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Info:
Jardins de Lysandral. Habitante de Saumur, en Anjou.

[RP] *Les Jardins de Lysand'*

Lysandral


A peine arrivée à Saumur Lysandral, avait fait le tour de la ville: la halle, le marché, quelques tavernes et autres endroits...
Elle cherchait une maison ou s'installer et elle fit de nombreux detours dans les rues de la ville avant que soudainement, une attire particulièrement son attention. En effet derrière une grande grille elle put apercevoir sur la pointe des pieds, entre deux barreaux, une maisonnée charmante pourvu d'un parc immense. Elle n'aurait jamais cru possible trouver un tel endroit. Elle observa longuement l'endroit émue et conclut de par l'état pitoyable du parc et le délabrement de la maison que celle-ci était inhabitée...

Son sang ne fit qu'un tour et la voilà partit pour le cedastre afin d'acquérir cette merveille... En chemin, elle avait vu des paysages et recoins de jardins fantastiques défiler devant ses yeux.
Une fois chose faite, au prix de nombreuses heures, journées, semaines de travail, il lui semblait en voir le bout. Débroussaillages, ratissages, bechages laissait depuis un moment place à la mise en place des differentes structures, aux bouturages et agencement des futurs recoins.

La nature fit son chemin gentillement, prenant forme et vie, ravissant lysand' au plus haut point!...
Tôt un matin, Lysand' décida d'aller faire un tour dans les multiples recoins de ses jardins et la lumière naissante, les bourgeons éclos, les parfums ennivrants lui firent décider qu'elle ouvrait ceux-ci aux curieux...

Elle courut chez elle, sortit la pancarte du plan des jardins ainsi que le parchemins qu'elle avait fait pour l'entrée et les afficha, ouvrant grand les portes des Jardins de Lysand'
Elle prit soin de marquer d'une croix l'entrée des jardins à l'aide d'un bout de charbon, ainsi que de laisser la légende afin que chacun puisse aller où il le souhaite...




Lysandral a écrit:
Légende:
1-Cathédrale de roses.************7- Allée aux fleurs nostalgiques
2-Allée géométrique.*************8-Kiosques aux grimpantes.
3-Jardins des topaires.***********9-Belvédère.
4-Le Petit Lac.******************10-Grande Allée.
5-Sous bois.*********************11-Potager, aromatiques et médicinales.
6-Les Volières.******************12-Les pleureuses.


(Ce RP est un RPartage... )
Lysandral


Lysand' poussa grandes ouvertes les grandes grilles de son jardin, laissant la vue sur cette Cathédrale de roses...

Elle se déchaussa, elle foulait délicatement le sol, s'enfonçant un peu plus dans ses jardins en quête de rêveries...

Les différents rosiers prenaient peu à peu place sur les arches.Les boutons se formaient, éclosaient, ravissant les yeux. La délicatesse des couleurs et de la dentelle des pétales l'émerveillaient toujours autant.
La variété de fleurs plantées promettait de beaux résultats.
Elle ne pouvait s'empêcher de penser au résultat final, aux couleurs et odeurs ennivrantes qui accueilleront les visiteurs dès leurs entrée.

Au bout de cette allée, elle arriva sur le parvis.
En face d'elle, l'allée géométrique et son architecture travaillée.
A sa droite, la grande allée qui pourrait la conduire dans bien des endroits enchanteurs...
Elle n'arrivait pas à se décider, tous les endroits qu'elle avait pu imaginer la tentait.
Elle se mit dès lors à tournoyer sur elle même. Le décor se dissipait laissant place à des horizons de gaieté et de bien-être.
Quand l'équilibre vint à la quitter, riant ivre de tournis, elle s'arrêta afin de reprendre ses esprits, regarda devant elle et partit s'occuper de son jardins...


Cathédrale de roses
Abraxes
Tiens, tiens ?

Il flottait dans l'air comme une drôle d'odeur, qui le changeait de son quotidien. Ce n'était pas du tout la saine puanteur de la ferme. Mais pas non plus les parfums vénéneux du Château : ça fleurait bien un peu certaines gentes dames, mais sans le mélange importun des remugles souvent hargneux des "nobles" (avec l'intonation inimitable de Mgr Payns) qui les fréquentaient. Abraxes déchiffra le parchemin.

Les Jardins de Lysand' ? Ça serait-il pas ma fillote qui se serait démenée à ouvrir un potager, malgré ce que je lui ai dit sur la faible rentabilité ? Ah, jeunesse…

Le boucher avait trimé dur depuis deux jours pour tenter de fournir en viandes (à lui seul, on aurait pu croire) les ventres affamés de tous les carnassiers de la ville. Exténué comme il était, une petite promenade ne saurait lui faire de mal.

