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Info:
Nous sommes dans la maison de Pat, de ses enfants et de ses amis de passage.

[RP] « Les Mures… »

Pattricia
Après être passées à l’église, les ombres traversent le village aux pas de leurs montures, elles s’arrêtent au lavoir pour faire boire les chevaux, et continuent leur route en direction du lac… le Lac.
Les portes étaient ouvertes depuis moins d’une heure, le village dormait encore, l’aube n’était pas levée, mais les équidés semblaient connaître le chemin, leur croupe frémissait d’impatience, les naseaux se dilataient et les oreilles se tournaient dans tous les sens.

Mari et moi chevauchons l’une près de l’autre, les enfants et Mélie suivent, ensuite viennent les mules… Mon hongre tente d’accélérer le pas, je suis obligée de le retenir, je jette un œil de côté à Mari qui a l’air d’avoir le même problème avec son étalon, je souris… Même les chevaux sont heureux et impatients d’être à la maison.

Je me retourne et constate, amusée, que Mélie regarde le village avec les yeux grands ouverts, elle aussi impatiente sans doute de connaître sa nouvelle demeure, son nouvel univers. La pauvre allait être déçue, je l’avais bien prévenue que je ne vivais pas dans un château et que forcément elle ne pouvait s’attendre au même confort que dans le domaine où elle travaillait avant.

Ma maison, notre maison, une maison de femmes et d’enfants… Je souris en pensant à la plaque de bois que j’avais fait graver à Alais, « Les Mures ». Ce serait le nom de notre maison désormais, un jeu de mots, une référence à une vieille histoire de confiote et de petit déjeuner et également à ce que nous étions devenues toutes les trois, des jeunes femmes mures, libres et indépendantes et complètement raides dingues des trois crevettes qui dormaient encore dans leur panier.

Le compagnon charpentier m’avait assuré par pigeon que tout était terminé et Lilousi c’était occupé de la décoration avant de partir en retraite. Elle ne serait même pas là pour voir mes petites merveilles… ou mes petits monstres… c’est selon... Tout le monde aurait sa chambre désormais et un cabinet de toilette supplémentaire avait été installé au rez-de-chaussée. Mon atelier avait déménagé, il faut dire que je ramenais assez de peintures pour décorer tous les murs, je ne me sentais pas de peindre à nouveau, j’avais besoin d’une pause. J’installerai mon nouvel atelier au-dessus de ma forge, comme ça l’hiver je pourrai peindre au chaud.

Mon impatience contenue est enfin récompensée, après avoir contourné l’arbre à mots, la maison apparaît, et je sais que tout ira bien… Instinctivement, je tends la main vers Mari qui l’a prend. Les yeux légèrement embués, le cœur battant à la chamade, je regarde « Les Mures », sans vraiment la voir, Mari me serre la main, heureuse elle aussi d’être rentrée.

Tu vas t’installer à la maison, et quand tu seras prête, tu te prendras une nouvelle demeure, en attendant tu es ici chez toi. Bienvenues aux mures gentes dames, ici ce sera désormais le foyer du bonheur. Plus question de laisser entrer le malheur, le mensonge, la jalousie ou les soucis dans cette maison. Nous allons faire un pacte toutes les trois, quel que soit le problème, on le règle ailleurs, ici cela doit être notre havre de paix, notre refuge, les remparts derrière lesquels personne ne pourra nous atteindre.
Je les regarde, me sentant particulièrement ridicule d’un tel emportement, du côté dramatique de ma tirade. Nos regards se croisent et nous partons dans un grand éclat de rire, premier vrai son du village encore endormi, nos larmes coulent et le fou rire continue inlassablement… Oui… Les mures…

Après nous être calmées et avoir séché nos larmes, nous mettons pieds à terre et commençons à approcher de notre foyer. Toute encore à l’émotion que nous venions de partager, je sursaute en entendant un miaulement impatient et quelque peu geignard il faut bien le dire…

Irisssssss !!! Ma belle quelle joie de te voir et quel accueil aimable… J’éclate de rire à nouveau, trop heureuse de les voir elle et son petit. whouaaaa mais qu’est-ce qu’il a grandi, c’est Wolfie qui va être contente ! Les filles, je vous présente Iris, la vraie maitresse de cette demeure et son petit, qui n’a pas de nom pour le moment car il est pour Wolfie. Après avoir papouiller tout ce petit monde, nous nous décidons enfin à entrer dans la cour…

