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[RP] Cérémonie nobiliaire - Noble ceremony 1st august 1465

Portalis
Ayant reçu missive, il se présenta à Saint Titus, assez pensif sur ce qui allait se jouer ce jour icelieu, et la marche du monde romain
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Laurentz
Suddenly Mercato appeared next to him and he greeted him with a smile. "Gott mir dir. Nein, Macbeth habe ich noch nicht gesehen. Ich bin mir sicher er ist hier irgendwo. Es sind einfach zu viele Leute." Laurentz turned his glance to the entrance, where he could spot the brother they were looking for. He beckoned him over. "Deus tecum, Macbeth." Grinnig he added: "Aufgeregt?" Before Mac was able to answer the French grandmaster passed by the group of his german brothers. They greeted each other friendly. Only moments later also the german grandmaster joined their group. "Deus vobiscum, Hochmeister. Die Verständigung bekommen wir bestimmt irgendwie hin. Vielleicht sollten wir uns einen Platz suchen. Für Macbeth ist in einer der vordersten Reihen reserviert."


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Plötzlich tauchte Mercato nehen ihm auf und er begrüßte ihn mit einem Lächlen. "Gott mir dir. Nein, Macbeth habe ich noch nicht gesehen. Ich bin mir sicher er ist hier irgendwo. Es sind einfach zu viele Leute." Laurentz wandte seinen Blick zum Eingang, wo er den gesuchten Bruder ausmachen konnte. Er winkte ihn zu ihnen. "Deus tecum, Macbeth." Grinsend fügte er hinzu: "Aufgeregt?" Doch bevor Mac antworten konnte, kam der französischen Hochmeister an der Gruppe seiner deutschen Brüder vorbei. Freundlcih grüßten sie einander. Nur Momente später dann, kam auch der deutsche Hochmeister zu ihrer Gruppe. "Deus vobiscum, Hochmeister. Die Verständigung bekommen wir bestimmt irgendwie hin. Vielleicht sollten wir uns einen Platz suchen. Für Macbeth ist in einer der vordersten Reihen reserviert."
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Frater Ordinis Teutonici, Primus Ambassiator
Subsecretarius Apostolicus Germanicus
Genevote.nourriciere

    FR

    Rome n’avait rien de comparable à l’Helvétie, à la Champagne, à la Lorraine ou encore à la Guyenne. Ni pour son climat, ni pour ses paysages, ni pour son architecture, ni pour le sublime nuancier de brun qui épousait doucement les traits du lieu en cette heure, ni pour … enfin vous avez compris. Tout ici avait une majesté que la Harpie découvrait tout juste, les yeux émerveillés comme ceux d’une enfant découvrant le monde. Mais le monde justement, lui paraissait comme une tache vulgaire sur ce tableau : grouillant dans les artères de cette ville, se bousculant, beuglant, festoyant. Là où il y avait l’effervescence, pour elle ce n’était qu’un supplice. Loin du calme de son logement nancéen, de sa solitude et de ses études Genevote n’était plus qu’une pauvre chose, étrangère, perdue, peu sûre d’elle et de nouveau empreinte à ses interminables râleries.

    La chaleur devenait étouffante. Le bruit, quant à lui assourdissant, s’estompa un instant pour laisser s’élever le son des cloches de la basilique. Jamais l’helvète n’avait entendu pareille musique, si mélodieuse et divine.
    Sur ces entrefaites elle rejoignit la place Aristote, avec difficulté, jouant des coudes afin de se frayer un chemin et priant pour qu’en bout de course elle trouve enfin un peu d’air et d’espace. A l’arrivée, même ses vêtements n’étaient plus que des vestiges de cette excursion ; le surcot vert pâle broché agrémenté de galons blancs brodés et surmontant une tunique blanche n’avait plus rien de neuf, désormais froissé et poussiéreux, tout comme l’était le linge blanc qui coiffait la tête de la harpie. Le seul rescapé était le médaillon qu’elle portait autour du cou, celui que lui avait été offert par sa marraine, honorée comme d’autres ce premier jour du mois d’août. En pareil endroit elle la portait fièrement, heureuse malgré l’agitation d’être au cœur de la communauté aristotélicienne.

