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[rp] Eglise de Nīmes

Lirok
Laissant ses amis faire la garde de l'église, Lirok commença à partir quand soudain une voix la fit se retourner.

Elle aperçu un drôle de personnage qui demandait de l'aide.

Heu... bonjour. Comment puis je vous aider ? Je suis désolée l'église reste fermé pour la nuit. Elle est encore sous le coup des dégradations qui ont eu lieu la nuit dernière.
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Serpentis
Me voila devenu charpentier pour les besoins de la ville, et je pourrais offrir quelques bancs faits main si tu les désires.

Ce ne sont pas des bancs faits par un maître italien, mais ca ira bien tout de même pour prier notre Seigneur à tous je crois.


Serpentis eut un léger sourire, il était content de voir que l’église s'en remettait peu à peu.
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Lirok
Lirok revint voir les gardes le lendemain.

Alors comment cela a été cette nuit ? Je ne pense pas qu'ils reviendront.

Lirok accueilli avec joie la nouvelle de Serpentis.

Ah super ! Quand tu auras un peu de temps, fais nous voir ce dont tu es capable alors ! Je suis sur que tes bancs feront amplement l'affaire !

Grâce au fond de Mounia, je vais pouvoir aller chercher un nouveau livre des Vertus ! Il ne nous manquera plus que les vitraux !

En attendant, je vais passer la journée à nettoyer le sol et les murs du mieux que je peux. Si d'autres sont volontaires..

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Ailein
[La veille]

Ahh merci bien dame euh mère Lirok je crois. Je sais que l'église à eu affaire à quelques malfrats, j'ai vu l'annonce sur le panneau.
C'est justement pour ça que je suis là.


Dans un grand fracas, le hérisson se transforma en une jeune femme entourée de seau, balais, pelles, chiffons et autres ustensiles s'éparpillant à ses pieds.

oohh que je suis maladroite, excusez moi.
Dites moi par où je dois commencer et cette église brillera comme un sou neuf en attendant que tout soit réparé.
Lirok
[la veille]

Lirok regarda d'un air curieux la jeune femme devant elle. Il ne lui semblait pas la connaitre.


Ahh quelqu'un qui lit le panneau d'affichage de l'église ! Ca fait plaisir à entendre ! Quel est ton nom ?

Pour ce soir, je préfère laisser l'église fermée, on ne sait jamais. Mais des demain matin, tu peux venir m'aider à nettoyer !

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Ailein
[ La veille]

Ailein se présenta donc correctement à mère Lirok et prit le temps de ranger tout son basard dans un coin avant de prendre congé.

[le lendemain matin]

Dès les premières lueurs de l'aube, la jeune femme se rendit à l'église.
Elle entra, se signa puis entreprit le récurage promis tout le chantonnant.


Heigh-ho, Heigh-ho, je frotte ya du boulot !

Heigh-ho, Heigh-ho...
Heigh-ho, Heigh-ho, Heigh-ho, je frotte y a du boulot !
Lirok
Lirok nettoyait l'église à l'aide de Ailein. A deux, elles avancaient rapidement. Voyant que ca allait bien, elle alla voir Ailein.

Wouah, j'ai pas souvent vu quelqu'un mettre autant de coeur à l'ouvrage ! Tu t'en sort bien ! Je vais en profiter pour aller voir que qu'on peut faire pour nos vitraux. Je te confie l’église en mon absence !
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Ailein
Fort bien mère Lirok, je garde l'église. Je vais en profiter pour mettre les morceaux de vitraux de côté, fenêtre par fenêtre, cela aidera peut-être à leur réparation.

Se disant, la jeune femme continua son nettoyage jusqu'au soir. Les vitraux étaient rangés et étiquetés avec soin.