Après avoir dessellé les chevaux, les avoir bouchonnés, ainsi que les mules, nous prenons les paniers des enfants, qui commencent légèrement à émerger, le sac avec tout le nécessaire pour nous occuper d’eux, et nous entrons dans la maison, laissant les bagages dans la cour.
Et bien cette fois nous y voilà ! à votre droite la cuisine,
ce sera votre domaine, moi je ne suis pas particulièrement douée pour mitonner de bons petits plats et j’ai pu juger de votre adresse à préparer de savoureux repas pendant ce voyage, je ne voudrais surtout pas vous priver de ce plaisir à l’avenir…
Evitant soigneusement leur regard et me mordant la lèvre pour ne pas rire, je continue l’air de rien la visite… A votre gauche c’est la pièce principale salle à manger et salon. Je les précède dans la pièce afin de poser le panier des garçons qui commence à être un peu lourd…
Je crois qu’il est temps que l’on s’occupe de nourrir les enfants et de les changer car sinon nous risquons d’avoir un concert de pleurs et de cris que je n’ai envie de vivre pour rien au monde dès notre arrivée…



Edité le 17/06/2016 pour raccourcir le titre.

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--Melie


Mélie avait vécu leur arrivée comme un rêve, un voyage au pays merveilleux de la découverte. Une fois à la lisière de la forêt Truffe les avait abandonnées, contournant le village pour rejoindre la forêt près du lac. Pat lui avait expliqué qu’il ne venait que très rarement dans l’enceinte du village, préférant vivre sa vie en pleine nature et la rejoignant quand elle allait se promener.

Elles s’étaient approchées de l’enceinte du village et, après un dialogue auquel elle n’avait pas compris grand chose entre Pat et le garde à la poterne, elles avaient passé les grandes portes et s’étaient engagées le long d’une ruelle bordée de jolies demeures, certaines plus impressionnantes que d’autres. Les filles étaient arrivées sur la place du marché, entourée d’arcades du plus bel effet…
Après avoir pris un passage caché sous une des ces arcades, elles arrivèrent sur une place bordée d’arbres majestueux et s’arrêtèrent aux pieds d’une magnifique église trônant en maitresse des lieux.

Après avoir mis pieds à terre, elles grimpèrent les marches et pénétrèrent dans ce lieu de prières… Le moment fut magique, la lumière enchanteresse qui baignait l’intérieur apaisait et portait à la rêverie. Il faut dire que Mélie était épuisée par le voyage, elles avaient chevauché sans relâche pour arriver au plus vite à Sarlat. Ne pouvant galoper à cause de la présence des enfants, les déplacements avaient duré plus longtemps, dormant à tour de rôle sur leurs montures et s’arrêtant seulement pour prendre soin des petits et laisser les bêtes se reposer et se nourrir. Leurs prières pour remercier Aristote de les avoir protégés avec les petits pendant le voyage terminées, le groupe ressortit et se dirigea vers le lavoir du village pour permettre au bêtes et aux jeunes femmes de boire et de se rafraîchir un peu…

De nouveau à cheval, les enfants encore endormis, la compagnie se dirigea vers la maison du bonheur comme l’appelait Pat. Mari chevauchait près de son amie, et Mélie voyait bien que les deux montures trépignaient et faisaient quelques écarts, les bêtes sentaient la fin du voyage approcher et le bon fourrage qui les attendait… Après être passées près d’un drôle d’arbre couvert de parchemins, -une coutume sans doute- les filles s’arrêtèrent devant une charmante maison, ni trop ostentatoire, ni trop modeste, un petit bijou entouré d’un beau terrain… Un moment d’émotion passe entre Mari et Pat, … Bienvenues aux Mures gentes dames, ici ce sera désormais le foyer du bonheur… Les mots avaient coulé de la bouche de Pat, l’émotion les avaient reprises de plus bel et les larmes au bord des cils et étaient parties dans un fou rire libérateur.