    Finalement elle ne trouva pas plus ici qu’en bas le peu de paix auquel elle aspirait. La marée humaine lui paraissait plus dense encore. Mais loin d’être abattue par son dégoût de la foule, Genevote reprit consistance et épousseta énergiquement les pans de son habit. Se redressant, elle considéra la garde pontificale ordonnée devant la basilique. Tant d’allure ! Les militaires bouseux des contrées impériales et françaises ne pouvaient pas rivaliser. Cette garde ouvrait le passage jusqu’à l’édifice où l’helvète entra bientôt. Il n’y avait guère plus que quelques places assises. Elle se contenta donc de trouver un coin tranquille dans une allée latérale, veillant à n’être gênée ni d’un géant large d’épaules, ni d’un pilier en pierre. Bien qu’elle n’eut encore aperçut aucune tête connue, elle distinguait suffisamment la nef pour profiter de la cérémonie à venir et ne doutait pas de voir ceux pour qui elle avait fait le déplacement.


    EN

    Rome had nothing comparable in the Helvetia, in the Champagne, in the Lorraine or in Guyenne. Neither for its climate, nor for its landscapes, nor for its architecture, nor for sublime shade of brown which married slowly the lines of the place in this hour, nor for ... well you know what I meen. Everything here had a majesty which the harridan just discovered, amazed like a child discovering the world. But the world, at this moment, appeared to her as a vulgar stain on the painting : swarming in the streets of this city, pushing aside, squalling, celebrating. For her it was only an ordeal. Far from the peace of her little pied-a-terre at Nancy, her solitude and her studies Genevote was not more than a poor thing, foreign, lost, and angry once again.

    The heat became stifling. The noise, as for him deafening, became blurred one moment to let rise the sound of the bells of the basilica. Never the Helvetian had heard such music, so melodious and divine.
    At this moment, she joined the place Aristote, with difficulty, elbowing through to make a way and praying so that at the end she finally finds a bit of air and space. On arrival, even her clothes were vestiges of this excursion; the bound pale green surcot decorated with embroidered white stripes and surmounting a white tunic had nothing more new, from now on creased and dusty, just like was it the white linen which put on the head of the harridan. The only survivor was the medallion which she wore around her neck, the one that had been offered by her godmother, honored as one others this day. In such place she wore it proudly, happy in spite of the agitation to be at the heart of the Aristotelian community.

    Finally she did not find more peace here. The great flood of people seemed still heavy to her. But far from being brought down by its disgust of the crowd, Genevote took back consistency and dusted energetically the pieces of her dress. Recovering, she considered the papal guard ordered in front of the basilica. So much style ! ! Imperial and french armies could not compete. This guard opened the passage up to the building where the helvetian soon entered. There was hardly more than some seats. She just finding a quiet place in a side path, watching to be bothered neither by a giant, nor by a stone pillar. Although she still had perceived no familiar face, it distinguished enough the nave to take advantage of the ceremony to come and did not doubt to see those for whom it had made the trip.

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Arnarion
Les hautes et lourdes portes de la basiliques étaient encore ouvertes, aceuillant le flot des pèlerins envahissant la nef et les bas-côtés. L'intérieur avait été nettoyé pour l'importante cérémonie qui allait se dérouler sous peu, et des étendards de gueule aux armes des Etats pontificaux avaient été placés en haut des hautes colonnes romaines et pendaient jusqu'en bas. Les dernières lueur du jour que filtraient les vitraux propageait une lumière de mille et une nuance d'or et de pourpre nimbant les murs d'une aura féerique. Tout au bout, par delà le parapet, trônait, imposant, le grand baldaquin de Saint Titus, cathèdre universelle de la Sainte Eglise, siège des Papes devant lequel chaque nouveau noble allait bientôt devoir s'agenouiller pour prêter serment.

Soudain le silence se fit. La valse des cloches s'estompa. Par-delà les statues des anges, commançait à se faire entendre, puissant et magnifique, le majestueux chant du grand orgue, monstre de fer, dont le sifflement semblable au tonnerre, faisait trembler sols et murs.
Alors, de la sacristie majeure sortirent, soigneusement alignés et d'une symétrie impeccable, la longue litanie des diacres, prêtres, archiprêtres qui portaient triomphalement la grande croix encadrée de la lumière des cierges. Solennels, de leur encensoirs, formant un léger nuage d'une fumée opaque et blanchâtre, à l'odeur parfumée, ils s'avançaient imperturbablement, ouvrant le chemin aux Cardinaux qui entouraient le Saint-père Innocent VIII d'un blanc éclatant vêtu parmi la marée pourpre. Ils marchèrent ainsi sous l'hymne puissant de l'orgue et le regard omnipotent de Dieu, traversant l'immense nef jusqu'au choeur, tandis que la chorale commençait à accompagner l'orgue de ses multiples voix semblables aux choeurs des chérubins louant la gloire de l'Eternel. Une fois le transept passé, la procéssion se sépara et tous gagnèrent leur place, les uns sur les stalles qui encadraient le maître-autel de chaque côtés et les autres sur leur place attribuée aux côtés du Pape. Seul l'Archichancelier resta debout, face à l'autel et dos à l'assemblée. Rendant hommage au Pape d'un courbement du dos, il se retourna et fit face à la nef. Au même moment, le chant du fer cessa et son echo s'estompa dans l'espace basilical.


