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Allégeances en Languedoc.

Allégeance de Couffoulens 27/04/57

Polstephie
Majda a écrit:
Elle était passée rapidement aux appartements familiaux pour se changer. Depuis quelques jours, elle ne portait que ses braies, plus pratiques pour arpenter les couloirs du château et les routes du comté. Ses aigreurs s'étaient un peu atténuées, mais ses vêtements étaient bien trop larges. Elle avait du se résoudre à aller revêtir une robe, et aidée d'Agnesòta, sa gouvernante, avait réussi à cacher sa maigreur. Elle avait souri en se voyant dans le miroir.

Une simple robe rouge, pour changer. Les couleurs de coufoulens étaient le rouge et or. C'est donc après une longue réflexion, qu'elle avait troqué les couleurs d'Exat pour celles de Couffoulens. Etrangement, ses couleurs étaient aussi celles du comté. Rouge et Or... Agnesòta lui avait souligné la taille d'une ceinture brodée, et rehaussées de perles de verre. Une superposition de chemise permettait de faire illusion pour cacher sa minceur, et un peu de pétales de roses écrasées sur les joues complétaient la mise en scène. Elle avait encore grandi, et atteignait son mètre soixante-dix. Ses aigreurs d'Estomac ne lui permettant pas d'avaler quoi que ce soit de solide, et ce depuis plusieurs jours, elle avait fait ce qu'elle avait pu pour se rendre présentable, et surtout, pour ne pas inquiéter l'homme qu'elle aime. Elle recommencera à manger un peu de bouillon de viande dès qu'elle le pourra, elle se le promet.

Majda était comblée de bonheur, de savoir que le Senher de Marseillan serait présent à ses côtés pour le renouvellement de son allégeance. Elle patienta près de la porte, prenant son temps, et chercha aussi Damoiselle Catalina du regard. Elle espérait que la petite viendrait. La soeur de Marguerite lui avait demandé, et elle avait accepté qu'elle l'accompagne à cette cérémonie. Après tout, cela lui changerait peut-être les idées, et Catalina lui faisait penser à elle-même au même âge.

Elle se retourne espérant apercevoir Quirin. Il ne devrait pas tarder à arriver...


quirin a écrit:
Quirin s'était hâté de se dégager de ses obligations pour se rendre à une qui lui tenait à coeur, pas obligation pour lui non, simple choix du coeur, mais obligation pour celle qui illuminait ses jours et embellissaient ses rêves nocturnes.

Arrivant dans le couloir, il l'aperçut tout de rouge vétue, cela la changeait du vert auquel elle l'avait habituée, mais cette couleur carmin lui allait aussi à merveille. Cela confortait aussi le seigneur de Marseillan sur le bon gout de la jeune femme qui savait adopter pour elle couleurs des terres qui la voyaient vivre.

Aurait-elle senti son arrivée, voilà qu'elle se retourne, leurs yeux s'accrochent et un sourire survient sur le visage du Lieutenant, qui se retient de l'envie qu'il a d'être plus aimable qu'il ne le peut, Aristote et l'honneur lui imposant certaines limites

Bonjorn Majda, cossi va ?


Majda a écrit:
Avec un sourire, elle le voit, là, devant elle. Se retenant de courir vers lui, elle plonge son regard de jade dans ses yeux noisettes. Tant que son père n'a pas reçu, et promis sa main, elle ne le peux pas. Son coeur bat la chamade, et elle se sent sur un petit nuage. Cette cérémonie passera bien vite, maintenant qu'il est là. Elle lui répond en occitan, bien qu'elle ne maîtrise pas très bien, elle fait des efforts pour apprendre.

Bonjorn Quirin. Tot va plan quora vosautres sètz al pè desètz ieu. E vos ?

