Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   1, 2, 3, 4, 5, 6   >   >>

Info:
Unfortunately no additional information has been added for this RP.

[RP] Mariage de Sofie de Valmonte et Merlin de Montbazillac

--Le_chapeau_rond
Les portes étaient grandes ouvertes alors que la journée semblait s'annoncer belle. Un mariage dont les étoiles apportaient la nouvelle à travers les cieux.

Les portes de l'église étaient grandes ouvertes, Monseigneur Iaudas allait officier. Des invités étaient attendus, un mariage d'ex Auvergnats, devenus expatriés en exil quelque part entre France et Navarre et des invités remarquables...
Merlinrr
[Les amants merveilleux, l’extase dans les yeux marchaient comme s’ils portaient en eux un trésor fabuleux, presque miraculeux : cette immense fortune d’être deux.*]


Au tout petit jour....

La route avait été longue et semée d'embûches. Des "je t'aime, moi non plus" qui avaient duré près de trois longues années jusqu'à ce NON qui avait irrémédiablement changé leur vie. Pourtant, jamais durant l'errance, pas un seul jours ils n'avaient pu oublier l'autre et quelques soient les chemins qu'ils avaient emprunté ceux-ci les avaient toujours amenés à se rejoindre.
En s'éveillant ce matin-là, il songeait à leur première rencontre, souriant de ce "je vous aime" qu'elle avait osé et qui avait bouleversé sa vie. Alanguie contre son torse, Sofie dormait encore. Il écarta une mèche rousse qui barrait son visage et posa ses lèvres sur les siennes. La veille au soir, il y avait la taverne et les amis qui peinaient encore à croire à ce mariage. Jiveli leur filleule bien sûr... toujours dans les confidences et qui avait compris sans doute dans les premières que ces deux-là étaient fait pour se rencontrer et pour vivre ensemble. Mais aussi Killian son futur beau-frère, un jeune homme assez incroyable qu'il avait connu garçon immature et qu'il retrouvait adulte plein de ces qualités qui font les chics types et qui avait encore un peu de mal à croire que sa soeur avait dit oui. Puis il y avait toutes ces nouvelles rencontres qui se réjouissaient pour eux et goûtaient ce mariage comme la promesse de la vie qui défiait la guerre.  

Les français attendus n'étaient pas venus. Qu'importe ! La fête serait belle.
Réveiller Sofie ne fut pas sans peine, mais il avait l'art et la manière. Il en usa.

- Amour, il est l'heure. Chocolatine ?

Sourire aux lèvres à l'évocation de ce seul point de discorde entre eux : chocolatine ou pain au chocolat ?
Il était plus que temps de se préparer même si ce mariage resterait simple. Ils avaient tous deux choisis des tenues simples, contenues dans leur garde-robe respective  et des anneaux d'or gris confiés à la garde de Zhora et de Leo quand le repas avait été laissé à la discrétion de Killian.
L'essentiel était ailleurs. Sans doute dans cette urgence qu'ils ressentaient tous les deux à  s'unir pour qu'éclate enfin au grand jour ce merveilleux amour.

Laure et Elie ne tarderaient sans doute pas à la rejoindre, et mieux valait pour lui qu'elles ne le trouvent pas là.
Dernier baiser d'une lignée qui serait longue avant de quitter la chambre pour les derniers préparatifs.

....Et quelques heures plus tard, sur le parvis.

Les cloches sonnaient à la volée lorsqu'il arriva vêtu de pied en cap sur le parvis de la cathédrale
pour y attendre les premiers invités, John dans son ombre.

*Edith Piaf in Les Amants merveilleux
Elienore
[Périple d'une royalo en terre bretonne]


Je n'irai pas!

Elle a pourtant sorti toutes ses armes de séduction, le sourire enjôleur, l'oeil flamboyant aux cils qui papillonnent, les câlineries préférées que la bienséance lui interdit de narrer. - Pour la pornographique c'est au Louvre que cela se passe - Rien n'y a fait, l'époux n'a pas cédé. Elle le connait suffisamment que pour ne pas insister. S'il apprécie Sofie, assister à un mariage est au dessus de ses forces. Même au leur il donnait l'impression d'être à un enterrement, c'est dire si ça lui est pénible.
C'est donc seule qu'elle affrontera tous les dangers de cette noce.