Après avoir compris que la véritable maitresse des lieu était une chatte répondant au nom d’Iris, après avoir mis chevaux et mules à l’abri fraichement bouchonnés et nourris, elles étaient rentrer dans « Les Mures », nom pour le moins curieux, mais néanmoins charmant. Mais la visite s’arrêta à la salle principale, les enfants étaient réveillés et les jeunes femmes savaient qu’il ne faillait pas faire attendre les petits bouts, Cantor en particulier qui était tout à fait capable de rendre le plus sain des hommes complètement fou à force de pleurs déchirants et insupportables. Mélie et Pat mirent donc les trois crevettes sur le sofa, histoire d’appliquer une routine déjà bien en place qui est de nourrir d’abord Cantor, pendant que l’on nourrit Floris et que la troisième change Lucie…



Une fois tout le monde nourri et propre, chacun intégra sa place dans son panier et ces dames continuèrent la visite. Pat leurs montra d’abord sa chambre,

Puis celle de Mari,

Ces deux chambres donnant directement sur la salle principale. Ensuite elles montèrent à l’étage et Mélie découvrit sa chambre, un monde de douceur et de sérénité,

Ohhh Pat, ma chambre est merveilleuse, je l’adore, mais dis-mois celle d’à côté est bien celle des enfants ? Oui ! Tant mieux ! J’avais peur de devoir parcourir toute la maison !
Pat leurs avait ensuite montré le cabinet de toilette au rez-de-chaussée

Mari commença à parler de retourner au lavoir pour faire sa lessive et Pat voulu prendre un peu de temps seule avec les enfants, les emmener au lac. Voyant l’air désœuvré de Mélie, Pat éclate de rire rhooo mais ne fais pas cette tête, profite d’être tranquille pour puiser de l’eau, la mettre à bouillir et prends un bon bain ! Lorsque que je reviendrai, je mettrai les enfants au lit et toi tu dormiras. Ne t’inquiète pas, tu auras le temps plus tard de visiter le reste de la maison et le jardin, pense un peu à toi, je m’occupe de mes monstres… Se rendant compte à quel point elle est épuisée, Mélie après avoir fait un petit sourire contrit aux jeunes femmes déjà sur le départ, se précipite dans la cour pour aller puiser de l’eau et se préparer un bon bain réparateur…
Mariceleste
Après être passées a l’église nous traversons le village encore endormie, il faisait encore sombre, personne ne savait qui nous étions rentrées plutôt que prévue, mais nous étions là, chez nous, à Sarlat avec se magnifique lac, le lavoir et nos tavernes très animées.
Nous arrivons devant la maison de Pat « Les Mûres » Elle avait proposée a Mari de s’installer avec elle, les bébés et Mélie leur nourrice

Tu vas t’installer à la maison, et quand tu seras prête, tu te prendras une nouvelle demeure, en attendant tu es ici chez toi.

Merci Pat, c’est avec joie que j’accepte et je ne te décevrai pas, je ferrai mon possible pour t’aider a tous les travaux ménagées et m’occuper des bébés aussi….

Pat commença la visite de sa demeure, elle était superbement aménagée tout était parfais, Pat avait tout prévue.

Waouh Pat !!! Ma chambre et superbe elle me convient très bien ta très bon gout, merci pour tout.

Mari avait les larmes qui coulaient le long de ces joues. Je vous rassure se sont des larmes de joies évidemment ....
Après la visite de leur nouvelle maison elles commencèrent a installer leur affaire dans la demeure a mettre une touche personnelle comme pour marquer leur territoire.
Une fois tout installer Pat et Mélie s’occupa des enfants, Mari décida d’aller au lavoir faire ça lessive.

Pat je vous laisse avec les enfants je vais au lavoir, rejoignez-moi des que vous pouvez d’accord les filles ? Aller je file a tout a l’heure !!

Mari prit sont linge et alla au lavoir toute souriante d’être de retour a Sarlat.

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Survivante
Survivante arriva devant sa demeure en se demandent si elle pouvait rentrée...

Comme elle ne savait pas si elle pouvait !! Elle toca !! TOC TOC TOC

Survivante resta devant la porte en attendant une réponse !!
Pattricia
Après être rentrée du lavoir, Je me suis couchée, impatiente de profiter enfin d'une bonne sieste...
Dans mon sommeil une sorte de coup, plusieurs fois répété, mais néanmoins étouffé, comme éloigné, raisonne dans ma tête. Petit à petit, le son se précise et pénètre jusqu'à mon cerveau et une sorte d'alarme se met en route. Levée d'un coup, roulé-boulé sur le côté, roulé-boulé à nouveau vers le bout du lit, main sur mon épée, prête à bondir sur l'ennemi.... Un œil à peine ouvert, les cervicales encore tendues par la fatigue du voyage je vois mon reflet dans le miroir en étain et éclate de rire.

