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[RP] La place du Pilori, en intèrieur de la Cour

Acar
[HRP]

Aux joueurs IT, Encapuchonnés ou autres, je lance icelieu RP de libération du jeune Louis, fils du gm de l'OCF.
Étant en vostre lieu, je vous propose de me contacter par pigeon.
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Le jour d'avant' hier, le chancelier de l'OCF avait levé grande compagnie, tous nobles guerriers, chevaliers aguerris au contact brut, anciens de la croisade. Tout cela au service d'un enfant, pris sûrement dans les tourments des bas-fonds.

En effet, sur ses entrefaites ; Il avait appris que le jeune Louis avait quitté l'hôtel de Mortain en bonne Bourgogne, par l'entremise de messire Cristol et de messire Gedeon et qu'ils étaient arrivés a Paris, lieu où se trouvait enfin la troupe.

Avant de partir, il avait aussi envoyé moult pigeons, à qui de droit, car l'opération devait demander grande presse en ce lieu fort maudit.

Poursuivant alors chemin sans rencontrer vils canailles, ils arrivèrent enfin devant les grands et hauts remparts de la luxuriante cité et, passèrent le pont aux changes, s'acquittant de la taxe de passage.

Le vent se mit à gonfler, soulevant la toile au dessus des étalages de la petite place contenant marché et, nuage de poussière s'éleva aux milieux des cris perçants des femmes.

Alentour mille senteurs prenaient naseaux, détournant moult tete de leur cheminement.

Peu loin de la colonne, chèvre renâcle... le boucher devers elle pose bassine et lui enfonce céans couteau dans la gorge.
Le sang se répand alors dans le récipient, mais encore à même le sol ou cochons viennent se battre durement pour avoir petite lapée.

Avançant encore, peu loin de none, la formation armée s'enfonça dans le coeur, plus en avant, ou l'ombre prédominait.

La cloche environnante sonna glas, car l'heure n'était point au sourire, mais à l'inquiétude.

Posant question à qui rencontrait la troupe, nouvelle arriva.. Un jeune homme, dont les caractéristiques concordaient, buvait comme quatre, en taverne peu loin de là.

D'autre allaient arriver... il stoppa net le convoi et demanda de se poser en ce lieu ou place portant piloris était.

Il se devait d'attendre, renfort arriverait sous peu, en cette grande cité ou le mal régnait.

Le chancelier de l'OCf, tout en frottant son lourd mantel de maille, donna ses ordres et, en silence, tous prirent position, soit de garde, soit alentour, maitrisant bonne position.

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Arakiriman
La missive qu'elle avait recu l'avait fort perturbée. Louis, encore et toujours Louis. Quand se déciderait il à etre responsable et arreterai de se mettre dans des situations incroyables. Elle en pouvait plus, se sentait dépassé par ce bout d'homme qui se croyait bien malin ou alors qui etait d'une naiveté sans bornes.

Criant au rassemblement dans toute la commanderie de Thorens, l'hochmeister teutonique fit bouger tout ses freres et soeurs pour aller chercher leur frere à Paris.

La longue file de cavaliers se profila devant la grande ville de Paris. Elle se retourna sur sa selle pour voir si la troupe était en état pour entrer dans la ville. Toutes les tenues etaient en place, les gonfanions flottaient dans le vent.
Aurore n'avait jamais vu paris encore. Les rues bourdonnants et sales lui soulevèrent le coeur, elle etait heureuse de sa savoie ou de sa bourgogne qui avaient des moeurs un peu plus propres que cette ville qui etait sensé etre la capitale de la France.

Elle apercue la troupe des francs sur une place pas loin de leur destination et sans echanger beaucoup de mots, les deux ordres fusionnèrent. Les positions se partagèrent, les gourdes passèrent de mains en mains sans distinction entre franc et teutonique.

S'avanceant vers Acar, elle le salua puis lui murmura :


Nous voici, manque t il encore beaucoup de monde ?
Acar
Voyant arriver gonfanons bien connu, Acar eut sourire de coin... puis alors l'hochmeister teutonique vint à sa rencontre, lui lançant :

Nous voici, manque-t-il encore beaucoup de monde ?