In Nomine Patris, et Aristotelii et Christi, Amen. Dit-il en portant sa voix pour que tous puissent l'entendre.

Mes bien chers frères et soeurs, nous voici rentré dans les festivités de la Saint-Titus, le Prime apôtre. Cette fête de précepte, une des plus grandes instituées par notre Sainte Mère l'Eglise, vise à nous remémorer les premiers temps de l'Eglise et sa construction dans la Foi, l'Espérance et la Charité. Et nous militants de l'Eglise, détenteurs de cette heureux leg, sommes partis de ce corps admirable. Voilà pourquoi, il est de coutûme, que dans sa grande bonté, notre Très Saint Père le Pape, élève quelques fidèles méritants sur ses terres afin qu'ils participent de manière plus proche au service de Dieu.

L'enseignement de cette Messe vise à se souvenir que tout provient de la grâce de Dieu. Sans elle, rien n'est fait et rien ne peut être fait. Sans elle, rien n'a de sens et rien ne peut avoir de sens. Il vise également à se remémorer que Dieu nous juge en fonction de nos mérites, et que nos mérites ne peuvent exister sans la grâce de Dieu pour les accomplir. En somme, c'est par la grâce de Dieu et par vos mérites que vous gagnerez le Royaume des Cieux !

Allons ! Frères et Soeurs ! Soyez les enfants dignes d'un Père si bon, si grand et si digne d'être aimé, qui nous a tout donné sans rien attendre en retour que l'amour ! Soyons obéissant, stimulé par le Royaume des Cieux et la grandeur de notre Père, par la diffusion de sa Vérité, la défense de son saint nom et de sa sainte Institution sur terre !





The high and heavy doors of the basilicas were still open, adorning the flood of pilgrims invading the nave and the aisles. The interior had been cleaned up for the important ceremony that was about to take place shortly, and standards of the mouths of the papal states had been placed on top of the high Roman columns and hung downwards. The last light of the day filtered through the stained-glass windows spread a light of a thousand and a shade of gold and purple nimbus the walls of a fairy aura. At the very end, beyond the parapet, stood the imposing grand canopy of St. Titus, the universal cathedral of the Holy Church, the seat of the Popes, before which each new noble was soon to kneel to take the oath.

Suddenly there was silence. The waltz of the bells faded. Beyond the statues of the angels, began to be heard, powerful and magnificent, the majestic [/url=https://www.youtube.com/watch?v=BLyg3WB8qwo] Iron song[/url], whose whistle like thunder, made walls and walls tremble.
The long litany of deacons, priests and archpriests, who triumphantly carried the great cross framed by the light of the tapers, proceeded from the sacristy, with the most impeccable symmetry. Solemn, from their censers, forming a light cloud of opaque and whitish smoke, with a perfumed odor, they advanced imperturbably, opening the way to the Cardinals who framed the Holy Father Innocent VIII of a brilliant white purple.
They walked under the powerful hymn of the organ and the omnipotent gaze of God, crossing the immense nave to the choir, while the choir began to accompany the organ with their many voices similar to the choirs of the cherubs praising the glory of the Eternal Lord. Once the transept passed, the procession broke up and all of them gained their place, some on the stalls which framed the high altar on each side. Only the Archchancellor remained standing, facing the altar and back to the assembly. Paying homage to the Pope with a curve of the back, he turned and faced the nave. At the same time, the iron chanting ceased and his echo faded away in the basilica.



In Nomine Patris, and Aristotelii and Christi, Amen.He said, carrying his voice so that everyone could hear him.

My dear brothers and sisters, we are back in the festivities of the Holy Titus, the Prime Apostle. This feast of precept, one of the greatest instituted by our Holy Mother the Church, aims to remind us of the early days of the Church and its construction in Faith, Hope and Charity. And we militants of the Church, holders of this happy legacy, left this admirable body. That is why it is customary for us, in his great goodness, our Most Holy Father the Pope, to raise some deserving faithful on his lands so that they may participate more closely in the service of God.