Première étape, franchir la ligne de démarcation entre la zone bretonne et la zone annexée par la France. Ce n'est pas une mince affaire mais la brune, rarement en panne d'imagination, a de la ressource.
Contre une bourse atrocement rebondie, n'oublions pas qu'elle est auvergnate et que lâcher le moindre denier est une déchirure, elle se procure tout l'attirail de la parfaite paysanne bretonne.
Sabots aux pieds, bigoudène posé sur la tête et cotte de maille sous la robe parce que pas folle la guêpe. Pour un temps elle n'est plus Sa Grâce Elienore de Montsalvys~Noilhac mais Pérette.
Chemin faisant, panier en main, elle lance à la cantonade devant les chapeaux ronds, assoiffés de sang français.


Qui veut mon bon beurre breton, le seul, le vrai, le bon...

Elle offre le sourire commercial de la crémière et poursuit sa route, coeur battant de peur d'être démasquée. Elle est en terre ennemie mais l'ennemi est-il vraiment celui qu'on croit?
Enfin le clocher de la petite église se dessine à l'horizon. Elle est saine et sauve, uniquement les pieds douloureux dans les sabots de bois.
Désireuse de prendre un peu de repos et de reprendre son identité avant la cérémonie, elle pousse la porte de l'auberge bien nommée "A l'hermine blanche"


Bonj...euh...Demat mon brave.
Une chambre pas trop pouilleuse et une galette caramel beurre salé.


Elle en rêve depuis des jours de cette galette, le maïs sous toutes ses formes elle n'en peut plus. L'aubergiste, le regard torve l'inspecte de la tête aux pieds lui donnant l'impression soudaine d'être une vache devant le boucher. Manquerait plus qu'il lui demande de montrer ses dents.

Elle a de quoi payer la laitière?

Pour toute réponse elle sort de son panier une autre bourse tout aussi rebondie, grommelant intérieurement contre la rousse. Ce mariage va lui coûter un bras si pas la vie.

Faut point se fier aux apparences mon bon monsieur.
Pour la chambre il m'en reste une a partager avec une autre.

Le sourire de la brune s'épanouit en pensant à la blonde.

Oh l'Ôtre arrive. Formidable, j'ai hâte de la revoir.

L'aubergiste la regarde sans rien comprendre et pour cause, qui le pourrait mis a part une des trois? Il lui fait signe de le suivre, la menant à la fameuse chambre tant souhaitée. Devant la porte qu'il ouvre, il enchaîne.

Pour la galette ça va pas être possible, y a pus rien, c'est la misère...
Ah non pas à moi! Le seul grand miséreux sur cette terre se nomme Guy et ce n'est pas vous. Dénichez moi de quoi manger et fissa!

Elle claque la porte au nez du bonhomme médusé et se laisse tomber sur le lit, faisant valser ses sabots à l'autre bout de la pièce avec un énorme soupir d'aise.

Arriver à la noce vivante. C'est fait!

L'étape suivante va être d'en sortir dans le même état mais ça c'est une autre histoire... Pour l'heure un brin de toilette, une robe "Mad in Paris" avant de retrouver les copines.
Sofie.de.valmonte
[Je n'attendais que vous]




La vie n’est qu’un passage de jours et de surprises. Parfois des désappointements, mais toujours au fond d’un gouffre profond, il était présent. Souvent il suffisait de presque rien, parfois, le presque trop coupait les ailes des fées les plus endurantes.

De chemin en chemin, le temps s’était étiolait, trois années à se chercher, se trouver, se quitter, jusqu’au jour du solstice ou la vie prenait enfin une tournure différente. Un anneau, un baiser et la vie semble éternelle..

Ses amies de toujours en confidentes, bien des peurs ressassées qui avaient su se terrer et des regrets éternels qui allaient devenir une force dans l’amour.

On alliait la guerre, la Bretagne et la France se déchiraient, comme un combat en lice, cette fois-ci elle ne pouvait le partager. Quoi de plus naturel, que de se marier pour annoncer un renouveau, dans une période tourmentée de combats et de sang. D’ailleurs pour se mettre en accord avec l’ambiance, la veille, ils s’étaient rendus dans l’arène de la lice , ce qui n’arrangeait pas son état au matin..

