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[RP] Salle de Permanence Ducale

Tully


                            SALLE DE PERMANENCE DUCALE




Tully avait prit le soin de prévenir de la création de la Salle de Permanence du Conseil Ducal. Les savoyards avaient demandés pendant la dernière campagne électorale une meilleure communication. Chose promise, chose faites. Les dernières annonces ducales étaient affichées dans la salle. Il attendait maintenant que les savoyards viennent le trouver pour discuter. Il jeta un œil en arrière, et observa un moment la porte qui se trouvait être derrière lui. Cette porte communiquait directement avec la salle des débats privés du Conseil Ducal, de cette façon, il pourrait convier les conseiller ducaux à s'exprimer lorsqu'une question serait posée.
Kehl


Comment fait-on une loi ? A qui s'adresser ? Le corpus est ancien et des voix d'origine inconnue mais cependant bien informées ont indiqué que l'exemplaire disponible en gargote était en train de moisir. Peut-être aurait-il besoin d'un rafraichissement.
Tully


Tully sourit et accueillit le premier visiteur

Bonjour,

- Une loi est proposée par un conseiller ou par un Savoyard, puis est votée par le conseil ducal, enfin elle est ajoutée au codex savoyard.

- Pour proposer une loi il convient de s'adresser à un conseiller qui transmettra la proposition de loi au conseil, celui-ci statuera sur celle-ci et votera pour oui ou non valider la dite loi.

- Le rafraîchissement du Codex affiché en Gargote est en cours. Cependant il reste toujours valable.
Panpanys
on peux m'expliquer ça ?

Citation:
DOLE - (AAP) Suites aux évènements qui se sont déroulé en Franche-Comté et en Helvétie la semaine passée, concernant l'action des armées croisées en Helvétie, le Franc-Comte et le parlement Franc-Comtois viennent de publier une lettre ouverte aux dirigeants du Haut Commandement Impérial (HCI). Lettre énonçant les différents griefs que la Franche-Comté adresse à la Savoie.

Voici copie de la dite lettre :


"Lettre ouverte à l’ensemble des membres du Haut Commandement Impérial,

Dames et Sires, mes chers collègues impériaux,

Nous, Debenja von Riddermark, Franc Comte, Comte de Viller Buzon, Vicomte de Marnay, ainsi que le Parlement franc-comtois,

Dénonçons de la façon la plus vigoureuse l’attitude irrespectueuse, outrageante voir même insultante, qu’à eu la Savoie lors de l’entrée illégale des armées soit disant croisées mais surtout françaises en territoire impérial. Par les derniers actes, la Savoie nous montre sa capacité flagrante à se sentir plus française qu’impériale, préférant défendre les intérêts de la France plutôt que ceux de l’Empire !

La Franche Comté par la voix de son Franc Comte a refusé l’entrée des armées françaises sur le territoire franc-comtois puis, devant la mascarade montée par la Princesse Armoria, la Franche Comté, par la voix de son Parlement et comme l’autorise le Concordat signé avec l’Eglise Aristotélicienne, a refusé l’entrée des armées soudainement devenues croisées sur le territoire franc-comtois. Même la Savoie, n’osant alors pas avouer son penchant pour satisfaire la Princesse Armoria ferma ses frontières durant cette période.

Alors que l’histoire nous donne raison, alors que les troupes croisées sont rappelées, alors que la Duchesse de Lorraine en personne demande une déclaration forte de l’Empire signifiant son refus de voir les troupes françaises perdurer, la Savoie préfère faire cavalier seul, permettant aux troupes françaises de passer par ses terres et proposant même de nourrir les français qui en auraient besoin, ces français qui, une semaine auparavant insultaient les impériaux, les francs-comtois et tout ce qui fait l’honneur de notre Saint Empire !

Nous, Debenja von Riddermark, ne pouvons supporter l’insulte qui est faite à l’Empire et à la Franche Comté de voir les troupes françaises accueillies bras ouverts par les représentants savoyards.

Si la Savoie veut s’allier au Royaume de France, qu’elle le fasse, nous laisserons volontiers notre place d’allié de la Savoie à ce dernier. Si la Savoie veut faire perdurer le Cercle Francophone, qu’elle agisse comme tel et non pas comme un suppôt du Royaume de France et de la Princesse Armoria.

Nous, Debenja von Riddermark, ainsi que l’ensemble du Parlement franc-comtois, signifions à l’ensemble des membres du Haut Commandement Impérial notre plus grande inquiétude quant à l’avenir du Cercle Francophone aux vues de l’attitude des plus déplorables de la Savoie.

Pour le Parlement Franc-Comtois

Fait à Dole, le 3 janvier 1458"


Cette lettre donnera-t-elle lieu à des réponses, l'avenir nous le dira.

Le Comteur, pour l'AAP.

Source :
Chateau de Dole, Agora (place publique): http://chateau-de-dole.forumactif.com/l-agora-f22/lettre-ouverte-du-parlement-franc-comtois-aux-instances-du-hci-t27879.htm.
Le_falsificateur


je vais vous donner une explication messire, mon explication qui n'engage que moi en tant que simple savoyard.
La Franche comté nous accuse de trahison tout simplement...
une trahison envers le SRING diligentée par ceux que nous avons élus et qui se soumettent à la volonté de l'église avant d'agir pour les hommes et femmes de Savoie.

Indépendance et autonomie !
Que les libres savoyards se lèvent
Pierre_von_kolspinne
Monsieur, il serait temps d'arrêter la fréquentation trop assidue des débits de boissons. Vos paroles, sans arrêts prononcés sans aucunes connaissance des faits, ne vous glorifient pas. Vous ne faite que colporter la "rumeur", sans essayer de connaitre les faits, bien loin de l'image du diplomate que vous voulez vous donner. Et aprés, vous vous demanderez pourquoi on ne vous a pas choisi comme chancelier. Je vous le dit, il suffit maintenant de vos calomnies.

Tout ce que nous avons fait, nous l'avons fait à la demande du HCI et de nos collègues impériaux, y compris la Franche Comté. Mais celui si a besoin de se justifier de ses mensonges devant son parlement, il y va de son fondement. Donc il cherche un coupable.

A la demande de la duchesse, voici la réponse qu'elle a donné à la Franche Comté, mais elle en privé.

Melisende a écrit:
Bien, voila que la Savoie est accusée de bien des maux, si vous le permettez nous allons reprendre certains événements pour rafraichir les mémoires. Ces éléments ont été reconstitués par Eddo Puegmirol chancelier de savoie que je cite avec son accord

Eddo a écrit:
Commençons par la base de tout ça, non pas la croisade mais ce texte :

Citation:
Nous, Debenja Von Riddermark, Franc Comte,

Suite aux actions en Béarn, qui amènent la déclaration de croisade,

Déplorons l'agression du Canton de Genève à l'encontre du Béarn et les moyens utilisés lors de cette action, déplorons les victimes faites entre les deux camps.

Condamnons fermement et sans aucune ambigüité cette hérésie scélérate et traitresse qu'est le Lion de Juda et nous nous engageons à les traquer sur notre territoire, sans répit ni pitié.

Condamnons le vol caractérisé des caisses de la Confédération Helvétique par des membres du Conseil Confédéral, même pour rembourser le Béarn, puisqu'aucune raison ne peut justifier un tel acte.

par la présente, nous édictons :
- que nous resterons neutre entre le Canton Souverain de Genève et les provinces de France.
- que nous n'accepterons pas le passage de troupes étrangères sur notre sol exceptés les Saintes Armées.
- que nous poursuivrons les hérétiques du Lion de Juda sur notre sol comtois.

Fait à Dole
Par le Franc Comte Debenja Von Riddermark
Le 21 décembre de l'an mil quatre cent cinquante sept


Je me suis permit de mettre en avant trois éléments capitaux.
1/ la FC édicte, fait donc par la acte de loi,
et que dit cet édit?
2/ les armées croisées peuvent entrées au vu qu'elles sont des "saintes armées"
3/ le texte date du 21/12, chose importante.

Continuons à rechercher la vérité, voici un texte des plus important.

Citation:
Nous, Izidore de Castelléo,
Chevalier-Sénateur de la Congrégation des Saintes Armées,
Ritter de l'Ordre Teutonique ;

A l'universalité des fidèles aristotéliciens,
Aux autorités temporelles du Royaume de France,
Aux autorités temporelles du Saint-Empire Romain Germanique,
Aux Clercs de France et du Saint-Empire Romain Germanique,
Aux feudataires français et impériaux,

Suite à l'annonce de la Croisade contre le Lion de Judas, par Son Éminence Tibère de Plantagenêt, dict Rehael, Cardinal Camerlingue.

J'annonce reconnaitre ce jour, les armées du Connétable de France, Anthémios de Deliancourt, dict LeKaiser, comme armées Croisées.
Elle porteront dès à présent la croix sur leurs tabards et la bannière d'argent, à la croix potencée de gueules, cantonnée de quatre croisettes du même.

Elles bénéficient dès lors des droits et devoirs des armées sous gouvernance de Rome.

J'appelle à nouveau tous les fidèles aristotéliciens à se lever contre cette menace que représente le Lion de Judas !
Où que vous soyez, en France, en Empire ou d'ailleurs, Rejoignez les rangs des armées Saintes ! Chacun à sa manière peut agir, si ce n'est militairement, faites tourner vos échoppes pour nourrir les soldats du Très Haut. Que vos prières les accompagnent.