The teaching of this Mass aims to remember that everything comes from the grace of God. Without it, nothing is done and nothing can be done. Without it, nothing has meaning and nothing can make sense. It also aims to remember that God judges us according to our merits, and that our merits can not exist without the grace of God to accomplish them. In short, by the grace of God and by your merits you will gain the Kingdom of Heaven!


Come on ! Brothers and sisters ! Be children worthy of a Father so good, so great and so worthy to be loved who gave us everything without expecting anything in return but love! Let us be obedient, stimulated by the Kingdom of Heaven and the greatness of our Father, by the spreading of his Truth, the defense of his holy name and his holy institution on earth !

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cesare.copona
Ne pas être en retard, c'était la mission du jour pour notre héro. Cesare était parti pour Rome plusieurs jours avant. Dans le ciel, ce jour là, la nuit commençait à vaincre le jour dans leur bataille quotidienne. Cesare se dirigea vers la Basilique Saint Titus, comme bon nombre des fidèles. Il réussit à rejoindre la place au moment où les cloches se mirent à chanter. Et ainsi, le jeune diacre suivit le courant des fidèles pour pénétrer dans la basilique lorsque ses portes s'ouvrirent. Il observait avec grand intérêt le travail remarquable donné pour rendre cet endroit magnifique. Cesare était émerveillée, et totalement absorbé par tant de beauté. Soudain, les cloches cessèrent leur mélodie, alors que l'orgue et le chœur leur firent succession et la procession débuta. Le calme revint, et le cousin du jeune homme, en maître de cérémonie, ouvrit la messe par une introduction.

Not to be late was the mission of the day for our hero. Cesare begins his journey for Rome several days ago. In the sky, that evening, the night began to defeat the day in their daily battle. Cesare made his way to the Basilica of St. Titus, like many of the faithful. He succeed to reach the place when the bells began to sing. And so the young deacon followed the stream of the faithful which penetrated the basilica when its doors opened. He watched with great interest the outstanding work done to make this place wonderfull. Cesare was amazed, and totally absorbed by such a high beauty. Suddenly the bells stoped their melody, when the organ and the chorus did their succession, and the procession began. Calm returned, and the cousin of the young man, as master of ceremony, opened the liturgy by an introduction.
Nicollielo
Nicollielo nunca havia se divertido tanto em uma viagem até Roma, a companhia especial da jovem Arendele o deixava sempre com o sorriso no rosto. Ao andar pela bela cidade ele ia contando tudo o que sabia sobre as lindas construções que lá havia e se lembrava de sua primeira viagem até ali, quando foi com seu pai que era seu guia.

O Diácono e a Dama haviam recebido um convite pra uma cerimonia que iria ocorrer na Basilica de São Titus, onde Beatrix iria receber um titulo de nobreza romano. Nicollielo e Arendele concordam em ir na grande cerimonia e vestem suas melhores roupas, o Diácono gasta boa parte de seu tempo para deixar sua batina extremamente preta, sem sequer um fio de linha das outras roupa. É uma cerimoniaria nobiliárquica, tenho que estar bem arrumado, pensava Nicollielo.


- A Basilica é enorme, tens de ver como é linda! - Diz Nicollielo animado como se fosse uma criança, enquanto ia para a cerimonia, ele mesmo só havia ido lá uma vez e estava bastante feliz em retornar no belíssimo lugar.

Ao chegar, apesar da grande quantidade de pessoas, eles encontram facilmente a Ruiva com um belo vestido azul e vão até ela.


- Beatrix! - Diz Nicollielo ao saúda-la com uma vênia - Parabéns! Recebemos teu convite e viemos.
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Cardeal Nacional Sufragâneo | Vice-Primaz de Portugal | Bispo da Guarda | Secretário Lusófono dos Registos Romanos | Professor Estagiário do Seminário Menor de Viana do Castelo | Capelão da Capela de São Karel

soniaolhos
Foi com alegria que recebeu o convite de Beatrix e o aceitou prontamente. A viagem foi divertida, porem cansativa. Sua irmã Talassa a acompanhou nesta jornada, e ambas, trajas elegantemente, entram na Basilica para assistirem á cerimónia.
Sorridentes e descontraidas, comprimentam os conhecidos, especialmente a Beatrix, que lhe acenam respeitosamente.
Sentam-se calmamente, observando a beleza em volta.







It was with joy that she received Beatrix's invitation and accepted it promptly. The trip was fun, but tiring.

