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Cathédrale Saint Maximin d'Aix

Ascram
Très émue, elle s'agenouilla et prononça ses voeux :

"Oui, je fais le voeu d'officier ma charge de diaconnesse, en étant à l'écoute des fidèles et en servant la messe, ainsi que de guider mes ouailles dans la voie de la vertu tracée par Christos, notre Messie."

Elle fit une courte pause et reprit :

"Oui, je fais voeu de toujours obéir au dogme, au droit canon ainsi qu'à ma hiérarchie et de n'oeuvrer que pour le salut des fidèles qui me seront confiés."

En exprimant ces voeux, elle savait que la tâche ne serait pas facile. Mais elle se sentait des ailes, et attendit sereinement la suite.
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Altina
Altina, serrant son fils tout contre elle, priait en son fond intérieur, toujours dans la discrétion.
Ce baptême faisait ressurgir en elle un bon morceau de son passé, de son enfance heureuse passée auprès de son jumeau et de ses parents, à sillonner les royaumes pendant les diverses missions de restauration de vitreaux dont seul son père avait le secret.
Elle posa ses yeux sur sa progéniture, endormie avec un sourire aux lèvres, avec cette même douceur dont elle avait été entourée par sa mère.
Les yeux embués, elle se refusa à penser au destin tragique qui avait amené ses parents à rejoindre le Très-Haut beaucoup trop vite.


Elle soupira quand elle sentit une précense arriver près d'elle. Une chaleur bien connue qu'elle eut du mal à se résoudre à croire, là... à côté. Elle sentit sa main se poser sur le banc. Elle s'en saisit d'un geste tendre et assez ferme, le coeur empli de bonheur de le voir. Elle le fixa et lui adressa un long sourire. Edorazio déposait toujours le même regard amoureux qu'autrefois sur elle, tantôt passionné, tantôt rassurant et aimant. Elle reprit en coeur le crédo, d'une voix plus calme et douce afin de ne pas faire sursauter Alessandro.

Altina observa Yluxe recevoir le sacrement du baptême. Elle était fière de ce que cette jeune femme pouvait inspirer et lui insuffler. La traversée des épreuves la rendait plus belle et forte à chaque moment. Son Parrain et elle étaient les modèles même de l'essence de la vie pour Altina.

Elle souriait à la vue de Yluxe descendant les marches pour retrouver son fiancé Réthy. Elle lui adressa un signe de la tête, tout en serrant un peu plus la main d'Edorazio, profitant de chaque minute qu'Aristote et surtout ses supérieurs de l'Armée voulaient bien lui accorder., essayant ainsi de lui transmettre tout l'amour qu'elle lui portait.

Elle observait atentivement la suite des cérémonies.

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Ysabelle
Ysabelle était restée en arrière dans l'ombre ne voulant pas rencontrer certaine personne. Elle c'était retiré de la vie politique surement à jamais, elle se consacrerait à la défense de la Provence et surtout à penser à elle avant les autres.

Elle avait vu Richelieu entrer dans la cathédrale toujours aussi beau et fière dans ses habits de cérémonies. Elle l'admirait depuis le premier jour qu 'elle l'avait rencontré au château dans la salle de classe où elle étudiait en tant que sergent. Beaucoup de temps s'était écoulé depuis.

Elle écouta son Eminence débuté la cérémonie et fût surprise d'entendre le nom de Richelieu. Surement qu'il allait l'aider durant la cérémonie pour sa soeur et Ascram et plus Ingeburge parlait et plus Ysabelle avait de la difficulté à comprendre ce qui se passait ou elle ne voulait pas comprendre.

Elle fit signe à Arthur d'aller chercher les cheveaux, elle voulait rentrer tout de suite à Forcalquier. Elle sortit sans un bruit dès que Richelieu commença à parler.
Eavan
La jeune femme observait depuis le fond de la cathédrale. Plus que cela en réalité puisqu'elle vivait intensément chaque baptème auquel elle assistait ou chaque cérémonie de nommination ou d'ordinnation. C'était à chaque fois une preuve de l'engagement de certains provençaux vers cette Eglise Aristotélicienne qu'Ingeburge defendait depuis un certain temps déjà.

