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[RP] Eglise Saint Valentin

Walan
Et voilà, on y était. La noce avait fini par entrer dans l'édifice, les mariés se plaçant finalement sur les bancs du premier rang ... ils auraient peut-être un peu dû réviser les placements en fait, parce que ça avait été un peu confus. Mais ils y étaient quand même, enfin, et la cérémonie débutait.

Au dehors, les hommes d'armes de Sans Repos devaient resserrer légèrement leur protection, se rapprocher un peu de l'église et surveiller davantage les portes. Si toutefois ils faisaient ainsi qu'il le leur avait ordonné ... Mais ils le feraient, il avait choisi exprès les plus fiables et compétents des gardes de ses fiefs, et certains d'entre eux étaient déjà à son service des années auparavant lors du ... précédent. Cette fois donc, rien ne viendrait l'arrêter ... du moins de l'extérieur, et le stress qui ne manquait pas d'habiter Walan -malgré son visage impassible- changea de cause, pour se déplacer de la crainte que quelque chose n'arrive à Marie vers le mariage proprement dit.

Observant sa future épouse, les témoins, les autres mariés de ses yeux gris, rendant légèrement le sourire de la première, il finit par poser le regard sur l'officiante et répéter le confiteor à mi-voix.


Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
Parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

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Bradbury
Eglise Saint Valentin, qu'on lui avait dit, sauf qu'elle avait égarée le plan la menant à ladite Eglise et de fait elle c'était perdue dans la ville entre coin et recoin.

Pour qui la connaissait, la voir se perdre dans une ville n'avait rien d'inhabituelle, ni même de surprenant... Mais arriver en retard au mariage de sa meilleure amie, c'était le comble...

...C'est donc essoufflée, qu'elle monta les marches du parvis et se glissa dans l'édifice parmi les invités, pour entendre la prière.


Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
Parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

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Ewaele
Les choses, les personnes, tout allait sans doute trop vite, cette journée passerait comme tant d'autres et il leur resterait quoi en souvenir de ce moment qu'on disait important dans une vie ? Elle voyait visage après visage faire son arrivée, certain très remarquées tandis que d'autres se faisaient furtives, des fois un échange avec l'un des futurs, parfois un sourire, parfois... Rien. Un regard peut-être pour l'un d'entre eux attendant sur le parvis le signal pour enfin pénétrer dans l'église et faire ce pourquoi ils étaient là... Se marier!!!

Mais la rousse était préoccupée et ce n'était rien de le dire. Plus elle voyait les amis, connaissances, badaux arriver, plus elle se demandait où était passé son témoin... S'il y avait un jour à ne pas lui faire faux bond c'était bien celui là... Il n'oserait quand même pas ne pas venir, ne pas être là alors qu'il lui avait dit oui, qu'il lui avait dit qu'il ne manquerait ce moment pour rien au monde... Pourtant au fond d'elle, une petite voix comme une ritournelle essayait de lui faire entendre que cela sentait le vinaigre, mais elle ne voulait pas l'entendre ainsi...

Un cri d'enfant déchira l'air un instant et comme dans certain scénario tout devint brouillard, elle ne voyait plus que cette frimousse... L'ébauche d'un sourire se dessina sur les traits de la rouquine, elle lâcha le bras de son promis et avança d'un pas... Une petite bombe s'élança vers elle non pas sans avoir essayer d'avoir l'accord de sa mère... Mais l'envie étant plus forte, elle se jeta de tout son poids d'enfant contre Ewa qui la réceptionna tant bien que mal... Une étreinte dura un moment sans un mot... Juste deux coeurs battant à l'unisson, des visages exprimant tout un tas de sentiments aussi forts les uns que les autres, mais cela ne pouvait rester en l'état. Les corps se décrochèrent enfin et l'enfant rejoint sa mère, non sans avoir garder encore un moment la main de la rousse dans la sienne, laissant les doigts filer les uns contre les autres dans un long processus...

