Falco.
Prologue
Dijon est une solide forteresse, Bourgogne n'ayant rien à envier aux Roys de France en matière de puissance.
SOnt point faible principal réside justement dans sa renomméee.
Trop de routes, de portes et poternes pour gérer les afflux des Foires et échanges quotidiens.
Cela oblige les défenseurs à coordonner leurs efforts depuis la Tour du Bar.
Elément dominant du palais Ducal à même d'envoyer ou recevoir des signaux ou des troupes aux points névralgiques.
Autours, lentement, les armées impàériales, malgrés un effectif loin d'etre plethorique, ont su bloquer les issues et couper la cité de l'exterieur.
Pieux, fossés, postes de garde.
Point encore d'engins de siége ou d'artillerie, ce qui est etonnant (faudra me corriger si je me trompe= LJD Falco).
Eux même ont un point fort.
Ils peuvent sans soucis porter leur assaut ou bon leur semble.
Et un point faible.
Les armées royales peuvent débouler dans leur dos .
Le Mardi du 6 de Fevrier les forces Royales décidérent de tenter une rupture de siége.
Deux armées royales approchées à portée de déploiement devant assaillir les Imperiaux sur leur point fort.
Les forces dijonnaise tentant uen sortie par une porte afin de soutenir l'effort.
Ca c'était le plan initial.
Ils foirent toujours.
Mais assaut fut donné, malgrés un sol détrempé génant aux chevaux, et des brumes glacées génant bien des signaux de bannerets de part et d'autre.
De l'assaut des Armées Royales nous ne savons encore peu de choses.
De la sortie des assiegés un peu plus.
Foutus Teutons!
Pieux et fossés, mantelets et fagot les protégeant.
Autant de dangers à détruire pour obliger l'adversaire à reculer sa ligne des murailles.
Parce que porter un belier sur 40 métres c'est diablement plus facile que sur 60, j'vous l'dis!
Par exemple.
Y compris pour l'artillerie ou la précision des archers ou betement des travaux de sape.
Combiens d'oriflammes et de blasons richements peints mêlés à des soldats aguerris ou de fortune sortant soudain d'une porte de Dijon?
Devant eux, du Teuton.
Du solide.
Et loin derriére eux, le fracas d'une bataillle plus conventionnelle.
Ca galope sur le pont levis.
En face ç hurle des ordres.
L'ennemi était au courant de l'assaut visiblement.
Cela est un autre souçis qui sera éclaircis plus tard.
Car en Anjou aussi, l'ennemi de la Couronne avait bien du mal à faire des suprises.
MIRANDOLE! MAMELUE ON LES BOUFFERAS CRUS!
POUR LE ROY ET DIJON, GRILLONS LEURS ROGNONS!
Et en face:
L'EMPIRE SERA VOTRE TOMBEAU HERETIQUES!
CREVEZ DEMONS BOUFFEURS D'AIL!
La première bataille d'importance de Dijon, de la Croisade de Rome contre celui qu'elle nomme l'Anti ROy, vient de commencer.
Dans la joie et la bonne humeur.
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