Se délasser de la vue du sang. Décrisper ses doigts du couteau. Oublier les tristes figures qu'il voyait trop souvent surgir en pensée sous sa lame… Sans prendre la peine d'étudier le plan – car il était devenu aventureux, le petit cochonnier d'antan ! – il s'engagea dans…

Dans quoi ?


Par Ari, quelle est cette splendeur ?

On aurait cru pénétrer sous les ogives d'un édifice religieux consacré à la mystique des fleurs. Il faillit en tomber à genoux, lui qui n'avait jamais été très dévot. À moins que ce ne fût l'action entêtante de la caverne végétale qui manquât le faire défaillir.

_________________

Le plus pimpant éleveur de cochons de toute la côte ouest, et un vrai Saumurois s'il en est.
(la petite Reyne de l'Anjou, le 21 avril 1457 à Bourges lors du 5e GFC)
Ozane
ozane poussa la grille et entra en se déchaussant pour sentir la douceur du sol sous ses pieds , elle savanca dans l'allée émerveillée par tant de splendeur . Elle sentait le parfum ennivrant des fleurs

Mon dieu pensa telle cet endroit est un paradis sur terre. , Toute cette beauté, ce calme l'apaisait et tandis quelle parcourait cet immense lieu de reves , si serein , elle perdait la notion du temps , que de beauté .

Elle pensa a Lys et a tout ce travail accomplit , tout cet amour de la nature et la patience quil lui avait fallut , elle comptempla et admira de longues heures avant de se résigné a parir mais elle reviendra cest sur et ne manquera pas de féliciter la propriétaire.
Lysandral


Lysand' se promenait dans des recoins plus reculés des jardins ces derniers jours, les volières en effet grande adulatrice des oiseaux de proie et autres, ses oiseaux l'avaient enfin rejointe...

En plus de son pigeon et de sa mésange, elle possédait un aigle pygar du nom de Clitt, et bientot quelques autres qu'elle avait obtenu grâce à un fauconnier avec qui elle était ami dans son ancien village et de nombreuses ascenssions perileuses cherchant directement des oisillons dans leur nid!...

La construction des volières étaient longues et fastidieuses, autant dire que tout ces sous passait dans l'amménagement de ses jardins. La petite maison dans laquelle elle vivait ne ressemblant vraiment à rien comparé au travail que chaque jour elle effectuait après avoir travaillé à la mine, à l'église ou encore chez des particuliers. Elle mettait tout son coeur à l'ouvrage car rien ne lui faisait plus plaisir que de retrouver ses compagnons de jeux preférés. Elle avait appris sur le tas à communiquer avec ces volatiles majestueux et espiègles.

Dans d'autres recoins, le labeur était moins pénible! De ci, de là, des bosquets ou plate-bande ne demandait qu'un petit rafraichissement ce qui soulagea bien Lysand'. C'est qu'avec en plus son atelier de confection elle allait finir par manquer de temps!... L'allée géométrique était plus que magnifique et elle se promit de dégager ce coin au plus vite afin d'en faire profiter tout le monde... D'ici là, la delicatesse et la rigueur du travail architecturale effectué là bas, lui donnait une drole de tête.

La nuit tombante, elle se résigna à rentrer chez elle, traversant le parc, les bras chargés des outils nécessaires a son travail. C'est qu'elle devenait costaude la petite, à force de porter tout ça. Ses mains souffraient des affres du travail, ampoules, griffures, echardes étaient leurs quotidien. Son dos souffrait des coups de pioches ou de pelle, mais l'enthousiasme dont elle faisait preuve la soulageait de tous ses maux.
La torche à la main elle rentra, le coeur léger et la mine réjouit. Durant son trajet elle put apercevoir toutes sortes d'insectes et oiseaux differents se promenant également dans les jardins, quel serait un plus beau cadeau que de voir la nature prendre part et place entièrement ici. Rêveuse elle alla se coucher d'un pas serein...
Calendau
l'avait entendu parler des jardins. Promenant son regard au travers des allées, il appréciait la quiétude environnante. Les allées semblaient bien tracées. Calendau goûtait à ce brin de verdure en domaine de Saumur avant que de prendre la route vers des contrées moins sûres.

Le regard porté vers l'horizon, il se promit de revenir. un jour peut etre. Trois ricochets dans l'eau en signature.
Selene59
En se promenant selene s'arrêta devant les grilles d'un jardin et décida de rentrer visiter elle ouvrit la porte et marcha dans l'aller elle trouva ce jardin magnifique qu'elle se laissa guider par le vent elle explora avec émerveillement de voir un beau jardin comme celui la arrivant au bout elle fit demi tour et reparti et ferma les grilles et s'en alla.