Il était temps s'en doute d'y aller, elle avait occulté encore beaucoup de choses, trop prise dans son propre vécu de cette journée, mais elle aperçut tout de même deux trois visages qui tantôt la firent sourire, tantôt baisser la tête ou encore... Oui encore et encore... Elle glissa à nouveau sa main sur l'avant bras d'Enguerrand et se perdit dans son regard. A cet instant précis il n'y avait que lui, qu'eux, leur symbiose qui lui rappelait pourquoi elle avait choisi d'être là à ses côtés et qui prenait toute l'ampleur de ses choix... Son regard dans le sien, nulle parole, elles auraient été de trop, des doigts lentement caressaient le tissus sur lequel ils reposaient, une poitrine qui se soulevait et s'abaissait plus que de raison, laissant voir une respiration plus saccadée, les émotions prenant le pas dans ce moment n'appartenant qu'à eux, elle aurait pu approcher ses lévres et se perdre dans un baiser envoûtant, passionné, mais était-ce vraiment le moment? Pourtant elle aurait aimer se perdre à cet instant avec lui... Au lieu de cela elle fit un signe de tête comme pour signifier qu'elle était prête et... Ils partirent vers leur destin... Traversant enfin le parvis, et les rangés de bancs dans l'église, ils prirent place!

La cérémonie commença et avec les autres elle reprit...


Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
Parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

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Enguerrand_de_lazare
Remettre avant toute chose les faits dans le bon ordre. Au pied de cet hôtel il était à présent, sans l’avoir bien compris, aux bras de sa compagne.

Son joli ruban rose, elle l’avait remarqué. Il n’en avait douté, ce clin d’œil fort aisé, d’un récent épisode aux couleurs chamarrées, mince bout de tissu en était le rappel. Il avait échappé, de justesse il est vrai, à panoplie complète digne de polichinelle, le faisant ressembler à belle fraise engoncée.

Les amis arrivaient, un à un, tour à tour. Connaissances plus lointaines et même quelque famille, à l’un ou l’autre liée, s’était donc présentée. Chevaliers de Licorne, amies des dames blanches, et même des inconnus, à ses yeux tout du moins.

Les compliments fusaient, à ces dames de prime, tant en ce jour là, leur beauté sublimée, ne pouvait donc manquer de tous les éclipser.
Un baiser échangé, le bras de sa promise, ou sa main sous le sien, ils étaient donc parés.

Un sourire à celle-ci, elle ne changera point, mais c’est ce qu’il aimait chez elle cette audace, qui jamais ne manquait de surprendre ou choquer, mais qui lui l’amusait et surtout le charmait.

Un instant, une seconde, elle s’était détachée, enserrant dans ses bras une enfant surgie là. Désormais revenue, le signe fut donné d’un rapide coup de temps ils pouvaient s’élancer.

Assis donc sur son banc, diaconesses devant eux, compagnons, camarades, sous la nef réuni, il fallait y passer, une prière réciter.
Plongé dans ses pensées, ce moment attendu, il songeait à celle qui, d’ici peu le serait, une femme aimée, aimante et passionnée, une âme sœur retrouvée, qu’il n’aurait du quitter.

Un regard discrètement pour elle seule adressé, avant de réciter, la prière consacrée :


Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
Parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.


Voilà qui était fait, une épreuve de passée.
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Linien_lamora
La foule récita la prière de confession en coeur, Eilinn faisant particulièrement attention à ce que les futurs époux fassent acte de contrition.

Le très Haut convoqua ses créatures, et les interrogea sur le sens de la vie. Il interrogea alors les humains.

Alors, Oane répondit: "Tu as certes fait Tes créatures se nourrissant les unes des autres. Il leur faut chasser et tuer pour se nourrir. De même, il leur faut se battre pour défendre sa vie. Mais il n’y a pas de fort ni de faible. Personne ne rabaisse ni ne piétine les autres. Nous sommes tous unis dans la vie et nous sommes tous Tes humbles serviteurs. Car Tu es notre créateur."

"C’est pour cela que Tu as donné des talents plus beaux les uns que les autres à toutes Tes créatures. Chacune d’elles a sa place dans Ta création. Son talent permet à chacune d’elles de la trouver. De ce fait, il n’y a pas de créature préférée de Toi, ô Très Haut. Nous sommes toutes pareillement aimées par Toi et nous nous devons tous de t’aimer en retour. Car, sans Toi, nous n’existerions pas. Tu nous a créés alors que rien ne t’y obligeait et nous nous devons de t’aimer pour te remercier de ce geste."