Ses yeux toujours rivés sur ceux de Quirin, elle s'approche, et lui tend la main. Sa mère lui a fait savoir qu'elle a le droit de lui tenir la main, elle ne va donc pas s'en priver, même si toute autre marque d'affection est pour leur ai pour le moment interdite. Avec un sourire, elle l'entraîne dans la salle des allégeances. Il n'y aura plus qu'à attendre son tour. Elle salue les personnes déjà présentes. Ils ne sont pas les premiers loin de là.


quirin a écrit:
Quirin se laissa entrainer à l'intérieur de la pièce par son aimée qui d'autotrité, mais avec douceur, s'était saisie de sa main et le guidait. Il est vrai qu'elle était maintenant plus habituée que lui, et puis elle était conseillère. Il salua les personnes présentes dont sa suzeraine et amie à qui il serait heureux de saisir l'occasion pour lui faire part des évolutions des terres dont elle lui avait confié la gestion. Lui dire comment il avait intensifier l'élevage de crabes, le dressage des flamands roses en tant que messagers, et la récupération de leur plumes pour écrire, ou chatouiller, comme ne s'en privait pas une amie Mendoise en taverne.
Lui faire part aussi de l'idée qu'il avait suggéré au CLE et dont il attendait nouvelle, se demandant si il n'allait pas finir par s'en passer.


Catalina a écrit:
Majda lui avait promis de l'emmener visiter le château, alors ce qu'elles avaient trouvé de mieux dans un premier temps c'était d'y venir lors des allégeances.
Alors quelques jours avant celui ci elle avait reçu un courrier de la jeune fille qui l'invitait à la rejoindre quelques part au Castel.
Cela lui avait redonné le sourire ce qui était rare ces temps ci car rien ne laissait les bonnes choses venir à elle.
La dernière chose qu'elle avait fait d'ailleurs, c'était allé se recueillir auprès de la dépouille de sa sœur, jour encore un peu plus marquant que les autres et elle trimballait depuis une moue on ne peut plus fermé.

Mais quelques peu ravie de ce courrier elle avait demandé à la gouvernante de lui sortir une jolie tenue et de l'accompagner.
Ainsi elle ne se perdrait pas en chemin, puis surtout à aucun moment elle ne serait seule.
Puis sortir de l'Hostel lui changerait sans doute les idées.
Elle ne parlait pour autant toujours pas plus et ce fut ainsi que le trajet se passa dans un silence totale, la gouvernante lui lancait parfois des regards inquiet mais ne l'embettait pas quand même.
C'est pour ca, surement qu'elle c'était tant ataché à la femme.
Une fois arrivé elel cherche Majda des yeux et une fois trouvé elle s'avança vers elle esquissant un léger sourire.

Bonjorn Majada! Cossi va?

Puis elle se tourna vers l'homme qu'elle n'avait jamais vu
Bonjorn!


quirin a écrit:
Une fillette que Quirin n'avait jamais vu s'approchait d'eux, celle-ci semblait connaitre Majda, ce qui ne surpris pas outre mesure la Mendois, tout les gens au coeur pur s'attachaient à son amie, et quoi de plus pur que le coeur d"un enfant...

Bonjorn Donaisèla, permettez moi de me présenter, Quirin de Rieucros


Majda a écrit:
Heureuse, Majda accueilli Catalina. Lâchant alors la main de Quirin, elle la tend vers Catalina.

Bonjorn Catalina ! Va plan et vos ?

Venez là, et racontez-moi votre voyage s'est bien passé ? Votre gouvernante ne vous a pas fait de misères ?


Avec un sourire, elle la regarde, cela fait déjà quelques temps qu'elle voulait la revoir, mais ses obligations l'en empêchait.

Comment trouvez-vous la Capitale ?

Essayant de ne pas la noyer sous un flot de questions, elle lui laisse le temps de répondre.


Catalina a écrit:
Elle pinça ses lèvres se rendant soudainement compte qu'elle n'avait pas bien saluer ce messire.
Elle ne le connaissait pas, mais il ne sembla pas se vexer de la forme de son salut et elle inclina alors légèrement la tête.

Je suis enchantée messer Quirin, je suis Catalina de Volpilhat.


Elle releva vivement la tête vers Majda qui était bien plus grande qu'elle, il lui tardait de ne plus avoir besoin de se monter sur la pointe des pieds ou de rester la tête levé vers le ciel pour répondre aux grandes personnes.
La gaiétée de Majda la faisant sourire, elle s'approche encore pour lui répondre et tendre aussi sa main vers la sienne.


