souvenir. Decidant d'aller voir sa mere adoptive, elle passa au moulin afin de lui parler de cet etrange inconnu qui lui rappellait des souvenirs enfouis, elle savait que Coco avait connu sa famille, mais celle ci n'en avait jamais dit plus.

Frappant a la porte du moulin, et apres avoir ete invité a y entrer, Rose entra et fit une bise des plus chaleureuse a "sa mere" Lui racontant brievement la "rencontre", Rose demanda ses origines, voulant savoir plus de chose sur sa famille, ce qui surpris Coco, vu qu'elle n'en avait jamais fait la requetes jusqu'a maintenant.

Faisant signe a "sa fille" de s'installer face a elle, et apres avoir servit un chocolat chaud, Coco entreprit de lui raconter ce qu'elle savait de son pere. Elle apprit comment Coco avait aimer Jerem, et comment suite a un enlevement elle avait perdu son amour celui ci la croyant morte. De douleurs souvenir etaient remonter, meme si maintenant elle etait marié, Jerem avait toujours eu une place dans son coeur, et il lui manquait, cela se voyait et s'entendai quand elle parlait de lui. Rose ecouta en silence, et comprenant mieux d'ou venait son sale caractere et son temperament de feu qui lui avait valu quelque cicatrice suite a des bagarres.

Coco lui apprit aussi que son pere avait mis au monde d'autres enfants, mais qu'elle n'en connaissait qu'un Argawaen et qu'apres la mort de son pere celui avait decider de quitter le LD, meme Coco avait perdu tout contact. Rose remercia sa mere d'une grosse bise a la fin de son recit puis rentra chez elle, et entreprit des recherches plus pousser pour retrouver "sa vraie famille" meme si Coco et Paeins etaient devenu ses parents quand ils l'avaient receuillit, elle avait besoin de retrouver ses racines.

Au bout de plusieurs semaines elle reussit a trouver ce qu'elle cherchait mais elle resta planter devant les renseignements. Etait ce vraiment argawaen qu'elle avait percuter, comment reagirait il si il apprenait qu'il avait une soeur, que se passerait il si elle lui ecrivait.

Apres avoir refuser maintes et maintes fois, elle se decida de prendre son courage a deux mains et ecrivit.


Citation:
Bonsoir,

Je ne sais si je dois dire bonsoir cher frere donc je resterais sur une courtoisie distante en attendant une reponse. Vous devez vous demander qui je suis, je me prenome rose et j'ai ete receuillit quelques temps apres ma naissance a une jeune femme charmant du nom de Cocon oui ce nom vous parle car c'est bien celle qui vous pensez, elle a ete la compagne de notre ... votre pere, et a ce que je sais elle l'a aimer. Je n'ai juqu'a maintenant pas chercher a retrouver ma famille, la pensant morte, et Coco, n'a pas voulu m'en parler tant que je n'etais pas prete a entendre la verité au sujet de ma naissance.

Ce qui ma decider a vouloir savoir, c'est une rencontre, tres brutale avec un inconnu ayant des trait familliers qui ma pousser a vouloir connaitre mes origines, je ne sais si c'est vous, cela s'est passer il y a maintenant quelques temps a vienne dans la soirée, la personne semblait presser, mais je n'oublierai jamais se regard froid et le grognement sortant de la gorge

Peut etre que vous ne prendrez pas la peine de repondre, peut etre en avez vous rien a faire, ou alors peut etre me suis je tromper, mais au moins j'en aurai eu le coeur net, et meme si cela ma pris un certain temps, je vous aurais ecrit

Dans l'attente d'une nouvelle qui peut etre n'arrivera jamais

Une soeur retrouver

Rose


Apres avoir lu et relut la lettre elle se decida d'envoyer a l'adresse qu'elle avait trouver dans ses recherche esperant que le petit oiseau arriverai a bon port
Argawaen
Ecoutant sa fille avec attention le vieil homme acquiesçait aux paroles de cette dernière et prit la parole à son tour.

J'ai vu que tu nous avais écrit aussi souvent que possible, et j'ai essayé de répondre tant bien que mal, comprends que je n'avais pas vraiment envie de te répondre à la base... Mais après tout, tu es ma fille...

Marquant une pause il reprit.

Alci sort peu, pour te dires je ne l'ai pas vu depuis... Trop longtemps... Alors ça m'agace aussi ça, je suis fautif dans l'histoire, mais j'aimerais bien la revoir... Et concernant l'Italie... Je ne sais pas s'il est de bonne augure d'emmener une fugueuse avec nous...