Qu'Aristote et le Très Haut veillent sur tous ceux prenant part de près ou de loin à cette Croisade et qu'il protègent leurs familles et leurs biens.

Fait à Rome au Haut Conseil de la Congrégation des Saintes Armées le vingt-deuxième jour du mois de décembre de l'an de grâce MCLDVII.


Les armées sont donc reconnu comme croisée et donc saintes au vu qu'elles sont sous le gouvernement de la Sainte Eglise Aristotélicienne. Elles sont reconnu le 22/12, donc le lendemain de l'annonce accordant passage aux croisées comme démontrer précédemment.

Mais ou sont les nouvelles saintes armées le 22 me demanderez vous? voici la réponse :

Citation:
Aux autorités spirituelles et temporelles du Royaume de France et du Saint-Empire Germanique, salutations.


Nous, Anthémios de Deliancourt dict "Lekaiser", Connestable de France et par conséquent responsable des armées placées sous la tutelle de la Connétablie, faisons savoir ce jour ce que suit.

En ce jour, de par le statut de croisé conféré par le Chevalier Sénateur Izidore de Castelléo a chacun des volontaires mobilisé et présentement membre des armées dont nous assurons la coordination, nous nous engageons a ce que les droits et obligations afférents à cette qualité soient respectés.


Faict a Chalon, le 22 du moys de Décembre de l'an de grâce de Nostre Seigneur 1457.


Elles sont en france, mais au vu des deux textes précédents, peuvent en toute légalité entrer en FC sans que cela soit un cassus belli. les françois entre donc en FC avec l'appui de l'Eglise et l'édit de la FC.

A cela on rajoute ceci,

Citation:
Expéditeur : Alcalnn
Date d'envoi : 2009-12-23 13:02:57
Moi Alcalnn Blackney, Duc de Mortain etc, Amiral de France,
A Dame Pegasine, Capitaine de l'armée sis devant Dôle,

Capitaine, demain, les Croisés Normands dont je suis le représentant, passeront par Dôle pour rejoindre Genève comme l'a autorisé le Franc Comte:

Citation:
Nous, Debenja Von Riddermark, Franc Comte,

Suite aux actions en Béarn, qui amènent la déclaration de croisade,

Déplorons l'agression du Canton de Genève à l'encontre du Béarn et les moyens utilisés lors de cette action, déplorons les victimes faites entre les deux camps.

Condamnons fermement et sans aucune ambigüité cette hérésie scélérate et traitresse qu'est le Lion de Juda et nous nous engageons à les traquer sur notre territoire, sans répit ni pitié.

Condamnons le vol caractérisé des caisses de la Confédération Helvétique par des membres du Conseil Confédéral, même pour rembourser le Béarn, puisqu'aucune raison ne peut justifier un tel acte.

par la présente, nous édictons :
- que nous resterons neutre entre le Canton Souverain de Genève et les provinces de France.
- que nous n'accepterons pas le passage de troupes étrangères sur notre sol exceptés les Saintes Armées.
- que nous poursuivrons les hérétiques du Lion de Juda sur notre sol comtois.

Fait à Dole
Par le Franc Comte Debenja Von Riddermark
Le 21 décembre de l'an mil quatre cent cinquante sept


Cette armée se nomme In Phooka Memoriam (dirigée par Patsy) et nous venons en Paix et en bons Aristotéliciens. Voici le document prouvant que nous sommes bien des Croisés:

Citation:
Nous, Izidore de Castelléo,
Chevalier-Sénateur de la Congrégation des Saintes Armées,
Ritter de l'Ordre Teutonique ;

A l'universalité des fidèles aristotéliciens,
Aux autorités temporelles du Royaume de France,
Aux autorités temporelles du Saint-Empire Romain Germanique,
Aux Clercs de France et du Saint-Empire Romain Germanique,
Aux feudataires français et impériaux,

Suite à l'annonce de la Croisade contre le Lion de Judas, par Son Éminence Tibère de Plantagenêt, dict Rehael, Cardinal Camerlingue.

J'annonce reconnaitre ce jour, les armées du Connétable de France, Anthémios de Deliancourt, dict LeKaiser, comme armées Croisées.
Elle porteront dès à présent la croix sur leurs tabards et la bannière d'argent, à la croix potencée de gueules, cantonnée de quatre croisettes du même.

Elles bénéficient dès lors des droits et devoirs des armées sous gouvernance de Rome.

J'appelle à nouveau tous les fidèles aristotéliciens à se lever contre cette menace que représente le Lion de Judas !
Où que vous soyez, en France, en Empire ou d'ailleurs, Rejoignez les rangs des armées Saintes ! Chacun à sa manière peut agir, si ce n'est militairement, faites tourner vos échoppes pour nourrir les soldats du Très Haut. Que vos prières les accompagnent.

Qu'Aristote et le Très Haut veillent sur tous ceux prenant part de près ou de loin à cette Croisade et qu'il protègent leurs familles et leurs biens.

Fait à Rome au Haut Conseil de la Congrégation des Saintes Armées le vingt-deuxième jour du mois de décembre de l'an de grâce MCLDVII.


Merci d'avance,
Bien à vous,
A.
Citation:

















Citation:
























Donc là ou l'édit franc Comtois ne les oblige pas, les croisées s'annonce, oui après leur entré en FC mais s'annonce quand même, par politesse et en rien par obligation.

Nous savons tous qu'ensuite bisbi est apparut suite au refus du Franc Comte et de son Parlement et suite aux dires de l'ancien chancelier de FC Imladris. Devant ce dédit de la FC et devant le risque aigu de guerre et alors que selon les texte impériaux rien n'oblige la Savoie d'agir :

Citation:
ACCORD D’UNION MILITAIRE IMPERIAL

Entre la Garde Impériale, du Saint-Empire, représentant les institutions militaires impériales
Et
La Franche Comté, province du Saint-Empire, membre déclaré des armées impériales, la Savoie, province du Saint-Empire, membre déclaré des armées impériales, la Lorraine, province du Saint-Empire, membre déclaré des armées impériales et Maxima Sequanorum, compagnie Franche, membre déclarée des armées impériales



PREAMBULE

Du Haut commandement Impérial

Il est composé :
- du Haut Connétable Impérial
- du Grand Maître de l'Ordre des lames
des haut dignitaires, gradés et responsables ci après, ayant signé le traité d'union militaire :
- Ducs et Comtes des provinces du Saint empire
- Capitaines de ces mêmes provinces
- Grand-Maîtres ayant fait allégeance à l'Empereur LongJohnSilver 1er
- Chefs des armées, compagnies franches du saint empire
Le Haut Connétable Impérial est le garant de la bonne tenue des débats du Haut Commandement Impérial.

De l'Ordre des Lames

- L’Ordre des Lames, Garde Impériale, par ses statuts, seul ordre Impérial voué au service de sa Majesté Long john Silver Empereur, dépend de l’Empereur indirectement par le Haut Connétable Impérial.
- Les membres de l’Ordre des lames ont plein droit de circulation sur l’ensemble des terres de l’Empire.
- Le Grand Maître, le Sénéchal ainsi que les Commandeurs de Province ont plein droit de circulation en groupe armé (armée, lance, corps d'armes) au Sein de l’Empire. Obligation leur est faite de prévenir avant toute création de groupe armé, Le Duc/Comte en exercice, le Conseil Ducal par son capitaine.
- L’Ordre des lames a droit de réclamer lorsqu' il se trouve en mission, et uniquement dans ce cas, à la province dans laquelle elle se trouve de quoi subvenir gratuitement à ses besoins en nourriture.


MOBILISATION

Art 1
a)- En cas d’attaque d’une ou plusieurs provinces du saint empire, par des armées étrangères, les autorités en avertissent immédiatement le haut commandement impérial (HCI) qui déclare la mobilisation en vertu du présent accord.
b)- En cas d’attaque d'une ou plusieurs provinces du Saint Empire, par une province du saint empire, les autorités agressées avertissent le Haut commandement Impérial qui déclare la mobilisation de toutes les autres troupes armées du saint empire.
c)- En cas de refus ou de sécession d'une province ou partie signataire, le Haut Commandement Impérial prendra les mesures nécessaires, diplomatiques, militaires, pour sauvegarder l'union et l'unité du Saint Empire.
De ce fait, le présent traité deviendra provisoirement caduc et l'Ordre des Lames s'en réfèrera aux textes en vigueur au Haut Commandement Impérial.



COMPOSITION

Art 2
L’armée impériale est composée par :
- son noyau permanent, l’Ordre des lames, garde impériale
- les armées des provinces ayant fait allégeance à l’empire
- les ordres de chevalerie ayant seule allégeance à l’empereur
- les compagnies franches, indépendantes, du Saint Empire, reconnaissant l’Empereur sa majesté Long John Silver et le Saint empire par signature de ce traité.


FONCTIONNEMENT

Art 3
- Le Haut Commandement Impérial sus-cité est dirigé par le Haut connétable Impérial.
- La mobilisation est décidée après convocation et vote du haut Commandement impérial.
- Le jour de mobilisation et le jour de démobilisation sont déclarés par le Haut Commandement Impérial.
- Les décisions sont prises à la majorité des membres du Haut conseil Impérial.