Ce voyage oui, il c'est très bien passé, je n'ai pas vu le temps passer on pourrait même dire...

Elle regarde Adeline qui se tient à ses cotés, c'est vrai qu'elle a enfin réussit à s'endormir et ce pendant le trajet.
Ma gouvernante des misères... non, bien sur que non elle est la plus gentille des gouvernantes je crois.

Elle reprend ses esprits pour réflechir à ce qu'elle répondra.
Je n'en ai vu qu'un petit bout de cette capitale, mais elle semble bien agreable...
Me ferez-vous visiter d'autres endroit?

Elle sourit légèrement...



Cristòl a écrit:
Le Héraut aperçut, du trône près duquel il se tenait à officier, la fille de Margot... La pupille de Kamharley désormais, mais en fin de compte, c'était Adeline qui veillait sur elle, et lui, sur Adeline ; parce qu'Adeline s'occupait aussi de Jehanne Elissa, la petite Vicomtesse de Cauvisson...

De loin, il lui fait un signe de reconnaissance, en même temps qu'à Majda et Quirin. Il ne peut quitter sa place, pendant la cérémonie, et il est des moments comme celui-là où cela lui pèse.


Enduril a écrit:
Un petit groupe composé de personnes connues et moins connues qui discute paisiblement au fond de la salle en attendant que les premières allégeances se terminent... Et c'est là le moment d'interrompre ces conciliabule en appelant la jeune fille qui de détache du groupe tant par son apparence aussi brune que le teint des paysans de la région a la venue de l'automne, que par sa prestance. A voix assez forte pour être certaine d'être entendue et ne pouvant plus attendre l'arrivée des parents de la donzelle, elle appelle.

Majda_eulalie Shaggash, Dame de Couffoulens, Veuillez avancer je vous prie...


Majda a écrit:
Ravie de voir que Catalina ne perdait pas son enthousiasme, elle lui répond.

Ce sera avec grand plaisir, Damoiselle Catalina. Peut-être que le Senher de Marseillan pourrait nous accompagner ?

Elle n'a que le temps de lui glisser quelques mots avant que la comtesse ne l'appelle.

Avec un sourire accompagné d'un hochement de tête, elle signifie à Quirin et Catalina que son devoir l'appelle, et se tourne vers sa suzeraine.

Majda s'avance alors, et la salue d'une révérence respectueuse, bien que leurs divergences d'opinion soit notoires, et que Majda la pense bel et bien responsable de la maladie qui cloue son père au lit. Puis, elle s'agenouille devant Sa Grandeur Enduril de Noùmerchat.


Enduril a écrit:
Enduril attend que la jeune Maure prenne place. La cohabitation entre elle était assez houleuse actuellement, mais deux forts caractères s’opposaient souvent. Pourtant, Enduril était persuadée que le fait de faire ce qui était leurs devoirs à toute les deux passerait en priorité sur le reste et que pour la bonne marche du comté, elles iraient dans le même sens, celui de son bien. De toute façon rares étaient les différents que le temps ne parvenaient pas à éclaircir…

Elle commence alors d’une voix claire et assurée.

Majda_Eulalie Shaggash, voulez-vous être tout à fait ma femme ?

Elle a perdu le compte des cérémonies, perdu le compte des arrivées qui se son succédées alors qu’elle procédait aux premières et espérait ne pas trop faire d’erreurs et en faire attendre plus que de raison…


quirin a écrit:
C'était au tour de Majda d'être appelée par la Comtesse, et là cela froissait un peu moins Quirin, après tout la comtesse était l'épouse de parrain, alors pas de souci à avoir.. Il ne quitta pas Dona de Confolens quand elle s'avança et malgré lui, mais peut-être, surement, évidement dans un autre sens, machinalement prononça, en lui-même, en même temps qu'Enduril "Majda Eulalie Shaggash, voulez vous être tout à fait ma femme" puis réalisant senti une certaine chaleur lui monter au joues.... il regarda discretement alentours si quelqu'un avait remarqué....