Se passant la main sur le visage et fixant Plume avec assistance il reprit.

Tu peux venir... Mais au moindre faux pas, je n'hésiterais pas à une seconde à t'envoyer ligotée jusqu'au Maine afin qu'Aarhon s'occupe de toi. Et ce n'est pas négociable Plume Dehuit.

Un messager fit son apparition, sa première réaction fut de râler un bon coup, pourquoi fallait-il toujours que l'on vienne les déranger lors de moments importants ? Le vieil homme prit la missive et l'ouvrit, il commençait à survoler les mots lorsque certaines phrases attirèrent son attention. Le vieil homme reprit donc la lecture avec assiduité et relisait cette lettre encore et encore...
Une fois terminé il posa cette dernière sur la table et se passa une fois de plus la main sur le visage.


Bah ça alors... Même mort il m'étonnera toujours...

Il reprit la lettre et la relu une fois encore, voulant être sur de ne rien avoir raté. Le Dehuit de Malemort tendit la lettre à sa fille et prit de quoi écrire afin de répondre à cette personne qui se prétendait être de sa famille.

Citation:
Bonser,

Je pense qu'il est préférable de rester sur nos distances pour le moment, je ne souhaite ni m'emballer, ni créer de faux espoirs. Je me demande en effet qui vous êtes, et le nom de Coco ne me parle pas du tout. J'ai su que mon défunt père avait eu moult relations, mais j'ignorais qu'il avait eu une fille... Enfin en plus de ma demi-soeur Amarante Dehuit Kernawen.

Je ne pensais pas également que vous seriez prête à prendre contact avec moi, car de mon côté, je n'ai aucun souvenir de vous, j'ai croisé tellement de personnes que je ne retiens pas tous les visages...
L'homme dont vous parlez, mon père, Jerem Dehuit, que savez-vous de lui ? Quelle preuve tangible pourriez-vous me fournir ?

Je vous souhaite une bona serada.

Argawaen Dehuit de Malemort,
Senher de Lugan, de Cosnac, de La Force et de La Chesnelière.


Il fit envoyer le message et regardait sa fille.

T'y crois toi ? Au vu des récents événements ?...
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Rose_des_sables
Rose etait en train de travailler quand un pigeon vint se poser sur le rebord de la fenetre et toquer a celle ci. L'ouvrant en vitesse, elle fit rentrer le volatile et lui donna quelques graines. Regardant la missive enrouler a la patte de l'animal, la jeune femme hesita avant de l'ouvrir, des doutes et des apprehension lui nouerent l'estomac. Les reponses qu'elle pourrait y trouver lui faisait peur et si elle s'etait tromper, si elle avait confondu, mais non Coco avait confirmer.

Au bout de quelques instant elle ouvrit la missive et prit une grande inspiration et commenca a lire, des preuves ... quelle preuve pouvait elle donner, elle n'avait pas connu le pere ni la mere et le peu qu'elle savait c'etait Coco qui lui avait dit. Elle prit une plume la mordilla pendant qu'elle reflechissait afin de trouver les bon mots.



Citation:
Bonsoir,

Vous donnez une preuve va etre dur car je n'ai pas connu nos parents, etant mort alors que nous etions enfants, je sais que notre mere s'appelle Mylene et notre pere Jerem, Coco nous a receuillit a leur mort, c'est etrange meme que vous ne vous souveniez pas d'elle.

Elle possede un moulin a vienne la belle, et elle a 4 enfants, son mari est Paeins, peut etre que cela vous rappellera des souvenirs, je ne me souvient pas non plus de vous mais ce regard d'un bleu profond, ma fait retomber bien des années en arriere quand notre pere (je suppose) s'occupait de nous.

Coco a ete une mere pour nous, mais surtout pour moi, car quand vous avez ete en age vous avez fuit le LD pour aller ailleurs, mais vous etes revenu plus tard sur vienne, vous aviez grandit mais a ce moment la je n'etais pas dans le LD, j'etais en voyage, et vous etes venu voir Coco et avez longuement parler de votre pere, vous vouliez en savoir plus sur lui, sur ce qu'il etait un homme au caractere bien trempé, toujours en train de grogner, mais elle adorait ca et le taquinait sans cesse sur ca.

Je ne sais quoi dire de plus juste que j'attendrai de vos nouvelles.