Her sister Talassa accompanied on this journey, and both, dressed elegantly, enter the Basilica to attend the ceremony.

Smiling and relaxed, they delight the acquaintances, especially Beatrix, and respectfully they wave.
They sit quietly, observing the beauty of the place
Enriique
¡Tarde, volvía a estar tarde! Desde su arribo a la ciudad de Roma parecía estar haciendósele costumbre llegar tarde a todos los eventos a los cuales era invitado; aquella ceremonia era, particularmente, una de las que más disfrutaba. El Santo Padre congratulaba con su bendición y especiales dádivas a cuantos trabajaban arduamente por el bienestar de la Santa Sede, que también por esparcir la Verdad Divina por los confines de la tierra... Era imposible no sentir nostalgia al ingresar a la Basílica de San Tito por aquella ocasión, recordaba claramente cómo había sido él ennoblecido en los Santos Estados Pontificios.

Intentó apoderarse de un buen lugar desde el cual pudiese ser parte de la ceremonia.


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Late, it was late again! From his arrival in the city of Rome it seemed to be customary to arrive late to all the events to which he was invited; That ceremony was, in particular, one of the most enjoyed. The Holy Father welcomed his blessings and special gifts to those who worked hard for the welfare of the Holy See, who also spread the Divine Truth to the ends of the earth ... It was impossible not to feel nostalgic when entering the Basilica of St. Titus on that occasion, clearly remembered how he had been ennobled in the Holy Pontifical States.

He tried to seize a good place from which he could be part of the ceremony.

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Eduardo
L'Cardinal portugais arrive pour accompagner la cérémonie de noblesse romaine. Ce fut une occasion très spéciale. Le Doyen du Petit Séminaire de Viana do Castelo, il serait parmi les personnes honorées. Ce fut une occasion importante parce que Beatrix toujours aider dans le développement de Eglise Aristotelicien au Portugal. Il a marché où Béatrix était d'offrir ses salutations.
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    Eduardo Cardeal-Próspero
Cesarino
Rome was filled with pilgrims and visitors from every corner of Europe, as always the heart of the Aristotelian Faith showed its eternal beauty to everyone.
In such a day the Church showed its universal reach, the immortal message of God and His Prophets spreading from the Eternal City to the whole globe.
Representatives of all faithful nations had gathered that day to pay their homage to the Vicar of God on Earth and see him reward some worthy faithful.

The Italian Prince gave the last instructions before entering the imponent Basilica, the Holy Father would have come shortly, marking the beginning of the ceremony...


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𝔓𝔯𝔦𝔫𝔠𝔢 𝔡𝔢 𝔊𝔞𝔩𝔦𝔩𝔢𝔢, 𝔐𝔞𝔯𝔮𝔲𝔦𝔰 𝔡'ℑ𝔰𝔬𝔩𝔞 𝔖𝔞𝔫 𝔐𝔞𝔯𝔠𝔬
Beatrix_algrave
Beatrix foi surpreendida pela presença de seus amigos que atenderam atenciosamente seu convite. Ela cumprimentou a todos com um sorriso e uma mesura, ela sentia-se particularmente feliz. Ela agradeceu a todos pela presença. Seus olhos brilhavam encantados, ao perceber o esplendor da basílica. Da primeira vez que ali estivera, ela mal conseguira prestar atenção em tudo, de tão emocionada. O som do órgão quebrou esse encantamento. Ela percebeu que a cerimónia se iniciaria e quedou-se absorta, prestando atenção ao cortejo que surgia na basílica entre turíbulos de incenso.

Diante das palavras sacras proferidas, Beatrix murmurou docemente.

- Amén!


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Beatrix a été surpris par la présence de ses amis qui ont assisté à votre invitation avec soin. Elle salua tous ses amis avec un sourire et un arc, elle se sentait particulièrement contente. Elle a remercié tout le monde par la présence. Ses yeux brillaient enchantés, se rendant compte de la splendeur de la basilique. La première fois que j'avais été là, elle pouvait à peine faire attention à tout, tellement excitée. Le son de l'orgue a brisé ce sortilège. Elle se rendit compte que la cérémonie allait commencer et était en extase silencieuse, regardait la procession qui apparut dans la basilique entre encensoirs d'encens.

Devant des paroles sacrées prononcées, Beatrix dit doucement.