Avant de partir elle s'agenouilla devant l'autel, sortit son livre des vertus, seul vestige de sa vie passée. A l'intérieur de la couverture quelques mots étaient écrit qu'elle caressa doucement et murmura telle une prière qui s'étranglait dans un sanglot refoulé.
Si vous saviez à quel point vous me manquez mon père....j'aurais grand besoin de v...Elle se ressaisit, son visage reprit le masque qu'elle s'était forgée et se mit à lire.
Dayelle
Une porte poussée ... Elle entre dans ce lieu qu'elle n'a jamais frequenté ... Il parait que des vandales ont saccagés l'endroit ... il n'en reste plus guère trace si ce n'est les morceaux soigneusement rangés, des vitraux qui ornaient les fenêtres ...

Elle avance dans l'obscurité qui règne, maitresse des lieux ... Une faible lueur de bougie guide ses pas ... un banc lui tend les bras, elle s'assied, le regard perdu dans le vague ...

Elle écoute le silence ... peut être entendra t-elle une voix lui dire ce qu'elle doit faire ... Elle ferme les yeux et s'adresse en silence au maitre des lieux ... celui dont elle a entraperçu la bas derrière l'autel, la statue ...

Un bruit la fait sursauter, elle se tasse un peu plus sur elle même, se fond dans la pénombre ... il n'y a personne ... alors peu rassurée, elle recule jusqu'à la porte, l'ouvre et sort en pleine lumière.

Un instant éblouie par le jour, elle avance un pied devant l'autre ... elle avance pour ne pas mourrir ... la ville est vide ... personne dans les tavernes ... elle va rentrer dans l'abri qui lui sert de maison, s'enrouler dans une pauvre couverture, attendre que la nuit tombe pour partir chasser les rats ...
Lirok
Lirok avait passé la journée à marcher dans Nimes, à la recherche d'un artisan qui lui ferait de nouveaux vitraux.

Finalement elle avait trouvé et avait passé commande. Les nouveaux vitraux seraient prêt dans quelques jours. Il ne fallait pas tout remplacer heureusement, ca aurait pris plus de temps et d'argent !

Le soir, elle repassa par l'église et pu admirer le travail effectué par Ailein. Elle sourit. Elle fit le tour de l'église afin de vérifié que personne n'y était encore, puis elle la ferma à clé. Les temps n'était pas encore assez sur pour la ré-ouvrir la nuit.


[Le lendemain]

Lirok levé de bonne heure alla ouvrir l'église afin que les pèlerins puissent y entrer à volonté. Pour débuter sa journée, elle commença par prier.
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Lirok
[Quelques jours plus tard]

Peu de villageois avait répondu à l'appel, mais néanmoins certain s'était déplacé ! Lirok était tout de même contente. Grâce au bon service notamment de Ailein, l'église était maintenant propre.

Les vitraux étaient entrain d'être installé, afin de remplacer ceux qui avaient été cassé.



Il fallait encore polir les graffitis sur les murs et poncer les bancs. Mais il n'y avait quasiment plus de trace des dégradations. Lirok était contente.

De plus grâce, à la seigneurie de Lédenon, Lirok avait pu allé chercher un nouveau Livre des Vertus, tout frais relié par les moines.




Lirok laissa un mot sur le panneau d'affichage de l'église.


Citation:
Mes chers paroissiens,

Grâce à vous, l'église de Nimes a retrouvé sa beauté ! Je vous confie tous et toutes à une messe dimanche prochain, pour célébrer ensemble et pour remercier le Très Haut d'avoir été avec nous !

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Ailein
Ailein se rendit à l'église espérant y rencontrer mère Lirok. Elle fut agréablement surprise de voir que les vitraux avaient été réparé et entra afin de les admirer de l'intérieur.
Malgré la fraicheur de cette journée d'automne, le soleil brillait dans un ciel sans nuage, jouant avec les vitraux, saluant le travail est artisans.

Aillein embrassa l'église du regard, elle reprenait vie mais il restait encore du travail surtout pour la messe de dimanche.