Non mais franchement ça s'arrange pas moi ! Reposant mon épée sur le coffre au pied du lit, me levant et m'étirant comme je peux, je me dirige vers la porte et bute dans un tabouret, criant de m'être cogné le gros orteil, je me dis qu'il est temps d'ouvrir mon deuxième œil sous peine de finir estropiée dans les 5 minutes... Après avoir ouvert la porte, je me dirige vers le vestibule pour accueillir comme il se doit la personne qui toque avec tant d'insistance... Mine renfrognée, je passe la tête... Le visage que j'aperçois me transporte de joie et je saute au cou de Survi qui a dû avoir vent de notre arrivée...

Coucou ma belle ! Je suis trop contente de te voir, c'est une jolie surprise que tu me fais. Entre donc sœurette, j'allais me faire du thé que m'avait ramené Al de sa contrée lointaine, on va le faire ensemble et ensuite nous papoterons !

Je vais pour joindre le geste à la parole et qu'elle n'est pas ma surprise quand je réalise que sa silhouette n'est pas ce qu'elle devrait être... Ebahie, je constate que Survie a retrouvé presque sa ligne d'avant et qu'elle a à ses pieds deux paniers dans lesquels dorment deux bébés. je l'attrape par la main et l'entraine dans la cuisine et la fais assoir. Toujours sous le choc, je repars à la porte prend les bébés et les dépose sur la table près de leur mère...
Mais quand as-tu accouché ? Cette nuit ? Mais, Al est toujours en retraite ! Tu as bien fait de venir, je vais t'installer dans la chambre de Lilousi, elle est chez les nonnes, ça ira très bien le temps que Al rentre.
Et les enfants... ils dormiront avec les miens, je n'ai pas de berceau supplémentaire, mais tu dois déjà avoir prévu le tien chez toi, je vais aller le chercher tout à l'heure quand Mélie sera descendue et je pense que Vinou doit en avoir un de libre, j'irai lui demander.


Nous préparons le thé en devisant gaiement, je la regarde l'air de rien, trouvant que le rôle de mère lui va à ravir... Tu as l'air si radieuse ma belle, As-tu choisi les prénoms ? Edwin et Aurora ? C'est magnifique ! L'entrainant dans le jardin, nous nous installons avec les enfants endormis sur la table en pierres…


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Survivante
Survivante avait fait ces bagages pour quelque temps entra dans la maison de Pat avec émerveillement elle trouvais cette maison tres belle et etait contente d'etre acceillit pas sa belle soeur chérie...

Survi bisouilla Pat et déposa les bébé part terre " dans leurs pagniers" biensur,

Et attenda une reponse de Pat

Mercii
--Melie


Mélie n'avait pas fait attention à l'heure, les enfants non plus d'ailleurs, ils prenaient un rythme plus lent et cela laissait plus de temps pour se reposer... Sur la pointe de pieds, elle jette un coup d'oeil dans la chambre des petis bouts, les voit endormis et descend discrètement les escaliers...

Surprise de voir des sacs dans l'entrée, persuadée qu'elles avaient tout ranger ce matin, Mélie s'avance dans la cuisine et voit un peu de désordre, la boîte à thé pas rangée, une gamelle d'eau fumante posée sur la pierre de l'âtre et les chaises poussées à la va vite... Je suis vraiment étonnée, les filles sont du genre ordonnées d'habitude, que s'est-il passé ici ?

Voulant en avoir le cœur net, la jeune femme se dirige vers la salle, et en passant la porte entend des éclats de rire venant du jardin à l'arrière... Curieuse, Mélie avance et trouve Pat assise avec une jeune fille qu'elle ne connaît pas et deux paniers posés sur la table, à côté des tasses à thé...

Pat l'apperçoit... ahhh Mélie, tu es réveillée ? Viens que je te présente à quelqu'un dont je t'ai déjà parlé. Survi je te présente Mélie ma précieuse nounou sans qui je ne pourrais m'en sortir et Mélie je te présente Survi ma belle-sœur, la compagne de mon frère Alrahir !... Et ses jumeaux nouvellement nés Aurora et Edwin mon filleul En voyant le regard de Pat, la jeune fille sourit, décidément sa nouvelle patronne... heuuu non amie, était toujours complètement gaga devant les bébés, cela promettait...

je suis enchantée de vous connaître dame Survi, et si vous le permettez, je vais prendre vos enfants et les mettre à la nurserie. Je suis désolée mais je n'ai plus assez de berceaux, ils vont devoir rester dans leur panier.
Melie jette un regard interrogateur vers Pat attendant des instructions... ne t'inquiète pas Mélie, je vais aller chez Survi chercher le berceau qu'ils avaient acheté avec Al et je vais aller demander à Vinou si elle a encore le berceau de Mathéa et si elle peut me le prêter.
Bon d'ailleurs je vous laisse papoter ensemble et j'y vais de ce pas !


