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[RP] La place du Pilori, en intèrieur de la Cour

Acar
Bonsoir messir Acar. Je suis ravie que vous ayez pu m'accorder aussi vite, un peu de votre temps.
Il est certain que vous ne l'aurez pas perdu !
Je sais beaucoup de choses sur la situation présente. Comment ? Il n'est pas nécessaire que vous le sachiez.


Pourtant il aurait aimé savoir mais ne l'interrompit point.

Je me nomme Exodia et j'œuvre pour Le Plus Grand Bien.
Vos recherches à propos de cet enfant nommé Louis sont infructueuses de ce que je sache.
Mais soyez rassuré, demain matin, tout ceci sera terminé.
L'organisation qui détient le garçon se fait appeler les Basilisks.
Un regroupement d'assassins et de bandits de la pire espèce !
Je connais très bien leur chef, Luinwë Valentine.
C'est un homme cruel et égocentrique.
Je suis certain qu'il préférera torturer et éliminer celui que vous recherchez, sans aucun scrupules et remords, plutôt que de vous le rendre raisonnablement.
Voici le moment où j'interviens, je connais un passage secret qui mène directement dans le bureau du Maistre Basilisks.
En nous y rendant avec nombre de vos chevaliers, nous les prendrions par surprise et ils n'auraient aucune chance de s'enfuir
.


Ainsi l'enfant était bien prit et, le lieu tombé dans leurs sources, empêchant le puits de se tarir...

La surprise lui plaisait, attaquer ainsi serait de bon aloi, et disparaître avec l'enfant.

Ne répondant point, la nommé Exodia reprit alors :


Je ne vous demanderai qu'une seule chose en contre-partie.
Qu'une fois Louis en sécurité, vous punissiez le plus possible de ces ignobles assassins et cruels bandits !
La Mort n'est pas obligatoire et je sais qu'un homme de votre stature ne la donne pas à la légère ...
Le temps que vous me donniez votre réponse, je boirais bien un peu de vin pour sceller notre collaboration.


Dame, ma réponse est déjà prête et la voici... Nous avons mené siège sans heurts profond, sans esclandres farouches et, comptons partir ainsi, si par grande bonté, l'enfant nous revient avec la vie en lui.

Vous nous proposez soit de capturer hardiment le dénommé Luinwë Valentine pour faire échange je suppose, soit reprendre possession de l'enfant par la finesse du déplacement, soit tuer moult personnes en ce lieu.
Je me dois donc de parler à tous les hauts dignitaires, icelieu, et ainsi, vous donnerait nouvelle très prestement.

Bien entendu, cela risque de ne point faire ce que vous attendiez... Ainsi nous sommes venus, ainsi nous voulions repartir mais je vous l'accorde, si l'endroit est bourré d'hommes sans scrupules, alors, occis, ils deviendrons.

Garde, apportez hanap et vin, à cette dame... profitez et accordez moi quelques instants, dame, le temps de prendre conseil.
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---fromFRAnonymous
Iurek se courba profondément en saisissant la bourse, mais la rendit aussitôt.

"Messire, j'n'crois pas qu'c'soit tres utile, en fait j'pense mêm' qu'avec ou sans écus, c'est indifférent pour r'trouver l'gamin."

Il se redressa enfin.

"J'vais fair' mon possible. M'ssire."

Il s'en alla vers les ruelles, en réfléchissant. Les basilisks. Il en était sur. Il ne connaissait pas les Libertadiens, ni les Marchombres, ni les Ciels Azur, mais pour en avoir entendu parler, il savait que les rapts n'étaient guère dans les méthodes de la maison. De plus, d'étranges rumeurs prétendaient en Coms de Tolosa que le voisin était envahi par des anciens Libertadiens et les In Tenebris... On aurait même vu le mythique Marlowe's là bas.

Il continua sa route au travers des soldats teutoniques, marmonnant une prière de bénédiction des armes .Il est temps de servir, Iurek ! Il est temps de prendre ta vengeance sur les ténèbres, en attendants de poursuivre ta mission. Il sourit, la main sur sa hache, en s'enfoncant dans les ruelles vers le Quartier des Basilisks.

Chemin faisant, il croisa le Garde de l'OCF en civil qu'il avait croisé au Rat Crevé. Du moins, il avait renfilé sa lourde armure. Il lui adressa un léger signe de tête.