Plus tôt au matin, elle avait senti qu’il s’apprêtait, un baiser, un grognement en réponse, elle avait encore trainé au lit, une couche qu’ils partageaient en secret et en parfait péché. Un déjeuner avalé en vitesse, avec son Pain au choco, il lui fallait à présent, tenter de dompter bien pire que les Français, pires encore que chaque bataille de ce monde.

Ses cheveux.. C’est avec un grand soupir que devant le miroir, elle pose la main sur la brosse. Les démêler mèche après mèche, tenter de les discipliner en leur intimant l’ordre de ne plus bouger. Plus tard elle entendrait surement une cavalcade dans l’auberge, ce qui voudra dire qu’elles sont arrivées. L’une râlera, d’avoir dû ramper sous les barricades, l’ôtre se plaindra, du confort sommaire.


A nous ! Vous ne me résisterez pas et dans une heure vous serez aussi lisse que la royauté
_________________
Shanti_lemonier
Un messager , une invitation

HANNNNNN Sortant de mon vago , je vais auprès de mon époux

mon loup , Sofie et Merlin se marient !

Oui cela nous avait étonnés , la dernière fois que nous avions vu le couple , c était tendu ! Toute fois , nous avions sourit

Dis , elle aurait pu se marier quand on était en Bretagne au lieu d attendre qu on soi rentré !

Il fut décidé de ne pas prendre le vago qui nous aurait ralenti , c est donc sur nos fiers destriers , Ananda devant moi , que nous avions fait route vers la Bretagne .

Le jour J , nous étions prêts a assister au bonheur de nos amis .

Les cloches résonnaient alors que nous approchions

Merlin , attendait sa promise sur le parvis .

Bret lui fit l accolade tandis que le lui fis la bise

Et bien Merlin , te voila fort bien apprêter
_________________
Leoriccio
Leo et Zhora se sont préparés de la meilleure des façons en paressant toute la matinée au lit, à se faire plein de bisous. Ils sont heureux tous les deux et encore plus depuis leurs fiançailles. Ils ont été invités par leurs amis Merlin et Sofie à leurs épousailles et ils sont heureux de pouvoir y participer.

Leo se souvient de la première fois où Jiveli a évoqué son parrain et Sofie... La quête de Nestor... Il est content de pouvoir participer à leur jour spécial.

Il se prépare ensuite avec sa chérie et, avant de partir, il rappelle à Zhora :


Zhora, n'oublie pas les anneaux surtout ! C'est notre mission du jour.

Zhora sourit et le visage de Leo s'éclaire devant ce sourire. Lui se charge justement de Nestor 2 qu'il emmène dans son seau pour qu'il puisse assister au mariage de sa mère !

Allez, ma chérie, en route !

Et c'est main dans la main qu'ils arrivent à l'église où ils retrouvent Merlin qui est déjà présent.

Nous sommes là, Merlin ! Impatients que la cérémonie commence !
Sandino
...Le débat entre les deux doyens de la Kumpania durait depuis un bon moment, d'aucuns diraient que c'était un dialogue de sourds ce à quoi le vieux gitan aurait répondu qu'il connaissait un couple de sourd qui s'entendaient très bien.

Entre eux l'entente était totale et ce depuis des décennies, ce qui ne les empêchaient pas de discuter, ce que les mêmes d'aucuns diraient que c'était plutôt un échange dépourvu de sens qui consistait à trouver des raisons de râler.


- moi je dis qu'elle a dit dans la bafouille qu'y fallait ramener à graille, je vais rarement à l'église mais à part une pastorale sur les produits régionaux je vois pas ce qu'on irait foutre dans une église pour la bectance, mais ce que j'en dis MADAME qu' à un titre dit que c'est des conneries.

- tu sais ce qu'elle te dit LA DAME !! de toute façon t'entendrais pas t'es sourdingue, ELLE A DIT L'EGLISE PUIS LE REPAS !! tiré du sac sur un prés.

- un prêt ? tu veux dire qu'en plus k'on doive raquer la boustifaille faut cracher au bassinet et lui prêter des lové à cette folle !! ha tu parles d'un mariage !!

- bha moi j'ai dit que c'était le Patriarche qui décidait, c'est lui qui voit pour les pertes les gains.

