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[RP-Enlèvement]Quand Genève trouve une monnaie d'échange

Kartouche
Pau. Chez Wiwi. taverne au nom truculent, pour ne pas dire ridicule. Mais c'est là que Kartouche avait vu quelques reîtres de la compagnie, et il avait bien envie de boire quelque chose. Après la débandade de samedi matin, il avait besoin de noyer son désarroi dans une pinte de bière. Et il n'avait pas encore goûté à la bibine béarnaise. Avant d'ouvrir, il regarde s'il n'a pas été suivi, ce qui semble ne pas être le cas, puis il entre. Il ôte son légendaire chapeau blanc, et salue les dames présentes. Phonya, Massiliaturonen, avachies sur des tables. Il ne les connait pas personnellement, mais le visage de Phonya, sans qu'il ne puisse mettre un nom dessus, lui revient.

«Salut la compagnie ! J'offre la tournée... aux frais de Mélian.»

Il va au comptoir, cherche un tavernier, appelle, regarde dans les recoins, mais ne trouve personne. Il hésite à se servir, puis laisse tomber. Des fois qu'ils soient arrivés dans une taverne abandonnée de cette ville-fantôme, il ne voudrait pas se servir de la boisson avariée. S'ils avaient de l'Armagnac, au moins, il saurait qu'il pourrait se fier à la qualité, mais là, en Béarn, il préférait être prudent.

«Bon, tout compte fait, il n'y a personne qui veut nous servir... vous êtes seules ici ? Ça fait longtemps ?»

Oui, il n'y a personne. Non, ça ne fait pas longtemps. Ils discutent ainsi un moment, s'amusant de leur piètre prestation de la veille. À un moment entre une troisième collègue. Et puis...
*phonya*
Salut la compagnie ! J'offre la tournée... aux frais de Mélian.

Phonya relève la tête, un blondinet ... savoyard peut-être ?

Melian ?

Fêter un échec, ce qui devait être une fête ...
Trop dispendieuse hier, trop volubile ... trop ... trop de murs ... trop de défenseurs ...
et en cadeau ... un réveil brutal dans l'humidité d'un cachot.
Un messager porteur des pires nouvelles qu'elle aurait pu attendre.
Ce n'était pas son jour.
Mélian ? elle a juste envie de le titiller de la pointe de son épée.


Elle se redresse, observe l'homme.
Qu'il commence à lui compter fleurette et il va être reçu !
L'entrée en matière est digne d'un humain masculin.


Vous êtes seules ?
ça fait longtemps ?


Phonya est prête à laisser le venin s'échapper de sa bouche quand elle prête l'oreille aux présentations.

Kartouche ?
LE Kartouche ... bigre !!

Etrange comme des noms peuvent rasséréner.
Elle ravale ses mots et souhaite le bonjour.

Elle montre son verre.

Juste besoin de réconfort.
Et vous ?
que faites vous ici ?

_________________
Kartouche
Kartouche, un instant, eût l'impression d'avoir dit quelque mot de travers. Il se dit que Phonya ne reconnaissait sans doute pas en lui un brave genevois ; il faut dire que ces derniers mois, il avait été plus que discret, à Genève, et dans la Confédération. Et les semaines passées à Soleure, à tenter de raisonner le bouillant Landammann Barakles Carnesir, devaient y être pour quelque chose aussi. Il se hâta donc de se présenter, espérant dissiper le malentendu. Ce qui réussit. Mais il ne saurait sans doute jamais la véritable raison du regard assassin dont il fut le bénéficiaire : inimitié à l'égard d'un inconnu ou bien conséquence d'une grossière maladresse ?

«Ce que je fais ici ? Rien... Enfin, si, je me promène, savourant notre éclatante victoire. Nicbur est coms, les usurpateurs du Béarn, enfermés dans leur chateau, devront capituler, tôt ou tard... Car je vous le dis, en vérité, mes soeurs, nous vaincrons. Genève a été offensée par le Béarn, Genève punira le Béarn en conséquence.»

Kartouche, déclamant ces paroles, prend le ton que les habitués de la place des Ours de Berne connaissent bien. Le ton d'un exalté, qui ne lâchera pas son affaire. Et même s'ils avaient perdu une bataille, la guerre n'était pas terminée, de loin. Il regarda à côté de Phonya.