Art 4
En vertu de l'article " 1 c " ci dessus :
- L’Ordre des Lames apporte médiation et arbitrage entre les provinces de l’Empire en désaccord.
- L’Ordre des Lames apporte aide militaire aux provinces signataires en cas de conflit interne entre les provinces ou parties signataires du Saint Empire.

Art 5
a)- Les provinces signataires s’obligent à envoyer un contingent minimum d’un corps d’arme (CA) complet par ville que compte la province, à la province alliée attaquée.
b)- En cas de conflit long, supérieur à deux semaines, l’envoi d’un corps d’arme supplémentaire, par semaine, par province alliée, peut être exigé par la province attaquée.
c)- Toute province signataire ayant un conflit actuel, en cours, sur son territoire, jugera seule des renforts possibles à envoyer à la province alliée attaquée. Le haut commandeur devra en être alors averti au plus tôt.

Art 6
a)- Les armées et renforts apportés à la province attaquée sont à la charge et gestion des provinces alliées chacune pour ce qui la concerne.
b)- Toutes les unités signataires, et restant constituées, ont la libre circulation sur l’ensemble du SRING, le temps que dure leur mobilisation. Chaque commandant d'unité aura obligation de prévenir de son passage la province empruntée, et de veiller à toute absence de débordement dont il aurait à dédommager la dite province.

Art 7
a)- Les armées ainsi formées sont sous la direction conjointe de l’état major créé sur place dans la province attaquée.
b)- Un état major sera créé sur place, pouvant comprendre :
--- le Haut Connétable Impérial en sa qualité de chef des armées Impériales ou le plus haut représentant sur place de l’Ordre des Lames en cas d’empêchement du haut connétable.
--- le Duc de la province attaquée
--- le capitaine de l’armée de la province attaquée
--- le chef d’armée des provinces alliées
--- Le commandeur de l’Ordre des Lames de la province attaquée
--- Le grand maître des ordres sous allégeance unique à sa Majesté Long John Silver.
--- Le capitaine des armées indépendantes signataires de cet accord.

Art 8
Les ordres de chevalerie, les compagnies ou groupes armés signataires de l’accord proposeront, à défaut de la totalité, au moins 20% de leurs effectifs à la province attaquée.

Art 9
Un collège, d’un représentant par province désigné par le Duc/Comte, se posera en arbitre lors des négociations d’indemnités entre les provinces attaquées et les Ordres sous allégeance unique à l’Empereur, les compagnies et groupes signataires.
Ces indemnités seront versées au seul commandant de chaque unité.
Quels que soient les dommages subis par ces groupes un montant maximal ne pourra être dépassé (dix écus/par homme/par jour mobilisé).
En cas de victoire, ces indemnités pourront venir de rançon ou indemnités versées par la partie perdante.


LA COUR MARTIALE IMPERIALE

Art 10
a)- La rupture unilatérale ou le non respect de ce traité par les parties signataires est une faute qui relèvera de la cour martiale Impériale (CMI).
b)- Des peines de prison (IG) et des amendes (IG) pourront être infligées, cumulées, aux parties ayant violé les termes de cet accord.
c)- Chaque partie accusée est représentée solidairement par les TROIS plus hauts dignitaires, gradés ou responsables des unités ayant agressé.
(Jugement rendu "RP" par la Cour martiale impériale et obligatoirement appliqué "IG" par la justice de chaque province dont dépendent les armées officielles, les armées indépendantes, les compagnies franches, les groupes armés, les lances, les corps d'armes, les ordres de chevalerie)

Art 11
La cour martiale impériale (CMI) est reconnue par les parties signataires de cet accord comme l’organe suprême qui statue en matière de justice militaire.
Les litiges, contraventions, délits, crimes commis à l’occasion de l’application de ce traité relèvent de cette cour martiale impériale.
La compétence de la Cour martiale impériale s’exerce du jour de la mobilisation des parties au jour de la démobilisation (inclus) des parties.

Art 12
La compétence de la Cour martiale impériale s’exerce auprès de toute structure militaire constituée (cf. ci-dessus art 10 "in fine").


DISPOSITIONS DIVERSES

Art 13
Le présent accord est unique pour toutes les provinces et pour toutes les structures armées, indépendantes ou non, du Saint empire.
Il pourra être amendé à la demande d’une province signataire, mais il devra recevoir la majorité, aux deux tiers, des votes des autres signataires.
Le nouveau texte amendé et voté s’appliquera à tous, immédiatement et sans exception.
Ce traité sera examiné lors d’une réunion dans le mois qui précède le premier anniversaire de sa signature pour permettre une vérification et une mise à jour de ses clauses.

Art 14
Les provinces et parties signataires acceptent les dispositions ci-dessus dans leur ensemble.


Promulgué le 17 décembre 1455 par le parlement de Franche-Comté,
Adopté au conseil ducal savoyard sous le règne de la Duchesse Evalea,
Adopté au conseil ducal lorrain sous le règne de Morphée von Frayner.

Alandaros von Valendras,
Haut Connétable Impérial


Rethun von Valendras,
Grand-Maîstre de l'OdL


Macricri de Tornova
Franc Comtesse
Au nom du parlement comtois


Evalea
Duchesse de Savoie


Morphée von Frayner
Duchesse de Lorraine


Ecatérina de Sevillano
Chancelière de Lorraine


Lothilde, Commandant de Maxima Sequanorm


Eldorach d'Ornans, Porte-parole de Maxima Sequanorum


Ainsi la Savoie intervient uniquement par amitié et sans qu'aucun texte ne l'y oblige, très vite un texte ressort grâce aux efforts savoyards :

Citation:
En cette soirée du vingt-quatrième jour du mois de décembre quatorze cent cinquante-sept, veille de la Saint Noël.

A été convenue entre :

Pierre de Courtalain dict "Patsy", Vice Amiral de France responsable de l’armée In Phooka Memoriam
Bourguignon de Sorel, Maréchal de France et remplaçant du Connétable de France, responsable de l’Armée Ost Orléanais
Le Franc Comte, Debenja von Riddermak, responsable du parlement franc – comtois
Le Haut Connétable Impérial, Bobyzz de Sparte, responsable du Haut Commandement Impérial

Qu’une trêve pour les fêtes de fin d’année sera respectée entre les deux parties :
D’un coté les armées des croisées et française, de l’autre la Franche – Comté et le Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicæ.

Engagement des Croisés :

- Les Armées des croisées, s’engagent à ne plus avancer en direction de la Confédération Helvétique ceci tant qu’un accord n’aura pas été trouvé.
- Les Armées croisées, s’engagent à ne pas attaquer la Franche – Comté et ses habitants, ainsi que de ne pas nuire aux intérêts de la Franche Comté.
- Les Armées Croisés, s’engagent à ne pas déplacer une seule armée hormis conditions ci-dessous.

En contre partie, la Franche Comté et le Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicæ

- Les autorités compétentes s’engagent à ne pas attaquer les armées des croisés pendant toute la durée de la trêve.
- Les autorités compétentes s’engagent à laisser stationner l’armée du Maréchal de France à Saint – Claude ainsi que l'armée Crepi Coronia du Vicomte P3r3v3rt à Saint - Claude, l'armée de Moulins-Engilbert du Sire Snell à Saint - Claude et l’armée du Vice Amiral de France à Poligny, le temps de la trêve.


Si l’une des deux parties venait à casser une partie ou la totalité de cet accord avant la fin, ceci serait immédiatement considéré comme une déclaration de guerre ouverte et rendrait donc instantanément caduc le présent accord.

Faict à Dole en Franche – Comté, le vingt-quatrième jour du mois de décembre quatorze cent cinquante-sept

Pour la Connétablie de France

Bourguignon de Sorel
Maréchal de France


Pierre de Courtalain dict "Patsy"
Vice Amiral de France



Pour la Franche-Comté

Debenja von Riddermark
Franc Comte


Pour l'Empereur, au nom du Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicæ

Bobyzz de Sparte
Haut Connétable Impérial
Comte de Salins les Bains
Baron de Valdoie
Seigneur de Menotey


Donc la Savoie agit pour aider la FC et celle-ci signe l'accord! Même si l'accord a été cassé par l'EA, la FC la signé a donner son accord pour recevoir notre aide.

Maintenant sur les questions postérieur au passage en CH, terre indépendante, hors de la juridiction de la majesté, si cela existe et hors donc des traites du SRING, je n'ai qu'une chose à dire, C'est une affaire strictement savoyarde et même si nous remercions la Franche comté de ses conseils et de ses propositions qui sont toujours les bien venue, la Savoie reste totalement maitre de ses choix tant que nous respectons le traité avec le SRING ce qui est le cas.
Citation:

















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Citation:





















































Donc rupture de la trêve, beaucoup de conversation via mésange, et la croisade pris fin. Les échanges étant devenus impossibles entre le franc comte et moi, la duchesse de Lorraine, que je remercie, s’est chargée de faire le médiateur et a plus qu’organiser seule la sortie des armées de France. Je ne suis pas intervenue il est vrai, cela ne veut pas dire que je n’ai pas suivis. La duchesse pourra attesté qu’elle a eu une réponse assez rapide à toutes ses questions. Apres mon accord sur le passage des armées saintes voici le texte redigé par sa grace Floche, avec le concours de mon vice duc Pierre Von Kolspinne et par extrapolation le mien.

Citation:
Nous Duchesse de Savoie, Comte de Franche Comté et Duchesse de Lorraine, voix de peuple qui nous ont élus d’un élan conjoint déclarons par la présente notre désapprobation profonde pour les événements chaotiques qui se sont passé autour de la sainte Noel.