Puis il continua, a pied, vers les dédales de ruelles qui menaient dans les rues des Basilisks...
Syerry
[Discussions avec la Succube et le Lieutenant Valric]

Eu resté droite, un regard serein soutenu a celui de la Succube lorsque celle-ci serra les poings suite a sa demande d’évacuer si aide ne pouvait être portée. Impudence fut la requête ? ou résolu fut le Capitaine de voir a des informations pertinentes afin de retrouver le jeunot et repartir pour vivre et laisser vivre en toute quiétude ?

L’échange qui en suit avec le Lieutenant fut que de regards et grand silence. De ce moment, Syerry prit soins de détailler l’homme de la tête jusqu’aux pieds. Fier homme, sa prestance le dénote. Combattant, on le voit clairement par l’accoutrement et son usure de batailles d’autrefois s’y apposant, tout comme de ses mains, mains d’un homme qui brandit l'épée sans crainte.

Puis le murmure d’une voix profonde chatouilla le creux de son oreille. Ses yeux s’ouvrent davantage laissant briller sa pupille par ce ciel drapé d’étoile.


Son souffle rejoindra celui de la femme .. Les Basilisks ..

Un regard d’espoir sera celui de la femme qu’est le Capitaine qui en destinera le frétillement a la Succube. Mais, est-ce que ses dires sont appuyés par une connaissance de cause ? Le doute un moment plane ses esprits. Ses yeux clairs se voit petits, plissant les paupières, elle réfléchie une fraction de temps. Nul ne peut faire confiance si rapidement. Un besoin d'en savoir davantage.

Sans tarder s’adressera a la grande rousse, femme aisée en son être, et avec quiétude en sa voix, mais regard qui appuyera la nécessité de bien comprendre
… Expliquez-vous, dame. Les Basilisks ...
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Lyhra
Un nouveau clan, installé en la cour, il y a peu.

Elle avait parlé sans crainte de les interrompre car le Lieutenant semblait pétrifié devant la très belle Dame de Ventoux et n'avait pas même encore prononcé le premier mot de la réponse qu'elle attendait. Pour un peu elle l'aurait poussé du coude mais elle ne voulait pas appuyer sur son mutisme.

Nous nous sommes arrêtés près d'un feu il y a quelques instants.
Les rumeurs sont dans l'air comme autant de feuilles mortes et si l'on en croit les bavards, ce petit coure bien vite pour avoir été aperçu partout à la fois.

Elle sourit, fataliste, les gens aiment causer et ce qu'ils ne savent pas ils l'inventent...

Je ne possède pas la vérité sinon croyez bien que je vous la livrerais au plus vite -pour vous voir tous partir- se retint elle d'ajouter mais cela coulait de source.
Toutefois, je connais la Cour et ses habitants.
Je la connais bien.

Pas un seul des clans anciens et connus ne ferait pareille chose, pour des tas de raisons qu'elle n'avait pas l'intention de présenter ici et maintenant.
Reste celui des Basiliks, un dénommé Valentine se trouve à leur tête, il a beaucoup à prouver.

Devant la visible inquiétude de la Dame, comment pouvait elle évoquer les mauvais hommes qui échouaient parfois ici. Pas les brigands non, pas les mendiants, pas tous ceux qui vivotaient de rapines et petites combines non, elle pensait à ceux qui aimaient le sang et la peine et qui atterissaient ici parce qu'ils pensaient en trouver à bon compte.

Envoyez quelques hommes ... vous le trouverez par là, son doigt indiqua une direction précise, une grande bâtisse. Impossible de vous tromper.

Je pense qu'il peut être votre homme.
Mais ce n'est que pure supposition de ma part.

C'était une chose de dévoiler son idée intime, une autre d'accuser sans preuve et elle ne voulait pas qu'il soit dit que la Succube montrait du doigt les Basilisks plus que nécessaire. Elle voulait juste que toute cette compagnie décampe car elle avait une vierge divine à vendre et que tout ce chambard n'allait pas faire venir les riches clients. Et puis aucune loyauté ne la liait à ces Basilisks.
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pnj
Comme Exodia s'en était douté, Acar accepta son offre.
Cependant il ne semblait pas prendre conscience du caractère urgent de frapper le plus rapidement possible.

