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[RP] Y croire, simplement

Snell
Snell était à l'étroit, mais il était persuadé d'avoir la meilleure cachette. Par un petit trou, il avait une vue parfaite de l'entrée de la ville et sur les arrivants qui ne se doutaient de rien.

Il attendait patiemment le bon moment, mais un doute se glissa dans son esprit. Armoria avait-elle dit AVEC ou SANS vêtements?

Oulà.

Le Borgne espérait avoir fait le bon choix.

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Sebonemo
Sebonemo avait choisi la meilleure des cachettes. Il avait en effet trouvé un banc dans une ruelle. Il s'était assis dessus et faisait semblant de dormir à la vue de tous.
Quelle meilleure cachette que de dormir sur un banc devant une maisonnette ? Qui irai se méfier d'un homme faisant la sieste devant chez lui ?

Quoi qu'il en soit, son poste lui permettait de voir loin sur la route tout en n'étant point réellement visible depuis la grand route sauf à une toute proximité.
Armoria
Elle avançait, courbée sous des vêtements de vieillarde, appuyée sur sa canne, long châle sur la tête. Elle fit mine de donner un coup de canne au dormeur, comme toute vieille aigrie, puis marcha, trotte-menue, vers le lavoir.
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Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique
Mariealice
Dernières lieues avalées au galop, moment de bonheur simple, temps comme suspendu, rires échangés entre Aleanore et Marie, regards entre le noir et la noisette, un souffle d'air....

Les murs de Sémur se rapprochèrent jusqu'à occuper tout l'espace et les montures ralentirent pour passer au pas les portes après avoir décliné leurs identités et expliquer que d'autres arrivaient pour les rejoindre.

La jeune femme se mit à la hauteur de son compagnon, chacun à l'arrêt.

Nous commençons par où?

Un baiser sur la tête de sa fille, yeux pétillants de vie, aucun soupçon sur ce qu'il se tramait tout près.

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Gaborn
Un moment de silence suivi la question de Marie. Pas où commencer ? La dernière fois qu'il était venu dans cette cité, il n'avait pris le temps de rien. Là, il semblait que la vie l'amenait pour y vivre... Y vivre... Il resserra les pans de sa cape sur sa fille, ne lui laissant que le visage en dehors au contact de l'air.

Je te propose d'avancer au grès du chemin, de trouver une auberge et de nous mettre en quête de nos amis. moment de silence avant de reprendre. Mais d'abord l'auberge, avec un verre de vin chaud si possible et du lait pour nos filles...

Gaborn sourit à Marie et poussa doucement du talon sur Zephyr, invitant celui ci à se mettre en route...
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Bradbury
Brad fermait la marche avec le coche, pendant que parents et enfants était devant filant sur les chevaux, vers l’entrée de la ville.

Depuis Limoges, pour être plus précise depuis la Guyenne, elle suivait son amie et restait en arrière, laissant les cavaliers ensemble.
Les lieues défilant, il était de plus en plus clair que la décision de s’installer en Bourgogne était irrévocable. Pas forcément satisfaite, elle s’enfermait dans le silence, un brin boudeuse.

Mais, il était évident que Marie Alice semblait heureuse, alors il faudrait bien s’y faire. Toutes à ses pensées, plus ou moins moroses, elle n’était pas des plus attentive au contraire de ses habitudes.

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Ecuyère Dame Blanche- En deuil- 45 à jamais !
--Aleanore


Aleanore profite pleinement de ce moment de complicité et de liberté avec sa mère et rit aux éclats, bien au chaud sous la cape.

Oublié pour un temps son ressentiment contre elle et son compagnon, oublié de faire la tête parce qu'elle n'a pas envie d'être aimable, mirettes grandes ouvertes sur la ville dont ils se rapprochent au galop.

La curiosité de l'enfant reprend le dessus et elle observe avec de grands yeux la ruelle dans laquelle ils viennent d'entrer.

Un regard en arrière pour voir si le coche suit et si Bradbury est bien là.