- un BAIN !! pas question, si c'est des noces de curistes j'y vais pas !! z'ont tous des teints d'endives et sont aussi vifs qu'un fromage de chèvre !! je dis non, les plaisanteries les plus courtes sont toujours les moins longues !!


Zézé et Sandino arrivent enfin devant l'église, surtout pour la Matriarche qui soupire.

- si c'est un bain de fromage pas besoin de tremper un orteil amore !! ecco c'est là andiamo !!

En grimaçant le vieux gitan descend de cheval et aide sa compagne à descendre, puis attache les deux bêtes avant de la suivre à l'intérieur de l'édifice religieux.
Merlinrr
Laissant présager d'une belle journée, un léger suroît avait dissipé les quelques nuages qui s'étaient accrochés au ciel en tout début de matinée. Les cloches continuaient à carillonner annonçant la tenue imminente de la cérémonie. Il sourit chamboulé au souvenir de ce qu'elle lui avait confié au tournant d'une conversation concernant justement la sonnerie des campanes. Et en ce jour du 14 juillet 1468 c'est bien pour elle qu'elles tintaient.

L'arrivée d'Erwany accrochée au bras de Bret le tira de ses réflexions.

- Erwany, Bret ! Je suis heureux que vous ayez pu faire le voyage. Je vous présente Leoriccio, un breton pure souche italienne. Si, si, je vous assure...

Sourire en coin tandis qu'il tape sur l'épaule du plus beau autoproclamé.

- J'espère que Zhora n'est pas loin et qu'elle n'aura pas oublié les anneaux ?

La compagne de l'italien avait en charge non seulement Nestor, longue histoire, mais aussi s'était vue confier les alliances qu'ils avaient choisies de concert avec Sofie.
Sofie... il tournait sans cesse la tête en direction de l'auberge où il l'avait laissée plus tôt, comme si le simple fait de surveiller l'encoignure de la rue pouvait la faire apparaître.
En vue et place, ce furent les matriarche et patriarche de la Kumpania qui se présentèrent.
Aussitôt il se porta à leur devant.

- Mon dieu Zeze mais vous rajeunissez de jour en jour ! Vous êtes resplendissante ! Sandino votre présence est un grand honneur. Je crois que Sofie compte tout particulièrement sur vous...

Porté par un élan bien peu commun chez lui, il posa un baiser sur la joue burinée de Zézé et lui glissa afin de n'être que d'elle entendu : Zézé, je stresse comme un chevalier à son premier tournoi !
Zhora
j'étais à l'appartement à me préparer pour le grand mariage du siècle...oui du siècle vous avez bien lu... les autres mariages étaient pacotille à côté de celui qui allait être célébré ses jours... donc je me préparais bien sagement entre plein de bisou de mon chéri d'amour qui arrêtait pas de venir me mordiller le cou

Amour arrête ta folie on va être en retard... mais je veux bien que tu m'aides à fermer ma robe.


Elle se tourne lui présentant son dos pour qu'il lui serre le lacet et que ça lui fasse une belle taille de guêpe et les voilà fin prêt pour aller à l'église...

Arrivées devant l'église Leo me parlent des alliances... là je stop net notre marche et le regarde...


Merde les alliances chéries, elles sont à la maison

Je le regarde droit dans les yeux, relève mes pans de robe retirent mes chaussures( putain qu'elles me faisaient mal aux pieds, je n'aurais jamais dû en mettre de neuves à talon pour être à la mise hauteur des épaules de nom sorcier).

Attends-moi là je vais vite les chercher

Vous n'avez jamais vu une blonde écervelée courir comme une folle dans les ruelles de rennes pour vite faire un aller-retour entre l'appart et l'église... bah maintenant vous ne pourrez plus le dire... en sueur essoufflez-la voici qui reviennent vers son Leo les cheveux en bataille tombant sur ses épaules, le souffle court et heu les alliances dans la main... elle reprend le bras de son sorcier... les talons restent sur les marches de l'église on ne sait jamais sue cendrillon à des envies de se chausser... bref il entre saluer l'assemble et va vers Merlin pour le saluer puis prends place
_________________
Zeze5
Les échanges entre les deux gitans étaient souvent comme leur pièces de théâtre,très vifs.

Ils arrivent enfin devant l'église où devait se tenir le mariage de leur amie, enfin Zézé espérait que c'était bien la bonne, car il y a bien des années, ils attendaient pour le mariage dans une église de Savoie, alors que le mariage était dans la cathédrale.

