Santiagoriccardo

Citation:
Tenant compte de l'annonce suivante :
Moi, Santiago Riccardo, désire apporter quelques précisions et explications.
Premièrement, qu'il soit su que la dite motion de censure n'a pas été acceptée à 9 voix contre 3, mais à 8 voix contre 3.
La voix du Comte comptant double, c'est ce qui a permis aux élus d'AVENIR d'obtenir mon renvoi.
Deuxièmement, l'on m'accuse d'un rapport hebdomadaire mensonger. Or, il n'en est rien, comme l'ont prouvées les discussions au Conseil Comtal.
Le pôle économique ne parvient toujours pas, après plusieurs semaines, à s'organiser concernant les mines, même si ces derniers jours, cela semblait quand même s'améliorer.
Comme le prouve cette motion de censure, les décisions du Conseil Comtal sont bel et bien imposées par AVENIR, et le Conseil Comtal est lui-même soumis aux décisions d'AVENIR et de son Comte.
Troisièmement, l'on m'accuse de mépris envers les autres conseillers. Comment pourrait-il en être autrement lorsque dès le début, vous êtes mis à l'écart et que vous ne pouvez strictement rien faire pour contrer les magouilles et les arrangements vicieux qui se font ?
Eric avait raison sur un point : ce n'est pas la dictature au Conseil Comtal, mais bien la démocratie.
La différence entre les deux, c'est que dans la dictature, t'as pas le droit de parler, et dans la démocratie, t'as le droit de parler, mais on ne t'écoute pas.
Quatrièment, l'on m'accuse de participation non-constructives. Or, j'ai toujours été le premier à participer aux débats sur le coutumuer et les mines, en proposant des alternatives, des modifications et des solutions.
Cependant, est catalogué comme non-constructif par les membres d'AVENIR, tout ce qui n'abonde pas dans leur sens.
Cinquièmement, l'on m'accuse d'avoir déstabilisé le marché de Castelnaudary, alors qu'aucun procès n'a été lancé, que je n'ai été ni jugé, ni condamné pour cela.
Tout ce que l'on me reproche est purement subjectif.
Je refuse donc, en mon âme et conscience, de démissioner du Conseil Comtal pour les raisons invoquées.
Je n'ai jamais plié aux menaces, ni aux procès, ni à la prison, ni aux amendes, et ce n'est pas aujourd'hui que ça commencera.
De même, je considérerai comme nulle et non-avenue, toute décision rendue par la justice toulousaine et menée par les membres d'AVENIR. En aucun cas, ces procédés et ces méthodes ne peuvent être apparentés à de la "justice".
J'affirme donc que tant que la politique d'extermination des opposants politique menée par AVENIR perdurera, je ne lâcherai pas prise.
Enfin, j'aimerais conclure en jurant, devant tout le peuple toulousain, que la prise d'Albi aurait été évitée si la sécurité du Comté était gérée par le Conseil Comtal, et pas seulement par Eric, Legidue, Neo, Fofinha et Monton, qui prennent à eux seuls toutes les décisions relatives à la sécurité en toulousain.
Continuez à m'appeler "Conseiller Comtal", mais plus "Conseiller du Comte".
Titi'.
Citation:
Ausissètz ! Ausissètz !
A tous, Nòblas, Sénher e dòna, Gus e Gusa, Jovenet, e Joveneta, passats, estant e a encorrir,
Nous, Amellyne d'Angemont Gaenor, Porte-Parole du Conselh de Tolosa, venons à vous pour annoncer la motion de censure à l'encontre du Conseiller Santiago.
En vertu de l'article 2.5 de notre présente Charte, un membre du Conseil comtal peut proposer une motion de censure à l'encontre d'un autre Conseiller comtal si celui-ci commet des actes indignes de sa fonction.
Une motion de censure a été déposée à l'encontre du Conseiller Santiago pour les raisons suivantes :
- Rapport hebdomadaire mensonger.
- Mépris continuel à l'encontre de la plupart des autres Conseillers.
- Participation et interventions non constructives.
- Déstabilisation avérée du marché de Castelnaudary.
Suite au vote du Conseil comtal, la motion de censure a été adoptée par 9 voix pour et 3 voix contre. La majorité absolue étant atteinte, Messire Santiago se doit de démissionner ce jour de sa fonction de Conseiller.
En cas de refus de démission, Messire Santiago sera révoqué et il pourra se voir traduit en justice devant un tribunal toulousain pour haute trahison.
Extrait de l'article 2.5 de notre Charte : Seul un membre du conseil comtal peut proposer une motion de censure à l'encontre d'un autre conseiller comtal ou du Régnant en exercice.
Qu'une motion de censure est réputée adoptée si une majorité absolue de neuf voix la soutient dans les trois jours après le dépôt de ladite motion.
Qu'une motion de censure adoptée provoque la démission du Régnant ou du conseiller comtal au plus tard le lendemain de ladoption du vote.
Qu'une démission provoquée par motion de censure doit être annoncée publiquement.
Le Régnant pourra alors être jugé pour haute trahison, idem pour le conseiller comtal récalcitrant s'il ne démissionne point de son propre chef.
Fa dins lo Castèl de Tolosa,
Lo 12 mai de la annada MCDLX,
Par nous, Eric d'Aymercah de Roquecourbe, Comte de Tolosa.
Parteg e Grandesa nos menaran a la Glòria