Majda a écrit:
Et voilà... On y était La question ritournelle. Sauf que de la bouche de sa "tatie Endu", cela faisait très étrange à entendre. Elle aurait mille fois préféré que cela soit de la bouche de celui qui demeurait quelques pas derrière elle. Joignant ses mains, et les portant vers sa Suzeraine, elle songe que cela implique une allégence envers le Comté via la Comtessa, et non directement une allégence à "tatie Endu". Après une inspiration profonde, elle prononce les mots rituels.

Oui, je le veux.

Plus qu'à attendre la suite, une pensée pour Catalina qui doit trouver cela étrange, il faudra qu'elle lui explique le sens de ces phrases. Majda évite de se retourner vers lui, celui dont la présence suffit à calmer toutes les appréhensions. Dans quelques temps, si Aristote le veut bien, et que son père accorde sa main à Quirin...


Enduril a écrit:
Un sourire approbateur nait sur ses lèvres.

Vraiment pas de soucis à avoir, Majda était faite de la meilleures des essences. Il ne lui manquait que d’apprendre en sagesse et en patience, une chose loin d’être impossible puisque parfois ça lui arrivait aussi. Et puis, si elle est fille de Djahen, il doit tout de même y avoir du MarieDouce en elle…

Elle s’approche de la jeune fille, prend ses mains jointes entre les siennes et dépose sur ses lèvres le baiser de paix avant de se redresser et entendre le serment de la jeune Maure…


Majda a écrit:
Se retenant de grimacer à ce baiser, Majda pense très fort à ses parents. Où sont-ils donc ? Papa aurait-il rechuté ? Maman a-t-elle du rentrer au couvent ? Que se passe-t-il avec eux... Autant de choses qui la taraudent

Après un instant de concentration, sans faire de fioriture, elle donne sa part du "contrat" entre elle, vassale du comté, et Enduril, vassale du Roy. Arf, En cas de conflit entre le roy et le comté, qui devrait-elle suivre ? Elle jette un regard rapide vers le héraut, et se remémorant la phrase rituelle, se dit que la réponse est induite.


Moi, Majda_Eulalie Shaggash, Dame de Confolenç,
promet sur les saintes écritures,
à notre magnifique comté qu'est le Languedoc,
à travers vous Enduril de Noùmerchat, Comtessa du Languedoc, ...


Encore un instant de réflexion, elle ne s'est jamais engagée à la légère, c'est pas maintenant qu'elle va commencer.


... fidélité et loyauté, aide et conseils. Ma vie est au service du Comté, et mon épée le sera aussi.

Bon, ça peut prêter à faire sourire, mais mine de rien, bien qu'elle soit une très jeune femme, elle a déjà pris quelques cours, et son maître d'armes va continuer à lui enseigner le maniement.


Lakhdar a écrit:
Majda, chère et tendre sœur. Serais-je un jour être le frère que tu désirais tant ? J’ai encore beaucoup à te prouver, beaucoup à te donner. Je veux que tu acquières autant de fierté pour moi, que père et mère à ton égard. Te voire grandir me fait douter. La charge de ton rang, de ta famille, jamais ne te fait fléchir. Mon arrogance a provoqué beaucoup de chagrin. Aujourd’hui, alors que je me languis de ta présence, je prends la plus contradictoire des décisions. Je fuis. Encore une fois. Je crois que cela vaut mieux pour moi, avant de jeter l’opprobre sur ma famille, et de plonger d’avantage vers le déshonneur.

En ce jour d’honneur, tu es resplendissante, et portes avec fierté les couleurs de notre famille. J’espère que tu me pardonneras mon départ. Je ne t’abandonne pas. Je t’aime Majda. Et si je ne te l’ai jamais dit, je n’ai eu cesse de le penser.


Catalina a écrit:
Elle finit sa phrase, toujours souriante, aperçoit tout juste Cristol qui se tient plus loin dans l'attente de quelques choses, elle ne sait de quoi... c'est la première fois qu'elle voit des allégeances.
Elle sourit,un tout petit sourire puis lève légèrement la main pour le saluer, et alors qu'elle retournait la tête vers Majda quand juste quelques instant c'était écoulé la comtesse s'avançait déjà vers la jeune femme.
Cela commençait donc.
Le senher de Marsellan, elle tourne les yeux vers le messire Quirin, ce doit être lui, surement...
Ces gestes se font toujours aussi petit sans grand entrain, elle hoche doucement la tête en réponse.