"Nous sommes certes enchaînés à la matière, certes soumis à ses lois, mais notre but est de tendre vers Toi, l’Esprit Éternel et Parfait. Donc, selon moi, le sens que Tu as donné à la vie est l’amour." Alors Dieu dit: "Humain, puisque tu es le seul à avoir compris ce qu’était l’amour, Je fais de tes semblables Mes enfants. Ainsi, tu sais que le talent de ton espèce est sa capacité à M’aimer et à aimer ses semblables. Les autres espèces ne savent aimer qu’elles-mêmes."


Une pause et elle reprit.

Ce passage du Livre des Vertus nous explique la raison de cette cérémonie. Les hommes peuvent s'aimer, et aimer le Très Haut également. Le mariage est ainsi la bénédiction divine de cet amour entre les hommes, qui de cette façon transcendent leur condition. L'Amour est une des façons de suivre la voie de la Vertu, si celui-ci est pur, dénué de malice et accompli dans l'espoir du bonheur et de la fécondité.

Eilinn se tourna vers Walan et MarieAlice.

Walan de Meyrieux, Marie-Alice Jagellon, il est temps pour vous d'échanger vos voeux maritaux.
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Feu Eilinn Melani-Durée
Vicomtesse d'Avize
Héritière des Macarons Durée
Aimbaud
Quelle cousine ? Ah ça ! Oh oui, c'était une belle fête aussi. Mais tu y étais ?

Répondit Aimbaud en prenant Cassian par l'épaule afin qu'ils s'acheminent vers les bancs de l'église. Il n'avait pas remarqué l'air courroucé de son comparse, et d'ailleurs, comment aurait-il pu supposer la rancoeur qui habitait ce pauvre coeur déchiré ? Lui qui pensait mortes les amours de Cassian depuis belle, voire magnifique, lurette.

Mon épouse ? Euh, très bien, très très bien.

S'empressa-t'il de préciser à Mariealice, afin de la rassurer une fois de plus sur l'état du couple Josselinière-l'Épine. Couple dont les partis ne s'étaient pas croisés depuis près de trois semaines, en témoignait notamment l'absence de Clémence à ce mariage. Mais auprès de la suzeraine, sauver les apparences était une question de vie ou de mort ! Bref, de fil en aiguille, nos protagonistes en vinrent à prendre siège dans l'église parisienne.

À mi-voix, Aimbaud récita la prière, puis écouta attentivement la messe.

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Walan
C'était donc à eux de commencer des deux couples, avec l'échange de vœux traditionnel. La chose n'était pas vraiment pour mettre Sans Repos très à l'aise, en réalité. Non pas qu'il n'était pas à l'aise pour s'exprimer en public, au contraire il l'était depuis longtemps et le demeurait ... mais par contre il n'était guère doué dans l'expression de sentiments. Surtout celui-ci, et surtout en public. Mais il le ferait, bien entendu, ne serait-ce que pour Elle et pour lui montrer ce qu'elle représentait pour lui.

Les yeux aciers se fixèrent sur la brune, plus longuement que précédemment, tâchant d'englober son image, de contempler comme il disait -un peu pour la taquiner car elle n'aimait guère, mais surtout parce que c'était la vérité-, puis ils remontèrent pour se plonger dans le regard de Marie, tandis qu'il prononçait les vœux préparés.


Je te vis un beau jour, Violette parmi les roses, et je te trouvais la plus belle de toutes et la plus plaisante à mon gré.
Nous nous sommes parlés depuis, découverts, apprivoisés, taquinés, puis aimés. Et nous voici arrivés ici, après une attente ... impatiente ...


Les lèvres du brun s'élevèrent un bref instant à l'évocation de ladite attente qui avait parfois tourné à la torture pour tous les deux, mais il continua.

... pour enfin nous unir et consacrer cet amour.

Aujourd'hui, je m'engage librement devant le Très Haut et les hommes à m'unir à toi, à t'être fidèle, à toujours t'offrir mon soutien, ma présence et mon amour. Cet amour qui ne cessera jamais envers la Violette que je vis ce jour béni.


