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[RP] Grand Bal de la COBA: Bal de la fête des morts

--Eagach


[ENTREE DU BAL]



Bàis Eagach et Fairy dubh discutaient depuis un certain temps et leur peau devenait déjà fraîche lorsqu’arriva un couple magnifiquement déguisé…

Veneto portait un masque blanc duquel seul les yeux pouvaient êtres vus…
Dans l’obscurité, Bàis ne parvint pas à en distinguer la couleur des pupilles, et ne savait encore qui associer à ce déguisement… Tout était finement fini, un travail d’artiste, le costume était vraiment splendide.

Sa compagne lui était parfaitement assortie…


Citation:
Peut-on encore entrer beaux masques ?


Fairy prit le soin de répondre à cette question en posant sa main sur l'épaule de l’un des convives et de les inviter à entrer. Bàis fit le choix
de demeurer silencieuse quelques instants, de sorte d’apporter une touche un peu plus mortuaire à son costume… Elle hésitait encore, allait-elle faire la gentille ? Non bien sûr, le costume méritait bien plus que cela…

Elle attendit que son associée eût fini et s’adressa alors au couple… Sa voix se voulait froide, sarcastique, railleuse…

Quel beau couple que voilà…

On dirait une paire de rats


Rire démoniaque, découvrant ses dents noircies par le mâchage long et lent d’un bâton de réglisse…

Entrez, entrez donc vous réchauffer

Venez goûter aux victuailles

Pénétrez dans les entrailles

De notre maléfique dîner

Ce pourrait bien être le dernier

De votre pitoyable existence

Alors saisissez votre chance

Quittez ce monde de pitié

Rejoignez la mort, la grandeur

Abandonnez le bonheur

Et entrez dans l’obscurité



Finissant sa tirade sur un rire machiavélique, elle invite les deux jeunes gens à entrer, d’un signe de main…

Mais voilà qu’un autre invité arrive… Dans une sublime volute de fumée.

Bàis est intriguée, captivée, émerveillée… Sublime déguisement… Espérant ne pas avoir trop terrifié les précédents invités, elle laisse encore une fois Fairy accueillir le nouvel arrivant, après tout, l'amabilité avant la cruauté, ça évite de faire fuir les invités dès le début…

Petit sourire, fixant le capuchon qui donne l'impression d’être vide…
Pourrait-ce être celui à qui elle a promis une danse ?... Ou son parrain?


__________________________________________________________________________________

















































--Reyne

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La longue agonie de l’automne avait commencé, le froid déchirant qui s’emparait de votre être, la tristesse qui envahissait les cœurs. Les feuilles chutaient lentement des arbres aux couleurs chaudes, d’un rouge flamboyant par endroit au jaune citronné qui rappelait que l’été lui avait cessé d’être. Le soleil avait brillé toute la journée sans chaleur, sans réel éclat.

A la nuit tombée, la maison s’agita. Un carrosse apprêté pour l’occasion, une Robe à la fois somptueuse est légère, elle était Reyne. Le visage couvert pour ne pas être reconnue, la gorge entourée d’un ruban brodé de perles délicates. C’était un moment des plus distrayant et il allait de soit qu’elle prendrait beaucoup de plaisir à cette soirée. Le miroir lui renvoya une image qu’elle ne connaissait pas. C’était grisant de se sentir extérieur à ce corps. Elle avec un sourire énigmatique, cette allure qu’elle avait vue chez les courtisanes, ce sentiment d’être quelqu’un d’autre l’espace d’un instant. C’était ce costume qu’elle c’était choisi et ce soir c’est ce rôle qu’elle jouerait.

Quittant sa demeure, elle s’approcha du carrosse. L’homme l’attendait pour la conduire au bal, cochet à l’allure digne. Elle se pencha à l’oreille de l’homme, parlant derrière le voile qui la cachait, lui soufflant de se hâter car les festivités commenceraient bientôt. La lune était haute dans le ciel, l’air froid. Elle en eut le souffle coupé une fois à l’intérieur. Elle tira le petit rideau alors qu’elle filait jusqu’à la Capitale.

