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[RP] Qui qui veut une rooooOOOOOoooobe ? Viendez Viendez !!!

Attia.
Quand on s'appelle Attia des Juli, on se debine pas. Meme quand on a été injustement envoyée en prison par les pantins de l'administration bourguignonne, on gardait la tete froide et haute, surtout quand on a frolé l'infirmité a vie et qu'on a retrouvé l'usage d'une mains indispensable par les bon soins d'une precieuse amie, on ne peut que voir la vie en rose, sisi en rose.

Puisque la Bourgogne ne voulait pas d'elle elle partit. Non pas qu'elle se resignait , non , elle ferait encore parler d'elle la bas, pour l'heure les affaires continuaient il ne fallait pas l'oublier.

Cachee scrupuleusement au fond de l'atelier elle avait passé des nuits blanches a terminer la robe de sacre qui aurait du etre preparee des mois auparavant et entamait celle des autres dignitaires du royaumes qui faisaient appel a ses services, mais mieux encore, elle ne voulait pas attendre qu'on vienne a elle, d'autant qu'elle avait de superbes modeles tous prets qui ne demandaient qu'a etre portés par les plus grandes du royaume! Aussi prirent elles avec Breiz la route de paris.

Arrivees a Paris, mais ne connaissant pas du tout la ville elle avaient juste demandé qu'on leur indique un lieu de commerce.
En moins de deux une petite echope etait louée aux galeries Lafayotte pour la semaine. Avec Breiz, aidées de Severus et Giovanni elles avaient installé la devanture et il ne fallait plus que faire l'annonce de leur présence pour lancer les affaires.


- Gigi! Voulez vous bien faire placarder l'affiche bien en vue ?

Le travail de gros elle le laissait au Severe, pas risquer de mettre en danger sa main. Et doucement le valet avait sorti les robes, les fameuses robes presentées au defilé et qui allaient trouver acquereur.
Elle sourit de soulagement et de bonheur car cette fois , Breiz et les autres couturieres de l'atelier allaient avoir l'occasion de presenter leurs travaux
.


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On ne se bat pas dans l'espoir du succès ! Non,c'est bien plus beau lorsque c'est inutile !(Cyrano)
Mariealice
Oui elle était souvent en retard, oui bon d'accord très souvent mais des fois, elle était à l'heure, voire en avance.

Comment avait-elle eu vent si rapidement de cette vente? Mystère et boules de gomme. Seulement c'était le cas et elle avait eu un coup de coeur pour une tenue. Etait-ce que le fantôme de sa fille lui tirait les pieds la nuit pour lui donner le vice des vêtements? Aucune idée. Mais de toute façon, peu importe la raison, elle était là, à pousser la porte de l'échoppe avant d'entrer et de saluer.


Bonjour Attia. Comment allez-vous? Jolie échoppe.

Petit coup d'oeil ici et là, jusqu'à repérer LA robe, celle portée par euh... Voyons.. Ah oui. Blanche, la bretonne. Voilà. C'était ça le nom. Retour sur Attia.

Et cette main? Et la prison n'a pas été trop dure?

Ahem.. J'ai ouïe dire que vous faisiez une vente et je suis là.


Hop, tout en délicatesse, ça c'était fait.
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Attia.
Surprise. Elle se laisse surprendre par la voix de Marie Alice. Comment avait elle pu apprendre si rapidement qu'elles étaient dans la place ?
Peu importe. Elle sourit sincerement a l'ancienne regente de France.


- Bonjour Marie, je ne m'attendais pas a vous voir! Enfin si, mais pas si tot , on est encore en plein bordel!

Elle rit doucement.

- la main guerie! grace a Breiz et sa super Matrone! Et la prison, humide, sale , puant, mais comme on dit ce qui ne tue pas... Rend plus fort!

Elle gueula quelques instructions au Sevère avant de se tourner vers Marie.

- Oui il va y avoir une vente. D'ailleurs Severe est en train de dresser les modeles. Yen a t'il un qui vous a tapé dans l'oeil ?

Elle sourit. Elle aurait bien pu offrir la dite robe a Marie, mais le Sévère ne lui pardonnerait jamais, lui qui tenait a jour la comptabilité de l'atelier pour s'assurer qu'ils puissent toujours se fournir au sommum de la qualité.

- Ahem... installez vous donc, ce sera une vente aux enchères ! Nous finissons de tout mettre en place.