C'était fait. Court, concis ainsi qu'il y était habitué, mais sincère. Et c'était maintenant à elle tandis qu'il ne quittait pas ses yeux du regard.
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Mariealice
Voici que le moment des vœux arrivait. Marie se sentait nerveuse pour la première fois depuis le début de cette cérémonie, comme s’il était simple et évident pour tous que l’on pouvait ainsi dire à voix haute et devant tous ce qu’il en était, ce qui les avait amenés à cet instant précis. Aaaah et vous croyez qu’en la regardant ainsi, en lui disant de telles choses – là encore en public et le connaissant c’était encore pire pour lui -, bref, que tout ceci allait l’aider ? Que nenni. Tout au contraire. Parce qu’elle commença par rosir puis rougir tout à fait sous le regard d’acier qu’elle connaissait pourtant si bien. Auraient-ils été ailleurs qu’un grognement se serait élevé ou bien qu’un baiser serait venu clore ses lèvres aimées. Mais non, ici et pour l’heure, impossible. Et surtout c’était à elle.

Elle commença par déglutir et inspirer profondément, histoire de reprendre une teinte normale à tout le moins tout en tentant, vainement ceci dit, de calmer un tant soit peu les battements de son cœur.


La vie est aussi taquine que tu sais l’être. Je me souviens d’un mariage et d’un banquet…, celui d’Anne vers qui ses yeux se tournèrent rapidement avant de revenir vers le brun devant elle, où je décidais de trouver, dieu sait pour quelle raison, une organiste pour les orgues que je comptais t’offrir. Si au départ cela aurait être dû être Ewaele, là imaginer la tête de la rousse à sa place ne put que la faire sourire, finalement tu dus te contenter de moi. Peut-être était-ce ce que tu souhaitais au fond, et cela le devint pour moi, lentement, doucement, sans même que je m’en rendis compte. Il a bien fallu se rendre à l’évidence, la Violette a trouvé son Ours. Tu es là, toujours, quoi qu’il se passe, où que ce soit et quoi qu’il puisse t’en coûter.

Je m’engage ce jour, non à te supporter mais à t’aimer, à te rester fidèle, à faire de notre vie une taquinerie permanente pour que j’aime tu ne te lasses de cette violette qu’un jour tu vis.


Un sourire, taquin forcément, vint se poser sur ses lèvres, comme pour mieux masquer l'émotion. Et il avait intérêt à rougir à son tour. Non mais!
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Anne_blanche
Quel âge avait Anne quand Walan lui avait raconté son histoire, cette horrible histoire de fiancée assassinée devant l'autel de ses noces ? Une dizaine d'années tout au plus. Elle se définissait alors comme une adulte enfermée dans un corps d'enfant. Elle comprenait les rouages de l'économie, de la diplomatie, de la géopolitique, mieux que bien des adultes. Et son esprit enfantin en avait déduit qu'elle n'avait d'enfant que l'apparence.
Mais l'histoire de Walan l'avait marquée bien plus qu'elle ne l'eût fait à n'importe quel adulte. Des nuits et des nuits, les cauchemars s'étaient succédé, où se mêlaient la jeune morte, ses propres parents, et plus tard son frère. Elle ne s'en était jamais ouverte à personne.

En ce jour d'épousailles, elle avait peur. Elle savait que c'était irraisonné, idiot, que si elle en parlait à l'officiante ou à un autre prêtre on la regarderait sévèrement et on lui dirait de prier le Très-haut qu'Il lui pardonne ses pensées impies.
Mais elle n'y pouvait rien, d'autant qu'elle savait que Walan aussi avait peur. Elle l'avait deviné en constatant, sur le parvis, la présence de ses hommes d'armes. Pas n'importe lesquels : les meilleurs, ceux en qui il avait le plus confiance.
Fort heureusement, plus que la mort subite de la fiancée - somme toute fort peu probable - elle craignait que le fiancé ne vît sa peur. Aussi se tenait-elle bien droite, bien coite, tout en tâchant de s'occuper l'esprit de quelque faribole. Anne avait vu le manège de Matheline, sur le parvis. Elle lui avait décoché un de ces regards à vous arbalétiser sur place, du genre qui faisait rentrer la tête dans les épaules à ses subordonnés... et qui ne faisaient à sa servante ni chaud ni froid. Il est vrai que la pauvre Matheline avait été sa nourrice, et l'os sur lequel elle s'était fait les dents.

