Votre honneur,

Nous sommes réunis ici aujourd’hui, le 31 juillet 1456, pour la mise en accusation de messire Nilfheim sous le chef d’inculpation d’escroquerie.

Celui-ci a été pris en flagrant délit de vente à tarif illégal.

Le 25 juillet 1456 il a tenté de vendre des seaux non cerclé au prix de 28 écus à notre service de police.

Or le prix est fixé à 27 écus le seau non cerclé par décrêt municipale, affiché en halle, en mairie, envoyé par courrier à tous nouvel arrivant ou voyageur et rapellé chaque semaine dans le courrier du maire.

Il a été averti par la police mais n’a pas tenu compte des avertissements.

Voici les preuves messires le juge :

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Indiquons à l’accusé qu’il peut faire appel à un avocat.

Merci de votre écoute

Leepo, maire de Bazas

Salutations ! je rentre de congés, et je vois que je suis accusé d'escroquerie... j'avais mis en vente mes seaux avant de partir en congés, c'est pour cela que je n'ai pas pu tenir compte des avertissements de la maréchaussé. Je tiens a faire amende honorable, et a réparer mes erreurs, je me tiens a votre entière dispositions, mes braves seigneurs, pour réparer l'erreur de prix...

Messire le juge

Messire Nilfheim a fait se qu'il vient de nous dire , il a prit contact avec la police et a payer la différence ainsi qu'un dedomagement a la mairie de bazas.

Messire le juge je demande que messire Nilfheim soit acquité cars je pense qu'il a comprit son erreur et fera attention a ces prix avantde partir en retraite.

Je demande l'acquittement .

Je vous avoue bien humblement, que je suis très peiné par cette affaire, et j'ai essayé de réparer mon erreur, le plus rapidement que j'ai pu...
Plaise à vous, que je serais acquittez, mais j'accepterais aussi l'amende qu'ils vous sera bon de me faire, je m'en acquitterai bien volontiers...

*Akimie s'avança puis pris la parole.*

Bonjour à tous,
J'ai pu suivre cette affaire dès le début et je dosi dire que jamais je n'ai eu de réponse de MEssire Nilfheim. En plus de ne pas réponde, ce messire n'avait pas jugé utile de retirer ses autres ventes à prix illégal du marché, précaution pourtant précisée dans le courier que je lui avais envoyé. Si bien que je me vis dans l'obligation de racheter les autres produits en vente. Ce qui fait 3 sceaux en tout.
Voilà, ce sera tout pour mon témoignage.
Bien à vous.

*Sur ce la sergente retourna s'assoire*

Au nom de la justice Guyennoise,

Au nom de sa grâce Ombres, RDuchesse de Guyenne, voici mon verdict,

Compte tenu de la petitesse du délit

Compte tenu de la bonne volonté de l'accusé

Compte tenu de la réparation du delit

Je vous relaxe, messire Nilfheim, toutefois j'ose esperer ne plus avoir a vous rencontrer en ce lieu pour quelque delit que ce soir, si petit puisse t il être.

Qu'il en soit ainsi.

Fait le treizieme jour d'août de l'an de grace 1456.