«La demoiselle, là, c'est qui ? Elle cause pas beaucoup... Elle est avec nous ? »
Clemenceii


[Quelques instants plus tard..]

Sa mère occupé...encore...Clémence se prend une pause dans son travail de maire et va faire un tour au niveau des tavernes.

Tout sourire, mais la fatigue visible sur son visage, elle entre et lance un ...

Adishatz!

Elle reconnait la femme de la veille et les 4 ou 5 autres, ne les connait pas. Sans réfléchir, elle s'installe ne se doutant pas du tout de qui sont ces gens.
Une femme a l'air animal, une autre qui tricote, un homme discret....
La jeune Maledent râle sur phonya qui hier disait qu'elle défendrai et en faite n'a rien défendu du tout...elle a quitté la lance avant, comme une peureuse.
D'un autre côté, elle a quelque doute et pense qu'elle a surement rejoins les assaillants.

Puis le conversation change, toujours curieuse, elle leur demande d'où ils viennent et se présente.

Clémence Maledent de Feytiat...et là...ils lui annoncent qu'ils font parti de la compagnie des reitre suisses...

La jeune fille blêmit et regarde vers la sortie, mais....
Kartouche
Le grandiloquent Kartouche est surpris de voir la porte s'ouvrir sur une frêle jeune fille. Bien mise, qui plus est. D'ordinaire, les tavernes ne sont pas le lieu où une duègne emmène sa pupille se distraire... Et pourtant, ses manières ne sont pas celles d'une gueuse venue leur soutirer des livres lemanii. Depuis la veille, l'ingénieux Kartouche réfléchissait au moyen de retourner la situation à leur profit : l'idée de faire un prisonnier ne figurait pas en mauvaise place dans son classement des possibilités de mettre le Béarn en mauvaise posture. Évidemment, il ne fallait pas se tromper de cible : un petit bourgeois ne vaut certainement pas grand chose aux yeux des conseillers, dans leur château. Mais dans à ce moment, plus ils discutaient, plus le visionnaire Kartouche était en train de se convaincre qu'ils avaient ferré le bon poisson : selon toute vraisemblance, la fille avait quelque responsabilité défensive, et par là une place plus ou moins importante dans la cité, puisqu'elle invectivait Phonya sur son comportement de la veille. À la faveur d'une distraction causée par une apostrophe brutale -bestiale ?- de Massy, il murmure discrètement quelques mots à l'oreille de Phonya.

«Et si on prenait la dame en otage ? Vous la connaissez ? Elle vaudrait beaucoup ?»

Il semble à l'habile Kartouche que sa concitoyenne ne serait pas opposée à une telle action. Quant aux deux autres, probables qu'elles suivraient le mouvement. C'était une affaire facile, et le preux Kartouche s'en voulait d'agir si lâchement, mais il ne voyait pas d'autre possibilité que celle-là, pour relancer le jeu de Genève... Après Clemence, Kartouche se présente aussi, sans fard.

«Kartouche, reître de la Compagnie du Léman, venu guerroyer pour Genève.»

Ce disant, il ne la quitte pas des yeux. Il s'attend à ce qu'elle tente de leur fausser compagnie, et il est prêt à se propulser hors de son siège et à bloquer la porte à la moindre esquisse de fuite. Bien sûr, il ne sait pas encore avec certitude, s'ils vont accomplir ce qui a été envisagé, mais si elle file, ils n'auraient de toute manière plus le choix. Et une telle occasion ne se représentera peut-être pas. Après quelques minutes de réflexion qui lui paraissent une éternité, tiraillé entre la volonté de rester chevaleresque, et celle de trouver une issue favorable à Genève dans cette guerre, il jette un bref regard à Phonya, puis annonce l'inévitable. L'irréparable, aussi. Il espère que la chose ne se retournera pas contre eux, au final. C'est une sorte de quitte ou double, après cela, il ne sera plus possible de reculer.

«Demoiselle, dès à présent, je vous prie de vous considérer comme étant sous ma protection, et vous déconseille fortement de la quitter. Tous les soldats de Genève ne sont pas aussi bon prince que nous autres...»