Les grandes portes de la salle s’ouvrirent et ses yeux s’écarquillèrent devant tant de magnificences. Elle remit un peu d’ordres à ses jupes dont le tissus délicat laissait entrevoir ses jambes par un jeu de légère transparence. Elle adopta un déhanché de circonstance, relevant le menton en s’en allant vers les personnes déjà présentes. Elle détailla chacun des costumes, reconnaissant des traits familiers au premier regard. De sa petite bourse elle aussi brodée, elle sorti un éventail délicat qu’elle déplia pour renforcé l’air mystérieux de son apparence. Quand elle ouvrit enfin le pourpre de ses lèvres pour s’exprimer, elle adopta un accent étranger, quelque chose qui n’avait rien à voir avec le BA, quelque chose de plus chaleureux.

Elle regarda les deux femmes, elle regarda le couple, l’ombre dont le costume dégageait de la fumée. C’était impressionnant ce qu’on pouvait alors observer chez ces gens paré, méconnaissable.


Seignors et Mesdames,
Je vous souhaite bien le bonsoir.


Elle effectua une révérence plus que travaillée dans sa tenue. Elle était sure d’elle, plongeant son regard dans certains des regards. Le couple l’intriguait.

Je suis Reyne.

Elle entendait les voix sinistres que certains adoptaient, elle prenait plaisir à les détailler, à retrouver l’intonation de ces personnes qu’elle avait déjà croisé. Elle chercha le visage de l’ombre qui semblait se perdre loin sous le tissu. Peut être aurait elle plus de chance en l’invitant à danser.
Ses yeux se firent quelques peu rieur. Elle serait encore un peu patiente.




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--Duchess.of.the.ghastly


Une fete... Un bal des morts...

assurément l'endroit ou elle serait tel un poisson dans l'eau. Quel déguisement pourrait elle vêtir? qui l'attendrait en ce lieu?

Quelques artifices pour masquer ses cheveux,son corps svelte dans un foureau noir, deux ailes ornants son dos d'une sombre aura, elle patientait dans le vieu cloitre abandonné qui lui donnait le gite et la penombre malgré la journée plutot ensolleillée d'automne:




une etoile dessinée sur le front, de la poudre d'argent sur les levres, deux long gants en guise de manches.. le froid ne l'atteignait pas, ne l'atteignait plus depuis ce glacial baiser qui lui avait été donné...

Et l'ange avait chuté.

Elle se decida a apparaitre parmis les mortels, au moins en cette journée elle n'aurait presque pas a se cacher...

Elle se mit en route vers le lieu des réjouissances... certes mais peut etre pas pour tout le monde...


[entrée de la salle de bal]

Elle s'en vint, parraissant glisser sur le sol au milieu des invités qui arrivaient, ne souriant pas pour masquer ses dents aigues au regard pour le moment, elle saluait chacun d'un signe de tete, qui sait, peut etre que son autre la sentirait et lui aussi sortirait de sa tanière....
--Eagach


[ENTREE DU BAL]

La Dame d’Eagach n’eut guère le temps d’inviter « cordialement » l’encapuchonné enfumé à entrer, que déjà, une carriole s’avançait et déposa une jeune femme… Ce visage lui était familier mais… Elle n’osa pas faire de pronostics…

Tenue somptueuse, légère, jouant la transparence… On pouvait dire que la dame ne manquait pas de classe…

Un déhanché accrocheur, mais pas vulgaire, la femme savait plaire et jouer les aguicheuses… Les femmes auraient intérêt à tenir leurs hommes en laisse…

Un accent forcé…
De plus en plus persuadée de connaître son identité, Bàis n’en dit mot, ne voulant pas gâcher le jeu… Ce jeu d’ailleurs, il faudrait qu’elle rappelle aux invités de lui souffler leur identité lorsqu’elle lancerait l’animation (par mp). Mais en attendant, elle y participait d’une certaine manière, se posant les mêmes questions que les autres, mi-curieuse, mi-amusée…

Elle ne dit mot, observant, d’un regard glacial, pénétrant…

Puis, d’une voie sans âme...



Mes très chers invités,
Bien le bonsoir
Oserez-vous donc entrer
Dans le ventre de mon manoir ?