- Amen!
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Pároca de Braga | Camareira diocesana| Primeira Arquidiaconisa de Braga| Reitora do Seminário Menor de Viana do Castelo| Tradutora Chefe do Frigidarium na Villa San Loyats
Macbeth_Moray
Macbeth begrüsst einige der Leute, viele kannte er nicht einmal. Dann sah er einige Ordensmäntel und freute sich. Diese Leute kannte er, er kannte sie gut. Er ging auf sie zu, es war Laurentz, Mercato und Hochmeister Sam.

Deus vobiscum meine Brüder. Schön das ihr kommen konntet. Das so viele Leute kommen hätte ich nicht gedacht, sind sie alle meinet wegen hier?

Dann passierte irgendwas, gespannt schaute er um her, abe rso recht wusste er nicht was jetzt passieren würde.

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Macbeth greeted some of the people, many of whom he did not even know. Then he saw some religious coats and rejoiced. He knew these people, he knew them well. He walked toward her, it was Laurentz, Mercato and Master Sam.

Deus vobiscum my brothers. Nice that you could come. That so many people come I would not have thought, are they all mine because of here?

Then something happened, anxiously he looked around, abe rso right he did not know what would happen now.
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Ordre Militaro Religieux Aristotélicien
Constantin de Wissocq
Le jeune Duc de Lorraine avait été convié à cette célébration par son ami Jewak, aussi avait-il fait le déplacement, afin de pouvoir assisté à son anoblissement: ce n'était pas tous les jours qu'un ami s'élevait ainsi. Le Duc aux cheveux d'or, fatigué par le voyage, arriva dans la Basilique en compagnie de Caelan, à qui il fit un immense sourire juste avant de franchir le seuil:

Hé bien...
Rome... Crois-moi si tu veux, mais c'est la première fois que je franchis les portes de Saint Titus. C'est... impressionnant.
Qu'en penses-tu ?


Nouveau sourire puis il entra.
Il y avait déjà du monde mais la cérémonie ne semblait pas encore avoir commencée: ouf. Mais cela n'allait pas tardé. Il chercha du regard Jewak, il le vit mais il était fort loin, aussi il ne sut pas si lui-même avait repéré l'arrivé du Duc aux cheveux ensoleillés.

Il avisa par contre Victoria et se dirigea naturellement vers elle pour la saluer et prendre place: on allait faire un carré lorrain dans la Basilique. Cette idée le fit un peu sourire.


Bonjour Vic, les enfants
Tu vas bien ?
On t'envahit un peu, désolé.


Il sourit à nouveau à Caelan.

On sera bien ici non?
On aura une vue dégagée tu penses?


Puis, peu après, le Cardinal commença la cérémonie.
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Péris
Attendant tranquillement le début de la cérémonie le jeune homme aurait du se douter que certains amis de Jewak serait venue de Lorraine avec lui, ou du moins pour le voir. Entendant le nom de Vic cela lui fit un déclic presque aussi sonore que la cloche qu'il sonnait avant chacune de ses messes. En plus prononcé par la bouche du Duc de Lorraine qu'il avait reconnue grâce à ses atour particulier qu'il avait jadis vu sur son ami de longue date.

Ne pouvant plus s'approché car la cérémonie commençait le chonchon décida d'attendre la fin pour aller les voir, il avait besoin de parler à la jeune veuve et c'était le plus sur moyen de pouvoir lui apporter plus d'aide.

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Peris le beau petit chonchon, Bochon!
Caelan O'Sullivan
Le Duc ayant demandé a Blondie de l’accompagner, celle-ci ne pu refuser, de plus c’était pour l’anoblissement de son presque beau frère Jewak, il allait donc de soi qu’elle ne pouvait rater cela.
Une surprise sans doute pour lui. Car à aucun moment, elle n’avait fait mention a Jewak de présence.


La jeune femme avisa l’édifice. Tout comme Constantin, elle n’y était jamais venue auparavant.

Je n’y suis jamais venue non plus, enfin pas dans mon souvenir. C’est majestueux, immense comme tu dis.

Elle fit son entrée, accolée au Duc. Suivant chacun de ses pas. Tout en saluant sa belle mère, elle s’installa.

Victoria.


Lui sourit avant d’embrasser ses frères et sœurs, elle ne les voyait que trop peu, alors un seul instant passés avec eux, fit grandement sourire Blondie.
Elle se pencha après coup vers Constantin afin de lui faire réponse.


Oui nous serons bien ici.
J’aperçois Jewak, donc nous sommes relativement bien placés.


Dernier sourire avant de se concentrer sur la cérémonie qui allait commencer.

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