Nous dénonçons le manque de respects de notre territoire par les troupes dicte Saintes par rupture de la trêve signée le 24 décembre et nous en demandons réparation par des excuses du Camerlingue qui s’est porté garant de la sainte croisade.

Nous prenons en compte la déclaration faite hier par l’Avoyère de Genève dénonçant les Lion de Juda et sa réception par Monseigneur Chapoto évêque de cette ville et exigeons que les troupes étrangères quittent les terres qu’elles ont violé.

Les troupes conjointes du Saint Empire exorteront le retour d'es troupes françaises pour leur assurer un voyage sans entraves par la Savoie.

Fait au HCI
le 28 décembre 1457

suivit de nos cachets ...


Ce fut la dernière intervention sur le sujet. Déclaration ni publiée, ni réfutée par le franc comte. Vous m’accusez de ne pas avoir suivis le débat, qu’en est il de vous votre grandeur ?, si vous y étiez à ce point opposé, pourquoi ne pas être intervenu le 29 décembre et nous faire part de vos griefs le 4 janvier ?

Debenja a écrit:
Bobyzz a écrit:
Comme le Haut Connétable que je suis aurait aimé savoir que la FC envoyé une armée à Geneve, même pour une escorte.


J'ai voulu te prévenir sur mésange mais tu n'étais plus la. Fin soit.


Sinon pour la déclaration, comme je l'ai dit à Dame Floche. J'ai dit oui. En effet. Mais pour moi lorsqu'on prépare une déclaration et qu'on doit signé une déclaration, bah c'est qu'elle est censée être publiée au niveau de l'empire non? Hors ici, rien n'a été signé vu qu'on a pas eu le temps ... donc ca veut dire que l'accord de passage au Savoyard avait été autorisé avant qu'on ne signe, donc c'était préparé. Vu que j'avais dit ok dans la soirée avant que les Français ne rentrent en Savoie. D'ailleurs, nous avons discuté de cela dans la salle des dignitaires, et je n'ai pas vu d'intervention malheureusement de la duchesse Mélisendre.

Oui y avait accord, rien n'était signé, et tout a été fait sans accord signé ni publié. Y a pas un truc qui cloche? Tant qu'un document n'est pas signé ni publié, il n'est pas officiel, les actions ne peuvent donc être considérée comme officiel, mais bien comme officieuse.
Bobyzz a écrit:



Pardonnez-moi, mais devons nous remettre en doute tous vos accords oraux ? Vous faites de la Savoie la victime de votre esprit tordu par des suppositions toutes aussi tordues, que vous prenez pour des réalités. La savoie n’avait rien conclus, elle est juste beaucoup plus rapide à prendre une décision, à agir et à s’organiser. Preuve en est :

La duchesse Floche, le 29, m’a contacté dans la soirée, le contact a donné naissance le 29 à 23:19 précisément au texte sus cité qui donne autorisation aux français de passer par la Savoie. Que vous reconnaissez avoir accepté ici même.

Le kaiser connétable de France, informé, a pris contact avec moi par missive le Mer 30 Déc 2009 à 1:02

LeKaiser a écrit:
Citation:
A Mélisende, Duchesse de Savoie,
D'Anthémios de Deliancourt, Connestable de France,

Votre Grâce,

La Curie ayant jugé non nécessaire de demander davantage de conditions et de garanties pour voir le retrait des croisés en sol genèvois, estimant la situation maitrisée et suivant son bon court, ayant confiance en l'avoyère de Genève, les 4 Armées Saintes ont présentement accomplit leur devoir et leur présence a Genève n'est dès lors plus requise.

Par la présente missive, nous, Anthémios de Deliancourt dict "Lekaiser", Connestable de France, vous demandons autorisation de passage sur vos terres. Si le départ de Genève venait a être donné dès demain, ce qui sera vraisemblablement le cas, alors notre itinéraire serait le suivant :

Genève -> Annecy -> Chambéry -> Belley -> Bourg -> Mâcon.

Dans la mesure du possible, nulle halte ne sera faite. Nous tâcherons de rendre le trajet le plus court possible, afin que les marchés de votre villes n'en souffrent pas.

Recevez mes plus sincères salutations,

Anthémios de Deliancourt,
Connestable de France
Citation:


















La demande est officiellement transmise le 30 à 20:24

A 22H47, après discussions avec les français, ce texte est publié au conseil de Savoie

Citation:
Nous, Melisende Maledent de Feytiat, duchesse de Bielle, vicomtesse de Mosso, dame de Pont de Veyle, en conformité avec nos attributions de duchesse de Savoie, après discutions avec le conseil de Savoie et avoir obtenu des garanties auprès des armées croisées, décrétons que :

Art-1 : Donnons aux armées françaises croisées l’autorisation de traverser le territoire savoyard dans le but de retourner en France. Ces armées entreront par Annecy et se dirigeront vers Bourg d’où elles rejoindront la Bourgogne.
Art-2 : Les armées françaises seront escortées par l’armée Sav'Van-Wever commandée par Alex Van Wever le long de leur trajet. Les armées croisées seront considérées par l’armée Sav'Van-Wever comme amie et, réciproquement, les armées croisées considéreront l’armée Sav'Van-Wever comme amie.
Art-3 : Les armées croisées n’auront pas l’autorisation d’entrer dans les villes.
Art-4 : Les armées croisées ne pourront acheter sur les marchés savoyards. Si un quelconque besoin se faisait sentir, les armées croisées pourront faire une demande au duché qui s’engage à leur répondre.

Fait à Chambéry le 30 décembre 1457

Signature


Annonce rendue officielle le: 31 Déc 2009 01:12 (la on est en retard pour la publication ^^)

Et pour finir voici un état de nos douanes le 31 au matin, nos avant poste d’Annecy nous signale l’arrivée des 4 armées de Frances

whitedevil a écrit:

Le 31 Décembre 1457

Annecy: 119 étrangers actifs
Belley: 6 étrangers actifs
Bourg: 10 étrangers actifs[/b
[b]Chambéry: 12 étrangers actifs


Comme tout le monde pourra le constater, il s’est passé 30 heures entre le moment ou le franc comte a donné son accord, sans s’opposé à la dernière déclaration rédigée par la duchesse Floche et le moment ou les armées ont passé la frontière.

Je me vois encore une fois dans l’obligation de constater que le franc comte navigue sur les eaux en fonction du vent, sa grandeur accepte le passage des armée en Savoie, mais, ne voyant pas de réponse de ma part, et sans déclaration signée, il revient sur sa parole et rend cet accord nul. Avouer qu’il y a de quoi perdre le nord.
En ce qui me concerne, je préfère ne pas trop le perdre de vu, raison pour lequel, je fus contrainte à un moment de ne pas prendre la parole dans cette assemblée pour cause de syndrome de déboussolage aigu !






















































































_________________
Eddo


Le chancelier, appelé sur un dossier diplomatique arrive sur la grande place. Il y arrive seul son long coprs musclé caché par un lourd manteau en peau d'ours qui le protège des vents glacé qui ont décidé de déscendre des alpes pour figé la Savoie dans leur étreinte mortel.pourtant fidèle a son caractère bien trempé et a sa farouche volonté, le savoyard continuait de vivre.

Le duc monte sur l'estrade qui sert au porte parole pour discuter avec les savoyard est fait un simple révérence avant de baiser la bague de Mrg Tully, puis regarde le texte donné par le savoyard et semble t'il sortie d'un des tirage de l'AAP de la veille. Il rend le document avant de répondre.

Bonjour et pour commencer, permettez que nous vous souhaitons, par ma voix, les meilleurs voeux du corps diplomatique de Savoie. Je suis le chancelier de Savoie, Eddo Puègmirol et je pense être le plus a même de vous répondre. Ce que vous tenez est une déclaration faite par la Franche Comté le 03 du mois de janvier de cette année. vous allez me dire "merci prend moi pour un imbécile, comme si j'avais pas remarquer.", je vous répondrai, qu'il faut bien commencer par définir ce de quoi nous parlons.

Maintenant je vais vous répondre et vous donner l'avis exhaustif de la Savoie sur le sujet. Mais avant, sachez que ma réponse sera longue et vu la température si vous désirez prendre à boire avant ou aller chercher des braseros, je vous comprend largement.


Le duc-chancelier attends de voir si c'est le cas et attends que tout le monde soit revenu avant de sortir un très très long parchemin. il commence à le lire d'une voix simple et forte, afin que tous l'entende malgré le vent. Les textes sont aussi lu, me^me s'il en passe une copie, pour ceux qui savent lire. Voici son discours.

Citation:
Afin de répondre de façon complète aux dire de la Franche Comté, voici la réponse de la Savoie.

C'est une réponse qui se veux exhaustive, mais si certain point vous semble avoir été oublié, je suis bien sûr là pour répondre.


Commençons par la base de tout ça, non pas la croisade mais ce texte :

Citation:
Nous, Debenja Von Riddermark, Franc Comte,

Suite aux actions en Béarn, qui amènent la déclaration de croisade,

Déplorons l'agression du Canton de Genève à l'encontre du Béarn et les moyens utilisés lors de cette action, déplorons les victimes faites entre les deux camps.

Condamnons fermement et sans aucune ambigüité cette hérésie scélérate et traitresse qu'est le Lion de Juda et nous nous engageons à les traquer sur notre territoire, sans répit ni pitié.