La saluant, il lui précisa qu'un autre Ordre allait aussi venir, mais point d'assurance encore....
Ainsi, la tante du jeune Louis était arrivée et avec ses meilleurs hommes, céans unique formation prit le dessus et postes se partagèrent.

Il lui dit alors que le recherché était présentement dans une taverne, à l'angle opposé de la rue, précisément en plein coeur de ladite cour des miracles.

Néanmoins, il précisa qu'il ne savait point avec qui, à part ses deux compagnons, compagnie trouverait... il reprit derechef parole pour ajuster ses dires.


Dame, même de ses compagnons, je ne peux parler, car rien ne prouve qu'ils se trouvent avec Louis... céans, la seule nouvelle vient d'un homme l'ayant aperçu, en train de s'enfiler hanap sur hanap.

Acar se gratta le menton, car presse allait se composer, au vu de tous... et cela, par la volonté du divin.

Ordres fut alors donné
: Ne point tourner en bourrique le gueux venu, ne point répliquer si insolence suivrait, ne pas lancer querelle... seul compte l'objectif, voila les maîtres mots.

A ses mots, les armures cliquetèrent, tous en choeur, tel le vent d'Aoust rabattant les maigres feuilles... mais pour l'heure, ils devaient se concerter, attendre patiemment.
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---fromFRGarde de l'OCF
Armé et équipé comme tout bon soldat, le garde de l'OCF avait suivi le Chancelier et les ordres.
La mission était claire: retrouver le fils du Grand Maître en ce lieu de perdition.
Le guerrier était donc aux aguets, scrutant calmement chaque recoin, chaque ombre, refuge possible pour quelque vile créature mal intentionnée.

Un geste, un ordre, le convoi s'arrêta immédiatement.
Les combattants, alertes, attendaient la venue d'autres protagonistes, à l'évidence.
Certains d'entre eux se manifestèrent, menés par celle qui fut reconnue par tous comme l'Hochmeister de l'Ordre Teutonique.
Salut immédiat, respectueux et unanime.
Puis teutoniques et francs se mêlèrent.
Une seule force, un seul bras, une seule arme se rassemblait dès lors au cœur de l'endroit maudit, pour le salut du si jeune Frère.

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---fromFRAnonymous
Le v'là donc dans cette basse Cour des miracles représentant une vaste partie de la ville de Paris. Malgré toutes ces rumeurs entendu alors qu'il était encore en route pour venir dans cet endroit tant attendu, il ne porta que peu d'attention à tout ce qu'il voyait depuis peu.
Il cherche, il observe et scrute le visage des gens. Mais ce sont les femmes qui l'intéressent le plus car étant à la recherche de sa véritable mère, il se doit de bien observer si l'une de ces femmes pouvait avoir un lien de parrenter avec lui.

Il n'avait aucune information, il était pour ainsi dire venu les mains dans les poches dans l'espoir de retrouver celle qui l'avait mise au monde.
La seule et unique chose qu'il savait, c'est que sa mère se trouvait ici, quelques part dans ces rues et ruelles mais... où ?
Désormais assez grand en âge et en maturité pour chercher tout seul, il ne perdait pas espoir face à tous ces gens qui ne l'aideraient surement pas pour la retrouver.
Et oui le p'tit Marcelino, à toi de te débrouiller tout seul dans cet univers de brutes.
Alors il poursuit sa route, apprenant peut à peut à repérer certains endroits clés de la Cour. Des endroits où dormir, où il pourrait voler de quoi se nourrir afin de continuer à vivre convenablement ou presque...


Mais ne pas perdre espoir, voici donc la raison qui le poussait à continuer ainsi sans perdre pour autant patience.
Il savait dors et déjà comment il allait s'y prendre. Rendre service à quelques malheureux en échange d'une information même si celle si serait la plus minime, essayez d'en savoir un peut plus sur sa sa mère.
Le p'tit Marcelino lui ne ressemble mentalement en rien aux autres gamins, il aime passer du temps seul à méditer sans raison apparente.
Peut-être qu'il tient sa de sa mère après tout, il n'en sais rien.