Les souvenirs revenaient en vagues, tantot légères et tantot dévastatrices d'intensité. Il lui semblait avoir pour la première fois adressé la parole directement à l'Archevèque, l'ex-Archevèque d'Aix, en Arles lors de la Peste.
Puis elles s'étaient croisées parfois, à l'occasion d'un baptème ... Ou d'autres évènements moins réjouissants comme l'annulation de son mariage.

La jeune vétérante de l'Armée de Provence gardait un masque de neutralité, comme lors d'un défilé. Il était impressionnant de voir en face de soi quelqu'un qui ne montre que détermination et rigueur. Elle l'avait vécu et avait appris à masquer ses sentiments lorsqu'il le fallait.
D'où elle était elle ne pouvait distinguer ce que beaucoup nommaient le miroir de l'âme : le regard. Mais elle devinait que cela ne devait pas être simple de partir, de laisser terres, connaissances, amis. Et cette grande cérémonie ne devait pas aider Ingeburge à garder son calme.
Les gestes d'amitié des personnes qui passaient devant elle devaient entamer un peu plus à chaque fois le masque de concentration que la Princesse de Cologne portait.
Eavan avait un grand respect pour son Eminente Altesse Ingeburge. Non pas à cause des titres qui se succédaient derrière son nom, mais parce qu'elle se doutait qu'une telle présence, un tel engagement cachaient d'énormes sacrifices personnels. La jeune femme en arrivant en Provence s'était totalement dévouée à protéger cette terre, et cela lui avait couté pas mal de choses.

La jeune femme vit passer Arwen à quelques mètres d'elle. Un regard lui indiqua qu'elle ne l'avait pas vue. De toute façon elle n'y échapperait pas. Sans doute la croiserait-elle à la sortie et alors elle aurait à répondre de cette escapade loin des chemins de patrouilles. Mais pour l'instant ce n'était pas important. Eavan n'était pas inquiète, elle avait pris sa décision après mure réfléxion sur les conséquences probables et les assumerait. Mais elle ne pouvait pas manquer cette dernière célébration d'Ingeburge en Provence.
Un jour elle irait peut être la voir à Lyon.
Un jour où prendre la route vers le Nord en étant provençal ne se révèlerait pas dangereux. Un jour où elle aurait une permission suffisamment longue, autrement dit pas tout de suite.
Enfin peut être aurait-elle l'occasion de transmettre ses voeux de réussite et de santé à sa Cardinale préférée de vive voix.

Eavan se reconcentra sur les voeux des diaconnesses.
Chacun avait sa voie. Elle, c'était les armes, les combats, la violence, le sang et à terme une espérance de vie considérablement réduite. A cette pensée elle eu un mouvement réflèxe vers sa hanche gauche où se trouvait habituellement son épée. Un léger sourire apparu en se rapellant qu'elle l'avait laissé avec son cheval. Dehors.
Elle n'entrait jamais armée dans une église ou une cathédrale. Pour elle c'était inconcevable. D'autant que ce jour là, il n'y avait vraiment aucun danger : les gardes épiscopaux veillaient au grain.
Tout le monde était assez tendu, en général. Le départ d'Ingeburge attristait beaucoup les provençaux et on pouvait presque voir les sentiments des uns et des autres, tant d'émotions. Les pierres de cette cathédrale garderaient longtemps cette émotion.

