[RP] Taverne « Les Amazones » chez la Rouquine !

Ascadellia entra avec sa valise, son chien, sa renarde et son canari et ce dirigea vers le comptoir.

-Bonjour, je voudrais vous demandez si on peut dormir ici ? Et si oui, acceptez vous les animaux, ne vous inquiétez pas, ils sont dressés et très sympathique. Si on ne peut pas dormir ici, ce n'est pas grave, ne vous inquiétez pas.

Ascadellia sourit et mit sa valise à ses pieds.
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*Soupirant, elle était un peu perdue et ne savait trop que faire pour aider le jeune homme mal en point. Okwawi avait pris la bonne initiative d'ouvrir la fenêtre et avait pris la place d'Enigma pour tenir le malade qui était plutôt incompréhensible. Elle comprit son nom ... au moins, il n'était pas trop saoul que pour ne se souvenir de rien apparemment. C'était déjà une bonne chose.*

Chuttt Zol ! Je suis là, n'aie crainte ...

*Elle voyait le jeune homme complètement perdu à essayer de la toucher pour ne faire que la frôler du bout des doigts. Il en était à ce point là ? Il lui demandait de rester... elle sentait bien qu'il s'agissait d'une demande plus sérieuse que cela ne pouvait paraître au moment-même.*

Ne t'inquiète pas Zol, je ne vais pas te laisser dans cet état pitoyable ...

*Elle regarda le jeune homme s'effondrer au sol à moitié, pourtant toujours plus ou moins maintenu par Okwawi. Comment avait-il réussi son compte ? Elle fronça les sourcils et regarda le gentilhomme en grimaçant.*

J'avoue que... je ne sais trop que faire là ...

*Elle se glissa derrière Okwawi et s'agenouilla aux côté de Zolgan en relevant sa tête pour la poser sur ses genoux. Il s'était couvert de son repas et ça collait à son visage de façon dégoutante. Sans réfléchir, elle chercha du regard un tissu et n'en voyant pas, elle ôta sa chemise et la plongea dans l'eau pour venir essuyer le visage de Zolgan avec douceur. Elle avait presque oublié la présence d'Okwawi en cet instant et ne pensait pas au comportement mal élevé dont elle faisant montre en se dénudant ainsi.*

*La mioche avait couru aussi vite que possible pour aller tirer l'eau au puit et revenait en titubant sous le poids de la grosse casserole de Mari. Elle déposé le récipient devant Zolgan en hochant la tête, remerciant Okwawi d'un sourire.*

Vous avez bien fait je crois Okwawi ! Ce bougre d'imbécile a vraiment l'air mal en point ! J'ignore quelle quantité il a ingurgitée, mais ça ne m'étonnerait pas qu'il se soit fait jeter de toutes les autres tavernes !

*N'hésitant pas une seconde, Enigma passa derrière le jeune homme, le plia en deux et lui plongea la tête dans la casserole en le tenant le mieux possible, histoire de lui éviter de se noyer. Elle le laissa quelques secondes et le remonta d'un coup sec sur sa chaise en le tenant fermement par le col de la chemise.

Il crachait à moitié de l'eau et ne semblait vraiment pas au meilleur de sa forme. Avait-il bu pour oublier comme nombre de ces piliers de comptoir ? La mioche le regardait avec inquiétude, lui tapant dans le dos, se demandant ce qu'elle pouvait bien faire pour le sortir de sa folie la concernant.*

Mais quel idiot celui-là ! Il a en plus réussi à avaler de l'eau et presque ce noyer ! Zolgan ! Zolgan, tu m'entends ?

*Elle n'avait pas vu le coup venir là ! Elle s'inquiétait de le voir dans cet état et cherchait à comprendre pourquoi il en était arrivé là, mais elle n'avait pas vraiment eu le temps de s'écarter lorsque le jeune homme avait changé de couleur pour vider le contenu de son estomac sur lui en éclaboussant au passage Okwawi et elle-même. Elle se mit à grimacer en regardant l'état de leurs vêtements.*

Oh c'est pas vrai ! C'est dégoutant !

*Elle le voyait pencher dangereusement, s'endormir à moitié. Il ne fallait surtout pas qu'il s'assoupisse ! Elle reporta son attention sur lui en essayant de le réveiller.*

Zolgan ! Zolgan ! Reste avec moi mon chou ! Tu m'entends ? Allez t'endors pas bougre d'imbécile d'âne stupide !

*Elle essayait de le retenir sur sa chaise en tentant de le sortir de sa torpeur mais son poids commençait franchement à l'entrainer. Il allait sans nul doute falloir qu'elle mange un peu plus de viande !*

Ambre est une jeune fille au long cheveux noir, un regard des plus coquin et un sourire charmeur vêtue d'une robe simple au décolletée légèrement débraillé. Elle venait d'arrivée à Sarlat et cherchait un travail, elle aperçue une taverne ouverte et regarde le nom et sourit.

Tiens.... je vais entrer dans cette taverne..... puis se nom me plait beaucoup.... "Les amazones" j'adore... Aller ma fille entre il y a peut être du travail pour toi !