Alors il marche, sans s'arrêter. Il n'y avait pas vraiment d'endroit pour des personnes de son âge à la Cour des miracles, pas un endroit où se présenter pour avoir le gite et le couvert.
Enfin, le voilà qu'il arrive bientôt à une grande place. Il voit déjà au loins un échafaud qui se tient sur cette même place mais...chose plutôt étrange.
Pourquoi diable y a t-il des hommes en uniforme dans cet endroit.
Alors il pense, il regarde autour de lui afin de voir s'il se trouve encore dans la Cour des miracles.
Et sa réponse est pourtant « oui », ce sont toujours les mêmes bâtiments qui 'entourent et toujours cette même ambiance qui plane dans les airs.

Il continue son avancée, passe à coté de deux hommes solidement armés qui avaient l'air de monter la garde mais pourquoi autant de précautions.
Il sifflote un air de chanson provençale histoire de passer moins suspect auprès de ces hommes mais après tout, il n'a rien à se reprocher.
Baissant les yeux et continuant de s'avancer, il arrive enfin sur la grande place, essayant de ne pas faire attention à toute cette troupe de soldats.

Ce n'est surement pas eux qui vont le renseigner d'avantage mais ce n'est pas grave, après tout il a du temps à perdre.
Etrangement, il voit les volets des battisses alentours se refermer l'une après l'autre alors que les quelques représentants de la Cour quittent les lieux.
Mais il veut en sa voir plus sur ce qui se passe alors il prend vite place sur le haut d'une caisse en bois devant l'échoppe d'un petit marchant qui visiblement n'est pas présent.
Sortant une pomme de sa petite besace, il croque à pleine dent dans celle si tout en savourant le délicieux jus qui s'en échappe.
Son petit visage enfantin et son allure de petit ange n'a rien de provoquant bien au contraire et il ne se risquerait pas à agresser d'une manière où d'une autre l'un de ces hommes car il savait bien qu'il était déjà perdant.
Il continua alors de déguster ce délicieux fruit, regardant un petit groupe d'hommes armés passer juste sous son nez et c'est alors qu'il remarque qu'il est la seule personne n'appartenant pas à cette petite armée et à être ainsi présent sur cette place...
---fromFRjackson21
L'appel avait été sonné tôt à la Commanderie de Thorens et une bonne partie des Teutoniques avait étés mobilisés pour secourir le jeune Louis, garçon que le Seneschall ne connaissait pas particulièrement mais dont les aventures et les pitreries étaient parvenues à ses oreilles...

Paris... il y était déjà venu il n'y a pas si longtemps, mais il n'avait vu que l'aspect le moins répugnant de la capitale si l'on peut dire ainsi, et voila qu'ils se retrouvaient à l'entrée de la Cour des Miracles, mais dans quel nid de guêpes le jeune Louis s'était il faufilé ...

Les lances Teutoniques firent leur jonction avec leurs Frères Francs et les retrouvailles furent chaleureuses et réconfortantes,mais silencieuses avant tout. Revoir ceux avec qui il avait combattu à Genève était un grand plaisir pour Jack et cette fraternité qui unissait les OMR était l'un des plus bels exemples de l'amitié aristotélicienne.

Ara ne tarda pas à s'entretenir avec Acar, et le Kreis ordonna aux restes des frères combattants de stopper la marche et d'attendre la suite des évènements ...
Excitation nerveuse de Sarpedon que l'Ordenssprecher ne manqua pas de rassurer en tapotant l'encolure de l'étalon noir d'ébène ...

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pnj
Paris...La Cour des Miracles...Ce n'était pas vraiment la partie de la ville qu'il aurait aimé découvrir mais bon, les affres de l'Eglise, toujours aller convertir les autres et détruire les hérétiques. Soit cette dernière partie du programme n'avait pas non plus tendance à lui déplaire même s'il espérait qu'il n'y aurait pas trop de discussions et beaucoup d'actions.

Sur Kaos, son cheval noir(qui surgiiiiit hors de la nuiiit), Karl continuait à avancer dans les rues malfamées des sous quartiers de Paris. Nom de Dieu! Quelle odeur...Ca puait le moisi, l'hétérodoxie et la mort, ça promettait un grand moment de réjouissance. Tout ça pour retrouver un sale gosse bruyant en plus, quelle idée d'aller se promener dans les quartiers louches de Paris quand on est pas encore majeur, même quand on l'est d'ailleurs.