Respectueusement

Rose


elle se relut et envoya la missive en poussant un soupir esperant que cela suffirait et qu'elle n'avait pas fait d'erreurs ...
Plumenoire
Le sourire de la brune se détendit en entendant Arga la menacer … Ce n’était qu’une énième parmi tant d’autres. Au moins il la laissait venir avec lui malgré les événements récents … Et ça c’était l’une des plus belles choses qui lui arrivaient pour son retour.

Je ne négocie pas … Merci … C’était normal que je vous écrive … vous êtes mes parents, ma famille …

Lui sourit doucement, reconnaissante.
Lorsque le messager arrive, Plume sourit amusée en entendant Arga râler. L’observant en coin, elle haussa un sourcil en l’entendant râler.


De qui donc ? Il y a un problème ?

Prenant la lettre que son père lui tendait, la louve la lut en silence, la relut … puis lut la missive par-dessus l’épaule de l’ours. Hochant la tête aux mots de l’ours, elle souriait légèrement, amusée. La même méfiance.

T'y crois toi ? Au vu des récents événements ?...

Honnêtement ? J’ai du mal … Trop de nouvelles personnes en même temps … J’ai un peu de mal à m’habituer j’dois dire … J’suis une louve après tout

Sourit amusée

J’ai besoin de … temps. Voyons les preuves qu’elle nous donnera … Mais personnellement je ne connais pas vraiment le côté Dehuit … Donc je ne saurais te dire si oui ou non elle ressemble à ton père ou que sais je …

Esquisse un sourire

Sinon ? Quoi de neuf avec la tribu ? Tous vont bien ? Et Patt’ ?
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Argawaen
Lisant la missive de sa possible soeur le vieil homme décida de faire simple, et suite aux mots de sa fille il se disait qu'elle avait raison. Mais sa curiosité était attisée, et malgré le fait qu'il ne se souvenait pas de tout il se rappelait d'un Moulin à Vienne lorsqu'il était un jeune homme. Il y a des souvenirs qui resurgissent lorsque l'on en parle...

Tout le monde va bien sinon ma fille, je pense qu'ils ne devraient pas tarder.

Il répondit à sa possible soeur ensuite.

Citation:
Donà,

Ma curiosité est attisée, et j'admets me souvenir vaguement d'un moulin à Vienne. De plus vous connaissez le nom de ma défunte mère, j'avais deux ans lorsqu'elle a trépassée, vous êtes certainement plus âgée que moi.

Rejoignez-moi en Périgord à l'occasion, nous avons à discuter...

Bien à vous,
Argawaen.

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Pattricia
[Parce que le temps est une notion aléatoire, retournons en arrière...]



La rousse avait terminé son petit dej, pris un bon bain, traité les affaires courantes. Une missive était bien arrivée d'Estheban, mais elle avait décidé d'un commun accord avec elle-même qu'il attendrait sa réponse jusqu'à son bon vouloir patochien. Et effectivement bien des jours étaient passés jusqu'à ce matin de février...

Patt avait renoué avec son époux, trop amoureuse pour le tenir à l'écart bien longtemps. Néanmoins, elle avait été bien claire, il n'avait pas intérêt à recommencer un tel comportement. Quand elle lui avait annoncé la veille que, d'après une missive qu'elle avait reçue, Plume serait à Sarlat le lendemain, l'ours avait promis, tournant dans la chambre comme un lion en cage, mille sévices à sa brunette de fille. Usant d'artifices vieux comme le monde, la vindicative avait fini par détourner son époux de son humeur colérique, pour passer à une bien plus badine... Mais dès le matin au petit déjeuner, il avait recommencé, guettant le moindre bruit venant du couloir et mettant les nerfs de sa femme en pelote.

Exaspérée, elle profite de l'arrivée du valet leur apportant les différents courriers échoués au pigeonnier dès l'aube, pour chasser gentiment le "fauve" de la chambre, prétextant un besoin de calme pour gérer ses affaires courantes. "Par le Très Haut qu'il aille propager sa mauvaise humeur ailleurs où je fais un malheur !"
Une fois assise dans son fauteuil face au jardin, dans le calme enfin revenu, la rousse décachète, l'air intrigué, une missive émanant de SSR.


Citation:

Pattricia,


C'est totalement perdue que je rédige cette lettre. Perdue et seule. Je ne sais vers qui me tourner car voilà plusieurs jours que j'ai des contractions fréquentes, mais personne pour m'aider dans ce moment. Toi qui as des enfants, est ce vraiment un jour inoubliable? Qui ramène à néant les épreuves insurmontables de la vie, même les plus horribles?