Mais cette fois pas d'erreur, le futur marié était là, à moins qu'il se soit lui aussi trompé, ils étaient bien au bon endroit.

- Merci Merlin pour ce compliment, mais mon corps lui ne sait pas que je rajeunis, mais le compliment fait toujours plaisir !! Tu es très beau, Sofie a fait le bon choix !!

Au moment de la bise, Merlin chuchote à l'oreille de la gitane.

- Je te comprend, Sofie dans un tournoi est redoutable, demande à Sandino, alors en tant qu'époux tu vas devoir assurer, mais je te préviens tout de suite, si tu lui fais du mal, tu auras à faire à nous !!

Le pauvre Merlin passait du rouge au blanc en passant par le vert. Sandino et Zézé le laisse méditer sur ces mots et vont s'installer auprès de Erwany et Bret. Avant d'arriver, ils saluent les gens déjà présents et Zézé, goguenarde, glisse à Sandino:

-Tu crois qu'il a peur ?! ..... bonjour les amoureux !! dit Zézé en faisant la bise au couple
Killian.
Un mariage, le mariage est symbole d'amour pour certains. Pour kiki, c'était surtout le signe de dépenses ! de grosses dépenses ! Il avait promis d'organiser un banquet, et il tapa dans sa bourse pour payer quelques fournitures, ce fut très difficile, un véritable traumatisme. Il fallait donc se refaire, et pour cela il ne manquait pas d'idées. Alors que les personnes se présentaient à l'église, le jeune homme très soigneusement déguisé s'installa à l'entrée du parvis...



Oyez oyez !! Le mariage de Sofie et Merlin demandez le programme !!!! 25 écus seulement, prix d'amis !! Allez allez !! En bonus un ticket pour assister à la nuit de noce !!

Il continua d'arpenter ainsi les abords de l'église, le prix du programme variant selon les personnes qu'il croisait. Faut bien profiter un peu de la situation !!

Allez allez !! le programme EXCLUSIF !! C'est THE évènement de l'année comme disent les angloys !! Je casse les prix messieurs dames au lieu de 45 écus je vous fais le programme à 35 !! Il n'y en aura pas pour tout le monde !! Vous pourrez l'encadrer dans votre chambre et dire : J'Y ETAIS !!!

Agitation des programmes en l'air, faut attirer le client...

Allez nouveau bonus !! Un morceau de chevelure rousse offert pour 2 programmes achetés !!

Sur le dit programme, on pouvait lire ceci...


_________________
Killian de Montfort-Balmyr
*~*~**~*~**~*~**~*~**~*~*
Princesselaure
{ Périple d'une blonde en terre bretonne }


C'était pourtant d'un simple ! Reprenons... L'ami d'un ami qui était aussi le cousin au cinquième degré de son voisin lui avait trouvé "le" moyen de rejoindre la Bretagne sans passer par l'un ou l'autre camp ! Et risquer soit de se faire crever ou tabasser...

Pour cela il fallait impérativement être à Paris le 12 juillet à la tombée de la nuit, monter dans une des carrioles recouvertes d'un épais dais de jute, ne poser aucune question et ne rien toucher même si ça brille comme de l'or ! Elle avait trouvé cela fort étrange mais bon... C'est toujours mieux que de ramper... Avec son baluchon contenant une seule tenue, elle était restée là à attendre sagement... Jusqu'à ce que Notre Dame sonne les 4h du mat' ! Mais... Aucun convoi à l'horizon quand déjà le tout Paris s'éveille !

Trouver le plan B et vite... Acheter sur place un vieux coche tout pourri ! Trouver un cheval et un cocher ... Forcer ledit cocher à peindre des armes sur la portière contre 5 écus... Se planquer dans une ruelle pour enfiler la tenue, refiler le sac à une vieille qui avait aidé la d'Orsenac. Paris sont vraiment des crevards sérieux ! Alors qu'elle s'avance vers la voiture, le type tend la main avec un sourire niais sur le visage.

Quoi ?! Tu veux une pièce ? Ben tu sais quoi tu te démerdes pour me faire entrer entière en Bretagne ! Et euh... Elienore te filera un petit pécule ! Cherches pas je te la montrerai c'est une brune plantureuse ! Belle comme la lune ! Quoi pleine ?! Allez installes toi tu me gonfles déjà !