Elle les fixa tour à tour, ses grands yeux pénétrant chaque regard un à un…

Une ombre ailée apparaît, elle ne dérogera pas à la règle.

Dans l’obscurité naissante , dans ce froid glacial, les pupilles de Bàis se fichent dans celles de l’ange déchu… Sans ciller, sans lâcher… Laissant les
deux autres invités à la charge de son associée…

Elle tourne autour des ailes obscures, tel un vautour autour de sa proie, des gestes lents, des gestes sûrs, une danse macabre dans le froid…

L’ange cèdera-t-il à l’intimidation ?...


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--Veneto




Veneto et Veneta, sa compagne, s'avançaient maintenant vers l'entrée à la suite des jolies Dames qui se rendaient au Bal devant eux...

Un peu intimidés, ils faisaient semblant de parler en langue transalpine en se contentant d'ajouter des "a", des "i" et des "o" à la fin de tous les mots...

Ce qui donnait une sorte de sabir assez coquasse.. et malheureusement, quasiment incompréhensible !

Ils avançaient, Veneto donnant le poing à Veneta, à pas comptés dans le simulacre d'une grande majesté et se présentèrent donc à l'entrée devant laquelle une Dame couverte de fourrures semblait filtrer les arrivants.

Mes hommages, Dame, nous sommes Veneto et Veneta, nobles vénitiens et demandons la grâce de participer à votre Bal en cette Fête des Morts !
Nous avons pour ambition d'y apporter un peu de gaîté voire de folie...
--Duchess.of.the.ghastly
[entrée de la salle de bal]



Des yeux qu'elle croise et qui la fixe, regard qu'elle retourne sans sourciller, avec la patience d'un chat.

Et voila que la Dame lui tourne autour, cherchant peut etre une faille dans la noirceur de son ame, ou bien les secrets millénaires qu'elle avait acquis...

Esquissant un sourire, revelant a demi la blancheur de ses dents et sa nature sacrilège, Duchess s'amusa de la lenteur de l'examen, elle qui etait déjà bien plus rapide que les humains ne l'etaient...

Elle laissa faire...

Ce n'est qu'au moment ou l'inconnue arriva a son dos qu'elle se retourna vivement, plus vite encore qu'on aurait pu le voir et qu'elle exhala un sepulcral:


Bonsoir...

Agrandissant son sourire sur la presence que voulait prendre son vis-a-vis.

J'ai ouïe dire que ce soir il y avait bal...

Sa voix etait basse, aussi froide qu'elle etait douce, dangereusement douce...

Elle lacha un instant son examinatrice des yeux, elle Le cherchait Lui... tout a coté n'etait rien et une vie n'en vallait pas plus...

Plus tard peut etre, si d'aventure elle s'ennuyait...
--Veneto




[Salle de Bal]



Veneto conduisit immédiatement sa cavalière à la salle de bal où la bande de musiciens interprétaient justement une pavane, leur danse de prédilection.



Quelques couples étaient déjà sur la piste et Veneto enlaça sur le champ sa Belle et se mêla aux autres couples.


--Reyne

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Délectable cette petite. Il allait sans dire qu’elle amusait beaucoup la courtisane à parler en vers de la sorte. Un petit regard audacieux, Une mise au défit, elle la relèverait assurément.

J’ose en effet…


L’accent était si drôle à prendre, il en devint presque facile de prononcer les mots d’une façon plus langoureuse. Certains prirent directement la direction de ce qui ressemblait à l’endroit idéal pour danser. Elle marchait d’une façon gracieuse, dévisageant toujours l’ombre qui restait discret. Ses jupons et son corsage accompagnaient ses courbes dans une douceur extrême. Elle s’approcha de lui.

Seignor

Une nouvelle révérence, visage digne et éventail bien devant la bouche, elle regardait de plus près à la recherche d’un visage, un trait qu’elle pourrait reconnaitre.


M’accompagnerez-vous pour cette danse ?


Elle était impudique dans cette tenue, étrangement à l’aise dans le rôle qui était le sien. Elle jouait presque de la situation guettant du coin de l’œil ceux qui arrivaient.