Elle pousse la porte et entre, il y avait une dame derrière un comptoir et un homme qui lui parlait, elle avance vers les deux personnes.

Bonjour dame tavernière, bonjour messire ! Je m'appelle Ambre et j'aimerai voire la propriétaire s'il vous plait !

Elle sourit puis reprend.

Je dis la propriétaire car vue le nom ça n'peut être qu'une dame ou je me trompe ?

Elle sourit a nouveau et attend qu'on lui réponde......

Il lui sembla qu'on l'observait. Une rousse plutôt bien balancée, mais il avait tout de même connu mieux. L'aubergiste assurément. Il lui sourit légèrement, regard charmeur mais tout de même respectueux. Il n'était pas de ses tombeurs sans éducation et sans retenu que l'on voit arriver au moins cent lieu à la ronde. Non Mérovée était plus subtile et ne dévoilait d'ailleurs son jeu qu'au moment de porter le coup fatal. pour l'heure il serait un client aimable et respectable. Rôle qu'il jouait à merveille d'ailleurs.

Malgré sa mise de voyageur exténué, il prit la peine de se redresser, le port altier, et d'avancer d'une démarche assuré en dépit de ses jambes courbaturées par le trajet. Quand il fut à son niveau, il inclina légèrement la tête.

"Madame, je viens chercher en vostre établissement le gîte et le couvert pour quelques nuits. Trois ou quatre tout au plus. Avez vous une chambre disponible ?"
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Elle était occupé quand le messire s'approche en plus parlant.

"Madame, je viens chercher en vostre établissement le gîte et le couvert pour quelques nuits. Trois ou quatre tout au plus. Avez vous une chambre disponible ?"

Puis une demoiselle fit son entré et s'approche aussi en s'adressant a la tavernière.

- Bonjour dame tavernière, bonjour messire ! Je m'appelle Ambre et j'aimerai voire la propriétaire s'il vous plait !

Elle sourit au deux personne et leur répondit.

- Messire j'ai une chambre voici la clé, c'est en haut de l'escalier deuxième porte a gauche. Bon séjour parmi nous.

Puis répond a la demoiselle.

- Bonjour demoiselle Ambre, je suis la propriétaire de cette auberge, je m'appelle Mariceleste de Plantanièvre mais tout le monde dit Mari alors faite pareil. Alors vous cherchez du travail ? Hum.. effectivement vous pourriez m'aider, bon j'accepte de vous prendre quelques jours et si vous faite un bon travail je vous garde, vous aurez le gîte et le couvert ! Cela vous conviens t-il ?

La jeune fille réfléchit un instant avant de donner ça réponse.

- Et bien Dame Mari j'accepte votre offre et croyez-moi vous ne serez pas déçue, donc je devrais faire quelle genre de travail ?
- Vous vous occuperez de faire les chambres, m'aider en cuisine, faire le service et me remplacer au bar quand je devrais m'absenter. Voici la clé de votre chambre elle se trouve en haut de l'escalier dernière porte a droite, ça vous conviens ?

Lui tend sa clé.

- C'est parfait je peux commencer de suite après mettre installer dans ma chambre.

La patronne regarde la demoiselle monter a l'étage tout en sifflotant et sourit.

[Bien des semaines plus tard......]

La rouquine était derrière son comptoir a laver des verres et choppes quand une Dame entra avec plusieurs animaux et volatile.

- Bonjour, je voudrais vous demandez si on peut dormir ici ? Et si oui, acceptez vous les animaux, ne vous inquiétez pas, ils sont dressés et très sympathique. Si on ne peut pas dormir ici, ce n'est pas grave, ne vous inquiétez pas.
- Bonjour Dame et bienvenue dans ma taverne, bien sur que vous pouvez dormir ici pour vos animaux pas de problème s'ils ne bougent pas trop.

Elle attrape une clé et lui tend.

- Tenez prenait la clé c'est en haut de l'escalier troisième porte a droite et bon séjour parmi nous !


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Mari la serre fort contente de la revoir.

- Ah oui c'est vrais, je me souviens maintenant tu faisait partit du groupe qui nous avez apportée a manger... pioufff ça fais déjà pas mal de temps dit dont.

- J'ai entendue parlais de cette période avec Bryn... ça maladie....l'Espagne. Ça pas du être facile pour se faire comprendre en Espagne.
En plus il te mette un procès au fesses, tu as fais que parler et ils ton acquitté... a bien oui, ils ne comprenaient rien a notre langage.

Sourire de satisfaction car cette gamine savait se débrouiller toute seule.

- C'est ta marraine qui ta demandée de venir pour aider a la mine, c'est bien ça. Moi ? et bien moi j'ai fais beaucoup de chose, mais là, je suis la nouvelle Procureure.
Et oui j'ai adoptée une fillette qui airé dans les rue de Sarlat elle est entrée dans ma taverne et ça était le "coup de foudre" je vais dire et depuis on se quitte plus, bon a part en se moment ou elle est restée a Bergerac pour faire une cure de fruits, elle est chez une amie donc je ne m'inquiète pas trop.
Oulala je parle, je parle, et je t'ai pas offert a boire, aller opp un ptit verre.....