J'ai peur.
Tes talents de barbiere me seraient précieux, car je ne sais pas si je saurais y arriver seule et la douleur devient de plus en plus forte.

Je me retrouve minable à réclamer de l'aide par courrier, mais c'est aux enfants que je pense et non à ma fierté désormais. Ils sont tout ce qu'il peut me rester...
Puis je compter sur ta venue?

Amicalement.

Fergy.





L'ancienne Patt refait surface immédiatement, ressentant cette douleur que ne s'efface jamais de la perte d'un enfant, du moment où elle avait cru qu'elle était morte elle-même, enfin, libérée de la douleur d'avoir perdu l'homme qu'elle aimait tant. Puis le réveil, nauséeux, d'une faiblesse extrême car vidée de son sang, ou presque, la présence de Hiancy, son amie disparue il y a quelques mois, qui l'avait sans nul doute sauvée, aidée du père Franck, et de Virginia... Et pour finir, l'horreur de la nouvelle, de Michel de Chesnac il ne lui resterait rien à part quelques présents et des souvenirs, le fils qu'elle avait porté jusqu'à son terme n'était plus et avait failli tuer sa mère...

La rousse se secoue, furieuse de s'être laissée entraînée sur cette pente dangereuse, se lève et fait quelques pas pour calmer son intérieur en ébullition. "D'abord action !!!" Totalement ignorante des retrouvailles ourso-plumesques, elle sort en trombe de la chambre pour enfin arriver au salon où justement la personne qu'elle cherchait se trouvait là...


Ahhhh ! La fille prodigue est enfin de retour, et elle tombe à merveille !
Personne ne s'est entretué ? Parfait !


Oubliant totalement les formules de politesse comme à chaque fois qu'elle est sur un nouveau projet, la vindicative bise distraitement Plume avant de l'entraîner sur le divan et de commencer sa série d'instructions.

Ma fille je vais avoir besoin de toi dès ce soir, nous devons partir en urgence à Bergerac, SSR va accoucher d'ici, peu et elle ne va pas bien du tout. Le vilain italien à fait des siennes, je lui dirai le fond de ma pensée plus tard, d'abord Fergy et les bébés.

Le temps de relever la tête et de rencontrer le regard de son époux et "oups..."

Je suis désolée de ne pas t'en avoir parlé plus tôt mon coeur, je viens de l'apprendre...

La vindicative se lève, le rejoint en se mettant sur la pointe des pieds, se pend à son cou et l'embrasse tendrement.

Dès que je suis sûre de l'état de santé de la mère et des enfants, nous rentrons dans la foulée, promis !
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Dernière édition par Pattricia le 06 Mar 2014 09:04; édité 1 fois






















Earnan..
Dans un camp a d'Orléans.


Earnan fusait les 100 pas dans le camp en criant sur l'un ou l'autre garde qu'il avait pris avec lui en voyage.

Une fois arriver dans sa tente, il détacha sa cape et se mit à 'l'écritoire certaine question demandais réponse.




De nous ; Earnan Dehuit de Malemort
A vous ; père et membres de la maison qui sont dignes de porter le nom de Dehuit de Malemort

Salutation et paix,


Père , Tant de mois ont passé est ces avec tristesse que je n'ai point pu te donner de mes nouvelles mais aujourd'hui les vents sont avec moi.

Le jour ce lève et j'ai hâte de te voir...Hâte? Oui, car je revins père mon travail est terminer et j'ai besoin de repos, mais tu dois savoir mieux que moi ce que ça veut dire. Je prendrais rapidement la route quand la réponse arrivera..si tu n'es pas parti avant moi car j'ai reçu des nouvelles comme quoi tu partait en Italie , tu devrais faire plus attention les oreilles de nos ennemis sont toujours près de nous et je ne veux pas qu'il t'arrive un accident même si au fond de moi je sais que tu n'est pas homme à te 'laisser faire.

Mais assez parler de moi , il me faut de tes nouvelles et celle de mes frères et sœurs je suis resté trop longtemps loin des miens . Comment vont-ils ? Que font-ils ? Je veux tout savoir !!

je te laisse sur ces paroles et espère avoir vite ta réponse.


Que la maison des Dehuit de Malemort brille et que nos ennemis soit abattus.



Signé Earnan Dehuit de Malemort le seul et l'unique.


Une fois la missive terminer , il la confia a un messager pour qu'elle soit rapidement apporter.Tout en observant le messager partir il se mis a donner des ordre pour que tous soit près a partir dans les plus bref délai.
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