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--Eagach


[ENTREE DE LA SALLE DE BAL]

Le petit jeu amusait Bàis au plus haut point, qu'il était plaisant de jouer les cruelles sanguinaires, intimidantes...
Mais son adversaire était très douée à ce jeu là, et d'une agilité de félin, elle se retourna d'un coup. Lui soufflant quelques mots d'une voix douce mais froide, si froide, sans vie... Réponse de dame d'Eagach, mais l'ange semble déjà rechercher quelqu'un...


Cherchez vous âme qui vive
Ou bien un autre convive?
En effet, bal il y a
Et l'entrée est derrière moi


Désignant la porte derrière elle dont la lumière dansante des bougies de la salle éclairait l'encadrure. Cette lumière dorée, tremblotante, donnait à la scène une atmosphère étrange. Au dehors, le froid, l'obscurité, l'arrivée de toutes ces gens portant de bien étranges tenues, et dedans... Dedans, c'était un autre monde, mais pour y entrer, encore fallait-il l'oser...


Je vous invite à passer
Le pas de porte, si vous l'osez
Relèverez-vous le défi
De mettre en péril votre vie?


Elle lui sourit diaboliquement et reporte son attention sur la courtisane qui à son tour adresse quelques palabres...

La courtisane de noir vêtu, soutint le défi de Bàis.
Grand sourire noire de la dame d'Eagach, la femme s'était montrée à la hauteur des espérances de la demoiselle...
Petit regard pétillant qui en dit long...

Puis la courtisane s'approche du timide, le grand homme, ou bien était-ce une femme? Après tout, personne n'avait entendu le son de sa voix...
Malgré ses quasi certitudes sur l'identité du visiteur, la mortelle silhouette


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--Duchess.of.the.ghastly


[entrée de la salle de bal]

La voix de l'acceuillante la fit sortir de sa recherche et a nouveau porter son regard sur elle:

Cherchez vous âme qui vive
Ou bien un autre convive?
En effet, bal il y a
Et l'entrée est derrière moi


Celle qui fut un ange se prit au jeu de repondre de sa voix glacée que ne rechauffait pas la perspective de Le voir...

Je cherche celui qui ne peut etre trouvé
Car de tout et de tous par Sa volonté est masqué
Tant qu'Il n'est pas, toutes les ames sont immortelles...
Je cherche celui pour qui j'ai reposé mes ailes....


Mais Il ne viendra pas, pas tant qu'Il ignorera qu'elle est sortie de sa retraite...

L'ignorait Il vraiment?

Duchess salua, d'une esquisse de reverence vers la Dame puis s'avanca dans la salle illuminée
--Gargola


[Salle de bal]




Il lui en avait fallu du temps pour se préparer. Trouver une idée d'abord, puis la mettre en œuvre. Par facile avec si peu de temps devant soi.
Fin prête, elle s'était aventurée dans la salle de bal.
Le temps d'un soir, elle serait une gargouille. Du moins, c'est l'apparence qu'elle avait tenté de se donner avec bien du mal.


Elle pensait peut-être se fondre dans la masse. Elle s'installa près d'un mur et ne bougea pas, restant froide et silencieuse.


--Angedumal
[Entrée de la salle du Bal]

l'ange du Mal arrive aux porte de la salle en compagnie de sa bien aimée et se présente.


Bonsoir est ce bien ici qu'il y a le bal des morts ???





--Angenoir


J'arrivais avec mon Chéri Angedumal au grand Bal des Morts, notre séléction s'arrêta sur cette assortiment d'Ange qui finalement nous caractérisaient bien, enfin surtout moi...
Il s'était amusé à me dessiner sur le corps avant de partir, cela me plaisait bien.
A travers mon déguisement, j'avais essayé de garder mon coté guerrière car l'armée représentait toute ma vie.

Nous venions bras dessus bras dessous, dans la nuit noir du village, pour arriver jusqu'à l'entrée de la salle
Nous saluons les organistrices au passage d'un geste de tête et nous avançons jusqu'à l'entrée de la salle du Bal

Arrivée à la salle nous saluons les invités tout en essayant de déceler le petit détail qui nous permettrait de les démasquer

Je me raprochais de mon chéri et le sera contre moi, jusqu'à nous entremeler les ails, et lui murmurais :


chéri ... on va danser !!!