Les bisouillant vite fait, déjà projetée vers sa double mission, Pat rentre dans la maison pour en ressortir à la chasse au berceau... La jeune nourrice regarde Survi vous savez où vous devez dormir ? Ahhh la chambre de Lilou, d'accord ! Venez je vous y emmène de ce pas pour que vous vous reposiez et je vais mettre les enfants dans la nurserie en même temps. Joignant le geste à la parole elle entraine Survi à sa suite...

Après avoir mis les enfants avec les autres petits bouts, Mélie conduit Survi à sa nouvelle chambre...

Vous serez bien ici, vous verrez, et nous allons nous entraider... Laissant la jeune maman prendre un repos bien mérité, la jeune femme se dirige vers le jardin pour faire disparaître le désordre laissé sur la table...
Virginia_
Tant bien que mal, Vinou était arrivée à la maison de Pat "Les Mures", la jeune femme sourit, se disant que ce nom lui allait comme un gant. Elle observa un moment avant de frapper à la porte. N'entendant personne lui répondre, elle entra doucement.

Pat ? Pat ? Tu es là ?

Elle avança un peu plus dans la demeure, un peu curieuse, il faut bien l'avouer.

Je t'ai amené un berceau comme tu me l'as demandé. Mais pas celui de Matthéa car ... bin, c'est Théo qui l'a fait celui-là ... donc je le garde. J'ai celui d'Emma que j'avais commandé à un charpentier du village. Je me débrouillerai bien pour descendre l'autre du grenier.
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Pattricia
Tirant la mule depuis la maison de Al et Survi, je ramène enfin le berceau. Je passe par la cour et décroche le lourd berceau de la pauvre bête et le pose à terre... Je mène la mule jusqu'à l'écurie, la libère de ses entraves et reviens sur mes pas harassée.

Citation:

Pat ? Pat ? Tu es là ?
Je t'ai amené un berceau comme tu me l'as demandé. Mais pas celui de Matthéa car ... bin, c'est Théo qui l'a fait celui-là ... donc je le garde. J'ai celui d'Emma que j'avais commandé à un charpentier du village. Je me débrouillerai bien pour descendre l'autre du grenier.



Agréablement surprise de reconnaître la voix de Vinou, je me précipite de la cour et traverse en courant le vestibule.
Rhooo mais fallait pas te déplacer, je serais venue avec la mule pour chercher le berceau. Pose donc ça là, je le monterai tout à l'heure, rhooo toi alors ! Hmm tu sens cette odeur ? Ca sent la confiote de mures ou je ne m'y connais pas ! Viens !

Je l'entraine dans la cuisine où nous retrouvons Mélie, les cheveux collés sous son bonnet, les joues bien rouges, en train de passer la confiote de mures dans des pots de grès...

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Survivante
Enchantée Méli !!

Survivante papota avec Pat quand elle entandit Vinou venir avec le berceau et la remercia...Merci beaucoup dame vinou

Survivante sourit

Merci beaucoup Pat de m'acceuillir ici....Ces très gentille de Ta par

et merci a Méli de s'occupée aussi bien de mes enfants

Survivante allait voir ces enfants qui dormait comme des anges et souria
--Melie


Mélie avait fini de mettre de l'ordre dans le jardin et dans la cuisine et elle était assise un peu désœuvré... Survi était montée rejoindre les enfants, et sûrement se reposer dans sa chambre…

Les enfants dorment toujours et me voilà bien en peine... Lorsque nous étions en voyage c'était différent ! Toujours à courir, chercher de l'eau potable, laver le linge, s'occuper des enfants, aider au ravitaillement... se baigner aussi... La jeune femme sourit à ses souvenirs de baignades avec Mari et Pat. Quelles joyeuses compagnes elle avait eu là ! Et le peu qu'elle avait vu de Sarlat lui donne vraiment envie d'en connaître plus.
Dès demain, je prends une mule, j'y attache les paniers des enfants et je visite le village. Pas question de rester enfermée ! Perdue dans ses souvenirs du voyage, elle se remémore la fameuse cueillette de mures qui avait plus ressemblé à une bataille de mures qu'autre choses... Des vraies gamines, elles étaient belles tien ! Mais qu'elle belle cueillette... Les mures !!!! Mais où avais la tête !!! Voilà ce que je vais faire, je vais m'occuper de la fameuse confiote de mures de Pat ! Bon voyons... Où m'a t’elle dit qu'elle avait rangé la recette ?... Oui ! Le coffre dans le cellier !