Elles continuèrent a papoter jusqu’à l'arriver des premiers clients....
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*Elle se leva d'un bond en le voyant entrer et s'affaler sur le sol, le coeur serré pour lui, inquiète de le voir descendre toujours plus bas dans la douleur et dans l'amour. Elle ignorait que faire et n'arrivait qu'à tenter de le protéger, maladroitement. Elle regarda Okwawi qui observait la scène en se demandant ce qu'il se passait. Décidément, quel spectacle ils lui donnaient là ! C'était de pire en pire ! *

Nom de nom ! Mais qu'est-ce que tu as fait Zolgan ! Comment t'es-tu mis dans cet état ?

*Elle le poussa sur la chaise en soupirant avant de faire un bond sur le comptoir pour se glisser derrière et chercher dans un boucan monstrueux l'énorme casserole cabossée qui servait habituellement à tabasser le portier.*

Mais elle est où cette fichue casserole ?

*Encore quelque bing, quelques bong et elle finit par sortir la casserole de sa planque pour repasser dans la taverne-même avec son trophée. Elle jeta un coup d'oeil à Zolgan en grimaçant, inquiète de le voir ainsi, sans doute par sa faute, et elle sortit en courant pour tirer de l'eau au puit.*

Mari était partit pour Espalion avec son fils Mundi, ça fille Zéline et un ami pour aider son fils a déménageait la bas. Après des jours d'absence la Rouquine venait enfin de rentrer a Sarlat, quelle passa d'abord a sa taverne quelle avait confiée a Patt, tout était parfais elle avait tenue son rôle de tavernière d'une main de maitre.

Mari était très satisfaite d'avoir engagée son amie Patt comme tavernière, elle pouvait partir tranquille mais voilà quelle entendit des choses bizarre qui ce serait passé dans ça taverne, elle ni prêta pas trop attention et alla voir l'architecte pour l'agrandissement de son établissement car Patt avait réussi a trouver la pièce manquante pour cela.

Voilà l'architecte fit son travaille et la taverne de la Rouquine fit agrandit pour avoir dix places et oui elle avait réussi a faire faire cela, ~ Les Amazones ~ comptait dix places maintenant. Patt était satisfaite d'avoir put l'aider et quitta son rôle de tavernière pour quelques temps et le confia a la Rouquine, bin oui elle prit des congés pour surmenage et je la comprend un peut car son pas facile certains heinnn !

Tout allait bien pour Mari, ça taverne marchait bien et la vie lui souriait a nouveaux !!
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La gamine n'avait pas eu envie de pousser jusqu'aux Mures. Elle ne savait pas si elle repartait le soir-même ou pas, et du coup, aller dormir aux Amazones lui avait paru la meilleure solution.
Ses jambes étaient fourbues, mais elle n'avait pas fait de mauvaises rencontres, ce qui était l'essentiel.

Retrouver Mari, faire connaissance de sa fille, revoir également Dame Bryn qu'elle avait accompagnée en Espagne quand elle souffrait de sa jambe, ou sa hanche elle savait plus trop, lui ferait très plaisir.

Zol n'est pas d'un naturel très bavard, c'est souvent ce que les bavards apprécient chez elle, son écoute, mais quand elle était avec Mari, ou encore Sandreen, elle s'animait un peu et laissait un sourire envahir son visage. Mais là, c'était plus un peu d'espièglerie que l'on pouvait reconnaître dans son sourire, elle n'avait prévenu personne de sa venue, enfin Sandreen évidemment, mais c'était tout, lorsqu'elle pousse la porte de l'auberge et qu'elle passe la tête et aperçoit Mari.

Excusez-moi m'Dame, mais vous z'auriez une chambre pour une pauvre Cadurcienne fourbue ?
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La gamine, ravie de sa surprise, poutouille la rousse de sa marraine et s'installe volontiers près d'elle.

Ben...
Pendant la guerre je vous ai apporter à manger, j'étais avec des amis à toi tu te souviens ?

Ensuite, ben j'suis allée à Toulouse, Patt voulait que j'escorte Dame Bryn en Espagne pour qu'elle voit le médecin maure tu sais, sa jambe, 'fin comme elle était muette à l'époque, j'ai pas tout compris.
Là-bas ils m'ont fait un procès parce que je vendais du poisson, ils voulaient pas croire que c'était de ma pêche cette bande de nuls, 'fin y'avait celle aussi de Dame Bryn, étant noble, elle pouvait pas décemment tenir étal au marché. Alors j'ai parlé, parlé... en françoy bien sûr, et ils m'ont acquittée.

Après... Ah ben j'ai ramenée Dame Bryn et ensuite je l'ai escortée jusqu'à Castillon, pis j'suis rentrée à la maison. Et m'revoilà pour aider à la mine Mari !

Et toi ? Il parait que tu as adopté une petite ? Elle est où ? Je peux la voir ?
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Mari attrapa ça fille et la serra très très fort contre elle, elle ne voulait plus l lâcher.

- Ma chérie tu ma fait une de ces peur quand je t'ai pas vue,mais la ça va beaucoup mieux.