Karl ne put s'empêcher de tâter sa francisque, sèche, plus pour longtemps normalement. Un coup d'oeil à l'épée mise au harnachement du destrier, allait-elle être utilisée aujourd'hui comme si peu souvent? Qui sait si les hérétiques pourront résister à la hache purgatrice du croate, il faut toujours prévoir une seconde option.

Salut strict et presque sans un regard aux autres personnes assurant cette mission, concentration focalisée sur autre chose, l'extérieur, tout autour d'eux. Il se doutait que n'importe qui pouvait sortir de n'importe où, surtout que tous ces représentants du bras armé de l'Eglise ne marchaient pas en terrain conquis, loin de là. Quelques souvenirs d'autres missions, les In Tenebris à Bordeaux, la mort du cardinal Elmoron, un encapuchonné. In Tenebris...Encapuchonnés, les deux pires souches de gangrène hérétique des bas fonds de Paris.

Karl eut une étrange impression, si tout ne dépendait que de lui, il laisserait cet enfant irresponsable gâcher sa vie et rentrerait chez lui le plus vite possible. Il voyait la Cour des Miracles comme une sorte de pacte avec les miséreux, Paris leur concédait ce domaine à condition qu'il ne sortent pas, ainsi la brillante image de la France était conservée et les crèves la faim avait tout de même une place pour mourir.

Le reiter aimait à se renseigner sur la Cour de Miracles et ses grands noms, il avait d'ailleurs constitué sa garde d'anciens coupes jarrets sortis d'un équivalent de la Cour des Miracles dans sa grande Croatie, l'argent résolvait tous les problèmes de conscience que ces hommes avaient, ils y gagnaient aussi un apprentissage et une réintégration dans la société. C'est ainsi qu'il avait pu engager Franz et Tankred qui lui étaient resté fidèles depuis le début.

Silencieusement, Karl observait les environs en attendant les directives des dirigeants de la mission.
Acar
Devers lui, il alla saluer le Seneschall Français des Teutonique, murmurant plus que de raison sans oublier le Reiter, l'homme au masque de naguère... presque une autre vie.

Ainsi fait, à part un jeune enfant, circulant librement, la place était occupée d'un grand vide et observant les façades, il constata moult volets fermés... leur présence était notoire.

Observant encore plus loin, il ne trouva d'occupant en ce lieu, seul le vent prédominait... A quelques coudées taverne se trouvait, dans la noirceur des petites rues, ou point de charrette passe à souhait.

Se décalant alors, il prit petite voix et conta ses observations, tout en supposant que l'hochmeister Teutonique avait eu pareille évidence.

Décalant son haubert de mailles et réajustant son gambisson, il expliqua que pendant ce temps ou tous devaient attendre pour ne créer point de conflit, homme sur avait été envoyé en toute discrétion dans le lieu ou le jeune Louis était supposé se trouver et que cet homme n'allait point tarder à venir... nul doute, rapportant bonne nouvelle.

Il expliqua aussi à la haute dame que l''envoyé, avait mission de prévenir Louis 1er que nos forces l'attendait peut loin de là.

Ainsi, l'attente se poursuivait, le destin tenant place dans le bon vouloir des éléments, dans le bon vouloir... était-ce la bonne formule !

L'expédition n'était point punitive, certes, il ne fallait pas qu'elle le devienne... Acar se gratta le menton et se dirigea vers les hommes, leur rappelant d'observer le plus grand silence ainsi que grande maîtrise si par mésaventure, destin s'affolerait.

Oui seul le vent était en place ainsi que le cliquetis acerbe des tranchants, frottant son fer contre les autres.

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---fromFRGarde de l'OCF
Peu avant, ordre fut donné.
Le garde ôta armure et armement.
Ainsi vêtu comme tout civil, il prit néanmoins soin de glisser une dague dans une de ses bottes, et une autre à son poignet, autour duquel il noua les liens du fourreau, puis arrangea la manche de sa chemise afin de la dissimuler.

Il fit signe de tête au Chancelier, signifiant qu'il était prêt, et se mit en route pour la taverne le Rat Crevé.