Elle accepta volontiers sa coupe de vin, qu'elle but lentement lui laissant quelques minutes de réflexion ...
Mais il semblait vouloir en parler à d'autres personnes. N'était-il pas le Chef ici ?
Le temps était précieux et une poignée de minutes pourraient changer l'issue de l'opération ...

Exodia n'avait aucune once de patience et elle se leva précipitamment.
Du bout des doigts elle effleura l'épaule du Chancelier et encra son regard persuasif dans le sien.


- Messir, le temps nous manque ! Je connais très bien Luinwë Valentine et je suis certaine qu'à l'heure qu'il est, l'enfant est déjà gravement blessé.
Cet Assassin aime jouer avec ses victimes et il n'y a nulle limite à sa cruauté.
Si nous n'agissons pas tout de suite, il sera trop tard.
Prévenez vos fidèles chevaliers et partons pour le passage secret dont je connais l'emplacement !


A ce moment précis, le verre d'Exodia se brisa dans sa main droite et réveilla la douleur que Cerberus y avait insufflé quelques heures plus tôt.

Elle savait parfaitement que Valentine avait beau être égocentrique et arrogant, cela n'empêchait pas qu'il soit un Maître Assassin hors pair !
Leurs chances de l'arrêter étaient minimes alors que les autres membres seraient faciles à piéger.

Exodia abandonna son impatience et son sérieux pour adresser un sourire encourageant au Chancelier.


- Merci pour le vin. C'était un délice !
Je suis prête, ne traînons pas.
Acar
Elle prit le vin puis l'écouta... mais à y regarder de plus près, la presse était en elle au point qu'elle en cassa le hanap, l'écoutant tempérer l'action.

Elle enchérit alors
: Messir, le temps nous manque ! Je connais très bien Luinwë Valentine et je suis certaine qu'à l'heure qu'il est, l'enfant est déjà gravement blessé.
Cet Assassin aime jouer avec ses victimes et il n'y a nulle limite à sa cruauté.
Si nous n'agissons pas tout de suite, il sera trop tard.
Prévenez vos fidèles chevaliers et partons pour le passage secret dont je connais l'emplacement !


Dame, je vois que vous avez cœur de nous aider et du même coup récupérer vostre calme relatif... très bien, je ferai donc ainsi.

Se retournant il donna des ordres pour aller chercher son frère de pacte, ainsi que deux ou trois hommes sur, dont le garde de la première mission en la taverne.

Puis il lui tendit une fine dentelle de Bayeux, pays ou excellait les maistres drapiers, afin qu'elle entoure sa plaie, ou sang se répandait quelque peu.


- Merci pour le vin. C'était un délice !
Je suis prête, ne traînons pas.


Accordez moi quelques instants et nous vous suivrons...
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---fromFRGarde de l'OCF
Toujours près du Chancelier, le garde ne perdit pas une miette de la conversation.
Il se méfiait de cette femme si prompte à leur venir en aide et redoutait un piège.
Aussi fut-il heureux d'être mandé pour cette mission, qui plus est auprès de valeureux combattants.
Fier il était que le Haut Dignitaire lui fasse confiance.
Il pourrait ainsi protéger qui de droit si besoin s'en faisait sentir, et occire toute menace...
Il se présenta une nouvelle fois devant le Chancelier qu'il salua.


Garde au rapport et à vos ordres Chancelier.
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Syerry
Tout devra mijoter en sa tête. Elle aura resté muette devant la Succube, absorbant les paroles qu’elle venait de lui souffler. Syerry aura tenté de ne point laisser paraitre l’inquiétude mais même si Capitaine elle est, fière marraine et proche du jeunot aussi. Sapré habitude que de laisser ses regards ainsi librement parler.

Par contre, plus la Succube dévoilait ses connaissances des lieux et de ses gents, plus les traits de inquiétude se dissipaient. Que l’information soit juste ou non, grand temps il était de s’activer. Son corps se redresse, ses allures de guerrière venant s’afficher a tout son être. L’azur frétille, sa pupille venait de décrocher conviction que le gamin serait trouvé.

Le temps s’écoule, elle doit se séparer. Syerry se recule d’un pas, s’incline avec respect devant la femme aux cheveux de feu et devant le Lieutenant qui avait perdu toute notion de la parole puis l’heaume se verra de nouveau a sa tête, venant cacher la douceur de ses traits mais laissant paraitre la détermination de son regard.