Elle lui demanda se quelles allait faire aujourd'hui et se posait une question en voyant les deux personne avec sa mère.

- Ma fille je te présente heuu.... en fait je ne connait pas vos noms a tout les deux, vous êtes ? Moi je m'appelle Mariceleste de Plantanièvre dicte Mari et ma fille Zeline !
- Enchantée Dame Mari et damoizelle Zeline, moi je suis Mariette.[/b]
- Mouai que des donzelles pfffff.... moi c'est Froissard !
- Soyez les bien venue a Sarlat et chez moi. Bon et bien on va aller voir ma demeure ma fille et vous venez vous aussi Mariette et Froissard, je pense que j'aurais besoin de vous.

Mari avec l'aide de Mariette prépara un panier de pique nique et alla a sa demeure pour les faire visiter car tout le monde aller vivre la bas au "Glycines"
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[Les jours passe et ne se ressemble pas...]

La journée était longue, beaucoup de voyageurs étaient a Sarlat et au "Amazones".
Parmi les voyageurs il y avait des personnes quelle avait déjà rencontrée et sympathisé avec, et d'autres passait juste pour se nourrir. Parmi eux elle avait fait la connaissance de Messire Vitali, un homme charmant qui a perdu la vue, les discutions aller bon train entre Messire Vitali, Gluth, la Rouiquine et ça fille Zeline, une dame entra dans la taverne, elle avait malade. Vitali fit les présentation, cette Dame était ça compagne Cissou est son nom.

Elle avait une douleur sur le coté gauche Au file des discutions Dame Cissou lui demanda si elle connaissait quelqu'un qui pourrai la soigner. Mari accepta de le faire en lui demanda de lui montrer ou elle avait mal, Cissou souleva ça chemise.
Elle avait une plaie au niveau du flan gauche en dessous des cotes, Mari accepta de le faire. Elle s'approcha et regarda de plus près cette blessure et alla chercher se qu'il faut pour nettoyer et éventuellement recoudre si nécessaire.

- Je vais vous nettoyez cette plaie et faire quelle points, ça va vous faire mal un peut, mais on a pas le choix si vous voulez que ça guérisse vite.

Vitali raconta se qui c'était passé pour que ça compagne soit blessée, Elle lui nettoya en faisant doucement et lui fit des points de suture, binn oui la rouquine faisait de la couture sur Dame Cissou. Elle termina sans problème , épongea le reste de sang qui coulait et lui mit un bandage légèrement serré pour proteger la blessure de tout corps étranger qui pourrai lui infecter.

- Voilà j'ai terminer, mais faite très attention et pas de mouvement brusque cela pourrai craquer les points !

La Rouquine était fier d'elle, une journée qui se termine très bien !
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La patronne n'allait pas tarder à rentrer, il fallait donc tout mettre en ordre. Le souci, c'est qu'un certain nombre de Sarladais s'était mis en tête de la faire tourner en bourrique et la taverne ressemblait plus à un champ de bataille qu'à une auberge où le client pouvait venir se sustenter tranquillement et ensuite y dormir dans le plus grand calme.

Ces derniers jours, la vindicative était plus vindicative que jamais, des chopes avaient été cassées, le sol détrempé un nombre incalculable de fois et ses mains avaient perdu toute leur beauté, rouges qu'elles étaient à force de frotter le sol et de laver la vaisselle. De plus, une des plus belles marmites en cuivre de Mari était désormais plus ou moins cabossée, -'fin plus plus que moins- tout ça parce que le portier ne comprenait pas les coups de poing...

La môme au loup avait hâte de passer la main, elle avait besoin de s'occuper un peu d'elle et Mari n'aurait qu'à reprendre un peu du service après tout. Les volets était ouverts sur une matinée plutôt frisquette, c'était fou comme les températures avaient baissé ces derniers jours, et la vue sur le lac était des plus agréables.

Patt s'étire, se tourne pour observer le travail accompli, prend sa cape et sa besace et sort, direction les Mures...
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Zeline s 'installa à table, puis mangea les bonnes tartines que Guy lui avait préparé. Un coup de léchotte par ci, un coup de léchotte par là, les mains dégoulinantes de confiture favorisaient le collage de doigts :

- Merci Guy j'suis contente t'occupes bien moi !

Elle but tranquillement son lait, puis se hâta d 'écrire à sa mère:

Elle plia le pigeon soigneusement en tirant sa langue, puis le tendit à Guy pour qu il l 'accroche à la patte du volatile, afin que celui-ci fasse son travail de voyageur.

Mari mains sur les hanches commencer a bouillonner de l’intérieur quand se vieille ivrogne lui répondit comme ça, fallait que ça colère sorte et le secouant toujours lui répondit.

- Mais dite dont vieille ivrogne, pour qui vous vous prenez pour me parler comme ça ! Vous êtes devant la porte de ma taverne, alors dégageait de là et plus vite que ça.