Il réfléchit encore un peu, puis ajoute, dans le doute, au cas improbable où le sens de ses explications n'avait pas été compris par la jeune fille.

«Autrement dit, vous êtes désormais prisonnière de guerre de l'armée genevoise en mission. En tant que telle, aucun mal ne vous sera fait, mais liberté de mouvement ne vous sera rendue qu'après accomplissement par votre comté de nos légitimes revendications. Elles seront communiquées incessamment aux vilains qui trônent en votre château assiégé.»
Marquise_des_anges
Massilia restée silencieuse après les présentations .. phonya et un certain drôle Adoolf qui s'avera être en fait le fameux Kartouche.. Nom bien connu dans les couloirs de la CRS.. Sortant sa dague histoire de se curé les dents aurait aimée pour sa part aller titiller un peu les "mous" qui étaient dans les autres tavernes..

Une dame entre avec un son étrange.. Massy la regarde de son plus beau regard noir et zieute les convives.. Tout partit alors très vite.. La fille se retrouva coinçée par Kartouche et Phonya contre le mur une épée contre son flanc l'autre sous la gorge..

Enfin une pignata..!!!


Massy toute contente de s'amuser un peu prend un tonneau sous le comptoir, le vide , et le roule jusqu'à la fille savament ligotée par ses soins.

Allez la naine.. Oups dans le tonneau.. Et soyez sage..
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Kartouche
Kartouche regarde avec appréhension Massy bricoler avec des ficelles et un tonneau. Il comprend rapidement qu'elle a pour projet de ligoter la fille et de la mettre dans le tonneau. Niveau discrétion, ce serait mieux que de la promener à découvert, mais bon, on n'agit pas comme ça avec des prisonniers de guerre. Le vieux moustachu est pourtant un bon maître lorsqu'il s'agit de savoir-vivre, mais il y a des cas, parfois...

«Taratata, pas de ça... pour le moment. J'ai dit, la demoiselle est notre prisonnière, et nous, on est des soldats honorables. Ça n'est pas poli de mettre des otages dans des tonneaux. Et il ne faut pas l'abimer. Si elle est sage, pas besoin de la ligoter. Et puis il faut qu'elle puisse marcher, je vais pas la porter, mon épée est assez lourde comme ça.»

Le magnifique se lève, et va gentiment vers la porte.

«Je pense que nous ferions bien de rejoindre les autres, histoire de définir la conduite à tenir durant les jours à venir. Nous avons un atout dans notre manche, mettons-le à profit, et le plus tôt sera le mieux...»
Paddy_versifiet
Le seigneur de Sancte-Fe de Morlaas, vieux schnock Béarnais, était arrivé deux jours plus tôt dans la capitale du Béarn où il avait décidé de faire construire un hôtel particulier pour y vivre dans le luxe et la volupté.
Depuis son arrivée il partageait son temps entre la récherche d'ouvriers pour creuser les fondations de sa demeure et la défense du comté en tant que noble.

La nuit avait été agitée, des genevois avaient essayé de prendre d'assaut la ville et les défenseurs les avaient contenus. Après quelques heures de sommeil près de son épouse, Paddy parti à la recherche d'ouvriers pour la journée et commença par aller recruter dans les tavernes. Après etre passé dans deux tavernes désertes, il poussa la porte de la taverne Wiwi et là tomba sur un bien étrange spectacle... La jeune Clemence, maire de la ville semblait y retenue contre son gré. En dévisageant les personnes se trouvant là il reconnu des personnes croisées la veille en taverne. il s'adossa à la porte de la taverne et posant la main sur le pommeau de son épée dit :

Holà que se passe t'il ici ?
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Marquise_des_anges
Massy soupire .. Abandonne le Tonneau avec tristesse..

Pour une fois que l'on pouvait s'amuser.. On l'aurait roulé dans les ruelles et elle aurait été sonné par les effluves de leur vinasse à deux écus la naine.. mais bon .. Elle lâche son jouet pour se mettre en retrait afin de se curer les dents..

Un homme entra la paume sur son épée..