Un nouveau clan. Le Basiliks. Valentine. Merci, dame.

Ayant ses informations en tête, se détachera avec grâce du groupe, signalant a un garde de bien vouloir les escorter loin du regroupement de soldats. Du coin de l’œil vit un garde s’approcher d’un pas preste. Le Capitaine le rejoint, il lui murmure a l’oreille, elle affirme d’un hochement de la tête.

Hettar ! Acar nous attends.

Elle recueillera Neige, se hisse a son dos, resserre les cuisses et en donnant deux coups de ses talons aux flancs de sa bête, reposera la mer de ses yeux sur la femme qui ne possède peut-être pas la vérité, mais qui aura déballé néanmoins informations qui peuvent être pertinentes … Un signe de tête la remerciant, puis aux côtés de son frère, guidera son cheval a la robe peinturée de noir et blanc au travers des rangs.
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---fromFRshakka
Arkin observait la place depuis un point en hauteur...
Il vit un garde se diriger vers sa position...

Messire Acar vous fais mander mon seigneur...


Lui adressa t'il en s'inclinant.

Arkin sourit en se relevant...


Je ne suis seigneur de rien du tout mon brave et encore mon de mes comparses...


Le sénéchal Semper sauta lestement au sol et accompagna l'estafette jusque vers Acar.
Il avait amplement eu le temps de faire le tour,écouter et revenir...Il se demandait même si son frère n'y était pas pour quelque chose.

Même si le ton paraissait sincère,Arkin comprennait bien les crainte du chancelier.
Difficile de faire confiance dans ses conditions.
Il le rejoins prestement et chercha dans son regard cet éclair qui le rendait prét à tout...

Arkin ne put s'empécher de sourire malgré l'air sombre et determiné qu'affichait son frère.


Me voilà...
je penses comprendre que le temps nous manque...
Je suis à tes cotés et les semper se tiennent tous prét à nous receptionner si le besoin s'en fait sentir.
Ton...rendez vous..s'est il passé selon tes plans??

dit il avec un petit sourire.
Il lança un regard vers Lady qui suivait la cérémonie et il fut surpris de la voir lui adresser un signe aprobateur.

Je te suis quand tu veux...
Lança t'il à l'adresse d'Acar.

Arkin enjoigni un petit page de trouver les autres Semper dissimulés dans les coins et de les avertir des mouvements à venir.

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Lyhra
A tort ou a raison, elle avait livré le nom de Valentine à ces gens. La Cour était ainsi, pouvait se rassembler et faire front commun si la situation l'exigeait mais on pouvait aussi faire cavalier seul dans l'idée du bien commun et c'est cela qui l'avait guidé. Faire en sorte de préserver le plus grand nombre au détriment de quelques uns. Mais peut être qu'elle faisait fausse route après tout et les avait lancés sur une piste froide.

Si toute cette troupe était à l'image de la Dame de Ventoux, ou parce qu'elle les commandait, alors il n'y avait pas à craindre d'exactions contre la Cour et son peuple, de cela la Succube était certaine. Cette Dame avait de l'honneur et ne ferait rien qu'elle ne doive.

C'était pour la Rousse une surprise de ressentir respect et élan pour une telle personne, si éloignée de son monde. Aucun rapport de force entre elles deux, c'était juste deux femmes menant leurs affaires du mieux possible.


Puissiez vous retrouver cet enfant Dame et retourner chez vous sans encombres.
Racontera t'elle plus tard à ses proches qu'en ces lieux de mauvaise réputation elle avait croisé la Reyne Pourpre ?
La Succube, elle, se souviendrait de ce nom...

Maintenant elle pouvait rentrer à la Rose, rien d'autre n'était possible dans l'état actuel des choses, pas question de les suivre par curiosité, son établissement réclamait sa présence. Elle serra son mantel la protégeant de la fraicheur nocturne et fit un signe de tête en guise de salut, suivant le soldat les guidant hors du périmètre.
Comme elle était venue, elle repartie le front haut en souhaitant que tout ceci se termine vite et sans heurts.
Le petit inconscient serait retrouvé entier et tout ce beau monde repartirait vaquer à d'autres occupations, loin d'ici. Une fois cela fait, Il faudra songer à lancer les enchères pour Démétria.
Hâtant le pas, la Rose fut bien vite en vue.