Condamnons le vol caractérisé des caisses de la Confédération Helvétique par des membres du Conseil Confédéral, même pour rembourser le Béarn, puisqu'aucune raison ne peut justifier un tel acte.

par la présente, nous édictons :
- que nous resterons neutre entre le Canton Souverain de Genève et les provinces de France.
- que nous n'accepterons pas le passage de troupes étrangères sur notre sol exceptés les Saintes Armées.
- que nous poursuivrons les hérétiques du Lion de Juda sur notre sol comtois.

Fait à Dole
Par le Franc Comte Debenja Von Riddermark
Le 21 décembre de l'an mil quatre cent cinquante sept


Je me suis permis de mettre en avant trois éléments capitaux.
1/ la FC édicte, fait donc par la acte de loi,
et que dit cet édit?
2/ les armées croisées peuvent entrées au vu qu'elles sont des "saintes armées"
3/ le texte date du 21/12, chose importante.

Continuons à recherché la vérité, voici un texte des plus important.


Citation:
Nous, Izidore de Castelléo,
Chevalier-Sénateur de la Congrégation des Saintes Armées,
Ritter de l'Ordre Teutonique ;

A l'universalité des fidèles aristotéliciens,
Aux autorités temporelles du Royaume de France,
Aux autorités temporelles du Saint-Empire Romain Germanique,
Aux Clercs de France et du Saint-Empire Romain Germanique,
Aux feudataires français et impériaux,

Suite à l'annonce de la Croisade contre le Lion de Judas, par Son Éminence Tibère de Plantagenêt, dict Rehael, Cardinal Camerlingue.

J'annonce reconnaitre ce jour, les armées du Connétable de France, Anthémios de Deliancourt, dict LeKaiser, comme armées Croisées.
Elle porteront dès à présent la croix sur leurs tabards et la bannière d'argent, à la croix potencée de gueules, cantonnée de quatre croisettes du même.


Elles bénéficient dès lors des droits et devoirs des armées sous gouvernance de Rome.


J'appelle à nouveau tous les fidèles aristotéliciens à se lever contre cette menace que représente le Lion de Judas !
Où que vous soyez, en France, en Empire ou d'ailleurs, Rejoignez les rangs des armées Saintes ! Chacun à sa manière peut agir, si ce n'est militairement, faites tourner vos échoppes pour nourrir les soldats du Très Haut. Que vos prières les accompagnent.

Qu'Aristote et le Très Haut veillent sur tous ceux prenant part de près ou de loin à cette Croisade et qu'il protègent leurs familles et leurs biens.

Fait à Rome au Haut Conseil de la Congrégation des Saintes Armées le vingt-deuxième jour du mois de décembre de l'an de grâce MCLDVII.


Les armées sont donc reconnues comme croisées et donc saintes au vu qu'elles sont sous le gouvernement de la Sainte Eglise Aristotélicienne. Elles sont reconnu le 22/12, donc le lendemain de l'annonce accordant passage aux croisées comme démontrer précédemment.

Mais ou sont les nouvelles saintes armées le 22 me demanderez vous? voici la réponse :


Citation:
Aux autorités spirituelles et temporelles du Royaume de France et du Saint-Empire Germanique, salutations.


Nous, Anthémios de Deliancourt dict "Lekaiser", Connestable de France et par conséquent responsable des armées placées sous la tutelle de la Connétablie, faisons savoir ce jour ce que suit.

En ce jour, de par le statut de croisé conféré par le Chevalier Sénateur Izidore de Castelléo a chacun des volontaires mobilisé et présentement membre des armées dont nous assurons la coordination, nous nous engageons a ce que les droits et obligations afférents à cette qualité soient respectés.


Faict a Chalon, le 22 du moys de Décembre de l'an de grâce de Nostre Seigneur 1457.


Elles sont en France, mais au vu des deux textes précédent, peuvent en toute légalité entrer en FC sans que cela soit un cassus belli. les françois entre donc en FC avec l'appui de l'Eglise et l'édit de la FC.

A cela on rajoute ceci,


Citation:
Expéditeur : Alcalnn
Date d'envoi : 2009-12-23 13:02:57
Moi Alcalnn Blackney, Duc de Mortain etc, Amiral de France,
A Dame Pegasine, Capitaine de l'armée sis devant Dôle,

Capitaine, demain, les Croisés Normands dont je suis le représentant, passeront par Dôle pour rejoindre Genève comme l'a autorisé le Franc Comte:

Citation:
Nous, Debenja Von Riddermark, Franc Comte,

Suite aux actions en Béarn, qui amènent la déclaration de croisade,

Déplorons l'agression du Canton de Genève à l'encontre du Béarn et les moyens utilisés lors de cette action, déplorons les victimes faites entre les deux camps.

Condamnons fermement et sans aucune ambigüité cette hérésie scélérate et traitresse qu'est le Lion de Juda et nous nous engageons à les traquer sur notre territoire, sans répit ni pitié.

Condamnons le vol caractérisé des caisses de la Confédération Helvétique par des membres du Conseil Confédéral, même pour rembourser le Béarn, puisqu'aucune raison ne peut justifier un tel acte.

par la présente, nous édictons :
- que nous resterons neutre entre le Canton Souverain de Genève et les provinces de France.
- que nous n'accepterons pas le passage de troupes étrangères sur notre sol exceptés les Saintes Armées.
- que nous poursuivrons les hérétiques du Lion de Juda sur notre sol comtois.

Fait à Dole
Par le Franc Comte Debenja Von Riddermark
Le 21 décembre de l'an mil quatre cent cinquante sept


Cette armée se nomme In Phooka Memoriam (dirigée par Patsy) et nous venons en Paix et en bons Aristotéliciens. Voici le document prouvant que nous sommes bien des Croisés:

Citation:
Nous, Izidore de Castelléo,
Chevalier-Sénateur de la Congrégation des Saintes Armées,
Ritter de l'Ordre Teutonique ;

A l'universalité des fidèles aristotéliciens,
Aux autorités temporelles du Royaume de France,
Aux autorités temporelles du Saint-Empire Romain Germanique,
Aux Clercs de France et du Saint-Empire Romain Germanique,
Aux feudataires français et impériaux,

Suite à l'annonce de la Croisade contre le Lion de Judas, par Son Éminence Tibère de Plantagenêt, dict Rehael, Cardinal Camerlingue.

J'annonce reconnaitre ce jour, les armées du Connétable de France, Anthémios de Deliancourt, dict LeKaiser, comme armées Croisées.
Elle porteront dès à présent la croix sur leurs tabards et la bannière d'argent, à la croix potencée de gueules, cantonnée de quatre croisettes du même.

Elles bénéficient dès lors des droits et devoirs des armées sous gouvernance de Rome.

J'appelle à nouveau tous les fidèles aristotéliciens à se lever contre cette menace que représente le Lion de Judas !
Où que vous soyez, en France, en Empire ou d'ailleurs, Rejoignez les rangs des armées Saintes ! Chacun à sa manière peut agir, si ce n'est militairement, faites tourner vos échoppes pour nourrir les soldats du Très Haut. Que vos prières les accompagnent.

Qu'Aristote et le Très Haut veillent sur tous ceux prenant part de près ou de loin à cette Croisade et qu'il protègent leurs familles et leurs biens.

Fait à Rome au Haut Conseil de la Congrégation des Saintes Armées le vingt-deuxième jour du mois de décembre de l'an de grâce MCLDVII.


Merci d'avance,
Bien à vous,
A.
Citation:

















Citation:
























Donc là ou l'édit franc Comtois ne les obligent pas, les croisées s'annoncent, oui après leur entré en FC mais s'annoncent quand même, par politesse et en rien par obligation.

Nous savons tous qu'ensuite bisbi est apparut suite au refus du Franc Comte et de son Parlement et suite aux dires de l'ancien chancelier de FC Imladris. Devant ce dédit de la FC et devant le risque aigu de guerre et alors que selon les texte impériaux rien n'oblige la Savoie d'agir :


Citation:
ACCORD D’UNION MILITAIRE IMPERIAL

Entre la Garde Impériale, du Saint-Empire, représentant les institutions militaires impériales
Et
La Franche Comté, province du Saint-Empire, membre déclaré des armées impériales, la Savoie, province du Saint-Empire, membre déclaré des armées impériales, la Lorraine, province du Saint-Empire, membre déclaré des armées impériales et Maxima Sequanorum, compagnie Franche, membre déclarée des armées impériales



PREAMBULE

Du Haut commandement Impérial

Il est composé :
- du Haut Connétable Impérial
- du Grand Maître de l'Ordre des lames
des haut dignitaires, gradés et responsables ci après, ayant signé le traité d'union militaire :
- Ducs et Comtes des provinces du Saint empire
- Capitaines de ces mêmes provinces
- Grand-Maîtres ayant fait allégeance à l'Empereur LongJohnSilver 1er
- Chefs des armées, compagnies franches du saint empire
Le Haut Connétable Impérial est le garant de la bonne tenue des débats du Haut Commandement Impérial.