Gabrielle36
Gabrielle à califourchon sur la monture de son père, suivait du regard le paysage qui s'offrait à elle. Elle était en première loge et ne regrettait nullement son choix, le coche était peut être doux et chaud, elle préférait être contre lui et profitait des joies de la nature.

Préssée contre son père, elle suivait les mouvements de l'animal. De temps à temps, elle fermait les yeux et laisser son esprit vagabonder, se concentrant sur sa respiration. L'air était froid mais agréable. Elle souriait, heureuse de partager ce moment de liberté avec Gaborn.

Elle ouvrit à nouveau ses prunelles et distingua les remparts d'une ville. Ils allaient enfin se mettre au chaud. Ceux-ci passés, le cheval ralentit la cadence et nos cavaliers rentrèrent dans une rue. Tout semblait bien calme ...

Gabrielle essayait de regarder autour d'elle, cherchant le regard d'Aleanore, mais son champs de vision était limité. Gaborn parla tout à coup d'un grand verre de lait. La petite laissa échapper un nouveau sourire et elle avait hâte de se mettre au chaud et de savourer son verre promis.
Snell
Snell commençait à étouffer dans sa cachette. Il avait l'impression d'avoir été là pendant des jours alors qu'un être supérieur l'avait oublié.

Soudainement, un mouvement dans le trou d'espion attira son attention. Il regarda plus attentivement et aperçut des cavaliers et un coche passer les portes de la ville. C'était bien eux! Gaborn, Marie, des filles sur leur chevaux, et Bradbury à leur côtés.

Snell attendit qu'ils arrivent à sa hauteur pour donner le signal. Faisant tomber le couvercle du tonneau dans lequel il était caché, il se leva soudainement et lança une poignée de grains de maïs (parce que les confettis n'existaient pas, hein!).


SURPRISE! Bienvenue à Sémur!
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Armoria
C'était le signal. La vieille se redressa, envoya valser canne (attention derrière) et châle mité et renchérit :

Vous avez été longs à venir !
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Mariealice
Lait chaud et vin chaud. Je prends. Enfin surtout le deuxième pour moi.

Sourire à Gaborn et clin d'oeil aux damoiselles dont les yeux pétillaient pareillement. L'une avait les yeux aussi noirs que son père, l'autre noisettes comme sa mère. Deux fillettes perdues chacune à leur manière et qu'il allait falloir apprivoiser.

Soudain deux personnes bondir sous leur nez ou plutôt sous le museau des chevaux, manquant de les faire cabrer. Marie resserra son bras autour de la taille d'Aleanore de peur qu'elle ne glisse et tombe et de l'autre porta la main à son épée avant de reconnaitre les fauteurs de trouble.

Main reprenant les rênes, quelques mots à l'oreille de sa puce pour la rassurer avant de les regarder.


Du temps.. Du temps.... Fallait venir nous chercher hein. Non mais...En plus on a pas du vous manquer, vu que vous avez failli nous tuer.

Sourire en coin à Gaborn, soupir de soulagement, sans doute un début de sentiment d'être arrivée à la maison.
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Gabrielle36
Gabrielle toujours calée contre le ventre de son père, admirait les maisonnettes. Le village semblait bien calme, la ballade était agréable lorsque des voix crièrent.

La petite sursauta dans un premier temps, puis rentra la tête sous la cape cherchant une sécurité auprès de son père.

Adieu auberge, verre de lait et tranquillité !!!! pensa t'elle. Elle ralentit sa respiration afin de se faire plus discrète que possible et ferma à nouveau ses yeux.

Un grain de maïs arriva à pénétrer sous la cape de Gaborn, glissant sur le visage de la petite. Gabrielle toujours en alerte mais curieuse tout de même ouvrit un oeil et chercha tout de même à voir ce qui se passait à l'extérieur.

Non il ne grêlait pas, mais le Borgne s'amusait à jeter du maïs. Elle secoua la tête de gauche à droite et leva son regard vers le ciel. Sa tête ressortit de sa cachette, elle respira à nouveau l'air pur et attendit.
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