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---fromFRladycharmed
Lady suivait l'office d'une oreille car son attention était attirée par les allées et venues des gardes de l'OCF et l'arrivée d'un femme qu'elle avait croisée il ya fort longtemps.

Acar s'éloignat de quelques pas de leur groupe.Un entretien s'ensuivit et Lady pouvait lire sur le visage d'Acar les émotions qui s'y incrivaient.

Elle comprit que l'enjeu était terrible et que la promptitude à l'action allait etre déterminante pour l'enfant.
Elle allait rester en alerte avec Horsem@n le Chancelier Semper Vigilans , ses Chevaliers et archers, prête à donner l'assaut si les choses tournaient mal.

Arkin Son Sénéchal se matérialisa aux côtés d'Acar.
Lady le connaissait très bien et dans sa posture se lisait : "je suis prêt, allons y" mais avant cela il se tourna et la fixa: Il attendait ses ordres.

D'un signe de tête et d'un regard appuyé elle lui donna le feu vert. Puis se tournant vers Horseman elle lui murmura les consignes . Ses hommes aux aguets la rejoignirent prestement et la main sur la garde ils attendaient et la protégeaient.
Ces Chevaliers étaient sa fierté . Le Sénéchal avait été clair avec eux.

" Si je dois m'absenter vous ne lachez pas le Grand Maistre ou vous m'en répondrez"
Même si l'heure n'était pas à l'humour elle sourit de la situation.

Ladycharmed se recentra sur l'office et ses prères allèrent à Louis qu'elle avait mis au monde et à ceux qui allaient risquer leur vie pour le ramener, elle l'espérait, sain et sauf.

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http://sempervigilans.meilleurforum.com/index.htm
pnj
Hettar était rester présent tout ce temps au coté du Capitaine Syerry. La dame avec laquelle elle discutait semblait un peu nerveuse face a la vue de Tempête, mais d'un orgueil sans faille, elle ne broncha pas un instant. Écoutant attentivement la discutions entre elles, Hettar veillait toujours sur sa sœur Franches.

Le capitaine se tourna vers Hettar .

Hettar ! Acar nous attends.

Sur ces mots, Hettar retint son destrier et se retourna un instant, jetant un regard vers cette mystérieuse femme, ainsi que l'homme qui l'accompagnait.

Hettar se dressa sur Tempête, scrutant ainsi l'horizon a la recherche d'étendards de l'Ocf. Voyant la foy d'or flotter non loin, il se rassis et s'adressa au Capitaine .. Les voici...il sont la bas.

Voyant sa sœur franches prendre la tête et se diriger dans la foule qui se dessinait devant eux, Hettar la suivit de près. Chevauchant calmement , toujours a l'affut de tout.
Acar
Ainsi fait, les combattants mandés se presentèrent en la place, formant unité... Chacun mit sur son destrier, armes au flanc de ceux-là et sur leurs propres flancs de cuir, de taille et d'estoc était de mise.

Derechef, il ne manquait plus que de suivre la dame Exxodia, qui par d'aventure, connaissait passage secret, menant au lieu ou était retenu l'enfant.

Tous, autour du chancelier, étaient personnes de hauts faits de guerre, point cherchant à conter fleurette, mais près à en découdre si situation prenait ce tournant.

Le temps avait fait son oeuvre, siège avait grandement tenu... mais l'enfant !

Si par grand malheur, il était auprès du soleil, alors, la cour brûlerait de mille feux, éclairant la cité de Paris, jusqu'à laisser sa lourde poussière retomber sur le pavé des grandes rues.


Acar se gratta le menton puis réajusta son lourd harnois de mailles, mit main sénestre sur le flanc d'Orsan et lui chuchota quelques mots apaisant.

Mais avant d'emprunter passage secret, ils devaient aller ou l'ordre Teutonique s'était positionné... en effet l'action avait commencé avec, l'action finirait avec.

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---fromFRGarde de l'OCF
Chaque personne mandée s'avança devers le Chancelier de l'OCF.
Lorsque toutes et tous furent rassemblés, ceux qui avaient encore pied à terre se mirent en selle.
Le groupe traversa la place, le pas lent de chaque destrier résonnant sur les pavés et les murs délabrés des maisons qui les entouraient.

