Sulfura
« La résignation est un suicide quotidien. »
Honoré de Balzac
Impétueuse. Femme à la poigne d'airain. SulfurA semblait être là en chair et en os et avec toutes ses pensées noueuses. Avoir son bouc auprès d'elle la rassurait. Elle ne voulait pas s'en séparer. Il était comme un Talisman et le perdre serait une Fatalité. Superstitieuse la sulfureuse ou plutôt réaliste. Etrange, elle se sentait changer. Elle avait l'impression d'être une tout autre personne et pourtant, on ne cessait de lui répéter "tu n'as pas changé, toujours la même." N'était elle pas juste devenue un vent contraire ? Le reflet de sa propre personne miroitait encore aux yeux de ceux qui la connaissaient. Mais comme elle l'avait écrit à Clément, qui la connaît vraiment ? Même elle, elle ne sait qui elle est vraiment.
Il fut un temps où elle était une Reyne... Fierté démesurée face à ce surnom. Statut qui lui était donné avec une telle aisance et une telle évidence. S'en montrer digne, oui. Etre la Sulfureuse. Mais le souffre avait posséder chaque circulation de son énergie.
La brebis était toujours à ses côtés. Interminable quête qui n'a plus de but ni de fond. SulfurA ne sait plus quel chemin entreprendre alors, elle préfèer s'oublier, c'est plus facile. Autant en emporte le vent qui entraîne ses pas. Elle doit se concentrer sur les autres, non sur elle. Elle avait trop fait d'esclandres. Digne d'elle.... non car il n'y a plus de Royaume.
La brune voyait le sourire de son bouc. Il lui avait tant manqué. On se rend compte du lien qui nous attache à une autre personne que lorsqu'on croit l'avoir perdu. Ce sourire est là enfin sous ses yeux. Pourtant, ce n'est pas la même. Il manque quelque chose. Ce sourire est traître. Aucune sincérité ne fait courber la commissure de ses lèvres. Malgré cela, il continue de sourire. Est ce plus facile Exa ?
La vagabonde a envoe d'exploser de rage mais à côté il ya sa brebis. Le visage terne qui a besoin d'être ranimer par un rai de lumière. Elle n'est plus Reyne de son Etat étant donné la chute de son Royaume... elle ne peut plus, elle ne sait plus soulager les maux de ses paires. Que faire ? Disparaître dans les limbes de l'Oubli. Ce serait plus facile mais pour qui ? SulfurA avait appris et réalisé des choses. Des morceaux, des bribes de ces découvertes avait été divulgués à la brebis mais la réaction n'était pas celle escomptée. La brune ne sait plus rien. Ne sait plus faire. Elle est rien en soi. Pourtant, elle ne peut s'empêcher de laisser sa langue se délier, s'agiter au gré de ses émotions présents. Ces instincts dont elle a fait sa priorité. La brebis et le bouc. Son repère et sa fraîcheur.
L'impétueuse semble baisser les bras pour un temps indéterminé parce qu'on a tous besoin de souffler. Un moment de répit dans sa lutte acharnée. Un bouc et une Brebis. Etre là pour chacun deux... mais difficiles quand leur routes respectives est barrée par un obstacle immense. La tour de Babel. Elle la gravira de ses ongles et elle l'atteaindra quoiqu'il en coûte car elle n'a plus que ça....
Elle voulait se sentir importante et elle n'était que le reflet d'un lac où baigne sa passion passée. La brune semblait résignée parce qu'elle était devenue impuissante. Sa force s'était estompée derrière une parodie de sa hargne. Mais tout cela n'est que du paraître et fait partie du Temps présent...
Où aller ? Vers d'autres mirages invisibles que seuls ses pensées renfermeront.
Direction .... le sourire d'une Brebis Galeuse, le reste est secondaire !
Honoré de Balzac
Impétueuse. Femme à la poigne d'airain. SulfurA semblait être là en chair et en os et avec toutes ses pensées noueuses. Avoir son bouc auprès d'elle la rassurait. Elle ne voulait pas s'en séparer. Il était comme un Talisman et le perdre serait une Fatalité. Superstitieuse la sulfureuse ou plutôt réaliste. Etrange, elle se sentait changer. Elle avait l'impression d'être une tout autre personne et pourtant, on ne cessait de lui répéter "tu n'as pas changé, toujours la même." N'était elle pas juste devenue un vent contraire ? Le reflet de sa propre personne miroitait encore aux yeux de ceux qui la connaissaient. Mais comme elle l'avait écrit à Clément, qui la connaît vraiment ? Même elle, elle ne sait qui elle est vraiment.
Il fut un temps où elle était une Reyne... Fierté démesurée face à ce surnom. Statut qui lui était donné avec une telle aisance et une telle évidence. S'en montrer digne, oui. Etre la Sulfureuse. Mais le souffre avait posséder chaque circulation de son énergie.
La brebis était toujours à ses côtés. Interminable quête qui n'a plus de but ni de fond. SulfurA ne sait plus quel chemin entreprendre alors, elle préfèer s'oublier, c'est plus facile. Autant en emporte le vent qui entraîne ses pas. Elle doit se concentrer sur les autres, non sur elle. Elle avait trop fait d'esclandres. Digne d'elle.... non car il n'y a plus de Royaume.
La brune voyait le sourire de son bouc. Il lui avait tant manqué. On se rend compte du lien qui nous attache à une autre personne que lorsqu'on croit l'avoir perdu. Ce sourire est là enfin sous ses yeux. Pourtant, ce n'est pas la même. Il manque quelque chose. Ce sourire est traître. Aucune sincérité ne fait courber la commissure de ses lèvres. Malgré cela, il continue de sourire. Est ce plus facile Exa ?
La vagabonde a envoe d'exploser de rage mais à côté il ya sa brebis. Le visage terne qui a besoin d'être ranimer par un rai de lumière. Elle n'est plus Reyne de son Etat étant donné la chute de son Royaume... elle ne peut plus, elle ne sait plus soulager les maux de ses paires. Que faire ? Disparaître dans les limbes de l'Oubli. Ce serait plus facile mais pour qui ? SulfurA avait appris et réalisé des choses. Des morceaux, des bribes de ces découvertes avait été divulgués à la brebis mais la réaction n'était pas celle escomptée. La brune ne sait plus rien. Ne sait plus faire. Elle est rien en soi. Pourtant, elle ne peut s'empêcher de laisser sa langue se délier, s'agiter au gré de ses émotions présents. Ces instincts dont elle a fait sa priorité. La brebis et le bouc. Son repère et sa fraîcheur.
L'impétueuse semble baisser les bras pour un temps indéterminé parce qu'on a tous besoin de souffler. Un moment de répit dans sa lutte acharnée. Un bouc et une Brebis. Etre là pour chacun deux... mais difficiles quand leur routes respectives est barrée par un obstacle immense. La tour de Babel. Elle la gravira de ses ongles et elle l'atteaindra quoiqu'il en coûte car elle n'a plus que ça....
Elle voulait se sentir importante et elle n'était que le reflet d'un lac où baigne sa passion passée. La brune semblait résignée parce qu'elle était devenue impuissante. Sa force s'était estompée derrière une parodie de sa hargne. Mais tout cela n'est que du paraître et fait partie du Temps présent...
Où aller ? Vers d'autres mirages invisibles que seuls ses pensées renfermeront.
Direction .... le sourire d'une Brebis Galeuse, le reste est secondaire !