Procès ayant opposé Astel au Duché de Guyenne
Astel était accusé de T.O.P..
Nom du procureur : Lorca
Nom du juge : Arnaut_de_chesnais
Date du verdict : 17/10/1456
Lieu concerné par l'affaire : Guyenne
* Après le réquisitoire contre dame Alys, le procureur ouvrit aussitôt un deuxième procès contre son complice dans le mal, messire Astel. La justice ne souffrirait aucun retard. *
Votre excellence
En ce 8 Octobre de l'an de grâce MCDLVI, moi Lorca, procureur du duché de Guyenne, ouvre un procès sous le qualificatif de Trouble à l'ordre public à l'encontre du dénommé Astel. En effet, ce dernier est accusé d'avoir arpenté les routes de Guyenne avec en tête un seul but : attaquer et détrousser un malheureux passant. Ce qui fut chose faite il y a quelques jours lorsque en compagnie de sa compagne dame Alys, son chemin a croisé celui de dame Didine366 et de messire Consuelo, qui ont par la suite eu la chance de tomber sur une patrouille de nos forces de police, laquelle les a secourus et a pris leur déposition.
Par cet acte inexcusable, l'accusé a non seulement porté atteinte à l'intégrité physique d'une personne, ici dame Didine366 et messire Consuelo mais a aussi mis en danger la sûreté de notre duché, ce qui doit nous inciter à lui infliger une peine exemplaire.
* Lorca se tourne vers l'accusé *
Messire Astel, pas votre acte de brigandage, vous avez enfreint l'article premier du chapitre trois du livre II de notre coutumier, nommé « Du Trouble à l'ordre public » et dont voici le contenu :
« Tout comportement portant préjudice à autrui ou portant atteinte à l'intégrité physique ou morale d'un habitant de Guyenne, ou à l'ensemble de la communauté pourra être considéré comme trouble à l'ordre public. »
Sachez néanmoins messire que, dans sa grande mansuétude, la Cour vous accorde le droit de faire appel à un avocat, lequel vous prêtera assistance et vous défendra durant ce procès.
* Lorca fit signe à l'huissier en faction devant la porte *
J'appelle maintenant en tant que témoin de l'accusation le lieutenant Akimie, l'officier de police chargé de l'enquête, et messire Consuelo, victime de vos coupables exactions.
* Le procureur se rassit et attendit que les témoignages se finissent *
La personne intéressée ne s'est pas manifestée.
Votre excellence
Vous avez constaté comme moi que l'accusé n'a pas daigné se défendre, se qui constitue pour moi un aveu de sa culpabilité, il consent déjà à la sentence qui va immanquablement s'abattre sur lui ! N'attendez plus, condamnez le avec la même sévérité que pour sa compagne.
Néanmoins, avant de vous laisser la parole, j'aimerais vous exposer les derniers éléments de mon enquête, éléments qui ne manqueront pas de rendre impossible toute tentative de défense.
En effet, selon l'enquête de nos services de police, il est établi que dame Didine366, l'autre victime de l'accusé, a travaillé à Labrit le 3 octobre dernier. Or, elle a été retrouvée blessée le 5 au matin en terre guyennaise, ce qui signifie qu'elle a voyagé et a été agressée le 4, et donc que les faits ont bien eu lieu comme les victimes les ont décrits. C'est d'ailleurs peu après qu'on voit apparaître nos deux bandits.
Bref, la culpabilité semble avérée, alors n'ayez plus aucune hésitation votre excellence, donnez leur envie de ne plus revenir marauder chez nous !
* le procureur se rassit et attendit le verdict *
Bonjour !
Je ne me suis pas défendu auparavent car cela n'en vaut pas la peine, votre décision est déjà prise quelque soit ma plaidoirie.
J'ai vu des sorcières dont le témoignage avait plus de poid que le mien.
Comprenez donc que je n'ai pas foi en la justice ...