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--Giovanni_casanova
L'italien était aux anges!
A peine embauché le voila deja a Paris en compagnie de la celebrissima padrona!
Aussi quand elle lui donna l'ordre, il s'empressa de courir, trop heureux de pouvoir etre une partie de ce succes national!


- La place aux annonces ou ?

C'est la question qu'il posa à un passant qu'il trouva tres charmant, le gratifiant d'un sourire aguicheur avant de courir placarder son parchemin.



Au retour a l'echoppe il se mit respectueusement a la disposition du Severe pour dresser les robes.

Mariealice
S'il y en avait une qui lui avait tapé dans l'oeil... Ah ben oui et sacrément même. Mais dans l'ordre.

Oh non ce n'est pas si fouilli que cela.Et puis que diable un atelier ça vit.

Et de sourire.

Je suis ravie pour la main mais désolée pour la prison. J'ai fait ce que j'ai pu mais visiblement cela n'a point suffit.

Profond soupir, inutile de revenir là-dessus mais pas très contente pour autant.

En effet, celle-ci
.

Et de se placer devant la fameuse robe à la couleur déjà parfaite pour elle.

Je peux admirer de près avant de m'asseoir?


Et de jeter un coup d'oeil au Sévère.
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Attia.
LA gitane sourit a Marie.

- Ce n'est rien Marie, je te remercie sincerement pour tout ce que tu as fait pour moi, Angelyque ne perd rien pour attendre!

Et de claquer un clin d'oeil mesquin. Oui elle est rancunière l'Attia, tres.

- Tu les as deja vus les modeles mais tu peux les admirer encore c'est gratuit ça!

Et de rire en faisant signe au Severe de decouvrir les quatre tenues qui seront vendues aux enchères.


- Alors les 4 tenues du defilé du Louvre seront vendues aux enchères. Autrement nous mettrons a disposition les catalogues afin que tous et toutes puissent trouver leur bonheur!

Et de poser delicatement sa main sur l'epaule de Marie Alice lui glissant sur le ton de la confidence.

- C'est le severe qui gere les mises de base, je ne peux absolument pas te dire quel prix sera proposée la robe que tu veux, j'espere que tu remporteras cette robe...

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On ne se bat pas dans l'espoir du succès ! Non,c'est bien plus beau lorsque c'est inutile !(Cyrano)
Neyco
Des tenues, pleins de tenues, en mode achat a fond, la mini se dépêcha aussi rapidement que possible. Surtout que Attia était dans le coin. Plan en main sure quelle ne ce perdrai pas ainsi.
La belle femme vêtue de rouge. Depuis combien de temps ne l'avait elle vu? Piouf c'était a Castelnaudary avec Madre et le Baro. Bon sans. Une sacres paye.

Vite on débarque, pas besoin d'arriver en retard.

Et voila la belle. Bon sang, toujours sa fascination resterai présente en voyant la femme brune.

Une autre personne deja présente. Elle salua rapidement faisant révérence, a la femme présente. Connue de vu et de nom mais pas de la personne. Puis elle s'approcha de la belle afin de la saluer.

Bonjorn a toi Attia, comment vas tu?

Je ne sais si tu te souviens de moi par contre cela fait longtemps que nous ne nous sommes croiser.


Un sourire fin, la mini baronne biscuit avait changer pas en taille mais son visage semblait marquer doucement devenant femme, laissant son visage enfantin partir avec le temps.

Regardant les robes présente bon sang, il lui fallait des tenues, et une aussi pour son chevalier et une pour sa couse d'amour. Rha ca serai dur tout cela.

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Breiz24
Elle, elle avait un peu trainé. Le voyage vers Paris l’avait un peu fatiguée, pour ne pas dire épuisée. Faut dire que voyager quand on a ses ragnagnas, alors qu’à cause de leur retard on s’était fait à l’idée d’être encloquée, ça rend pas aimable. Deux fois.