De l'Ordre des Lames

- L’Ordre des Lames, Garde Impériale, par ses statuts, seul ordre Impérial voué au service de sa Majesté Long john Silver Empereur, dépend de l’Empereur indirectement par le Haut Connétable Impérial.
- Les membres de l’Ordre des lames ont plein droit de circulation sur l’ensemble des terres de l’Empire.
- Le Grand Maître, le Sénéchal ainsi que les Commandeurs de Province ont plein droit de circulation en groupe armé (armée, lance, corps d'armes) au Sein de l’Empire. Obligation leur est faite de prévenir avant toute création de groupe armé, Le Duc/Comte en exercice, le Conseil Ducal par son capitaine.
- L’Ordre des lames a droit de réclamer lorsqu' il se trouve en mission, et uniquement dans ce cas, à la province dans laquelle elle se trouve de quoi subvenir gratuitement à ses besoins en nourriture.


MOBILISATION

Art 1
a)- En cas d’attaque d’une ou plusieurs provinces du saint empire, par des armées étrangères, les autorités en avertissent immédiatement le haut commandement impérial (HCI) qui déclare la mobilisation en vertu du présent accord.
b)- En cas d’attaque d'une ou plusieurs provinces du Saint Empire, par une province du saint empire, les autorités agressées avertissent le Haut commandement Impérial qui déclare la mobilisation de toutes les autres troupes armées du saint empire.
c)- En cas de refus ou de sécession d'une province ou partie signataire, le Haut Commandement Impérial prendra les mesures nécessaires, diplomatiques, militaires, pour sauvegarder l'union et l'unité du Saint Empire.

De ce fait, le présent traité deviendra provisoirement caduc et l'Ordre des Lames s'en réfèrera aux textes en vigueur au Haut Commandement Impérial.



COMPOSITION

Art 2
L’armée impériale est composée par :
- son noyau permanent, l’Ordre des lames, garde impériale
- les armées des provinces ayant fait allégeance à l’empire
- les ordres de chevalerie ayant seule allégeance à l’empereur
- les compagnies franches, indépendantes, du Saint Empire, reconnaissant l’Empereur sa majesté Long John Silver et le Saint empire par signature de ce traité.


FONCTIONNEMENT

Art 3
- Le Haut Commandement Impérial sus-cité est dirigé par le Haut connétable Impérial.
- La mobilisation est décidée après convocation et vote du haut Commandement impérial.
- Le jour de mobilisation et le jour de démobilisation sont déclarés par le Haut Commandement Impérial.
- Les décisions sont prises à la majorité des membres du Haut conseil Impérial.

Art 4
En vertu de l'article " 1 c " ci dessus :
- L’Ordre des Lames apporte médiation et arbitrage entre les provinces de l’Empire en désaccord.
- L’Ordre des Lames apporte aide militaire aux provinces signataires en cas de conflit interne entre les provinces ou parties signataires du Saint Empire.

Art 5
a)- Les provinces signataires s’obligent à envoyer un contingent minimum d’un corps d’arme (CA) complet par ville que compte la province, à la province alliée attaquée.

b)- En cas de conflit long, supérieur à deux semaines, l’envoi d’un corps d’arme supplémentaire, par semaine, par province alliée, peut être exigé par la province attaquée.
c)- Toute province signataire ayant un conflit actuel, en cours, sur son territoire, jugera seule des renforts possibles à envoyer à la province alliée attaquée. Le haut commandeur devra en être alors averti au plus tôt.

Art 6
a)- Les armées et renforts apportés à la province attaquée sont à la charge et gestion des provinces alliées chacune pour ce qui la concerne.
b)- Toutes les unités signataires, et restant constituées, ont la libre circulation sur l’ensemble du SRING, le temps que dure leur mobilisation. Chaque commandant d'unité aura obligation de prévenir de son passage la province empruntée, et de veiller à toute absence de débordement dont il aurait à dédommager la dite province.

Art 7
a)- Les armées ainsi formées sont sous la direction conjointe de l’état major créé sur place dans la province attaquée.
b)- Un état major sera créé sur place, pouvant comprendre :
--- le Haut Connétable Impérial en sa qualité de chef des armées Impériales ou le plus haut représentant sur place de l’Ordre des Lames en cas d’empêchement du haut connétable.
--- le Duc de la province attaquée
--- le capitaine de l’armée de la province attaquée
--- le chef d’armée des provinces alliées
--- Le commandeur de l’Ordre des Lames de la province attaquée
--- Le grand maître des ordres sous allégeance unique à sa Majesté Long John Silver.
--- Le capitaine des armées indépendantes signataires de cet accord.

Art 8
Les ordres de chevalerie, les compagnies ou groupes armés signataires de l’accord proposeront, à défaut de la totalité, au moins 20% de leurs effectifs à la province attaquée.

Art 9
Un collège, d’un représentant par province désigné par le Duc/Comte, se posera en arbitre lors des négociations d’indemnités entre les provinces attaquées et les Ordres sous allégeance unique à l’Empereur, les compagnies et groupes signataires.
Ces indemnités seront versées au seul commandant de chaque unité.
Quels que soient les dommages subis par ces groupes un montant maximal ne pourra être dépassé (dix écus/par homme/par jour mobilisé).
En cas de victoire, ces indemnités pourront venir de rançon ou indemnités versées par la partie perdante.


LA COUR MARTIALE IMPERIALE

Art 10
a)- La rupture unilatérale ou le non respect de ce traité par les parties signataires est une faute qui relèvera de la cour martiale Impériale (CMI).
b)- Des peines de prison (IG) et des amendes (IG) pourront être infligées, cumulées, aux parties ayant violé les termes de cet accord.
c)- Chaque partie accusée est représentée solidairement par les TROIS plus hauts dignitaires, gradés ou responsables des unités ayant agressé.
(Jugement rendu "RP" par la Cour martiale impériale et obligatoirement appliqué "IG" par la justice de chaque province dont dépendent les armées officielles, les armées indépendantes, les compagnies franches, les groupes armés, les lances, les corps d'armes, les ordres de chevalerie)

Art 11
La cour martiale impériale (CMI) est reconnue par les parties signataires de cet accord comme l’organe suprême qui statue en matière de justice militaire.
Les litiges, contraventions, délits, crimes commis à l’occasion de l’application de ce traité relèvent de cette cour martiale impériale.
La compétence de la Cour martiale impériale s’exerce du jour de la mobilisation des parties au jour de la démobilisation (inclus) des parties.

Art 12
La compétence de la Cour martiale impériale s’exerce auprès de toute structure militaire constituée (cf. ci-dessus art 10 "in fine").


DISPOSITIONS DIVERSES

Art 13
Le présent accord est unique pour toutes les provinces et pour toutes les structures armées, indépendantes ou non, du Saint empire.
Il pourra être amendé à la demande d’une province signataire, mais il devra recevoir la majorité, aux deux tiers, des votes des autres signataires.
Le nouveau texte amendé et voté s’appliquera à tous, immédiatement et sans exception.
Ce traité sera examiné lors d’une réunion dans le mois qui précède le premier anniversaire de sa signature pour permettre une vérification et une mise à jour de ses clauses.

Art 14
Les provinces et parties signataires acceptent les dispositions ci-dessus dans leur ensemble.


Promulgué le 17 décembre 1455 par le parlement de Franche-Comté,
Adopté au conseil ducal savoyard sous le règne de la Duchesse Evalea,
Adopté au conseil ducal lorrain sous le règne de Morphée von Frayner.

Alandaros von Valendras,
Haut Connétable Impérial


Rethun von Valendras,
Grand-Maîstre de l'OdL


Macricri de Tornova
Franc Comtesse
Au nom du parlement comtois


Evalea
Duchesse de Savoie


Morphée von Frayner
Duchesse de Lorraine


Ecatérina de Sevillano
Chancelière de Lorraine


Lothilde, Commandant de Maxima Sequanorm


Eldorach d'Ornans, Porte-parole de Maxima Sequanorum


Ainsi la Savoie intervient uniquement par amitié et sans qu'aucun texte ne l'y oblige, très vite un texte ressort grâce aux efforts savoyard :

Citation:
En cette soirée du vingt-quatrième jour du mois de décembre quatorze cent cinquante-sept, veille de la Saint Noël.

A été convenue entre :

Pierre de Courtalain dict "Patsy", Vice Amiral de France responsable de l’armée In Phooka Memoriam
Bourguignon de Sorel, Maréchal de France et remplaçant du Connétable de France, responsable de l’Armée Ost Orléanais
Le Franc Comte, Debenja von Riddermak, responsable du parlement franc – comtois
Le Haut Connétable Impérial, Bobyzz de Sparte, responsable du Haut Commandement Impérial

Qu’une trêve pour les fêtes de fin d’année sera respectée entre les deux parties :
D’un coté les armées des croisées et française, de l’autre la Franche – Comté et le Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicæ.


Engagement des Croisés :

- Les Armées des croisées, s’engagent à ne plus avancer en direction de la Confédération Helvétique ceci tant qu’un accord n’aura pas été trouvé.
- Les Armées croisées, s’engagent à ne pas attaquer la Franche – Comté et ses habitants, ainsi que de ne pas nuire aux intérêts de la Franche Comté.
- Les Armées Croisés, s’engagent à ne pas déplacer une seule armée hormis conditions ci-dessous.

En contre partie, la Franche Comté et le Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicæ

- Les autorités compétentes s’engagent à ne pas attaquer les armées des croisés pendant toute la durée de la trêve.
- Les autorités compétentes s’engagent à laisser stationner l’armée du Maréchal de France à Saint – Claude ainsi que l'armée Crepi Coronia du Vicomte P3r3v3rt à Saint - Claude, l'armée de Moulins-Engilbert du Sire Snell à Saint - Claude et l’armée du Vice Amiral de France à Poligny, le temps de la trêve.