Avec tous les assistants, elle récita le Confiteor. Comme toujours, la prière l'apaisa. Marie ne craignait rien. Dans quelques instants, elle serait l'épouse de Walan devant le Très-haut et les hommes.


Je te vis un beau jour, Violette parmi les roses

Elle était là, ce jour-là, toute petite fille morte de peur à l'idée de réciter son poème devant le roi Levan, rassurée par les mots de Marie et Walan, par le parfum de violette et le regard calme.

Je me souviens d’un mariage et d’un banquet…

Le sien... Anne ne vit pas le regard de Marie, elle avait baissé les yeux, pour dissimuler l'eau qui perlait au bord de ses cils.
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Eilinnmelani


Les voeux furent prononcés, et Eilinn s'adressa aux témoins présents.

Les mariés ont-ils choisi d'avoir des alliances ?


Il fallait bénir les deux bijoux si c'était le cas.

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Feu Eilinn Melani-Durée
Vicomtesse d'Avize
Héritière des Macarons Durée
Mariealice
Oui.

Simple, direct, efficace. Enfin dans les paroles parce que là, Marie était en train de chercher sa bourse surtout, qu'elle avait accrochée à sa ceinture pensait-elle. Sauf que non, elle était dissimulée dans une de ses manches et elle faillit pousser un cri de victoire en sentant enfin le cuir sous ses doigts. Se reprenant, elle l'ouvrit l'air de rien pour en sortir l'anneau destiné à Walan qu'elle tendit à Eilinn.

Voici.
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Walan
Acquiesçant également à la question de l'officiante, Walan observa un bref instant Marie chercher l'alliance qu'il porterait avant de sortir lui-même l'anneau d'argent ouvragé -ce même anneau qu'elle avait senti avant d'entrer dans l'église lorsqu'elle avait voulu vérifier qu'il n'avait pas renforcé sa tenue par quelques plaques de métal- qu'il aller passer au doigt de la brune et de le présenter.

Et voici également
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Eilinnmelani


Eilinn prit les anneaux présentés par MarieAlice et Walan, qu'elle bénit. C'était un moment solennel durant la cérémonie, puisque l'union était sur le point d'être bénie devant le Très Haut. Elle eut un signe de tête pour les futurs époux.

Vous pouvez désormais échanger les anneaux, qui symboliseront le lien entre vous, mais également envers Dieu.

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Eilinn Melani-Durée
Vicomtesse d'Avize
Héritière des Macarons Durée
Mariealice
Aaah c'était donc cela qu'elle avait senti contre son torse. Et bien sûr il s'était bien gardé de lui dire quoi que ce soit. Ne pas grogner là tout de suite maintenant mais... Mais elle se vengerait. Na.

Elle reprit l'anneau une fois celui-ci béni, prit la main du brun et, en le regardant dans les yeux, le fit glisser lentement le long de l'annulaire.

On y était presque.

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Walan
La réaction de Marie en le voyant sortir l'anneau de la petite poche de sa tenue valait le coup d'oeil ... et risquait de coûter quelque vengeance à Walan à l'avenir. Elle lui avait souhaité et juré une vie de taquineries, et effectivement cela risquait fort de l'être. Mais la rougeur qu'il avait pu voir sur son visage un peu plus tôt, pendant qu'il faisait lui-même ses voeux, montrait bien que leur relation ne s'arrêtait pas à la taquinerie, loin de là, et confirmait s'il était encore nécessaire les sentiments de Sans Repos pour la Violette.

Tendant la main pour qu'elle lui passe l'anneau une fois celui-ci bénit, tout en gardant son regard dans le sien, il prit à son tour l'alliance d'argent pour la faire glisser doucement au doigt de Marie, un sourire apparaissant également sur ses lèvres.

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