Elle avait donc pris le temps de se reposer, dans la chambre d’hotel luxueuse qu’ils avaient loué. Pris le temps de jouer avec ses enfants, de s’assurer qu’ils allaient bien et qu’ils s’adaptaient à ce nouvel environnement. Pris le temps de s’occuper de son mari –non, Milo, la soie ne gratte pas et tu en porteras si jamais on nous demande d’aller assister Attia pour le sacre ! – et de donner des consignes à la gouvernante et à la nourrice concernant les menus et les enfants. Irascible ? Si peu, si peu…

C’est donc plus tard qu’elle avait demandé qu’on fasse seller son cheval- bien qu’elle aurait préféré s’en occuper elle-même – et demandé à Berthe de l’aide pour s’habiller. A Paris, obligée de porter ses belles robes, au lieu de la confortable cotte de laine qui la vêtait au quotidien. Plus compliqué aussi de se balader à cheval. Pas question de monter avec une jambe de chaque coté quand on porte une robe à vertugadin.

Elle dirigea donc le palefroi à la robe sombre dans les ruelles mal connues, demanda son chemin une fois, se perdit un peu – rien qu’un tout petit peu – et finit par arriver à l’échoppe louée. Elle fit le tour et attacha son cheval dans la courette, avec ceux d’attelage qui se reposaient de leur épuisant voyage dans le froid et la neige, lui dégotta une couverture et paya un petit gamin des rues pour surveiller tout ce petit monde, promettant plus d’argent si les chevaux étaient bien traités.

Puis elle s’engouffra dans la boutique.


Salut ! C’est mooooooooi ! Sévère déblayez le passage vous me gênez bordel !

Et tournant les hanches pour faire passer son volumineux vertugadin entre le mur et le Sévère, elle découvrit qu’elle n’était pas seule avec Attia.

Oh, euh, bonjour Mar.. votre Seigneurie, Dame...

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          Les Doigts d'Or, j'Adore!
jake
Jake avait reçu une annonce assez originale venant de l’atelier « Aux doigt d’or ». Celle-ci proposait une vente aux enchères exclusive de robes. Voilà l’occasion rêvée de faire plaisir à sa promise de lui offrir un cadeau de mariage. Celui-ci n’allait pas tarder et il espérait bien rapporter chez lui l’une de ses robes magnifiques, connaissant le talent exceptionnelle de la couturière qui lui avait déjà réaliser quelques robes pour la noël.

Alors Jake s’était rendu à Paris aux Galeries la Fayotte pour voir de plus prêt les créations. Il entra dans la boutique et reconnu sans mal la Maître couturière. Il vient alors s’asseoir sur un banc, restant discret, laissant vagabonder ses azurs sur les robes, tout aussi belle les unes que les autres. Le cocher n’était pas loin avec de quoi payer la robe, peu importe le prix, car l’amour qu’il avait pour sa fiancée n’avait tout simplement pas de prix.

Il attendit le début de la vente aux enchères avec un sourire aux lèvres.

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Attia.
Attia se laissa surprendre par l'arrivée d'une revenante, une fantomette de son passé toulousain, la jeune Neyco qui n'avait plus l'air aussi jeune qu'a l'epoque ou elle l'avait connue.

- Neycooo ! ça fait tres longtemps en effet.

Elle s'avança vers la jeune femme pour la serrer contre elle.

- Tu es magnifique!

c'est a ce moment la que Breiz entra, tonitruante, comme d'hab. La brune sourit. Si elle ne l'aimait pas tant elle aurait presque pu etre agacée par ce rituel quasi permanent du deplacement de toute la maisonnée breizesque, ces scenes de vie familiale parfaites accomodées de miamourages a la limite de la descence avec le grand dadet blond.
Bon ya un chouya de mauvaise foi dedans, mais la gitane elle sait pas ce que c'est que la vie de famille... Et puis elle l'a dit, elle l'aime donc voila!

- Salut Breiz!

Et de se reporter sur Neyco.

- tu viens pour une robe ? On est encore en train de s'installer. Je suis contente de te voir. Installe toi et regarde deja les modèles ainsi que les catalogues. Après il faudra que tu me racontes ce que tu deviens!

Et de poser une main douce sur l'epaule de la jeune toulousaine.

- Excuse moi. Severe! ça commence a arriver, v'nez expliquer comment ça fonctionne la vente et puis presentez les catalogues, hop hop hop on a pas le temps!

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On ne se bat pas dans l'espoir du succès ! Non,c'est bien plus beau lorsque c'est inutile !(Cyrano)
Neyco
Ah quelle était heureuse son amie ne l'avait point oublie malgré le temps. Se laissant faire les câlins elle aimai ca après tout et c'était toujours bon de retrouver des personnes que l'on aimait beaucoup. Passant ses bras autour de la femme dont la beauté n'avait que peu d'égal celons elle.