Massy lui saute dessus demande a Syb de lui attacher les mains..
Trop tard l'homme se débat et essaye de se mettre entre eux et la mairesse..

Toute épées dehors , regards noir.. Crispation de machoire de toutes part..
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Kartouche
Le prévoyant Kartouche ne s'attendait décidément pas à cela. Que venait faire maintenant ce gusse dans la taverne ? Il fallait s'en débarrasser au plus vite, mais il n'arrivait pas à se décider entre les deux façons de faire qui se présentaient à lui : l'assommer et le laisser dans un coin de la taverne, ou bien lui botte le train et le laisser ameuter la garde. La première possibilité était définitivement la plus sûr, mais nécessitait de maîtriser un gaillard plutôt grand, et pas gringalet. Cependant, la seconde possibilité impliquait que tout le gotha serait rapidement au courant de la nouvelle et, si la prisonnière était de marque -ce dont Kartouche n'avait pour le moment aucune idée- le remue-ménage vaudrait tous les placards du monde. Sans doute que le conseil n'attendrait alors plus qu'une lettre pour accéder aux desideratas des genevois. On verrait plus tard, pour le moment, il fallait expliquer à Paddy Versifiet qu'il ne se trouvait pas au bon endroit...

«Ce qu'il se passe ici, messer, est relativement simple : vous gênez le passage d'une compagnie de reîtres genevois qui souhaite sortir de l'auberge. Il serait bien vu que vous quittiez cette attitude agressive : une épée bien aiguisée est dangereuse, surtout pour son porteur. Quant à la demoiselle que voilà, si vous la connaissez, sachez qu'elle nous suit volontiers...» Ajoute pour lui-même : «M'enfin, je crois qu'elle n'a pas le choix, surtout.»

Désormais, la situation était délicate. Le pire fût que l'homme soit l'éclaireur de quelque troupe du guet. En ce cas, même avec le roi de France en son pouvoir, il serait difficile d'en sortir indemne et de pouvoir mener son prisonnier en lieu sûr, et secret. En effet, là-dessus reposait en grande partie la réussite du plan...

Mais dans un premier temps, il s'agissait de faire comprendre à Paddy que les reîtres n'étaient pas en train de jouer une mauvaise farce. Il posa donc lui aussi sa main sur le pommeau de sa rapière, de sorte qu'au moindre geste sa lame irait se poser sur la gorge de Clemence, puis jeta un bref regard à Phonya, l'air de dire : «Que fait-on, maintenant ?»
Marquise_des_anges
Massilia s'avança d'un pas chaloupé vers le sieur..
Lui lançant regards doux..
Frolant le dit sieur dans un long soupir..
Et sortant sa dague la laissant doucement lui froler les joues, la nuque , le flanc, les coailles..
Se mordit les lêvres attendant un signe de kartouche.. Mort ou Vif..
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*phonya*
Des regards échangés, un accord tacite sans même savoir où il va les mener. Plus rien n'a vraiment d'importance. Il leur faut une porte de sortie, et la jeune Clemence en jouera la clé.
La réaction de l'homme qui vient d'entrer en taverne ne fait que conforter l'impression qu'a Phonya que leur prise est de choix.
Son nom … son nom … Phonya n'arrive pas à se rappeler mais elle le connait, c'est certain.
Les épées sont prêtes à jaillir.
De longues secondes silencieuses s'écoulent … réfléchir … vite!
Mettre hors d'état de nuire l'homme .. même si les faits d'armes de Kartouche étaient connus, et que ceux de Massi semblaient vouloir se faire connaître, que les siens n' étaient pas racontables, la jeune fille risquait de se faire la belle pendant l'échauffourée.
Le prendre en otage lui aussi ? … humpf …
Impossible de le neutraliser, il fallait le laisser partir, ou plutôt le forcer à quitter cet endroit, en étant certains qu'il n'allait pas hurler dès un pied dehors et rameuter les troupes.
Elle jette un coup d'oeil à Kartouche.


Et si cet homme faisait preuve de bonne volonté en devenant notre messager ?
Un mot écrit de la main de la jeune fille qui expliquerait nos revendications ?