--Pol


Elle n'avait pas voulu se déguiser , plus de mon âge avait -elle dit à Leg et Amaelle et puis franchement , elle ne se voyait pas en fantôme ou en sorcière
on ne savait jamais, des fois qu'elle incommoderait l'une de ces créatures , superstitieuse Pol ? nonnnnn , tout simplement prudente ^^

et puis comment s'occuper d'un buffet avec un drap ou un boulet au pied et encore pire des ailes dans le dos ? Par contre elle avait débauché deux des servantes de chaptuzat et avoir requis l'aide d'un échanson pour les boissons

elle était d'ailleurs assez contente de la décoration du buffet boissons , avec ce grand chandelier serti de potirons et de bougies . Le long de la table s'étirait une guirlande de verre à dégustation




il ne resterait plus qu'à les remplir aux grandes fontaines d'hypocras qui trônaient sur une des tables voisines

Dernière inspection avant l'heure H , dernières recommandations aux servantes


les filles , je compte sur vous , n'oubliez pas qu'une soirée réussie passe aussi par le palais et je ne parle pas du château

puis elle attendit les premiers invités qui ne devraient plus tarder , ils seraient accueillis à l'entrée par les deux organisatrices , à elle de prendre le relais en attendant que les deux jeunes femmes la rejoignent

--Berthe_aux_grand_pieds


[SALLE DE BAL]



...Fais ci, fais ça, mets ça là, va chercher ça, mais pas comme-ci voyons!! Voilà, comme ça!!! ...

Pfff, quelle vie...
La pauv' tiote Berthe en avait plein les bottes, et c'était dire...
Depuis toute ptite on l'avait surnommé Berthe Aux Grands Pieds.
Faut dire qu'la pôvre, elle était pas aidée. Sûr qu'les marches du chateaux, ses pieds entiers t'naient pas d'ssus.
Alors z'imaginez en avoir plein les bottes quand on fait du 47? Vraiment pas une vie.

La pôv chtiote était pas ben douée. Le boulier, elle aimait pas, lire, écrire, n'en parlons pas... Non, rien à faire, Berthe savait vraiment rien faire de ses deux paluches.

Alors c'est desespérés qu'ses parents la vendirent au marché.
Que'ques poignées d'écus, et la voilà servante.
13 ans qu'elle avait la gosse.

Alors vous m'direz, ya pis. Mais la gosse, rapp'lez vous qu'elle était pas douée. Deux mains gauches qu'elle avait!!! Une vraie plaie.

M'enfin, les années passèrent, elle s'affranchit.
Mais comme elle savait rien faire, elle est restée servante.
Un jour, sur un coup d'chance, elle a finit à Chaptuzat. Coup d'chance pour elle, pt'etre moins pour ses collègues.
Les patrons du domaines étaient gentils, et c'était un beau couple, on pouvait pas leur enl'ver ça. Un rej'ton arrivait, ça, elle aimait pas. Ca faisait qu'du boulot en plus un truc qui braille, dort, mange, braille.
Alors bon, Berthe elle continuait à travailler, même si elle aimait pas ça.
Parce qu'après tout, vrai qu'elle était chanceuse.

Bal d'la fête des morts! Qu'lle drôle d'idée!!! Berthe savait elle, qui z'étaient pas nets ces fous à épée. Mais bon, elle était embauchée. Alors elle travaillait, même si elle aimait pas ça.

Pol donnait les directives. Une fontaine à Hypocras. Z'aimaient être ivres ces gens là? Qu'lle drôle d'idée! Alors elle alla chercher la fontaine à Hypocras, même si elle aimait pas ça.

Trainant ses grandes savates, Berthe trouva l'objet, et l'installa.

Elle regarda l'résultat.



Fallait avouer qu'c'était plutôt beau, même si elle aimait pas ça.
Alors ell' r'garda l'liquide, tout allumé avce les bougies en dessous.

Elle contemplait émerveillée, même si elle aimait pas ça...
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