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Tommyheinrich
Il sourit quand il vit sa douce s'agenouiller. Il sortit de l'ombre et alla s'asseoir près des enfants. Il prit Maëlys sur ses genoux et garda Thomas à côté de lui. Après quelques secondes, Thomas réclama à aller sur ses genoux... Tommy sourit et le prit sur son autre genoux.
Il s'assit au fond de sa chaise et regarda Sarada en souriant. Il savait que c'était un moment très important pour elle... Il fit un petit bisou à ses enfants et se remit à regarder sa douce...
Prouvencao
Les membres de l'assemblée se reposaient de journées longues et fatigantes où les cérémonies s'étaient succédées : allongés sur les bancs, adossés à leurs voisins, les ronflements s'élevaient dans la nef, amplifiés par l'architecture soigneusement recherchée en acoustique !
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Alexis "Prouvencao" Beogora
Vicomte de Marignane en deuil... Chevalier des Baux.
Ingeburge
Désolée, absente, et j'ai prévenu seulement sur le forum de Rome, toutes mes excuses



Sarada puis Ascram avaient prononcé leurs vœux. Alors Ingeburge se plaça entre les deux jeunes femmes et posa une main sur l'épaule de chacune. Elle prononça solennellement les paoles rituelles :
_ Par le contact de ma main, je vous transmets le pouvoir d'administrer les sacrements du baptême, du mariage et des funérailles. Vous êtes maintenant diaconesses. Ce statut n'est pas une récompense mais une mission. A vous de la mener à bien. Amen.

Ingeburge prit deux bijoux sur un plateau que lui présentait un bedeau et en passa un autour de Sarada puis autur de celui d'Ascram :

_ Je vous remets cette médaille, symbole de votre charge de diaconesse.

Elle présenta ensuite deux petits coffrets :
_ Cette boîte renferme un tampon avec lequel vous pourrez sceller votre correspondance officielle :


Elle tendit ensuite un rouleau de parchemin à chacune :
Citation:
Nous, Ingeburge von Ahlefeld-Oldenbourg,
Cardinal de la Très Sainte Eglise Aristotélicienne,
Primat du Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicæ,
Faisons annonce de :


L'intronisation de Sarada et de la nomination de cette dernière à la charge de diaconesse de Forcalquier.
Elle aura pour rôle de guider les fidèles dracénois sur le chemin de la vertu et de propager la Vraie Foi au sein de sa paroisse en servant régulièrement la messe et en célébrant des sacrements.



Rédigé et scellé à Aix, le quinzième jour du mois de septembre de l'an de grâce MCDLVI.




Citation:
Nous, Ingeburge von Ahlefeld-Oldenbourg,
Cardinal de la Très Sainte Eglise Aristotélicienne,
Primat du Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicæ,
Faisons annonce de :


L'intronisation d'Héloïse de Bertry, dite Ascram et de la nomination de cette dernière à la charge de diaconesse de Forcalquier.
Elle aura pour rôle de guider les fidèles dracénois sur le chemin de la vertu et de propager la Vraie Foi au sein de sa paroisse en servant régulièrement la messe et en célébrant des sacrements.



Rédigé et scellé à Aix, le quinzième jour du mois de septembre de l'an de grâce MCDLVI.




Chaque parchemin était accompagné de deux clés, l'une donnant accès au Salon du Clergé de Provence, l'autre au bureau privé de la salle paroissiale de Forcalquier.

Elle invita enfin les deux jeunes femmes à se relever, murmurant :

_ Que Saint Miguaël, Archange du don de soi, vous guide sur le dur chemin de l’abnégation pour la grandeur de l’église et le service divin. Soyez bénies!
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Ascram
Elle se pencha lègèrement pour permettre à Ingeburge de lui passer la médaille autour du cou. Puis elle prit, tremblant légèrement, le parchemin la nommant diaconesse, le coffret et les clés.

Citation:
_ Que Saint Miguaël, Archange du don de soi, vous guide sur le dur chemin de l’abnégation pour la grandeur de l’église et le service divin. Soyez bénies!