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Paddy_versifiet
A peine eu t'il ouvert la bouche et demandé ce qui se passait que l'excitation monta d'un cran dans la taverne. L'homme qui semblait diriger le groupe lui répondit d'un ton assuré mais Paddy senti une légère incertitude dans ses paroles.

Son arrivée intempestive semblait avoir contrarié le groupe... Hélas il était seul et il ne pourrait pas lutter bien longtemps contre un groupe aguerri d'autant que la douleur de sa récente blessure reçue lors d'une bataille contre les VV s'était réveillée.

Il lui fallait de mefier de cette dague pointée sur lui et en même temps essayer de voir dans le regard de la jeune fille si il fallait se battre et risquer un bain de sang où si il ne valait mieux pas trouver un moyen d'aller alerter rapidement le château...

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Clemenceii


[Taverne de Wiwi...à Pau!]

Faut pas parler à des inconnus....et surtout lorsqu'il y a des pillards en ville.

Si seulement elle avait respecté ces deux règles, au lieu de se sentir en sécurité dans sa ville...la fatigue n'avait pas aidé son jugement non plus.
Là voilà dans de beaux draps maintenant...
Malgrès qu'elle soit loin d'être en position de force et la peur qui lui tiraille le ventre...elle ne peut s'empêcher de rétorquer, en colère -sa barrière contre la peur, la tristesse et tout ses sentiments qui vous font sentir mal-

Les vilains, c'est vous d'abord....et lâchez moi sinon les Béarnais ils vont vous mettre en pièce tentant de défaire les liens qui lui retienne les mains.

Alors qu'arrive Paddy, et que la tension monte pour ceux de Genève...celle de Clémence chute d'un coup. Les larmes aux yeux, n'osant pas bouger dû à l'épée au niveau de sa gorge et se rapprochant bien trop...venant jusqu'à frôler sa peau et un vieux mauvais souvenir rejaillissant.
Ne lâchant pas des yeux l'ancien CaC, la jeune fille bataille entre ses envi d'enfant et la raison...il pourrait se lancer dans la bataille, il en ressortirait blessé, mourant? mort? mais elle aurait une chance de s'enfuir pour rejoindre sa mère....et d'un autre côté il pourrait ne rien risquer, elle n'ont plus si elle les suit gentillement, d'après les propos de celui qui semble diriger la bande, et en profiter pour aller prévenir le Conseil et surtout sa mère.
A conter cœur, n'arrivant pas à retenir ses larmes...des mots tellement difficile à prononcer et lourd de conséquence pour elle.

Laisse moi!...Va prévenir maman...

Alors que dans le fond, se retrouver seule avec eux, ne l'enchante pas du tout...mais ainsi, le conseil serait prévenu au plus vite et pourrait la libérer rapidement...c'est certain.
Sa mère ne les laissera pas tranquille et fera tout pour la sortir de là...

Jusqu'à que ce moment arrive, suivre les Hérétiques et tenter à la moindre occasion de s'échapper....
Kartouche
Kartouche sentait que la situation était sur un point d'équilibre instable. Il fallait à tout prix éviter un carnage déséquilibré. Ce sont des aristotéliciens, après tout... Il se tourne vers Phonya, puis vers Clemence.

«L'idée me paraît bonne... Demoiselle, écrivez ce qu'il vous semblera bon de dire, à qui il vous semblera bon de l'annoncer. Votre ami s'empressera d'aller le porter où il le faut. Genève communiquera ses revendications lorsque nous serons en lieu sûr... ce qui ne saurait tarder.»

Il sort de sa besace son matériel. Il a toujours sur lui de quoi rédiger ses bafouilles et son courrier : parchemin, encre et plumes d'oie, de la basse-cour du Vieux évidemment.

«J'imagine que vous savez écrire...»

Il s'adresse ensuite à Phonya, à voix très basse, tout en tenant Paddy_versifiet à l'oeil. Ce dernier, probablement, n'entend pas ce qu'il dit.

«Il faut que nous trouvions Melian, au plus vite, et que nous mettions la fille en sûreté, avant que les autorités ne soient au courant... serait bête qu'ils nous la reprennent trop tôt. Vous avez une idée ?»
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