Bravo a celle qui la réaliser c'est vraiment un jardin magnifique on ce croirais au paradis tellement que c'est beau félicitation et continuer vous avais du goût pour les jardin.
Lysandral


Lysandral avait passé tout son temps libre ces derniers jours à s'occuper de l'Allée géométrique. Une pointe par ci, un arrondi par là, ça coupait à tour de bras, plissant les yeux, regardant les perspectives et alignements... Dans le genre méthodique et un peu perfectionniste, elle poussait un peu le bouchon! Mais comme elle le disait: "Ce qui est fait et surtout ce qui est bien fait, n'est plus à faire!..."

Une tranchée au centre, avait été creusée afin d'y loger un chemin de pierre de couleur claire, encore une fois, voulant jouer sur le côté architecturale de ce recoin elle les choisit de forme carré. Elle avait elle même disposé celle-ci afin d'être sure d'avoir le rendu voulu. L'aide d'un jeune garçon avait été plus qu'appréciable, en effet tout ceci était bien douloureux pour les arrticulations, mais rien qu'une bonne décoction ne puisse aranger!... Peut-être, lui demandera t'elle si un jour elle peut se le permettre de travailler avec lui, ce qui la soulagerai forcément!
Ils emplrent à nouveau le chemin de terre, afin de reboucher les interstices, puis elle entreprit de balayer icelui afin que cela ne fasse pas trop sale quand même...
Avant cela, elle avait prit la peine de remercier le jeune garçon dont elle ignorait le nom pour son aide, lui tendant une miche de pain, car il avait bosser si dur à ses côtés sans pourtant ne rien demander. Elle vit alors une mine réjouit apparaitre sur son visage et le vit partir le pas sautillant lui disant aurevoir de la main...

Et ce jour, le résultat était celui escompté! Fini les coupes incessantes, et regard scruteur à vous faire loucher, elle était enfin contente du travail fait. Elle espéra avec enthousiasme que les visiteurs enpreinteront cette allé geometrique, les conduisant peu à peu vers le petit lac qui se cachait au fond des jardins de lysand'...
Elle comtempla longuement cette allée, l'arpentant de part en part plusieurs fois. Puis, elle rentra à la brune, avant de prendre froid et de finir par ne rien y voir.


Allée géométrique
Lysandral


Lysand' s'était levé potron-minet ce matin là, un panier à la main elle avait décidé d'aller ramasser des pétales de roses de la Cathédrale de rose.
Quelques un tombaient délicatement au sol, parsement celui-ci de façon qu'elle trouvait fort jolie. Ces pétales elle les utiliserait surement afin d'en faire des pots pourris, elle aimait bien ça, ça sent bon et c'est joli!

Comme à son habitude, c'est plein d'entrain qu'elle sortit de chez elle. Quelqu'un entre temps avait fermé les grilles, elle s'empressa de les rouvrir au maximum, afin qu'on ne croit pas que ce soit fermé!
Elle dépoussièra ses panneaux d'affichages, qui prennaient rapidement la poussière.

Quel ne fut pas sa surprise de trouver alors au loin un corps inerte gisant au sol. Un vagabond qui aurait trouvé l'endroit agréable pour une sieste?... Elle s'approcha doucement cela ne la dérangeant pas. C'est alors qu'elle reconnut son parrain Abraxes. Elle se pencha sur lui, lui parlant doucement, il ne semblait pas endormi, sa bouche entre-ouverte, les yeux clos il avait une drole de tête! Voyant que rien ne se passait elle commença à le secouer. Rien n'y fit! Cela commençat à être quelque peu inquiétant elle courut chez elle afin de rapporter une brouette afin de le deplacer et un petit bol d'eau avec un linge propre afin de le raffraichir...

Chargée, elle revint donc, l'appelant doucement, lui enduisant un peu de fraicheur sur le front, en attente d'une réaction...
Abraxes
Quel était ce songe végétal traversé de bruissements migraineux d'insectes et de délicates papouilles de papillons ? Du frais sur le front, du mouillé. Rosée du matin, jardin ?

À la réflexion, dans un début laborieux de reconstitution de ses pensées, il s'aperçut qu'il avait bel et bien défailli, finalement. Quelle honte… Lui, le Boucher de Saumur, tombé dans les pommes comme une jouvencelle fraîchement tirée de chez les nonnes ? Pire, il lui revint que, plusieurs fois, dans le brouillard odorant et fleuri où il reposait sur un petit nuage, il lui avait semblé entendre des trottinements de pas à proximité.


