Procès ayant opposé Arabious à la mairie de Bazas.
Arabious était accusé de Escroquerie.
Nom du procureur : Lorca
Nom du juge : Arnaut_de_chesnais
Date du verdict : 22/10/1456
Lieu concerné par l'affaire : Bazas
Votre honneur,
Nous sommes réunis ici aujourd’hui, le 15 octobre 1456, pour la mise en accusation de dame Arabious sous le chef d’inculpation d’escroquerie.
Celle-ci a vendu des stere de bois au dessus du prix autoriser.
Le 1 octobre 1456 elle a vendu du bois a 5 écus .
http://i43.servimg.com/u/f43/12/43/19/59/arabio10.jpg
elle a été à chaque fois averti par la police mais n’a pas tenu compte des avertissements.Le prix de vente de la stere de bois et de 4 écus a bazas.
Indiquons à l’accusé qu’il peut faire appel à un avocat, pour cela il lui faut entrer en contact avec le Juge.
Merci de votre écoute
Leepo, maire de Bazas
La personne intéressée ne s'est pas manifestée.
Messire juge, nous pouvons ici même constater quel intérêt porte l'individu pour la justice guyennoise.
Messire le Juge, il faut lui faire retrouver le goût du respect.
Et pour cela je ne vois qu'une solution : soyez intransigeant lorsque vous donnerez votre verdict.
Je requiert donc une peine maximale pour les fautes commises ainsi que pour rappeller que la justice ne peut-être niée!!
La personne intéressée ne s'est pas manifestée.
Bonjour à tous,
Je me suis chargé de monté l'affaire d'escroquerie dont cette Dame est accusée dès que j'en ai eu les preuves. Elle ne dépasse les prix imposés que de peu mais son devoir de citoyenne était de les corriger et après maintes rappels je n'ai eu aucune réponse de sa part, aisni je ne peux que souligner sa culpabilité.
Merci
Le Juge de Guyenne,Arnaut de Chesnais, après avoir passé de longues minutes à préparer son jugement, dit d'une voix forte :
En vertu des pouvoirs conférés par sa grâce le Duc de Guyenne et fort de notre autorité faisons savoir ce qui suit :
Attendu l’absence totale de défense.
Attendu les éléments de l’accusation.
Déclarons l’accusé coupable d’escroquerie et le condamnons à une peine de prison de un jour ainsi qu’à une amande de cinquante écus.
Rappelons à tout un chacun que le silence de la part d’un accusé est porteur d’une insulte à l’encontre de la justice et, à défaut de plaider en faveur de l’accusé, aggrave de manière conséquente son cas.
Ainsi soit-il !
Le prévenu a été condamné à une amende de 50 écus et à 1 jour de prison ferme