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Ephrem
Janus suivait son frère, depuis des heures déjà... Frères de sang, frères d'armes, frères de cœur... Il ne supporterait l'idée d'avoir volontairement déserté sa compagnie, et encore moins d'avoir tenté d'échapper à une mission pour préserver sa petite personne...

Au point de rendez vous, eux deux, le Garde de l'OCF, et autant de Teutoniques... Il admirait que certains soient là pour un enfant qu'ils ne connaissaient point, où alors que de nom.

Il est bien facile de se revendiquer gradé, noble ou chevalier. Mais le titre ne fait pas tout. C'était aux actes que l'on reconnaissait la valeur d'un homme. et ceux présents ici prouvaient la leur. Sans les connaître, Janus leur faisait déjà grande confiance.

Sacré Louis... Quand il ne fait pas de bêtises, il s'attire des ennuis... Malheureusement, il en attire aussi aux autres... Sacré gamin. Janus n'en démordait pas, c'était de la graine de chevalier, il ne manquait qu'a faire rentrer un minimum vital de raison...

Acar donna les ordres : Ne point chercher querelle, ... Ils seraient suivis à la lettre.

Janus espérait au plus profond de lui même pouvoir éviter un combat, non par lâcheté mais plutôt pour éviter la mort de braves compagnons. Cependant, au cas où, la légendaire Hache à double tranchant du Sanglant avait été sortie, ainsi que l'Arc de cuivre de la famille de Ventoux. Et encore plus, sa lame bénie de Chevalier était attachée à sa ceinture. Il souhaitait ne pas s'en servir, mais il saurait l'utiliser si besoin s'en faisait sentir.

Garde partit, vêtu en civil... Ils prenaient tous d'énormes risques, mais il aurait été bien plus grave de ne pas les prendre.
---fromFRscelet
Les naseaux dilatés du Frison, expulsaient l'air avec force... Les lourds sabots du destrier frappaient avec force les pavés de la grande place. L'odeur... Cette odeur caractéristique du centre de la cour des miracles, ruelle et venelle d'où montant odeurs de pourriture, d’excréments, de pisse... Oui une odeur de quelques cadavres qui trouveront pour seul croque mort les rats. L'ambiance est lourde, Scelet fait disparaître une goutte de sueur d'un revers de main. Les volets fermés ne le dérangent nullement, préfère voir les ouvertures au dessus de ses frères closes.


Quelques gestes, coup de tête les ordres sont donnés la troupe se positionne attentions particulière au toit... Qui tient les hauts tient les bas... Quelques épéiste et archers restent prêts sur ordre à prendre position en hauteur. Les consignes sont données à voix basse et par les chefs des différentes sections.

Les oreilles du Frison se dressent brutalement et annonce l'arrivée des troupes Teutonique... à sa tête l'hochmeister Teutonique Arakiriman. Très vite, elle échange avec Acar alors que les hommes se déploient et prennent position au côté de leurs frères Francs. Sourire complice, geste amical et partage sont de rigueur. L’arrivé de ses frères lui fait chaud au cœur et en ce lieu, nul doute que leurs présences sera utile.


Un regard, le poing vient frapper avec force contre la poitrine, il incline la tête en présentant ses respects à Arakiriman.

Le bleu de ses yeux remarque la présence du senechall. Pense mouvement et le destrier s'éloigne un instant de Januspaulus afin de parler à son frère teutonique. À voix basse, enfin... ce que lui permet la voix rocailleuse ... Jack!! Merci d'être là ! Grand fierté de se retrouver avec nos frères teutoniques.

Ils échangent... Scelet d'un geste de la tête lui montre les toits. Des hommes se positionneront, ici en paris vaut mieux prendre un peu de hauteur !! Une grimace en guise de sourire... Un homme partira en reconnaissance afin de nous assurer de la présence du petit !!

Regard vers les hommes, les plus expérimentés guident et s'occupent des plus jeunes...
Nouveau regard vers Janus, son maître avait choisi de porter lui-même ses armes et se tenait droit et fier comme le premier des Francs qu'il était. Scelet n'en était pas mécontent, il pouvait ainsi diriger librement la manœuvre si le besoin s'en faisait sentir. Le silence... enfin, tout est relatif... Le cliquetis des armes et bruits des montures annonces tout de même la présence de soldats d'Aristote.