Mari insista lourdement a se qu'il parte de la et elle y arriva. Il se leva et se tourna vers la Rouquine en titubant et lui fit ces gros yeux pour lui faire peur, mais il n'y arriva pas.
La vieille homme rajusta ces vêtements, si on peut appeler ça des vêtements car même des haillons étais mieux que se qu'il avait sur le dos et tripotant ces cheveux crasseux elle aperçue une vilaine coupure.

- Attendait !! c'est quoi cette coupure sur votre front , c'est pas jolie ça, bon aller entré chez moi je vais regarder ça.

Mari le fit entrer et s'occupa de soigner ça blessure tout en lui parlant.

- Dite moi ou allez vous dormir ces prochain jours par se froid. silence de quelques secondes puis elle reprit. Si vous êtes d'accord j'ai u e proposition a vous faire, je dois ré ouvrir ma demeure et il y a quelques réparations a faire ça vous dit d'y de les faire ? j'vou sfournie une bonne paillasse et de la nourriture après on verra une fois les réparations terminées. Alors quand dit evous ?

L'homme ne dit point un mots pendant quelques minute puis la regarda lui faisant comprendre qu'il acceptait ça proposition.
Mari le remercia en lui offrant un bon repas chaud et vêtements propres, elle irait lui montrer ça demeure plus tard, car là elle devait partit pour Bergerac quelques jours
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A Bergerac la veille....

zéline se réveille dans sa couche d 'une nuit, désastre elle se lève rapidement en cherchant sa mère du regard. Personne de présent dans la chambrée, louée pour la nuit. La petite s 'habille malhabilement, puis se dirige vers la porte pour appeler sa mère ;

- MARIIIIIII, J'SUIS TOUTE SEULE !!!!

L'oreille tendue pour mieux entendre la réponse de sa mère, qui ne vînt pas en écho. Dépitée l 'enfant attendit la main sur la poignée de la porte qui resta entrouverte une bonne partie de la journée. La faim la fit sortir de la chambre, elle descendit les escaliers pour fureter vers le comptoire et manger quelques morceaux de pain avant de voir sa mère venir la chercher.

Il était évident qu'elle l 'avait oublié, elle vit sasha attablée avec Fredo et Edermeche , elle ne souvenait plus très bien du nom de la femme de fredo. Ils discutaient tous autour d 'une chope des événements de leur matinée.

Zéline leur fit une bise à tous, puis leur annonça qu 'elle était perdue, enfin abandonnée, par sa mère personne n'y a cru ! Elle pleurait à chaudes larmes sa poupée serrée contre son coeur, elle disait qu 'elle connaissait personne dans cette ville de Bergerac, quelle était seule au monde, Sasha lui fit remarquer que c 'était pas vrai, elle lui proposa même de l 'adopter, zéline refusa sa proposition en lui disant qu 'elle aimait trop sa mère adoptive, pour en changer.

Puis Fredo la posa sur le dos de tétoua, d 'où lui vînt l 'idée de revenir à dos de chèvre à Sarlat. A peine arrivée à Sarlat qu'elle commença à crier sa tête basculée en arrière, ses deux mains de chaque côté de sa bouche :

- OHééééé, j 'suis là, d'retour ......

Nell ne repondit pas vraiment a la proposition de koub pour etre son matelot, elle etait un peu fatigué et son dos la faisait souffrir, elle se contanta de hocher la tete, un air un peu lointain. Ils monterent dans la chambre, koub un peu decu que Nell n'est pas relevé.

[A la chambre]

Nell dans l'eau soupira d'aise, l'eau chaude fit du bien a sa douleur de dos et elle en profita un peu sous le regard quelques peu lubrique de koub. Il l'aida a sortir et se rhabiller avant de plonger lui meme dans l'eau.

-tu sais que tu es beau?

Nell s'allongea sur le lit a son tour et le regarda sans vergogne. elle se vit se lever de l'eau, se secher et se rhabillé et c'est ens oupirant qu'elle s'arracha a sa contemplation pour la promenade.

-allons y !

ils sortir de la taverne apres avoir prevenu la taverniere.

[Au bord du lac]

Les etoiles etaient magnifiques, le ciel de toute beauté mais l'air hivernal etait lui glacial. Nell se blottis contre Koub et profita du baiser pour se rechauffer un peu.

-Oui nous devrions nous promener plus souvent ensemble, les routes c'est bien mais on est souvent pressé et chargé. Que dirais tu d'un pique nique au bort de l'eau chez nous?

Il faisait vraiment tres frois et ils reprirent leur promenade en revenant vers la taverne. L'heure etait avancer et ils allaient se coucher.

[Le Lendemain]

Les besaces etaient prete, koub et nell finissaient de tout prendre.

-La nuit a etaient bonne, cette chambre est vraiment parfaite! es tu pret? Alors allons y!!!

Nell descendit ses affaires et laissa Koubiak payer leur chambre, apres tout il etait l'homme non? a cette idée elle sourit.

"Il va adoré!" pensa t elle en riant toute seule.

-Au revoir dame et merci pour votre acceuil! Nous reviendrons surement chez vous la prochaine fois! Mon compagnon arrive il va vous regler la chambre! bonne journee!

Nell attendit devant la porte l'arrivé de koub.
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[En taverne]

Koub étant bien installé et confortablement assis réponda a la taquinerie de sa douce par un sourire en coin.