Ciel ! grommela-t-il, faut pas qu'on me trouve.

Mais on l'avait trouvé, déjà, puisqu'on lui passait un linge humide sur le visage. Il osa ouvrir un œil à moitié, pour identifier qui se penchait sur lui.

Soulagement de reconnaître sa fillote.


– Oh, Lysand', c'est toi… Eh bien, tu as fait de la belle ouvrage mais j'en ai eu le vertige !

Il tenta de se relever, mais la tête lui tournait encore dans le parfum si fort des fleurs.

– Je suis resté là longtemps ?

Rigolard :
– Voilà que pour une fois mes frusques vont sentir la rose !

Constatant l'inanité de ses efforts à tenir sur ses jambes, il pensa à sauvegarder du moins sa dignité envers des tiers qui pourraient survenir.

– Aide-moi, si tu veux bien, à me dissimuler derrière un buisson, un peu à l'écart de ces senteurs enivrantes, que je me remette.

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Le plus pimpant éleveur de cochons de toute la côte ouest, et un vrai Saumurois s'il en est.
(la petite Reyne de l'Anjou, le 21 avril 1457 à Bourges lors du 5e GFC)
Hernaut
Hernaut revenait de la place publique lorsqu'il remarqua un nouveau jardin. De longs travaux avaient du être entrepris pour parvenir au résultat qu'il pouvait entrevoir. Seul un jardinier amoureux de la nature avait pu trouver l'inspiration et le goût nécessaire pour développer le potentiel de son terrain et le transformer en une telle féérie.

L'entrée étant libre, Hernaut s'engagea dans une Cathédrale de roses odorantes, dont les couleurs et l'agencement étaient un véritable ravissement, qui s'ouvrait sur une longue allée géométrique bordée d'arbres au feuillage léger et de massifs taillés.

C'était une invitation à poursuivre sa découverte aussi Hernaut s'engagea-t-il dans cette allée ses sens mis en éveil par les beautés que la nature domestiquée offrait au regard. Soudain un gémissement le tira de sa rêverie, ce qui le contraria fort car les lieux étaient enchanteurs. Quel fâcheux pouvait troubler la sérénité de l'endroit ?

S'approchant il vit une jeune damoiselle accorte penchée sur… Abraxes pâmé dans les roses !


— Hola gente damoiselle cet individu ne vous importune pas j'espère ! dit-il en riant, car s'il vous cause quelques désagréments je me fais fort de vous débarrasser de sa compagnie !

— J'imagine que l'odeur délicate des fleurs lui aura tourné la tête, un bon bain dans une bauge à cochons devrait lui remettre les idées en place !
Puis se tournant vers Abraxes qui avait ouvert un œil. N'est-ce pas la fillote dont tu m'avais parlé, en voilà une drôle de façon de t'en occuper !

— Mais pardonnez-moi, je manque à mes devoirs, je suis Hernaut pour vous servir damoiselle !
Lysandral


Abraxes a écrit:
Aide-moi, si tu veux bien, à me dissimuler derrière un buisson, un peu à l'écart de ces senteurs enivrantes, que je me remette.


A peine Abraxes avait terminé de parler que Lysand' entendu derrière elle, ce qui eu effet de la faire sursauter!

Hernaut a écrit:
Hola gente damoiselle cet individu ne vous importune pas j'espère ! Car s'il vous cause quelques désagréments je me fais fort de vous débarrasser de sa compagnie !


Elle se retourna se relevant, glissant avant cela dans l'oreille de son parrain:

Je suis désolée il semble que cela soit trop tard! un sourire crispé sur le visage.

Le messire enchainant:

Hernaut a écrit:
J'imagine que l'odeur délicate des fleurs lui aura tourné la tête, un bon bain dans une bauge à cochons devrait lui remettre les idées en place ! Puis se tournant vers Abraxes qui avait ouvert un œil. N'est-ce pas la fillote dont tu m'avais parlé, en voilà une drôle de façon de t'en occuper !


Elle regardait maintenant son parrain en bien drole de posture, un sourire amusé aux coins des lèvres. Ne sachant franchement ni quoi dire, ni quoi faire...

Hernaut a écrit:
Mais pardonnez-moi, je manque à mes devoirs, je suis Hernaut pour vous servir damoiselle !


Oh enchantée messire, je me prénomme donc Lysandral et vous vous trouvez ici même dans mes jardins. Quant à mon parrain, en effet, il a eu un petit désagrément...
Peut-être m'aideriez vous à l'aide de ma brouette à le transporter jusqu' au Petit Lac, c'est juste au bout de l'Allée Géométrique, ce ne sera pas long?...