Sortant de sa torpeur, la jeune femme retroussa ses manches et après avoir remplit un seau d'eau entreprit d'effacer les graphitis.
Landyves
Quand on se mettait en quête de retrouver une vie sociale normale, il fallait obligatoirement passer par les bancs de l’église, et peut-être même du confessionnal.
Ce jour-là en tout cas, même sans avoir à l’idée de vider son sac quant à son manque total de responsabilité, Yves était en route pour l’édifice religieux. Il n’avait pas été mis au courant que celui-ci avait subi quelques dommages matériels. Ou alors il n’avait simplement pas écouté, comme c’était souvent le cas les derniers temps.
Toujours est-il qu’il arrivait très tranquillement sur le parvis.
D’ici il pouvait presque sentir le neuf. Disons surtout qu’il trouvait quelque chose de changé sans même passer la porte, mais il n’aurait su dire quoi.

Pénétrant donc au sein de l’église, il fut ébloui par cette douce lumière entrante. Ce n’était pas habituel de voir un tel halo en ce lieu. En général le bâtiment était terne, austère. Là il semblait propre, vivant !


Boundjour !

Il constata qu’il n’était pas seul. Une jeune femme frottait les pierres avec énergie. Il lui paraissait la connaitre. Peu, c’était un fait, mais il avait déjà dû la rencontrer en taverne, il y avait sans doute de cela un moment d’ailleurs.

Que s’est-il passé ici ?

Il s’approchait doucement de la donzelle tout en levant le nez et obliquant le chef pour mieux observer les changements.
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Lirok
Lirok était dans la sacristie entrain de préparer quelques affaires. Elle en sortie pour y trouver Ailein qui travaillait encore pour finir le nettoyage.
Elle lui sourit et la remercia pour tout ce qu'elle faisait.

Puis à sa grande surprise, Lirok vit Yves dans l'église.


Yves ? Comment vas tu ? Que fais tu la ? Cela fait longtemps !!!

Comme tu peux encore en voir quelques traces, notre église à subit de lourde dégradations. Mais maintenant, cela va mieux ! Je remercie grandement la seigneurie de Lédenon pour notre nouveau nouveau livre des Vertus !!

Et sinon toi, que deviens tu ? Comment va la petite famille ?

J'espère vous voir tous, demain à la messe !

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Lirok
[le dimanche matin de bonne heure]

Lirok se leva tot. Le jour était à peine levé. Elle se rendit à l'église pour commencer sa journée par prier. Lirok remercia d'abord le Très Haut, de lui avoir donnée des paroissiens dévoués. Ensuite, elle lui confia ses peines, les malheureux qui avait saccagé notre église, puis le Languedoc et ses dirigeants, afin que eux aussi puisse trouvé la paix.

Lirok alla ensuite sonner les cloches pour annoncer le début de la messe.


(((((Bong)))))(((((Bong)))))(((((Bong)))))
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Les quelques villageois rentrèrent dans l’église après avoir salués leur curée qui se trouvait sur le perron afin de les accueillir. Puis Mère Lirok entra à leur suite.

Mes amis, mes frères, mes sœurs,
Bienvenue en ce beau dimanche en la maison du Très Haut. Tout d'abord, je souhaite remercier Ailein sa grande aide lors du nettoyage de l'église et également la seigneurie de Lédenon pour notre nouveau nouveau livre des Vertus.

Après quelques minutes de silence, afin que tout le monde puisse se recueillir. Lirok prit à nouveau la parole.

Nous sommes en des temps troublés. Sous couverts d'arguments fallacieux mais présentés de façon séduisante, faisant des promesses mensongères mais avec une langue de miel, certains tenterons de vous dévoyer. Prenez garde, il ne s'agit là que du jeu de la Créature Sans Nom.

Mais avant de continuer nous allons nous repentir de toutes ces mauvaises choses qui se trouvent en nous, car nous ne pouvons recevoir de saintes paroles ainsi souillées.

Citation:
Je confesse à Dieu Tout-Puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action. Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.