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---fromFRBastien_de_Louhans

Une troupe aux armes du Duc de Bresse arriva enfin aux abords de ce lieu que le Capitaine Bastien de Louhans ne connaissait point. Ils n' étaient point en avance mais la Bresse n'était point a portée d'arbalète de Paris.

Son maitre avait reçu pigeon du Chancelier de l'OCF Acar, pour lui annoncer que son petit cousin Louis avait encore fais des siennes en la capitale du Royaume de France

Ne pouvant laisser un Di Césarini errer ainsi de part le monde a son âge, le Duc Leg Doyen et Chef de Famille avait dépêché une partie de sa garde Bressane afin de venir en soutient a ses amis de l'OCF et de l' OT.

La Garde Bressane avait été guidée en ces lieux par un ancien mercenaire que Bastien avait rencontré a Cologne il y a bien longtemps.

Leg connaissant les lieux, les avait priés de ne point se vêtir comme soldats , mais comme mercenaires, pour passer non point comme armée, mais plutôt comme troupe désœuvrée a la recherche d'un bon coup.

Le Duc viendrait lui même en personne si ses affaires au saint Empire lui en laisseraient le temps.

La troupe était fatiguée, après les dizaines de lieues parcourues a grand train, ne faisant halte que pour se restaurer et se rafraichir, et laisser les chevaux souffler un peu .

Les pourpoints poussiéreux, les visages terreux, les Hommes avaient l'air de venir d'un autre monde.

Les visages creusés par les heures de chevauchées , les yeux exorbités et injectés de sang donnaient a la troupe un air d'apocalypse .

Ils ne dépareraient point quant au lieu ou ils allaient.

Le Capitaine Bastien avait donné ses consignes de sécurité. Il avait confiance, ses soldats étant tous des professionnels de la guerre, ayant suivit le Duc de Bresse dans maints combats .

La troupe regardait avec curiosité l'environnement des lieux, qui les changeaient bien des paysages que la garde Bressane avait connue, aussi bien en campagne du temps au le Duc Leg était Templier, que de son poste actuel de Chevalier Sénateur des SA.

Endroit bizarre, ou circulait une faune bizarre et bariolée...
c'était une cour abritée par la rue Saint-Sauveur, la rue de la Mortellerie et la rue de la Truanderie.

Point de police apparemment. Elle ne devait venir que très rarement dans ce quartier délabré et sombre.

Les Bressans virent des mendiants, des aveugles, des paralysés, des nains et toutes sortes de personnages tous plus répugnants les uns que les autres.

Qui de ceux-ci voyant troupe bien organisée et montée et donc ayant fortune , essayaient de profiter de leur laideur pour apitoyer les soldats, afin que ceux-ci leur donnent l’aumône.

Mais le mercenaire les avaient prévenus.... En réalité, aucun d’eux ne souffrait réellement d’un quelconque handicap ou malformation, et qui plus est , souvent avait dagues bien aiguisées sous leur loques puantes .

Continuant ,leur marche avec précaution, la Garde Bressane arriva enfin en lieu de rassemblement, ou le Capitaine Bastien vit et reconnus des Chevaliers Francs.

Il se dirigea vers le Chancelier Acar qu'il connaissait de fait d'avoir escorté le Chevalier Sénateur Leg DiCésarini a la Citadelle Franche.


Il le salua :

" Messire Acar , Bastien de Louhans , Capitaine du Duc de Bresse je suis a vos ordres, ainsi que la Garde Bressane , selon désir de notre Maistre . Vous pouvez comptez sur nous pour retrouver le petit cousin de notre Maistre"

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---fromFRjackson21
Acar vint à Jackson, et ce dernier s'empressa de saluer son Frère Franc qu'il avait plaisir à retrouver bien que les circonstances ne se prêtaient pas aux réjouissances les plus extrêmes...

Puis, intrigué par du mouvement sur sa droite, il reconnut le Maréchal Franc, Scelet qui avancait au pas vers le Seneschall, bride déplacée à senestre , puis sourire et basses paroles échangé avec son Frère Franc.