Après les allégeances peut être, ou un autre jour car la capitale doit être grande, elle baisse la tête quand Majda s'approche de la comtesse puis finit par la relever pour voir ce qu'en dit Adeline.
Son visage ne semble pas exprimer quoi que ce soit alors Catalina ne dit rien, puis se concentre sur le duo en attendant que l'ancienne mairesse revienne.

Puis soudainement un sourci ce hausse, ses épaules s'abaisse...qu'est ce que cela veut dire... un mariage?
Elle reste ainsi la bouche qui s'ouvrirait presque.
Elle lève de nouveau la tête vers l'ami de Majda qui chuchotte en même temps, mais cela ne lui dit rien car de toute manière elle ne comprend déjà plus rien.
Presque déconfite elle reste la et écoute la suite du serment, drole de coutume...


Enduril a écrit:
Elle avait cherché et cherché encore quoi offrir à la jeune Maure comme symbole de son fief. Tâche au combien ardue puisque Enduril ignorait tout de ce que produisait la seigneurie. Et puis, elle s'était dit que pour Majda, le symbole de ce qui se faisait de base pour les allégeances serait finalement ce qui était le plus fort et le plus juste.

Je reçois Votre serment et je vous promets à mon tour justice, protection et subsistance en ne vous retirant pas la Seigneurie de Couffoulens, fief représenté ici par...

Elle ouvre les mains toujours jointes de la jeune fille, se tourne vers le garçonnet qui porte cette fois un petit coffret ouvert, y prend une poignée du contenu qu'elle verse dans les mains de Majda et reprend.

Cette terre de cette Seigneurie qui va vous nourrir, que vous allez protéger et qui est aussi partie de ce Languedoc auquel vous avez tant voué de votre temps jusqu'à présent.

Elle espère que la jeune femme aura la maturité nécessaire pour comprendre le symbole de cette terre pour laquelle tous s'étaient tant donnés.


Majda a écrit:
Souriante en recevant un peu de cette terre qu'elle chérit tant, elle cherche un endroit où la mettre. Se levant, elle va la mettre précieusement dans sa sacoche qu'elle a laissé près de Quirin et Catalina. Croisant le regard de celui qu'elle aime, elle sent le rouge lui monter aux joues, et essaye de se reprendre rapidement.

Elle regarde alors Catalina, et lui murmure : Devenir femme de la comtessa signifie être sa vassale, nous en rediscuterons ultérieurement si vous le souhaitez de l'échange que vous venez d'observer.
Puis elle se tourne vers la Comtessa, et s'approche de nouveau.

Comtessa ? Si je puis me permettre... Je ne sais si vous connaissez Catalina_Constance de Volpilhat. J'aimerais vous présenter cette jeune demoiselle.


Elle fait alors signe à Catalina de s'avancer un peu.

Catalina, je vous présente la Comtessa Enduril de Noùmerchat.

Elle jette un regard vers le héraut. La missive de ses parents a du arriver, l'a-t-il lue ? l'a-t-il enregistrée ? Pourvu qu'elle ne se soit pas perdue. Arf, le pauvre, la présence de Catalina le bouleverse, et son nom de famille doit y être pour quelque chose...


Catalina a écrit:
Elle secoue la tête, devenir vassal et voila qu'elle voila la jeune fille mettre de la terre dans sa sacoche, un autre symbole surement mais elle n'avait jamais vu des choses si curieuse.
Puis elle suit Majda des yeux qui semble vouloir lui dire quelques choses encore, elle garde ce même visage, cette même moue perplexe, pensant qui le lui reste encore bien des choses à apprendre.

La comtesse Enduril oui elle l'a déjà vu, brièvement mais elle connait ce visage, une voix qui lui rappelle également cette même journée mais elles n'avaient pas eu le temps d'être présenté, il y avait bien plus urgent.

Un sourire ridicule pour Majda et elle s'avance encore un peu pour incliner la tête à l'intention de la comtesse.
Que dire de plus...

Bonjour Comtesse!
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