La voilà qui prend la route pour deux jours et deux nuits sans arrêt ! Avec un super cheval de la mort ! Oé oé il a des ailes ! Je dis ce que je veux d'abord.

Les frontières bretonnes se dessinent devant, le coche ralentit alors si brutalement que la blonde se cogne la caboche contre la paroi de bois d'en face ! Renversant alors son pense-bête franco/breton.

Hey ! Début des emmerdes ! Debout Princesse !

Mais comment il sait qui je suis lui ?! Bon le coche arrive doucement devant les gardes fermant la route... Purée au mieux ils se font virer au pire ils se font tuer... Et si on arrivait à passer ?!

Demat Marc'heg !*

Merde... Comment on dit " Je suis"... Agir vite il devient suspicieux là ! Tousser avant son identité usurpée.

Yosoyo...Laure de Montfort-Lôtrec

Et le voilà qu'il se plie en révérence et le chapeau qui vole et tout ! Un sourire sur le visage avant qu'ils ne se lancent tous dans un baise main, et le discours qui suivit fit sortir les azurs de leurs orbites... Gné ?! Et de sortir une phrase toute faite !

Mmmm... ya... gwelet a ran... **

Et de taper sur la portière pour que le cocher au lieu de rire devant les talents de comédienne de la blonde, se décide à relancer la machine !

Bon courage ! Au plaisir !

Agitant sa cul... Son mouchoir blanc par la fenêtre ! Et de le remettre en place... Bon... A présent elle peut dormir... Ballottée... Elle ne rouvrira les yeux que devant l'auberge au petit matin de la noce. Et ou Gustave ira prendre la clef... Restera sagement dans le coche. En sortant la blonde lança un regard vers la portière...

Mon dieu... Gustave ! Le bretzel c'est alsacien pas breton ! j'ai dit Breizh Elle ! Un quoi ? Un lapin ! Orfff... Heureusement que vous êtes aussi doué que moi en peinture ! Qu'il soit pardonné !

Entrant dans l'auberge, large sourire sur le visage en agitant la clef de sa piaule ! S'adressant à l'oreille du tenancier.

Demat ! Bon je veux pas faire la balance mais y'a un français qui est devant votre auberge et qui insulte les passants ! Je serai vous j'interviendrai ! NON MAIS LAISSEZ VOTRE ÉPÉE... Boarffff... L'était con-plétement abruti t'facon ! Peindre un bretzel lapin pour passer inaperçu... Remarques... Il aurait pu peindre des lys...

De grimper à l'étage, chambre 12... Tour de clefs, claquer la porte et s'écrier...

Chérie ! C'est moi suis rentrée !!

Et de se marrer en voyant la tronche d'Elienore.





Citation:
* Bonjour Garde
** hem ! oui... je vois...

_________________
Kjerag
Kjerag était à la bourre, il arriva après les autres.
Il se glissa discrètement dans la cérémonie et aperçu quelques têtes qu'il n'avait pas vu depuis longtemps. Sur le parvis, juste avant de rentrer, il prit soin de se laisser arnaquer par un homme vendant un bout de parchemin hors de prix.
Le programme du fameux marriage semblait bien remplis et il avait hâte.

_________________
La diplomatie c'est dire "gentil le chien" jusqu'à ce que l'on trouve une pierre.

Elienore
[Une parenthèse enchantée...]


Chambre douze à l'auberge de "L'Hermine blanche", une brune tourne en rond comme une poule sans tête, creusant presque un sillon d'usure sur le parquet ciré.
Elle a eu le temps de dévorer un poulet rôti entier, d'engouffrer quelques galettes moelleuses sans caramel mais au beurre avec une touche de miel. Contre mauvaise fortune on fait bon coeur. Elle était certaine que l'aubergiste tentait de l'enfumer avec ses déclarations de miséreux. L'estomac calé, elle s'était débarbouillée de la poussière des chemins et avait enfilé sa robe de circonstance. Elle avait soigneusement évité le bleu royal, n'allons pas faire de la provocation inutile alors qu'on est clairement en minorité.
A présent elle attendait l'Ôtre qui comme d'habitude se faisait attendre.

Clé qui tourne et porte qui s'ouvre.