Ausissètz ! Ausissètz !
A tous, Nòblas, Sénher e dòna, Gus e Gusa, Jovenet, e Joveneta, passats, estant e a encorrir,
Nous, Amellyne d'Angemont Gaenor, Porte-Parole du Conselh de Tolosa, venons à vous pour annoncer la motion de censure à l'encontre du Conseiller Santiago.
En vertu de l'article 2.5 de notre présente Charte, un membre du Conseil comtal peut proposer une motion de censure à l'encontre d'un autre Conseiller comtal si celui-ci commet des actes indignes de sa fonction.
Une motion de censure a été déposée à l'encontre du Conseiller Santiago pour les raisons suivantes :
- Rapport hebdomadaire mensonger.
- Mépris continuel à l'encontre de la plupart des autres Conseillers.
- Participation et interventions non constructives.
- Déstabilisation avérée du marché de Castelnaudary.
Suite au vote du Conseil comtal, la motion de censure a été adoptée par 9 voix pour et 3 voix contre. La majorité absolue étant atteinte, Messire Santiago se doit de démissionner ce jour de sa fonction de Conseiller.
En cas de refus de démission, Messire Santiago sera révoqué et il pourra se voir traduit en justice devant un tribunal toulousain pour haute trahison.
Extrait de l'article 2.5 de notre Charte : Seul un membre du conseil comtal peut proposer une motion de censure à l'encontre d'un autre conseiller comtal ou du Régnant en exercice.
Qu'une motion de censure est réputée adoptée si une majorité absolue de neuf voix la soutient dans les trois jours après le dépôt de ladite motion.
Qu'une motion de censure adoptée provoque la démission du Régnant ou du conseiller comtal au plus tard le lendemain de ladoption du vote.
Qu'une démission provoquée par motion de censure doit être annoncée publiquement.
Le Régnant pourra alors être jugé pour haute trahison, idem pour le conseiller comtal récalcitrant s'il ne démissionne point de son propre chef.
Fa dins lo Castèl de Tolosa,
Lo 12 mai de la annada MCDLX,
Par nous, Eric d'Aymercah de Roquecourbe, Comte de Tolosa.
Parteg e Grandesa nos menaran a la Glòria

Moi, Santiago Riccardo, désire apporter quelques précisions et explications.
Premièrement, qu'il soit su que la dite motion de censure n'a pas été acceptée à 9 voix contre 3, mais à 8 voix contre 3.
La voix du Comte comptant double, c'est ce qui a permis aux élus d'AVENIR d'obtenir mon renvoi.
Deuxièmement, l'on m'accuse d'un rapport hebdomadaire mensonger. Or, il n'en est rien, comme l'ont prouvées les discussions au Conseil Comtal.
Le pôle économique ne parvient toujours pas, après plusieurs semaines, à s'organiser concernant les mines, même si ces derniers jours, cela semblait quand même s'améliorer.
Comme le prouve cette motion de censure, les décisions du Conseil Comtal sont bel et bien imposées par AVENIR, et le Conseil Comtal est lui-même soumis aux décisions d'AVENIR et de son Comte.
Troisièmement, l'on m'accuse de mépris envers les autres conseillers. Comment pourrait-il en être autrement lorsque dès le début, vous êtes mis à l'écart et que vous ne pouvez strictement rien faire pour contrer les magouilles et les arrangements vicieux qui se font ?
Eric avait raison sur un point : ce n'est pas la dictature au Conseil Comtal, mais bien la démocratie.
La différence entre les deux, c'est que dans la dictature, t'as pas le droit de parler, et dans la démocratie, t'as le droit de parler, mais on ne t'écoute pas.
Quatrièment, l'on m'accuse de participation non-constructives. Or, j'ai toujours été le premier à participer aux débats sur le coutumuer et les mines, en proposant des alternatives, des modifications et des solutions.
Cependant, est catalogué comme non-constructif par les membres d'AVENIR, tout ce qui n'abonde pas dans leur sens.
Cinquièmement, l'on m'accuse d'avoir déstabilisé le marché de Castelnaudary, alors qu'aucun procès n'a été lancé, que je n'ai été ni jugé, ni condamné pour cela.
Tout ce que l'on me reproche est purement subjectif.
Je refuse donc, en mon âme et conscience, de démissioner du Conseil Comtal pour les raisons invoquées.
Je n'ai jamais plié aux menaces, ni aux procès, ni à la prison, ni aux amendes, et ce n'est pas aujourd'hui que ça commencera.
De même, je considérerai comme nulle et non-avenue, toute décision rendue par la justice toulousaine et menée par les membres d'AVENIR. En aucun cas, ces procédés et ces méthodes ne peuvent être apparentés à de la "justice".
J'affirme donc que tant que la politique d'extermination des opposants politique menée par AVENIR perdurera, je ne lâcherai pas prise.
Enfin, j'aimerais conclure en jurant, devant tout le peuple toulousain, que la prise d'Albi aurait été évitée si la sécurité du Comté était gérée par le Conseil Comtal, et pas seulement par Eric, Legidue, Neo, Fofinha et Monton, qui prennent à eux seuls toutes les décisions relatives à la sécurité en toulousain.
Continuez à m'appeler "Conseiller Comtal", mais plus "Conseiller du Comte".
Titi'.
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