Pour ce qui est l'acte dont on m'accuse, je plaide coupable et c'est avec sincérité que je présente mes éxcuses à la victime.
* Astel se retira vers son siège d'accusé.
Veuillez me pardonner j'ai oublié quelque chose.
Je suis en négatif dans ma trésorerie pour le moment, donc si vous vouliez bien attendre 2-3 jours avant de prononcer le verdict si il y acoompagnation d'une amende comme je le pense.
Un juge m'a déjà mi en négatif ce qui est contraire à la charte du juge mais soit passons.
Ne refaites pas la même erreur car il certain que cette fois j'irai en appel.
Attendez quelques jours et j'aurai de quoi payer une amende, ça vous évitera des soucis et moi de perdre mon temps.
Merci d'avance.
*Akimie s'avança pour témoigner contre Massire Astel après avoir témoigner contre son complice, Dame Alys*
Bonjour à tous,
Etant Lieutenant de Police à Bazas j'ai été chargée de cette affaire de rackette dont Messire Consuelo et Dame Didine366 ont été victimes. Je ne peux que me joindre à eux pour reclamer justice et que ce genres d'acte de méchancetée gratuite soient puni sévèrement.
*La Lieutenant fini en remarciant le Juge puis re pris sa place.*
Votre excelence
je suis Consuelo,simple voyageur en quête de découverte culinaire et de patrimoine.
Cette nuit la,apres avoir mangé en taverne,je pris la descision de voyagé à la fraiche comme on dit.
Je ne voyage pas avec beaucoup de chose,mais j'avais sur moi une bourse contenant plus de 130 ecus,et quelques miches de pains.
Arrivé pres d'un croisement ou ,j'avais prit le temps de bien me repérais,une femme vêtue de noir ma abordée,pour me dire qu'elle etait perdue.Je reconnais cette dame à prèsent.Comme quoi ma galanterie me perdras,celle ci demanda mon aide,pour aidé à faire sortir sa charette du bas côté.
J'ai eu à peine le temps de soulever la roue,que je reçu un grand coup dans les cotes.Puis deux puis un dernier sur la nuque qui me permis de reconnaitre l'homme,lui aussi vetu de noir,a l'air terrible et d'un sourire des plus terrible.
Avant de tombé dans les paumes,j'ai juste eu le temps de les entendre rires,sur mon cas,certainement.
Je reconnais bien c'est deux personnes comme mes agresseurs et je demande reparation,mais surtout qu'il ne puisse plus jamais s'attaquaient aussi vilement aux gens.
Je jure sur nos lois,que tout ceci soit passé.
*Après avoir réfléchit de longues heures à l’adoption de son verdict, le juge Arnaut pénétra dans le tribunal une nouvelle fois et dit d’une voix empreint d’une forte autorité.*
En ce 17 Octobre de l’an de grâce 1456 ; en vertu des pouvoirs conférés par sa Grandeur le Duc de Guyenne et fort de notre autorité, faisons savoir ce qui suit :
Attendu que l’accusé admet les fautes qui lui incombent.
Attendu la gravité de ces actes qui laissent aucun doute quand au jugement que nous devons rendre.
Attendu que nous notons, toutefois, une once de remord dans la voix de l’accusé et que bien que nous doutions de la sincérité de ses propos ; considérons ses excuses comme un désir de rédemption.
Déclarons l’accusé coupable de trouble à l’ordre public et le condamnons à une peine de prison de trois jours ainsi qu’à une amande de quarante cinq écus.
Nous tenons également à faire savoir au coupable que nous ne partageons point sa vision de la justice et que s’il considère la condamnation comme acquis ; elle résulte en vérité de différents éléments mis à disposition du Juge et que le témoignage de l’accusé reste primordial et incontournable pour le bon avancement du procès.
Ainsi soit-il !
*Le juge fit signe à deux gardes positionnés près de la porte de se saisir du voleur et de le conduire dans les geôles immédiatement.
Le prévenu a été condamné à une amende de 45 écus et à 3 jours de prison ferme