Oui nous pourrions venir passer quelques jours ici, dans se cas je m achèterais une barque pour pouvoir pêcher au plus loin.
Oh et aussi se faire une balade en barque! je serais le capitaine et toi mon matelot.

Il sourit a ses dire se disant que l idée du capitaine n allait pas lui plaire.

[A la chambre]

Il était ravi de voir sa petite puce au ange et heureux de la voir prendre ses aise. Il lui donna un coup de main pour lui faire son bain.

Le bain te fera le plus grand bien!

Il la laissa lui prendre son bain pendant que lui s allongea sur la couche pour rêvasser un instant.

Je vais prendre un bain aussi et ensuite nous irons nous promener.

Il l aida a sortir du bain, la sécha soigneusement en rendant le moment sensuelle puis il plongea dans le bain. Il ne traina pas et sorti, se sécha et s habilla.

On y va mon coeur?

[En taverne]

Ils déscendèrent et vit mari sur le coin du comptoir.

Et bien dame votre chambre est chouette, je vous remercie. Nous allons aller nous promener et profiter des environs.

Il lui sourit et se dirigea main dans la main avec sa douce vers la porte.

[Au bord du lac]

Le ciel etait clair, les etoiles cintiller dans le ciel. L ambiance y etait assez lumineuse garce a la reverberation des étoiles sur le manteau neigeux. Ils se baladèrent au bord du lac.

Ca fait du bien de se ballader, pas de bouclier, pas de besace que du bonheur.

Il s arreta un instant, enlaca sa douce, il la regarda amoureusement et lui dit:

Qu est ce que je t aime, tu es merveilleuse..

Il l embrassa amoureusement puis continua leur balade...

Oui oui je suis la, on dirait une gamine qui reclame un bonbon...

Se mit a rire et s installa a la table

Il trouvait l acceuil de Mari fort sympathique, il s installa et savoura sa chope. Il eu remarqué qu elle lui donner les clefs et se dit:

Je vais passer pour le majordhomme si ca continue.

Bah bah il etait bien la assis, la chope au bord des levres.

Il s imagina deja quelques heures plus tard confortablement installé dans le baquet d eau chaude a reluqué sa belle...

Il se tourna sur ca douce et dit:

Je pense qu on va bien se plaire ici, en tout cas l acceuil est chaleureux, et tu as vu le lac? on le voyait tantot

[un peu plus tard dans la chambre]

Koub etait chargé, il deposa les affaires et regarda la chambre. Il regarda nell et dit:

et bien, on va etre plus que bien ici tu penses pas?

Nell savait que koubiak aurait preféré retenir la chambre lui meme, c'est d'ailleur pour cette raison qu'elle l'avait devancé. Histoire de la taquiner un peu. elle le vit sourir en la regardant attendre la chambre et fronca les sourcils avant de murmurer:

-quesqu'y te faire rire????

elle le vit commander a boire et demander ou en etait la chambre.

-et bien je pense que ca va pas tarder! nous pourrions nous installer a table pour une tisane qu'en penses tu? heu je boirais une tisane et toi ta choppe que tu as deja!!!

Elle se tourna vers la comptoir.

-Heu excusez moi! nous allons nous installer a table! prenez votre temps pour la cle merci! pourrions nous avoir une tisane et une autre choppe?

Nell alla s'assoir et tira la langue a koubiak en riant. elle le regarda et pensa qu'il etait reellement beau mais qu'elle ne lui en dirait rien.

-ben alors tu viens?
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Nell entra dans l'auberge, menu et presque cacher derriere son enorme bouclier et son epee. Elle posa ses affires et se tourna pour voir si son compagnon koubiak etait derriere elle. Elle s'avanca vers le comptoir qu'elle depasser d'une tete a peine.

-bonjour! auriez vous une chambre pour deux s'il vous plait? avec une baignoire si possible?

Nell sourit en vopyant koubiak se battre avec ses besaces a lui et les sienne a elle qu'il avait tenu a lui porter. Un bodet aurait ete moins chargé. Elle alla le soulager de son fardeau pour le poser dans un coin de la piece et apres un baiser, revient vers la comptoir.
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vous aurez votre chambre a l'étage
- C'est d'accord je vous prends !!

Une chambre, une vrai, elle avait bien entendu, elle rêvait pas la blondie. Elle quitta le coin de cheminée pour s'approcher de la Dame qui lui avait répondu et fit un petite courbette en lui prenant les mains.

Grand merci M' Dame de vot' bonté, j'peux commencer tout d'suite, le ménage, la cuisine et tout et tout, ça m'fait pas peur.

Elle lâcha les mains de la Dame et sourit.

J' commence par quoi?

Tout le monde étaient occupé a se prendre dans les bras et se bisouiller quand une jeune damoiselle entra dans la taverne.

B'jour tout l'monde!! j'm'appelle Jhoanna!! Dites zavez pas b'soin de quelqu'un pour un peu d'aide? Je cherches un peu d'travail contre un endroit pour dormir, même un coin dans la grange j'suis pas exigeante.