Je suis vraiment ravie de te revoir mon amie.


Souriante au compliment.


Parle pour toi. Tu es toujours aussi belle.

Un rire léger la laissant filer afin d'accueillir tout le monde. Breiz hum ce nom oui la jeune femme lui ayant fait robe pour le mariage de Lily. Rha elle et sa mémoire de moineau des fois.
Saluant celle qui avait fait un travail merveilleux avec les voilages et tissus.


Oh oui j'ai reçut message aussi ayant retrouver ma taille fine après l'accouchement j'en profite. Je pense que me refaire une garde robe serai de bon gout. Autant niveau taille je rentre mais poitrine, je ne rentre plus du tout.

Un sourire léger, sure que dans le fond elle avait doubler au final.
Hochant tête, elle regarda le tout bon sang tout était beau. Rha ca allait encore faire un trou dans ses caisses mais la elle n'avait presque rien a ce mettre.

Pas de soucis je te raconterai tout c'est promis. Et j'en ai de choses a te raconter crois moi.

Regardant Attia donner ordre elle sourit grandement, ah cette journée allait être magnifique.

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Elianor_de_vergy
[Paris - Chapelle Saint Antoine]

Y a des jours où les caducées de maréchal, on a nettement plus envie de s'en servir comme masse d'armes que comme ornements de fonction. Seulement voilà, avec ses cinq pieds de haut, ses ptits bras et son ignorance abyssale du maniement des armes, la poupée de Vergy aurait eu bien du mal à donner libre cours à son agacement. Il faudrait qu'elle trouve autre chose pour se défouler....

Par la pute borgne d'Aristote ! C'est en assez !! Guyenne, ca vous dit d'aller claquer nos rentes aux Halles?

Sourire épanoui qui s'affiche sur la frimousse de ladite Guyenne. Elles étaient deux maréchales à en avoir ras le caducée, visiblement. Faut dire qu'elle comprenait sa consoeur, le nobiliaire mainois c'était tout sauf une partie de plaisir.

Aller jeter les écus par les fenêtres en revanche, ça c'était un programme alléchant. Et puis, les Halles devenaient un quartier couru de la capitale, faire ses emplettes là-bas était du dernier chic. D'ailleurs.... D'ailleurs cela lui faisait penser à une affiche qu'elle avait vu placardée sur un mur lors de sa dernière visite chez son orfèvre favori. Lâchant l'obscur grimoire à l'aide duquel elle tâchait de définir les frontières guyenno-rouergates, la quintefeuille miniature sauta sur ses pieds et hocha vigoureusement la tête en répondant à
Estampes.

Oh oui ça me dit! Et je connais même l'endroit idéal pour ça!

[Paris - Quartier des Halles ]

Et hop, deux dépensières de plus pour l'atelier. Blonde et blonde poussent la porte et pénètrent de concert dans ce haut lieu de la tentation chiffonnière, bien décidées à se délester de leurs écus.

L'atelier organise une vente aux enchères de tenues exclusives, une occasion à ne pas manquer! Surtout avec les festivités du sacre royal qui arrivent, une bonne raison de renouveler nos garde-robes ma chère!

Coup d'oeil circulaire. L'affaire ne semblait pas encore lancée, tant mieux. Elles pourraient ainsi s'installer aux premières loges et faire leur choix, qu'il leur faudrait ensuite défendre âprement!
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--Severus_nonrigolus
Il grinça, et finit par aller dérouler près des tenues, ainsi qu’à la porte, une affiche concernant le prix des tenues.    

Déroulement de la vente :
    Vente des tenues du défilé :

      Il s’agit d’une mise aux enchères. Les robes sont confectionnées dans les tissus les plus fins, les coloris les plus élégants et brodés de l’or ou de l’argent le plus pur. Ils sont donc réservés à la haute noblesse, et toute acheteuse doit justifier d’au moins une baronnie de par ses armoirie afin d’avoir le droit d’enchérir.

         Mise à prix :    
      • Robe 1 : 2500 écus
      • Robe 2 : 2650 écus
      • Robe 3 : 2600 écus
      • Tenue masculine : 3000 écus


      Les catalogues de Maitre Attia et des apprenties sont disponibles à l’intérieur de la salle, pour habiller les dames de moins haute extraction. Chaque robe indiquée sur les catalogues hormis les exclusivités ont été confectionnées en exemplaire unique pour la vente d'aujourd'hui et ce pour l'occasion du Sacre et des festivités afferantes.