Chérie ! C'est moi suis rentrée !!

Le pas s'arrête, bouche qui reste ouverte sur un bref instant de flottement avant de se ressaisir. Poing qui se place sur une hanche alors que de l'autre main elle indique d'un doigt accusateur le sablier dans un parfait style d'harpie. Il ne lui manque que le rouleau à pâtisserie brandit mais comme elle n'a pas trois bras on va s'en passer.

C'est à cette heure-ci que tu rentres?

Elle s'approche de la blonde, l'aire suspicieux dans le genre "T'étais où, avec qui?" . Puis quand il ne reste qu'un pas qui les sépare et ne pouvant garder son sérieux plus longtemps elle rit de la bobine de l'Or et la serre dans ses bras.

Que je suis heureuse de te retrouver.
Tu as fait bon voyage?
J'ai dû me déguiser en crémière avec bigouden et sabots pour passer les lignes bretonnes...tu n'imagines même pas l'horreur pour mes pauvres pieds. Mais comment font-elles?


Elle penche la tête de côté, trouvant bonne mine à la blonde, ça doit être l'effet fondue et génépi. Elle lui prend la main et l'entraîne dans une cavalcade, à la recherche de la rousse.

Allez viens! Sofie doit être dans tous ses états à se poser les mille et une question qu'elle aurait dû se poser il y a trois ans.
Nous avons presque réussi le défi de la marier, ne prenons pas de risque inutiles.


On frappe rapidement et on entre sans attendre de réponse. Elle est là, calme, l'air serein. Peut être trop.

Sofiotte c'est nous!
Alors heureuse?
Sofie.de.valmonte
[Devant son miroir, le combat]



La brosse instrument de torture qui arrache et se bat, parfois elle s’accroche, puis glisse, quand elle croit pouvoir arriver au bout du chemin, il y a toujours quelques mèches rebelles pour jouer les résistantes du dernier moment. Alors, elle s’acharne.

Quelques coups tapés à la porte, elle se redresse d’un mouvement rapide, lâchant la brosse qui reste accrochée à sa tignasse, qu’importe qui cela peut être derrière la porte, ses nerfs sont déjà à fleur de peau, alors si c’est pour venir lui parler du raffut qu’ils ont fait hier soir, elle risque de mal le prendre. D'ailleurs, elle en est certaine, c’était une pré lune de miel, une répétition, même que le lit en a soupiré.. Alors, elle ouvre la porte forte de ses convictions pour dire d'ores et déjà la main sur la poignée.



Pour les plaintes nocturnes, c’est trop tard !

Elle ne pense pas à sa brosse plantée dans ses cheveux, son jupon et son corsage mi défait, la chambre en bataille, des oreillers éventrés et le vin renversé. Mais elle ouvre grand la bouche en voyant ses amies de toujours qui entrent.

Sofiotte c'est nous!
Alors heureuse?

L’air de la dépression se retire, elle souffle soulagée, ce sont les femmes du moment, les envoyées du ciel, elle jouera le grand rôle de celle qui est au bout du rouleau, même que le rouleau est sur sa tête entortillé autour de la brosse qui pend.

Comme je suis contente de vous voir, je n’ai jamais été aussi contente de vous voir ! Sauf toutes les fois où j’ai eu besoin de vous, cela va de soi…La vie de roturière n’est pas simple, imaginez que je dois me coiffer seule.. Alors qu’il faudrait une dévouée à la tâche en permanence, m’habillez, ranger ce fatras.. Me rendre un visage humain. Elie tu es vivante ! Laure, tu sembles normale. Entrez vite , la providence ce jour..

Un flot de paroles qui arrive, c’est toujours ainsi dans l’émotion et l’angoisse, avec un brin de paranoïa parfois qui s’ajoute au tout, elle les tire chacune par la manche pour vite refermer la porte et d’un coup fond en sanglots dans leurs bras , tout en reniflant pour leur dire.


Cela fait trois ans que j’attends ce moment, c’est le plus beau jour de ma vie, il passe avant même avant le jour où Laure me coucha sur son héritage, tout doit être parfait. Avez-vous vu Merlin, je crois qu’il a fui avant que vous n’arriviez de peur de vous croiser..



On s’y met ?

_________________
See the RP information <<   1, 2, 3, 4, 5, 6   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)