Si l’une des deux parties venait à casser une partie ou la totalité de cet accord avant la fin, ceci serait immédiatement considéré comme une déclaration de guerre ouverte et rendrait donc instantanément caduc le présent accord.

Faict à Dole en Franche – Comté, le vingt-quatrième jour du mois de décembre quatorze cent cinquante-sept

Pour la Connétablie de France

Bourguignon de Sorel
Maréchal de France


Pierre de Courtalain dict "Patsy"
Vice Amiral de France



Pour la Franche-Comté

Debenja von Riddermark
Franc Comte



Pour l'Empereur, au nom du Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicæ

Bobyzz de Sparte
Haut Connétable Impérial
Comte de Salins les Bains
Baron de Valdoie
Seigneur de Menotey


Donc la Savoie agit pour aider la FC et celle-ci signe l'accord! Même si l'accord a été cassé par l'EA, la FC la signé à donc donnée son accord pour recevoir notre aide.

Maintenant sur les questions postérieur au passage en CH, terre indépendante, hors de la juridiction de la majesté, si cela existe et hors donc des traites du SRING, je n'ai qu'une chose à dire, C'est une affaire strictement savoyarde et même si nous remercions la Franche comté de ses conseils et de ses propositions qui sont toujours les bien venue, la Savoie reste totalement maitre de ses choix tant que nous respectons le traité avec le SRING ce qui est le cas.

Pour rajouter un petit élément, la Duchesse de Lorraine ainsi que la capitaine de FC, mais aussi le franc comte avait connaissance et les dirigeant avait approuvé l'idée du retour par la Savoie. Je le répète mais tout sa devient une affaire savoyarde sans autre choses dans ce cas là, car rien dans les textes impériaux fait que cela devient une affaire impériale.

Oui l'empire doit être transformé et la Savoie réitère son invitation à une table des discussions là dessus entre toutes les régions de l'empire car ce n'est pas à trois que l'empire ce fait mais avec les 16 provinces de l'empire.

Voilà pour le fond. Pour la forme, la Savoie n'a rien à dire connaissant bien la façon habituelle d'agir de la Franche Comté, nous ne sommes presque pas étonné de la forme, juste déçut de voir que les "tenant" d'une discussion impérialiste circulaire, ne prennent pas la peine de venir poser leur argument mais y préfère les annonces fracassante et qui pourrait être mal prise si elle ne venait pas de FC.
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Après la fin du texte, Eddo se tait un peu afin de reprendre du poil de la bête et fini par rajouter la voix un peux cassée.

Comme dit en introduction a ce texte, si vous avez des questions, un besoin d'explication ou quoi que ce soit, je suis là pour répondre, alors pas d'hésitation.

_________________
En deuil
Signature à refaire






















































Kekione
KEKIONE qui passait par hasard sur la place rit en voyant que la communication entre les membres du Conseil était toujours aussi bonne.

Pierre d'un côté et Eddo de l'autre expliquant exactement les mêmes choses... devaient-elle être bien compliquées pour qu'on s'y mette à 2.

Le vieil homme homme fit un signe de salut à chacun et continua son chemin sans que leurs flots de paroles ne fussent interrompus.
Kehl


Je trouve choquant que nos voisins se permettent de grogner parce que la Savoie a été fidèle à ses principes.

En dehors de ce que le conseil a expliqué avec autant d'exactitude qu'on pouvait s'y attendre, peut-être même un peu trop, la première vertu que les aristotéliciens doivent observer est l'amitié. Ce n'est même pas une déclaration d'un prêtre de la curie, c'est du dogme, c'est-à-dire que c'est un principe de la religion elle-même. Voilà ce qu'est l'amitié pour les aristotéliciens dignes de ce nom.

" L'amitié consiste à se préoccuper des autres, à avoir de l'empathie et à faire preuve de charité. L'amitié est ce qui lie tous les aristotéliciens. Par l'amitié, le croyant aide ainsi ses frères sur le chemin de la vertu. l'amitié est aussi entraide, réciprocité des rapports sociaux, amour du prochain, etc... L'avarice, son contraire, consiste à ne se préoccuper que de soi et elle n'a d'égal que le mépris de l'autre."

La Savoie est aristotélicienne (la franche-comté l'est-elle ? au vu de la lettre, il ne fait aucun doute qu'elle est païenne, ou que son conseil l'est en tout cas). On ne peut pas douter que les croisés sont aussi des aristotéliciens. Il n'y avait pas de guerre, et agir autrement qu'accepter les croisés en Savoie aurait été un péché, tout simplement. La Savoie s'est donc comportée de la seule façon dont elle pouvait se comporter, n'en déplaise aux parlementaires de Dole. Ces gens semblent ne faire que de la politique, et ils frôlent dangereusement le péché d'avarice avec leur lettre. Je ne comprend même pas comment ils ont osé l'écrire.

J'espère que l'empereur ou ses représentants feront comprendre à ces politiciens qu'il y a des choses impossibles à justifier. L'empereur a été sacré par le pape, et il est l'équivalent temporel du pouvoir spirituel de Rome. J'espère que lui au moins ne se laissera son empire se dissoudre dans des idées hérétiques. Je regrette que la Savoie ne se soit pas exprimée ainsi, mais je comprend qu'elle n'ait pas pu le faire. Ce n'est certainement pas par hasard si d'un côté il n'y a qu'un comte et qu'en face il y a une duchesse, mais la différence de statut est trop faible. Les lois de la féodalité sont claires, n'est pas souverain qui veut.

Si l'empereur ne fait rien, j'espère que sa grâce Melisende se souviendra que la féodalité signifie des obligations, mais aussi des droits, et que si l'empereur ne respecte pas ses propre obligations, il rompt le lien féodal. Et dans ce cas la Savoie a tout intérêt de se rapprocher de la Provence, et de laisser les intrigues aux politiciens. Le royaume d'Arles vaut mieux qu'une parodie d'empire, et la Franche-Comté sera certainement satisfaite de ne plus avoir un aussi indigne voisin dans le cercle francophone. Pour quelle raison resterions-nous avec des gens que nous n'aimons pas et qui ne nous aiment pas ? La Savoie et la Franche-comté vivraient mieux chacune de leur côté, en compagnie de gens dont elles partagent les valeurs, ce qui n'est pas le cas de l'une avec l'autre.
Ninoupitch
Votre grace Eddo

Je reconnais bien là le texte que mon père, feu le duc de Savoie Alpi, avait lui même ecrit puis proposé au HCI quand il fut sénéchal de l'ordre des lames.

Contrairement à ce que vous dites, si la Savoie est obligée d'agir en vertu de ce texte, lorsqu'une des provinces signataires (Lorraine, FC, et nous) est attaquée, c'est ce même art 5 du traité qui nous y oblige .

Mais, en ce cas de figure, la FC n'est pas attaquée et, en ce cas precis seulement, la Savoie peut se reserver de porter ou non aide à la province amie.

Je pense donc que vous auriez du l'expliquer simplement ainsi à nos populations.

Pour les saintes armée, nous voilà, à nouveau, devant un dilemne moral.....

Mon père, feu Alpi, avait signé un nouveau concordat avec Rome, ce qui déplût fortement à l'epoque aux ordres militaro religieux qui s'etaient arrogés tous les droits au nom de l'eglise or, Rome n'est pas les OMR.
Les OMR ne sont, ou ne devraient être, que le bras armé de l'eglise et ne rien decider d'eux mêmes sans l'aval du pape.

Ainsi le concordat liant Rome et la Savoie précisait que le duc de Savoie est souverain en matière d'intervention de tous genres sur son duché.....ainsi, par exemple, nul, y compris les saintes armées ! ne peut entrer ou decider d'entrer sans l'accord du duc de Savoie.
En d'autres termes, les OMR n'ont pas la toute puissance qu'il s'arrogent mais ne sont que des exécutants ! comme tout ordre de chevalerie d'ailleurs qui est reconnu par une province, un royaume ou l'empire.

La FC pouvait tout aussi bien en référer au HCI et ce dernier aurait pu simplement prendre la décision de lever ost et poursuivre, sur les terres de l'empire, les lions de juda et, si ils sont déjà à l'abri en suisse, faire blocus afin de les circonscrire à cette région qui doit en assumer la charge puisqu'elle les autorise à entrer.( ou n'a pas les moyens de les repousser)

Toute cette polémique, constituée de problèmes d'organisations, mais aussi de manque de coordination, et de manque de moyens, ajouté aux eternels problèmes de personnes, fera parler encore un bon moment sans que grand chose y change.

Il était donc, je dirais, "normal" que cela se déroule ainsi par le biais des OMR qui eux sont mieux structurés que les ost provinciaux et qui ont des structures politiques aussi performantes que les provinces
."

Puis, se tournant vers le dernier orateur...

" Messire Kehl je vous entend avec inquiétude.
Ne seriez vous pas, gentiment, en train d'instiller dans les têtes de nos populations l'idée d'une scission ? de dénigrer notre empereur, fut il un grand absent ?
bref de semer des graines de discorde dont la Savoie n'a nullement besoin et, puisque nous avons déjà vécu cela du temps de la Duchesse Azalée, qui conduirait à un profond désordre dans notre petit duché?