Très émue, elle ne savait plus ce qu'elle devait faire, et, s'inclinant légèrement devant Ingeburge, elle retourna s'asseoir, dans l'attente des cérémonies suivantes.
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Sarada
Sarada fut toute émue lorsque Ingeburge posa sa main sur son épaule. Elle sourit puis inclina légèrement sa tête afin qu Ingeburge puisse passer la médaille sans difficultés. Sarada posa sa main sur la médaille qui était maintenant à son cou puis de l autre pris le coffret contenant le tampon. Elle lâcha la médaille pour prendre le parchemin ainsi que les clés .Sarada, avec quelques difficultés du a son état, se releva lorsque Ingeburge l invita a le faire. Très émue mais aussi très contente elle remercia Ingeburge puis alla prendre place au près de son futur époux Tommyheinrich et de ses enfants .
Ingeburge
Elle n'avait pas conclu la cérémonie, trop émue et trop submergée par des sentiments contradictoires.

Elle s'était contentée de dire quelques ots d'une banalité affligeante, comme ceux qu'elle auarit pu utiliser si elle n'avait pas été pas sur le départ. Mais elle les avait prononcés car elle ne pouvait pas faire autrement et ue surtout, elle n'avait pas la moindre envie de faire autrement.

Elle avait assez donné sans rien attendre pour clore son mandat de prélat aixois d'une autre manière.

Elle partait, c'était là bien la seule chose à retenir. Oh, elle reviendrait, pour un temps simplement, elle avait un mariage à célébrer, un autre pour lequel elle serait témoin. Là, elle aviserait, elle réfléchirait à ce qu'elle ferait pour ses derniers instants en Provence.

Pour le moment, elle voulait juste s'enfuir. C'est ce qu'elle avait donc fait. Elle avait salué les nouveaux clercs, les nouveaux baptisés, adressé quelques mots sans saveur à l'assistance et avait rejoint la sacristie.

Quelques jours plus tard, ce serait le Lyonnais-Dauphiné qu'elle rejoindrait, ouvrant timidement les bras à sa nouvelle destinée.

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Uterpendragon
    [BAPTÊME DE VIVIVIVI]


L'atmosphère provençale, au matin, était d'un calme bien reposant pour le vieil Aymé qui, tant bien que mal, après plusieurs heures de prières, tentait de se rendre jusqu'à la cathédrale. Non seulement il n'y voyait pas grand chose mais, de plus, ses genoux jouaient des castagnettes, ce qui n'était pas pour l'aider. Assurant sa prise sur sa crosse épiscopale, lissant les pans de sa soutane, il se pressa à l'intérieur de la cathédrale, par une petite porte donnant dans la sacristie. Ceci fait, il alluma des bougies un peu partout et orna l'autel de quelques fleurs, déposa un coussin au-dessous de celui-ci et, très satisfait de lui, il se prépara à monter sonner les cloches.

Celles-ci résonnaient avec une puissance inouïe. Les tympans de l'évêque de Toulon en tremblaient presque, mais, par chance, il se balançait dans le vide, accroché à la corde et riant aux éclats. Toutefois, fort de ces sensations fortes, il reposa le pied sur le sol, dévala les escaliers et enfin, la vue d'Aix en son intégralité quitta ses yeux, faisant place à celle de l'immensité de la cathédrale, puis, enfin, le parvis, où il se campa.

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Vivivivi
4VI quitta Arles à cheval tôt le matin pour aller se recueillir. Elle aurait espéré que Fufanu, son diacre préféré soit présent à son baptême.
Malheureusement ce dernier était parti préché la bonne parole de l'église d'Aristote.

Elle arriva fin de matinée à Aix pour son baptême dans cette belle baptise.
Uterpendragon
De sa place, Aymé aperçut Vivivivi arriver, il lui sourit, ainsi qu'aux quelques rares paroissiens venus assister à l'office. En ce jour, étant donné l'absence de Fufanu, l'évêque de Toulon ferait aussi office de parrain, personne ne lui en voudrait ! Ouvrant les bras, tout en faisant un clin d'oeil amical à la future baptisée, il dit :

Entrez, chers amis, entrez dans la maison du Tout-Puissant !