Joignant le geste à la parole, Mélie se précipite dans le cellier, trouve un paquet de parchemins attachés ensemble par un ruban dans le coffre et commence à chercher... Après avoir lus un certains nombre de parchemins lui mettant l'eau à la bouche, elle trouve enfin son bonheur...
Rangeant le reste des recettes dont elle n'avait pas besoin à leur place, la jeune femme prend les mures sur les étagères...
Après les avoir rincées dans une bassine, Mélie allume le feu dans la cheminée, met les mures dans la marmite et accroche cette dernière à la crémaillère... Alors que dois-je rajouter ? Ahhh oui bien sûr sucre et les ingrédients secrets... Souriante, la voilà partie à farfouiller dans le cellier et à choisir certaines épices notées dans la recette... Satisfaite de ses trouvailles, elle met tout dans un pilon et presse le mélange avec conviction. Chantonnant joyeusement, une cuillère en bois à la main, la jeune femme disperse le mélange dans la marmite et remue le tout. Bon il me faut juste surveiller, je n’ai plus qu’à faire la vaisselle et le tour sera joué. Je crois que je vais me faire une tasse de thé moi !
Après moult occupations, le thé parfumé bu, la vaisselle faite, la maison était toujours déserte et la marmite décrochée de la crémaillère…
Occupée et concentrée, Mélie n’avait pas entendu Vinou qui entrait par la porte donnant sur la cour de derrière, elle n’avait pas plus remarqué que Pat était déjà à l’écurie avec le berceau de Survie. Il faut dire que certains ingrédients dans la confiote étaient quelque peu perturbateurs quand ils chauffaient… Et là, le moins qu’on puisse dire c’est qu’il faisait chaud ! Elle était trempée de sueur, la cuisine était devenue une vraie étuve. Après avoir ouvert la fenêtre donnant sur la cour et celle donnant sur l’avenue, la jeune femme entrepris de remplir les pots de grès d’une bonne confiture de mures bien fumante et bien odorante.

Coucou c’est nous ! Mélie lève la tête surprise et embrasse d’un regard la situation. Vinou et Pat, telle deux gamines, avaient déjà une cuillère à la main et s’approchaient de la marmite d’un air gourmand… Ahhh non les filles ! Pas question que vous approchiez de la confiote ! Déjà que je voulais te faire une surprise Pat !
Mélie la mine faussement sévère brandit sa grande cuillère en bois d’un air menaçant sous le nez des deux jeunes femmes qui ne semblent pas intimidées outre mesure.
Après un marchandage serré, elles se mettent d’accord sur un compromis. Mettre la confiote dans les pots tant qu’elle est bouillante, fermer les pots et attacher de jolies étiquettes que Mélie avait fabriquées en attendant la fin de la cuisson. En échange, Vinou et Pat peuvent léchouiller la marmite tant qu’elles veulent… Les gourmandes ne se le font pas dire deux fois, de mémoire la jeune nourrice n’avait jamais vu pots de confiote se remplir aussi vite, se faire hermétiquement fermer et étiqueter. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, les pots sont sur l’étagère du cellier et les jeunes femmes le nez au-dessus de la marmite, brandissant leur cuillère, prête à en découdre si l’une mange plus de confiote que l’autre.
En cette fin d’après-midi, Les Mures retentissaient d’éclats de rire…
Mariceleste
Mari qui était partit au village faire quelque achats et passé voir ces amis en taverne rentra à la maison.
Sur le chemin du retour et a proximité de la maison, elle fut attirée par une bonne odeur de confiture qui lui chatouillait les narines.

- Hummmm !! que ça sent bon, Pa eu une bonne idée de faire de la confiture, je vais me régaler en rentrant je vais léchouiller la bassine !!