La curée repris avec une voix chaleureuse.

Nous allons reprendre ensemble le crédo, signe de notre foi et de notre appartenance en la grande famille aristotélicienne, famille unie dans l'amitié qui nous rend plus fort.

Citation:
Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

AMEN


Nous allons aujourd'hui lire un extrait du livre des Vertus.

Lirok se pencha sur l’autel et ouvrit le nouveau livre avec fierté.


Citation:
Chapitre VI de la Vita de Christos – Les premiers disciples

En ces temps là, la société était en crise. Plusieurs cultes païens existaient. Aussi, certains hommes, avaient oublié les préceptes d'Aristote et adoraient de fausses idoles. D'autres, regroupés en une Eglise puissante, se réclamaient de la pensée d'Aristote mais avaient détourné son message ou le comprenaient mal. Heureusement, il existait encore des gens qui vivaient assez justement dans la vertu telle qu'elle fut enseignée par notre premier prophète.

Il faut savoir, mes enfants, que ni l'Eglise puissante dont je vous ai parlé, ni l'adoration des idoles, ne répondaient plus à la soif de divin de la multitude. Ainsi, les habitants du pays de Judée vivaient dans un état de péché permanent et détournaient de plus en plus leurs regards de la transcendance et du Très-Haut.

Il existait bien quelques personnes qui essayaient de rassembler les hommes de bonne volonté, mais la plupart se vautraient dans le stupre et la fornication. Cette vie de plaisir venait s’ajouter à la préférence des gens pour l’individualisme plutôt que pour la communion et la communication.
Beaucoup d’âmes égarées voulaient se tourner vers leur guide spirituel, le grand prêtre du pays, le chef de tous les prêtres, mais celui-ci leur opposait un silence total.

C’était un homme avare de mots, qui répondait à chaque question, laconique ;
" N’ayez pas peur, ouvrez vos bras à Aristote. "

Christos, après son épreuve dans le désert, était redescendu dans la civilisation, et prêchait la bonne nouvelle et le message d’Aristote sur les places des villages. Il disait :

" Repentez-vous ! Confessez-vous de vos pêchés, car le Très Haut n’aime pas voir le vice envahir la cité des Hommes. "

Plusieurs personnes écoutaient son discours. Deux d’entre eux, un artisan et son apprenti, furent frappés par la justesse de ses mots. Il s’agissait de Titus… et de votre serviteur, Samoht.

Nous nous approchâmes de Christos, accompagnés bientôt par notre ami Paulos, un paysan. J’étais le plus jeune, j’étais encore un enfant… mais c’est moi qui ai pris la parole :

" Maître, tes paroles sont si justes, enseigne-nous le message d’Aristote ! "

Alors, Christos, touché par mon innocence juvénile, nous répondit :
" Alors suivez-moi. Vos métiers, vos biens, vos outils pourront attendre que vous terminiez votre mission. Car pour l'heure, je vais vous faire bâtir, en l'Eglise, le plus bel instrument de paix. Sachez le, je vous enseignerai la sagesse d’Aristote et le message de Dieu, mais vous devrez apprendre l'altruisme et l'abnégation."

Nous nous mîmes tous en route en direction de la grande basilique. Celle dans laquelle résidait le chef de tous les prêtres. L’homme dormait d’un sommeil profond devant une assemblée ébahie qui guettait le moindre mouvement de paupière ou de narine, attendant la cérémonie de son petit lever.