Elle souriait grandement, espérant son aide. Comme apparement ce messire Hernaut connaissait son parrain cela ne sera pas bien grave se dit-elle. Lysandral osait à peine regarder Abraxes, de peur de rire ou de voir dans son visage quelques signes réprobateurs.
Elle renchérit:

Nous pourrions de plus par la même converser le long du chemin!...

Elle attendait sa réponse tout en regardant du coin de l'oeil la brouette non loin...


























Hernaut
La jouvencelle était charmante, et la perspective de brouetter Abraxes jusqu'au lac pour l'y plonger dans l'onde transparente et fraîche de ce début d'automne lui paru d'excellente augure pour préparer les joutes nautiques, aussi s'empressa-t-il d'accepter la proposition de Lysandral !

— Soit, je vais vous prêter main-forte pour le brouetter jusqu'au petit lac, je ne pourrais vous laisser dans cet embarras sans m'en faire reproche.

— Allons prenez-le par les pieds pendant que je le soulève par les aisselles et déposons-le dans la brouette.


Le gaillard n'était pas franchement léger, mais le charpentier était costaud aussi purent-il déposer leur fardeau dans la brouette encore maculée des fumures utilisées pour fertiliser le jardin.

— Toutes vos plantes resplendissent, qu'utilisez-vous comme fumier du lisier ?

— À mon avis votre parrain devrait déjà se sentir mieux , mais dépêchons-nous de le brouetter !


Chemin faisant, Hernaut questionna la damoiselle.

— Comment trouvez-vous l'accueil de notre village, vous qui venez juste d'y aménager, y avez-vous des amis ou de la famille ?
Lysandral


Lysand' fut ravie d'entendre une réponse favorable à sa demande. Elle se hâta donc de l'aider à hisser Abraxes dans la brouette. Il avait son poids, mais lysand était devenue costaude à force de travailler à la mine ou de s'occuper de son jardin.
Le voyant avachit dans la brouette, elle se dit qu'elle aurait pu mettre un linge avant de l'y déposer. Il allait pas sentir la rose son parrain et l'est encore plus sale maintenant, remarque là, le petit bain il n'allait pour sur pas y échapper, se disait-elle.

Hernaut a écrit:
Toutes vos plantes resplendissent, qu'utilisez-vous comme fumier du lisier ?


Et bien non pas pour le moment! Je n'ai obtenu ma première vache qu'aujourd'hui et mes volières ne sont pas encore toutes remplies...
Cependant, j'ai fait du compost, cela est tres pratique, mais du lisier j'en ferai oui plus tard certainement.
, elle sourait.
Je vous avoue que là, la brouette est tout simplement enduite d'un melange de paille et de bouses... J'ai nettoyer l'etable un peu plus tôt...
Elle grimaçait et regardait son pauvre parrain balloté de ci, de là par le passage des pierres du chemin de l'allée géometrique.

Hernaut a écrit:
Comment trouvez-vous l'accueil de notre village, vous qui venez juste d'y aménager, y avez-vous des amis ou de la famille ?


Et bien je fus fort bien accueillie ici! Comme vous le savez Abraxes est devenu mon parrain et je lui en suis très reconnaissante, il est de bon conseil...
En ce qui concerne le côté famille je n'en posséde pas ici et ne considère pas en avoir du tout, mais bon cela est une autre histoire.
En tout cas j'ai rencontré toutes sortes de gens et me sens bien à Saumur.


Un large sourire rayonnait de son visage, tandis qu'elle regardait tout autour d'elle.

Alors qu'ils avançaient à fière allure tout de même, ils s'enfonçaient en peu plus dans l'allée...

Nous allons bientot arriver encore quelques efforts!...

















Abraxes
Namého !

Toute honte bue, le fier Abra grommelait de façon indistincte. Encore heureux qu'il n'ait été surpris dans cet état que par l'ami Hernaut, mais les intentions du charpentier n'étaient pas claires pour l'esprit encore embrumé de celui qu'on avait jeté comme un sac de tubercules dans un moyen de transport brinqueballant. Le charpentier n'avait-il pas parlé de bain ?

Et le bougre n'était-il pas en train de conter fleurette, au sens propre, à sa fillote ? Et que vos plantes resplendissent, et que…, je t'en ficherais, moi !


Eh, où c'est-il que vous me roulez à c't'allure ? bredouilla-t-il faiblement.

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Le plus pimpant éleveur de cochons de toute la côte ouest, et un vrai Saumurois s'il en est.
(la petite Reyne de l'Anjou, le 21 avril 1457 à Bourges lors du 5e GFC)
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