Mari s'approcha d'elle et la salua.

- Bonjour damoiselle et soyez la bienvenue dans ma taverne. Effectivement une aide me serai fort utile avec ma taverne et mon moulin puis ma demeure "les Glycines" que je vais ré ouvrir. Hum j'veux bien de votre aide vous aurez votre chambre a l'étage en attendant que les Glycine ré ouvre.

Mari lui sourit et prend un temps de réflexion pour se décider.

- C'est d'accord je vous prends !!
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ho pourquoi parler des choses qui fache?
Mundi sentait une odeur exquise qui s'echapper du comtoir.
Alor mari tu nous offre a boire ou on doit mourrir de soif?
La tante a fait un si long voyageMundi toujour avec le sourire
Et oui patoche sinon je vais tres bien.

Bon y a des jours comme ça ou tout vas mal faudrai laisser la porte fermer et aller se recoucher. Bien non la Rouquine l'avait pas fait ça, mais alors elle était là avec sont tonnelet quelle essayait de planqué de la vue des poivrots et dieux sait qu'il y en a de ces tit bètes là, mais elle n'y arrivait pas.

Bon pour comprendre je vais résumer, Mari essaye de cacher quelque chose, Patt la surprend en criant comme une folle suivit de Angelyne qui crit aussi puis de son fils.Comment voulez que le coeur de Mari flanche pas heinnnn !! La Vindicative cache Mari qui cache le tonnelet pour pas que les deux autres le voient.

- Nan mais ça va pas ? vous êtes malades les filles de hurler comme ça, vous voulez ma mort ou quoi ?

Mari devenait toute rouge !
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Y'avait comme qui dirait une vague déferlante de rouquines en P.A. ces derniers temps... Denrée fort rare en des temps pas si lointains, voilà que désormais ça se reproduisait à vue d’œil... Mais y'en avait des spéciales, des qui n'ont pas leur langue dans leur poche, des qui aiment bien taper sur les brigands, et accessoirement le Ponant, des qui sont souvent blessées mais tout le temps sur le ring, enfin des toutes calmes quoi, la quintescence de la femme d'intérieur qui torche les mioches et poutouillent leurs hommes. Naaaaaaaan !!! Porte nawak ! C'est leurs hommes qui les poutouillent, c'est les nounous qui torchent et c'est les rouquines qui picolent. Farpaitement !!!

Bon l'erreur de parcours dans tout ça, c'est tout de même l'Affreux, alias Mundi, celui qui est diplômé es-calottes de Rouquine derrière la tête... Lui, Patt s'en serait bien passé. Retrouver Angeline ça par contre c'était une bonne surprise, mais pourquoi n'avait-elle pas fermé la porte de la taverne à clé juste après être rentrée !!! Voilà que l'autre était là c'est malin tss...

Quand Patt avait compris ce qu'elle avait faillit faire tomber, elle avait légèrement pâli, mais quand elle avait vu arriver coup sur coup Angeline et Mundi, elle s'était mise devant Mari afin que les deux boit sans soif ne voient pas le tonnelet. Le ton était légèrement hypocrite et le regard faussement innocent...

Aaah ! Quelle bonne surpriiiseuh !
Comment ça va vous deux ?

La vindicative est plutôt du genre brut de décoffrage, alors quand elle s'essaie au sourire commercial et au ton faussement enjoué, le résultat est plutôt pitoyable. What else ?
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Mundi se leva de bonne humeur mais pas de bonne heure et profita de faire un tours en ville.
Les cloches de l'eglise sonna Midi.

Tien je vais aller manger chez ma chère mère.

Mundi prit la direction de la tavernes des "Amazones" et y entra.

bonjour,
c'est bien ici la maison de retraite??

Mundi regarda les trois femmes presentent devant lui

Ils sont arrivés de bon matin.
Elle décide de ne pas perdre de temps et d'aller à la rencontre de sa rousse de frangine.

Quelques ruelles parcourues et la voilà non loin de la taverne recherchée.
Quelques pas encore et c'est une autre rousse qui se glisse chez "Les Amazones".
Sourire qui s'étire et pas de loups pour surprendre les deux rouquines.

Elle ouvre doucement la porte, sans bruit, seul un froissement de tissus vient la faire grimacer. Elle suspend son geste mais entend aussitôt l'exclamation tonitruante de Patt et profite de l'aubaine pour se glisser à sa suite à l'intérieur.

Comme un écho et histoire d'exagérer l'entrée.

Youhouuuuuuuu !!!!
Devinez qui c'est !!!
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Angeline Ysengrin Louvelle

Après plus de sept mois d'absence, la Rouquine revient a Sarlat avec plusieurs blessures qu'ont lui a infliger pendant ces longs mois de guerre qui faisait rage dans pas mal de Comté et Duché.

Enfin Sarlat cela faisait du bien de rentrer chez soit de redécouvrir son village, les tavernes et revoir les amis.
Après mure réflexion Mari décide de ré ouvrir ça taverne, se quelle fit mais pas tout de suite, bien oui fallait nettoyer, ravitailler et le faire colporter dans tout le village que la Taverne "Les Amazones" allait reprendre vie au saint du village.