C'est un plaisir Scelet! On le retrouvera le p'tit Louis, la fierté est pour nous...Encore un parfait exemple de cette fraternité qui existe entre nos Ordres et qui me réchauffe le coeur!

Sourire à son Frère après ces explications et la présentation de cet homme téméraire qui partira en éclaireur puis salut adressé à un homme et sa troupe armée venu les rejoindre , il ne les connait pas, mais plus on est, mieux ce sera.
L'odeur épouvantable des ruelles étroites et glauques de Paris parvient jusqu'aux hommes, un certain temps pour s'y habituer, ça c'est sur...

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Sabotin
Une missive du Chancelier Acar avait secrètement informé le Grand maistre de l’OCF du danger auquel se trouvait exposé son fils. Il alla vers la crédence de son bureau prit dans le tiroir un bourse brodée de fils d’or, en palpa le contenu et la glissa dans sa poche.

Mut par une force soudaine le Grand Maistre sauta sur son destrier et quitta avec son escorte la citadelle pour rejoindre le lieu de perdition

Aller de la Citadelle franche à Paris en quelques heures, était une rude étape, même pour un chevalier entraîné comme lui. Il laissa en cours de routes plusieurs membres de l’ordre dont les montures étaient tombées boiteuses.

Il se rendit immédiatement dans le quartier du vieux marché qui selon le plan qu’on lui avait envoyé était à proximité de la taverne du rat crevé. Les rues étaient encombrées de pauvres hères qui le dévisageaient avec insistance, se demandant comment quelqu’un d’aussi belle mise s’aventurait dans ce quartier aux portes de l’enfer .

Des ivrognes vomissaient dans l’ombre sur les seuils des tavernes. Quelques pauvres filles écartées de la vie, parce qu’il leur avait manqué le léger coup de pouce de la nature qui les aurait rendues acceptables se pavanaient devant lui avec des balancements de hanches satisfaites.

Sans marquer trop d’égards à cette roture que le poitrail de son destrier bousculait parfois, le Grand Maistre lançait sa monture à travers les ruelles étroites du quartier, et voyait au fur et à mesure son inquiétude grandir lorsqu’ils vit enfin sur la place centrale l’alignement des blasons et gonfanons.

Il rejoignit aussitôt les hommes de tête, salua chaleureusement la Hochmeister Arakiriman, Le Sénéchal Jackson, le Reiter Nekrobutcher, Bastien, le capitaine de la Garde Bressane ses frères Acar, Scelet et Januspaulus.

Dans ce grand cercle de visages figés mais fraternels, son teint devint encore plus pâle. Le mystère semblait s’épaissir de plus en plus autour de cette affaire. Il s’adressa au Chancelier :


- Chancelier, qui eut pensé qu’un jour nous nous retrouvions à cet endroit. Je vous remercie pour votre missive. Quelques membres viendront encore nous rejoindre, ils ont eu quelques ennuis avec leur monture. Je vous le dis net et clair, aucun acte ne me répugnerait pour sauver la vie de Louis. Avons-nous des nouvelles de lui ?
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Pao
L'appel avait été donné chez les Teutons et Pao avait rapidement réuni ces effets pour Paris, il était donc de la troupe .
Impatient il était et à la fois excité, mais il n'en fit pas paraître...

Après quelques jours de voyage, ils arrivèrent sur Paris, une ville qui lui était totalement inconnu, mais dont il en avait entendu comme belle et radieuse dans ces montagnes.... Ce qui ne fut pas la première impression qui en dégagé ici. Un gamin vint passer à tout allure devant lui, son cheval ralenti. Pao le regarda filer sans rien dire.
Sur le dos de son destrier il suivit au pas prés ces frères, et se positionna sur la grande place ou on lui ordonna.

Les sabots frappaient les pavés, et ont pouvait entendre de tout côtés les cliquetis des soldats mêlés aux ordres aboyés.... Les chevaux étaient nerveux, Pao de la paume de sa main rassura son cheval de part une caresse à son encolure....

Il vérifia une dernière fois son épée qui était ceint à sa taille puis attendit attentivement tout aux ordres....
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