Mari se dépêcha de rentrer elle avait très envie de léchouiller la bassine de confiture, elle pressa le pas. Arriva à l'entrer de la maison, elle traversa le jardin et arriva a la porte de la cuisine, elle l'ouvrit et dit,

- Coucou Pat je suis rentrée !! Hummm ta confiture sent drôlement bon !!

Mari passa la porte toute souriante et se précipitât sur la bassine, mais quelle fut pas sa surprise en voyant Pat et Vinou une cuillère en bois a la main et la bouche pleine de confiote.

-Ahhh les filles je vous y prend en flagrant délies regardez-moi ça on dirait deux gamine, a vous êtes mignonnes avec la bouche pleine de confiote gros éclat de rire Ben voyont, vous n'avez pas pensée au copines, vous avez tous mangée....Pfffffffffff vous êtes pas drôle moi qui en voulait.

Les filles regardaient Mari d'un air ahuries et se mirent a rire aux éclats, Mari les regardait d'un air tristounet, puis se mit a rire elle aussi.
Il y avait la joie et la bonne humeur Mélie nous regardait et se joignit a nous pour les éclats de rires
Enoralie
Ninou, arrivée de bon matin portée par l'espoir de retrouver ses copines en taverne, avait été bien déçue quand elle s'était rendue compte que toutes les portes étaient bloquée, et que pire, il n'y avait personne qu'elle connaissait dans les rues ! Enfin si, elle vit des gens mais elle ne les connaissait pas, jamais vus, ce devait être des nouveaux ... Pourtant elle n'était pas partie depuis si longtemps que ça ! C'est fou comme cela avait l'air d'être changé et elle espérait retrouver ses marques vite, vu qu'elle allait s'établir un peu longtemps dans le village ... Déjà, il lui fallait trouver Patty et Mari, car Mimi devait être en voyage si elle en croyait ce que lui avait dit ce cher Mundi. Sa fille dans son panier, qu'elle trimballait partout, elle entreprit de se balader.

Han, des nouvelles tavernes ... Han, des tavernes ont disparu ... Han, des nouveaux gens ... Bon je vais demander mon chemin moi, sinon jamais je vais retrouver les filles !

Sitôt dit, sitôt fait. Ninou demanda à un passant où elle pouvait trouver Pattachou et Mari. On lui indiqua une maison. Super ! Fini de chercher au hasard, enfin du concret !

Ninou se dirigea en sautillant, enfin en sautillant à moitié, car il ne fallait pas oublier que sa fille suivait ses mouvements dans son panier, et que les sauts, c'était pas super.

La porte était fermée mais elle entendait des éclats de rire à l'intérieur...
Elle toqua alors à la porte.


Youhouuuu Patty, Mari ! Vous êtes là ?!
Pattricia
Au milieu des rires, j'entends frapper. Intriguée, me demandant qui allait encore arriver, je me dirige vers la porte d'entrée, le visage encore barbouillé de confiote de mures...

J'ouvre la porte riant encore et là ! Mon cœur saute dans ma poitrine, les larmes me montent aux yeux, elle est là devant moi, avec la petite dans son panier, un air un peu fatigué et le regard légèrement égaré...

Ninou ? C'est bien toi ? Ohhhhhhhhhhhhhhhh c'est pas vrai ? Ma Ninouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Mari Ninou est là !!!!!!!

Trop émue pour en dire plus, je l'a prend dans mes bras et la serre très très fort. Je lui prends le panier des mains et l'entraine à l'intérieur. Viens ma belle, je vais te faire une petite place, tu es la bienvenue et ta fille aussi. Je ne sais pas encore où tu vas dormir, mais ton petit bout a déjà la nurserie, mais là je vais avoir un problème... j'ai plus de berceau ! Ils sont tous pris !

Lui prenant la main, je l'amène jusqu'à la cuisine et regarde Mari et Vinou avec un grand sourire regardez qui je vous amène les filles !

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Nyx.iseult_saintclar
La louve avançait lentement, un morceau de parchemin mité entre les mains, un plan était déssiné dessus, la louve le tournait dans tous les sens, il est vrai que, pour une louve, et bien elle n'était point douée pour s'orienter .. "les mûres, les mûres ..." se répétait elle sans cesse .. elle continuait à marcher lentement tout en observant autour d'elle .. puis elle s'arrêta davant une masure, simple, mignonne dont le jardin lui semblait fort joli, tout était calme, des chatons s'amusaient sur le seuil de la porte .. elle s'approcha, bien décidée à frapper pour demander son chemin ..
elle toqua puis attendu ..

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