Elle descendit a la cave chercher un objet qui lui tenait a coeur, la pancarte avec le nom gravé dessus fabriquée par son amie de toujours.. Patt.
En continuant de fouiller elle retrouva pas mal de chose ainsi qu'un petit tonnelet parfaitement intact contenant de la liqueur de poire offert par la Vindicative, il était telle qu'elle avait laisser et personne ne l'avait trouvé... pioufff ce breuvage était précieux fallait pas faire n'importe quoi avec.

La Rouquine remonta en salle avec le tonnelet quelle cacha en cuisine bien a l’abri des regard indiscret, faut dire que se breuvage est apprécié de tous et si certain apprenne que la Rouquine en a en ça possession vont tous vouloir lui vider le tonnelet.
Elle le cacha vite fait.

- La... voilà... ici c'est parfait... personne ne le verra.... hihi !! Tu sera bien protégé ici.

La Rouquine passa la matinée a nettoyer, ranger, ravitailler pour que tout soit près pour le repas du midi. Mais il y avait encore les quelques chambres a nettoyer qui se trouvait a l'étage, elle si précipita.
Ouverture des fenêtres pour aérer, époussetage des matelas et oreillers, dépoussiérages des meubles et tout aller êtres impeccable. Après avoir tout fait Mari était prête pour ré ouvrir ça taverne il y avait plus que a attendre les premier clients.
Elle prit la pancarte et l’accrochât a l'entré avec une inscription supplémentaire quelle accrocha juste au dessus.

RE OUVERTURE DE LA TAVERNE !


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Elle avait la charge de s'occuper de la taverne en l'absence de la patronne, chose quelle faisait très bien et les clients sans plaignez pas bien au contraire.... elle était au petit soins pour eux.

Le ravitaillement était fais, les chambres aussi et la cuisine était tenue d'une main de maitre, elle avait toujours le sourire quoi qu'il arrive.
Les clients défiler depuis quelques jours et la noiraude ne savait plus ou donner de la tête mais elle assumait son role sans jamais se plaindre ni être désagréable avec les clients.

Pfff... je vais mériter un peux de repos quand là patronne sera revenue halala !

Continue son travail avec le sourire.

Colum entra dans la taverne
Phyla et Rod commençaient vraiment à lui manquer
Il aurait mieux fait de partir avec...
Il savait que Marie et Pat étaient de leur amis
Alors il espérait trouvé ici un peu de réconfort

Coucou, il y a quelqu'un ?

La Rouquine faisait le ménage a l'étage quand elle entendit une petite voix qui appelait, elle descendit pour voir qui cela pouvait être. Elle se trouva nez a nez avec Colum le petit elfe de Phyla et Rod, il était perché sur une poutre.

- Ohh Colum mais qu'est ce qui s'passe, t'es tout triste ? Ah je sais, Phyla et Rod te manque c'est ça ? Tu sais quoi, tu vas rester avec moi et Zeline, je suis sure que Phyla serait d'accord plus tôt que te savoir triste, Aller viens descend de la haut.

Mari l’attrape, lui fait un calin et un bisou sur la joue puis l'assoie sur le comptoir.

- Reste la, je fini le ménage et après je t'emmène chez moi.
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Promenons nous dans l' bois ...pendant que l' loup y est, s'il l 'est là je le mange tout cru moi !

Heureuse de revenir du bois, zéline récitait une comptine nouvellement apprise. Elle se dirigea vers la tavernes " Les amazones " pour embraser sa mère et Patt. Surprise quand elle entendit en entrant, le gnome installé sur le comptoir à demander s 'il pouvait mettre le feu à l 'âtre. Ahurie elle regarda l 'inconnu puis lui lança telle une flèche en plein visage :

- Maissssssssssss t 'veux mettre le feu où toi ? pis j 'te connais pas et mère veut t'garder avec nous. Moi j 'suis pas d 'accord.

D 'un pas assuré, elle tapa au sol avec la semelle de sa botte. Mécontente de surprendre une discussion pour apprendre que ce quelqu 'un viendrait habiter chez elles ....Non Mais Oh, moi j'vais pas m'laisser faire, pis sa place va être dure à gagner à celui là.


Zéline toisa l 'homme de haut en bas, puisque perché sur le comptoir, il devait penser dominer la situation, mais ça c 'était méconnaître mini rouquine.

- Pourquoi t 'veux habiter chez nous toi ? Et pis t 'es qui ? Et pis d 'où viens tu ?
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Le puit des désirs n 'a pas de fond

Elle faisait le ménage a l'étage en chantonnant quand elle fut interrompue par une voix qui appelait, elle descendit en salle pour voir cette personne qui cherchait la tavernière.
Une foi sen bas elle se trouva nez a nez avec une demoiselle.

- Bonjour demoiselle vous cherchiez la tavernière c'est ça ? Bon bien la tavernière n'est pas là et en plus c'est un tavernier, mais si vous voulez a boire et une chambre je peux vous aider car je travail ici.

Elle passa derrière le comptoir pour préparer se que la demoiselle lui demanderai.