Les cavaliers s'engagèrent alors dans une ruelle étroite et sombre que seule la lumière des torches qu'ils avaient emportées parvenait à éclairer quelque peu.
Ainsi se dévoilèrent les conditions de leur progression lente, vigilante, silencieuse, dans un environnement sordide et hostile dont la puanteur les prenait à la gorge.
Suivant leur guide que le garde surveillait avec une attention toute particulière, les lieux se révélaient peu à peu dans toute leur répugnance.
L'eau noirâtre des caniveaux servait à étancher la soif de quelques animaux de basse cour en vagabondage ainsi qu'à des chiens errants squelettiques au poil hirsute, à l'œil mauvais.

Chaque cavalier était aux aguets.
Le soldat Franc se dit alors que les autres membres du groupe ne devaient pas accorder confiance non plus à cette femme, et plus encore dans les entrailles immondes de l'infernale partie de la Capitale du Royaume de France.

Pourvu que ça ne soit pas un piège...

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pnj
De la Place du Pilori jusqu'au Quartier Général des Basilisks ( Nuit )

Exodia se détendit quand le Chancelier accepta enfin de partir en direction du Domaine Basilisks.
Il était plus que temps ! Les troupes se rassemblèrent autour de leur Chef ...
Notamment un garde qui ne cacha pas sa méfiance vis à vis d'Exodia.
Et cette dernière ne lui en voulut certainement pas.

Tous ses compagnons d'arme respiraient la détermination insatiable et la grandeur accumulée au cours de prestigieuses batailles.
Néanmoins, ils n'étaient pas sur leur terrain et l'aide d'Exodia se révélerait précieuse, si pas indispensable ...

Ils montèrent tous sur leur destrier respectif et suivirent Exodia.
La Félonne chevauchait un roncin qu'elle préférait nettement aux montures de bataille que possédaient les Soldats.

Le vent faisait légèrement voleter les cheveux noirs lisses d'Exodia.
Son regard noir et perçant cernait chaque détail de leur itinéraire.

Bientôt elle jugea qu'ils étaient suffisamment proches du Domaine des Basilisks pour abandonner les montures et privilégier la plus grande discrétion.

Exodia porta enfin son regard sur le Chancelier Acar et ses nobles compagnons.
Elle les toisa de son regard sarcastique.


- Je vous salue dignes chevaliers ...
Nous ne pouvions pas perdre une seconde de plus et c'est pour cela que j'ai gardé le silence jusqu'ici.
Nous approchons du Domaine des Basilisks. Ce dernier est très restreint, mal organisé et en aucun cas défendu avec efficacité.
Mais n'oubliez pas que nous avons à faire à une organisation d'Assassins et qu'au moindre impaire de notre part, ils prendront instinctivement la fuite !
Nous abandonnerons donc les montures ici-même et je vous demanderai de calquer du mieux que vous pourrez votre démarche sur la mienne.
La bâtisse est de l'autre côté de cette rue et vous pouvez apercevoir son ombre.


Elle se tu un instant le temps qu'ils puissent digérer ses paroles.
La nuit avait beau être entamée, cela ne jouerait pas pour autant en leur faveur !
Un bruit se fit entendre à l'autre bout de la rue et Exodia perçut immédiatement les pas caractéristiques d'un ivrogne rentrant de la Taverne.
Aucun tracas à avoir de ce côté. Il serait toujours temps de l'égorger si nécessaire. Ce qui ne serait sûrement pas le cas.


- Nous allons pénétrer dans les égouts sur le côté droit du Domaine Basilisks. Ensuite nous emprunterons le passage secret menant directement au bureau du Maistre Basilisks Luinwë Valentine.
De son bureau, il sera possible d'utiliser un autre passage menant à la bibliothèque.
Afin que notre mission ne soit pas vaine, il faut que l'un de vous organise un siège autour de la bâtisse et qu'il envisage toutes les possibilités de fuite.
S'ils se sont déjà débarassé de l'enfant, il faudra les punir pour leurs actes ignobles.


Elle soutenu leurs regards, imperturbable.
Exodia savait que quoiqu'il arrive, il y aurait des prisonniers cette nuit.
Elle aiderait de son mieux les Chevaliers comme elle l'avait promis.

La Félonne caressa fugitivement sa dague nommée Belle de Mort et eut une moue de sombre plaisir à l'idée de la sentir dans sa main, un plus tard dans la nuit ...
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