Vous savez, nos rapports avec nos voisins Franc Comtois ont toujours été délicats, tantôt très cordiaux, tantôt conflictuels, mais ainsi sont les caractéristiques des peuples.
C'est aussi par expérience que je vous dit que tout bon politique arrive à ses fins et améliore ou envenime les choses. Cela ne doit pas englober systématiquement les populations qui sont bien souvent au courant de peu de choses. Là encore une faute de politique.
Je conserve encore de bonnes relations avec des Francs Comtois, tout aussi désolés que nous de voir leurs gouvernements successifs améliorer ou empirer les choses en fonction de leur incompétence ou leur manque de connaissances.
Quand je parle d'incompétence, ce n'est point gratuit, cela signifie que tout bon politique doit savoir taire ses propres convictions - si il le faut- pour aller dans le sens du bien commun et non particulier."

Mon salut
Tully


Tully sourit en voyant que la salle de permanence ducale était animée. Ça faisait chaud au cœur. Il n'avait pas prévu que Pierre et Eddo disent exactement la même chose à quelques minutes d'intervalles mais bon Tully ne pouvait de fait être partout. C'était mieux comme ça que pas d'explication du tout selon lui.
Estainoise
Esta avait suivi les différentes interventions au sujet des croisés et était très heureuse de voire que toute la lumière était faite sur les rumeurs, les quelques lettres qui circulaient et qui étaient même publiées à l'AAP sans autre forme de procès.
C'était aussi pour elle une belle leçon que ces démonstrations, elle qui souhaitait devenir ambassadeur...
Et elle se disait que deux explications, voire trois, en valaient mieux qu'une, surtout si elles n'étaient pas contradictoires mais de présentation différente...
Ne pas perdre son calme, s'appuyer sur les textes et divers accords....savoir prendre une juste décision sans se laisser aller aux différentes passions qui pourraient poindre son nez....
Oui, ceci était une belle leçon et elle appréciait là....la Savoie qui depuis peu était devenue son chez elle....

Cependant, en dehors de ces questions de politique externe, elle avait une question économique qui ne concernait que la Savoie....

Elle s'avança alors dans la place et commença....

Messire Tully, mes hommages,
Chers conseillés, bonjours....

Je m'appelle Estainoise....et je vis depuis quelque mois en votre beau duché.
Etant encore peu au fait du fonctionnement des institutions de la Savoie, je vais peut être poser une question idiote ou dont la réponse peut d'ores et déjà se trouver ailleurs qu'ici....mais bon....dans ce cas, je vous serais reconnaissante de bien vouloir me dire où se trouvent les informations que je souhaiterais obtenir....

Ceci est une question toute simple...et elle concerne les mines...et c'est une toute jeune personne que j'ai rencontré ce jour qui me posait cette question qui fait que je vous la pose maintenant....

Peut on avoir une idée des rendements des mines, de ce qu'elles coutent, de ce qu'elle rapportent?...
Je me demande aussi, étant à Bourg en ce moment, pourquoi la capacité est si faible.... N'est ce pas préjudiciable pour les habitants et peut être aussi pour la savoie?
Kehl


Tout ce que j'ai dit, votre seigneurie, c'est qu'un aristotélicien ne peut pas écrire la lettre qu'ont écrite les conseillers de Franche-comté. Je suis peiné que vous essayez de les défendre, surtout pour des raisons politiques. J'ai dit aussi que j'espère que l'empereur, ou qui que ce soit parlant en son nom, ne laissera pas son empire se dissoudre dans l'hérésie. Le saint empire est aristotélicien, et c'est le devoir de l'empereur de défendre son empire. Sinon il ne sert à rien. La religion est le seul point commun des habitants de l'Empire. Le seul. Si ce point commun disparait, il n'y a plus d'Empire, ce n'est pas plus compliqué. Je suis loyal à l'empereur, comme tous ici certainement. Mais qu'apporte l'Empire ? A part des hérétiques qui nous accusent de traîtrise. On peut être loyal mais lucide, votre seigneurie.

Je ne sais pas si la Savoie est attirée par la France, mais je sais que là terre où nous vivons appartenait au royaume d'Arles avant que l'empereur en hérite, et que les racines de la Savoie poussent donc entremêlées avec celles de la Provence et du Dauphiné, pas du tout avec celles de l'Allemagne ou de la Franche-comté. Le Dauphiné a rejeté l'Empire il y a un siècle. La Provence l'a rejeté il y a des années. Et la Savoie ? Vous connaissez l'histoire de l'indépendance comme moi. Je ne crois donc pas que les partisans du cercle francophone puissent se permettre de laisser des politiciens hérétiques affaiblir un lien déjà pas excessivement solide entre la Savoie et son seul voisin membre du Saint Empire. Le seul visage de l'Empire actuellement dans la population savoyarde, c'est celui du parlement de Franche-comté.
Ambroise_perrigny


Ambroise arriva à la salle de permanence ducale, saluant ceulx quy s'y trouvaient, en fonctions de leurs charges et titres qu'il connaissait, et des us et coutumes. Puys il se posa dans un coin, non loin du chancelier, et escouta avec patience et intesrest ce quy se disait dans ceste salle.
Pierre_von_kolspinne


Pierre regardait ce pauvre KEKE, sans doute celui si se posait des questions par manque de lecture, sans doute n’avait il pas vu qu’il y avait une différence entre les deux. Bien sur, ce qu’avait montré Pierre reprenait ce qu’avait dit Eddo, mais il y avait à la fin des précisions suplémentaires.

Messire Kehl, baron de Miolans, en fait si la Savoie n’a pas communiqué jusque là c’était avant tout pour éviter de jeter de l’huile sur le feu. La Franche Comté, malheureusement, reste égale à elle-même.

Monsieur de Miolans, en ce qui concerne le concordat, je ne sais ce qu’a signé votre père, mais il y eut d’autres ducs après lui. Et le dernier en date a été signé par moi-même, le précédent par ma mère. Et m’est avis que ma mère était revenue sur bien des choses qu’avaient fait votre père à ce niveau. N’oubliez pas qu’elle était sous la coupe d’une teutonique de bien mauvaise mémoire. Ceci dit, il en est toujours ainsi. La Savoie reste mettre de laisser entrer qui bon lui semble. Et ce au grand dam de Rome. Nous avons eu, par exemple, une lance de teutoniques, commandé par un certain Ramon, qui essaya, sous le règne du duc Eddo, de rentrer sans nous donner leur but ni leur composition, et ce Ramon déclarant qu’en tant que teutonique il avait tout les droits. Ce que nous n’entendons bien sur pas de cette oreille. Je n’ai eu le temps personnellement, à cause des discutions après sur le concordat, mais je pense qu’il va falloir maintenant rediscuter les accords avec les Sanctes armées.

Le HCI n’a pas voulu poursuivre les lions de Judas tant que des excuses de Rome ne soient pas faites sur des propos tenus par des représentants de l’EA. Ceci dit, ceux qui ont traversé la Savoie n’étaient plus des sanctes armées. Et je vous rappelle en même temps que l’empire a un traité d’alliance avec la France, traité que votre père connaissait bien puisque signé par son grand ami Alandaros.


Pierre lui fit un clin d’œil.

Ceci dit, ce qui c’est passé en Franche Comté ne concerne qu’une marque de l’inorganisation des francs comtois. L’arrivée de ces armées, nous la connaissions tous, par le HCI, depuis un moi. La Savoie avait pris ses dispositions et, considérant la position du HCI, avait interdit leur passage. Ce qui ne fut pas le cas de la Franche Comté, qui a agis à la dernière minute, de façon brouillonne. Nous avons, personnellement, agis sur la demande de la Lorraine, qui elle agissait sur demande du … franc comte. Qui ne peut l’avouer devant son parlement. Le but était d’éviter une guerre. Qu’aurait pu faire la Franche Comté devant 150 hommes très bien organisés ? Je rajouterais à cela que la Franche Comté, de son coté, a eu une attitude plus que néfaste. Lorsque nous avons obtenu une trêve, c’est la Franche Comté qui l’a faite capoté, avant la curie, en ne respectant pas ce qu’ils avaient signé et en demandant à ces armées de partir immédiatement alors même qu’ils avaient promis qu’elles pourraient rester en Franche Comté. Et que dire de leur intention, un temps affiché, de profiter de cela pour attaquer la Bourgogne, pourtant leur allié ? Peut on faire confiance à ces gens là ? Du moins ceux qui sont au pouvoir actuellement ? Je ne met pas tous les comtois dans le même panier.

Madame, en ce qui concerne les mines, il serait sans doute temps que vos maires répercutent les informations qu’on leur donne. Alors, pour les rendements, je ne vous répondrais pas. Pour le reste, la capacité d’une mine est rapport à la capacité des autres. Car une mine ne fait pas que produire, mais consomme aussi en entretiens. Il faut donc que les différentes mines aient une capacité en fonction de la production des autres, afin de ne pas consommer plus que nous ne produisons. Et au vu des difficultés rencontrées sur la carrière, nous avons adapté la capacité des autres mines à cette donnée. Ces capacités ne sont donc pas préjudiciables à la Savoie. Loin de là. Il faut s’enlever de l’esprit cette fausses idée qui dit que capacité maximale égale production maximale. C’est faux. Les mines sont réglées pour une production optimale là. Ceci dit, la seule mine à se remplir est la mine d’or. La mine de fer ne se rempli que très tard la nuit. Donc ce n’est pas non plus préjudiciable au savoyards.

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