Christos, accompagné de ses trois compagnons, entra dans la salle et déclara :
" Toi, homme de peu de foi, qu’attends-tu pour t’occuper des aspirations des croyants ? Que ne réponds-tu pas à leurs angoisses ? "

Christos se tourna vers nous, et dit :
" Sachez-le : Cette homme représente le vice infiltré en plein cœur du temple de Dieu. Il est à votre image, mes amis, qui dans vos cœurs de créatures de Dieu, connaissez aussi tous le péché.
Voyez-vous, celui qui ne bouge pas le petit doigt, celui-là ne mérite pas d’être roi.
Et toi, roi des croyants, que fais-tu ? ne vois-tu pas ton Eglise qui s’effondre ? N’entends-tu pas les cris des âmes, qui, hors de ton palais, s’époumonent à t’appeler à l’aide ? "

Réveillé par la voix de Christos, le grand prêtre, avare de mots, mais qui ne les mâchait pas, se leva, et dit :

" Mais pour qui il se prend ce mec ? Non mais si t’es pas content tu te casses, mon grand ! Faudrait voir à pas commencer à trop me casser mes saintes burnes ! "

A ces mots, Christos se retourna vers ses disciples, et leur dit :

" En vérité, je vous le dis ; il vaut mieux entendre ça que d’être sourd ! Cet homme tombe dans les excès dénoncés par Aristote, il reste silencieux la plupart du temps, et quand il se réveille, c’est pour trop parler ; il ne connaît pas la vertu de tempérance, ni le principe du juste milieu. "


Lirok laissa un instant de silence afin tout le monde puisse s'imprégner du texte. Puis elle reprit.

Qu'apprenons-nous de ce texte ?

Tout d'abord que nous sommes faibles. Qu'il est facile pour nous de nous égarer du droit chemin et de pourtant prétendre être sur le bon. Christos à bâti l'Église Aristotélicienne et elle est la seule dépositaire de la Vraie Foi. Nul autre « église » ou « croyance » ne peut se prétendre être l'héritière de la parole d'Aristote et de Christos


Et Christos de dire

Citation:
Sachez-le : Cette homme représente le vice infiltré en plein cœur du temple de Dieu. Il est à votre image, mes amis, qui dans vos cœurs de créatures de Dieu, connaissez aussi tous le péché.


Cela nous montre que nous sommes les vecteurs potentiel de colportage de ces hérésies de par notre imperfection.

Comment réagir face à un hérétique ? De la plus simple des manières, chassez-le de votre route, ne lui laissez pas la possibilité d'essayer vous corrompre.

Certains d'entre eux diront que mon discours prouve la peur de l'Eglise et que par conséquent son message est juste, que vous avez le libre arbitre de choisir. En ce dernier point, il aura raison.

Oui j'ai peur, mais pas de l'hypothétique véracité de son message que je sais être faux. Je suis inquiet de notre imperfection d'homme.
Pour vous corrompre son message doit sembler juste par ce que vous n'êtes pas des idiots loin de là. Mais les hérétiques sont les serviteur zélés de la Créature Sans Nom et savent pertinemment user de notre imperfection d'homme.
Tout le monde peut défaillir, mais si vous êtes conscient de vos faiblesses, elles en seront déjà diminuées. Alors ne prêtez pas attention au miel déposé sur les ronces.

Le libre arbitre ? Et bien c'est justement ce que Christos vous a offert comme plus beau des cadeaux, car c'est avec lui que vous prouvez votre amour pour le Très Haut. Quel intérêt de n'avoir que des pensées pré formatées?
Ce libre arbitre vous mets à l'épreuve. Ne faillissiez pas.

Les hérésies ne sont que des obstacles sur notre route vers le Très Haut ! Notre foi en Lui nous aidera à séparer le grain de l'ivraie.


Après avoir laissé un autre moment de recueillement aux paroissiens, la curée annonça ensuite le moment du partage du pain. Elle prit un pain qui était encore tiède coupa un morceau et fit passer la miche aux paroissiens.



Après ce moment de convivialité, Mère Lirok reprit.

Allez en paix et dans la lumière du Très-Haut. Puisse ce-dernier guider vos pas !
N’hésitez à me joindre pour vous faire baptiser ou vous marier ou si vous avez le moindre doute, questions sur votre Foi ! Passez une excellent journée.


Vous pouvez après cette messe dite d'un bloc, réciter les passages importants de la messe et confier vos prières.

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