Il déposa ensuite plusieurs gros livres sur la couverture desquels on pouvait lire le nom de la couturière:

Attia

Breiz

Jenah

Estrella


      Règles de la vente aux enchères :    

Le principe est simple : un lancé de dé, au nombre de faces équivalent au nombre de potentielles « acheteuses » : si deux, dé à 20 faces, si 3, dé à 30 faces, etc…
Pour plus de facilité, l’attribution des faces sera alphabetique : de 1à 10, A emporte l’enchère ; de 11 à 20, B remporte l’enchère, …
Les dés seront lancés via ce site, vous pouvez jouer l’enchère dès le lancement idealement demain Mardi le temps que les gens arrivent, on fera les lancers de dés idéalement mercredi soir.
Pour ce qui est des adaptations sur catalogue, pour plus de coherence Rp on considere que chaque robe est unique et non modifiable. Si une demande sur une robe a deja été faite il n'en sera pas prise une seconde sur la meme robe.
Pour d'autres commandes, rendez vous sur le forum. Ce Rp etant un Rp de vente exceptionnelle a l'occasion du sacre.
N'hesitez pas a en parler autour de vous!
Bon jeu à toutes et tous.    



Sophie
La comtesse Sophie avait entendu parler de la vente exceptionnel par Attia. Elle s'y rendît pour comtempler les catalogues des couturières. Elle est ravie de voir tant de belle robes de toutes les couleurs. Elle aimerait bien en avoir quelques unes avec la super vente.
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Cl0e
Elle déambulait dans les rues, quand un parchemin vint se plaquer contre son visage, emporté par une bourrasque de vent. Saleté. Elle se débattit autant que faire se peu contre le bout de parchemin, et parvint à le retirer de son minois, dévoilant ses deux sourcils froncés, formant quasiment une seule et même ligne d'un or le plus clair. Une annonce, pour les robes de ses couturières préférées. Il était obligé qu'elle s'y rende. Alors, elle rentra chez elle, fit préparer le cheval nuit de son défunt époux, et confia sa petite Chiara à sa bonne et sa filleule pour prendre les chemins. elle promis à sa filleule de revenir vite, car elle était verte de jalousie. Sa main à couper qu'elle s'entraînerait plus dur à son métier. Sa cape blanche bordée de fourrure flottant au vent, la blonde s'élança sur les chemins.

Dieu qu'elle aurait prendre Aléanore au passage, mais les mois avaient passé, et même si elle était toujours vêtue de blanc ou de gris, avec seulement quelques touches de couleur claire ou d'or pâle, la blanche ne se dépêtrait pas de son deuil, ses proches rejoignaient les anges plus vite qu'il n'en fallait pour dire ouf.

Alors, quand enfin, elle arriva à destination, après pas tant de tours et détours que ça, pour sa plus grande fierté, elle chercha où laisser son destrier, et baissa ses yeux sur ses fripes. Finalement, elle trouva à faire garder sa monture, non sans peine, et s'approcha de la devanture de l'échoppe, sourire aux lèvres. Elle se demanda si elle devait frapper, ou non, et décida que oui, au risque d'avoir l'air ridicule. Elle n'était plus à une fois près, après tout. Le ridicule ne tuait pas, elle encore moins, elle serait six pieds sous terre depuis belle lurette sinon. Avisant les robes, elle en bavait presque d'envie, mais se reprit à temps pour saluer ces dames et le sire déjà présent.


- Bien le bonjour à vous !

Elle manqua de justesse percuter le sévère, et se pinça les lèvres, espérant qu'il n'avait pas fait attention. Elle s'écarta, et lorsqu'il entama son explication, elle se dit que non, il avait pas fait gaffe. Même pas un regard noir, pour sûr sa maladresse était passée inaperçue. Contente, les coins de sa bouche tournèrent vite vers le bas. Attraction terrestre ? Non, juste qu'elle n'était pas baronne. Bientôt, peut-être. Sa seigneurie n'était pas suffisante. Qu'importe. Elle passerait un autre jour à l'atelier, accompagnant son apprentie de filleule au besoin. Pas difficile la blanche.
En attendant, elle dévora du regard ces somptueuses matières, ces couleurs toutes plus sublimes les unes que les autres.

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