Les portes coulissèrent avec un léger grincement sous sa poussée, et il entra, menant la procession composées des aristotéliciens et de celle qui en serait une d'ici peu de temps. Arrivant jusqu'à l'autel, il désigna à la jeune femme un coussin placé face à celui-ci et où elle put s'agenouiller.

Bienvenue, chers amis, afin de célébrer ce jour l'intronisation d'une nouvelle fidèle, d'un nouveau membre de l'immense famille que représente l'Eglise ! Avant tout, je vous invite tous à dire le credo, ensemble !



Le dernier mot, le plus puissant, celui qui réaffirmait sa Foi, sa croyance, résonna durant un court instant sur les murs de la cathédrale, chef d'œuvre d'architecture, avant qu'Aymé ne s'approche du Livre des Vertus, et ne lise un passage :

Citation:
La route sera longue et tortueuse, le chemin rugueux, l’horizon lointain, la pente forte, mais le soleil qui brille guidera nos pas. Nous connaîtrons des difficultés, des disputes, des colères, des passions, des hésitations, mais l’amour et l’amitié nous uniront et Dieu nous portera.

Si vous voulez vivre seul, raisonner seul, manger seul, marcher seul, alors rien ne vous en empêche, passez votre chemin et réfugiez vous dans l’amour de vous même.

Mais si quelqu’un vous frappe, et que vous tombez, alors personne ne vous relèvera.

Si vous voulez vivre en groupe, dans l’amour de votre prochain et de la multitude, si vous voulez partager votre pain avec vos amis, marcher avec vos frères, alors venez à moi et suivez moi.

Dans ce cas, si vous tombez sur le chemin, un frère s’arrêtera, et vous relèvera. "


Ma fille, vois-tu, l'intérêt de la communauté réside en ce point, celui où chacun aide l'autre, celui où si quelqu'un tombe, un autre le relèvera, et l'épaulera afin qu'il reprenne sa route. Et l'Eglise, son clergé, est présente pour guider les brebis sur le chemin du paradis solaire, de par une vie vertueuse et d'Amitié. Le partage, l'amitié, la communauté, c'est tout cela à quoi on accède de par le baptême, et c'est à tout cela que tu t'engages.

Prouve nous ta Foi en cet engagement, récite le serment du nouveau baptisé !



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Vivivivi
4VI reprit en coeur :


Uterpendragon
Le vieil Aymé sourit afin d'encourager la jeune femme, puis pris un goupillon rempli d'eau bénite, et en aspergea Vivivivi tout en psalmodiant, comme toujours, très amusé par cette vision du baptisé au visage humide :

Je te baptise, au nom de l'Eglise Aristotélicienne, Romaine, Universelle, pour l'Amour du Tout-Puissant et sous le regard des Saints !

Reçois cette médaille, signe de ton appartenance à l'immense communauté que représente l'Eglise, et souviens toi qu'où que tu sois, un frère ou une soeur sera à tes côtés pour te soutenir !



Reçois ce cierge, signe de ta Foi ! Ne le laisse jamais s'éteindre, ou tu te perdrais dans la noirceur du péché !



Enfin, Aymé alla chercher un parchemin, et nota dans les registres le baptême de la jeune femme, avant d'en faire une copie et de lui délivrer :

Citation:
      Certificat de baptême de Vivivivi


    Nous, Aymé Von Frayner-Embussy, évêque de Toulon, déclarons avoir baptisé l'Enfant Vivivivi en la Cathédrale d'Aix, le vingt-six octobre de l'an MCDLVI.

    Que désormais, l'Amitié et la Foi soient ses moteurs.

    Ad Majorem Dei Gloriam





Mes amis, venez féliciter votre nouvelle Soeur !

Il la releva alors, et lui donna l'accolade, avant de sortir sur le parvis, tandis que les cloches carillonnaient à nouveau, signe de joie, d'allégresse... Rien n'aurait pu casser le bonheur de ce jour.
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