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[RP] Cathédrale Sainte Raphaëlle-Archange de Cambrai

Maeva83
Surtout t'excuses pas Ater, voyant sa robe en charpie laissant apparaître ses jambes pareilles à des bretzels, elle éclata d'un rire franc qu'elle étouffa dans l'épaule d'Ater, afin de ne pas perturber la cérémonie.
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Jumarow
Passons à la communion mes enfants en commençant par les mariés



La communion terminée, le diacre suivit les jeunes mariés aux portes de la cathédrale où les attendait une foule de personnes réunis afin de les féliciter et de leurs jeter des pétales de roses rouge en signe d’amour.

Que Dieu vous bénisse au nom de ses prophètes et de tous les saints! Amen.
Soyez en paix mes enfants!
---fromFRonolulu
VIVE LES MARIEES VIVE EUX VIVE LES MARIEES VIVE EUX
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Misslilly
Lilly jeta du riz sur eux en criant

VIVE LES MARIES
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---fromFRkmil59
Kmil s'approcha du porche de la cathédrale et applaudit les mariés.
Il se dit que leur union leur réservait bien des joies ensemble.


Il se mis a lancer du riz en criant:

Vive les mariés!
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Never Two Without Three
Aterfalco.2
Aterfalco se sentait stupide d'avoir déchirer la belle robe de Rox, mais ne se laissa pas démonter pour autant! Toutefois avant qu'il ait pu s'excuser, Rox avait éclaté de rire! Il tâcha d'étouffer au mieux ce bruit malvenu pendant une cérémonie de mariage, tout en essayant de ne pas rire non plus!

-Ben moi qui voulait être discret...

Après ceci, il se leva, et clama à son tour:

-Vive les mariés!!!
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Tite.grenouille
RDV A LA TAVERNE DES BONS AMIS !!!!!!!!!!! UR KE LA FETE CONTINUE !!!!!!!!!!
Maeva83
Eh oui c'est cuit là, mais arrange toi pour me faire sortir de là sans que j'ai à montrer mes bretzels à tout Cambrai, et peut être que je te pardonnerai J'ai un rang à tenir quand même Allez zou on va boire un coup, avec tout ce monde personne verra rien
Elle s'agrippa au bras d'Ater prenant garde de cacher au mieux le pan déchiré de sa robe, ça faisait un peu désordre un jour comme celui-ci.
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---fromFRLaure64
Hourra ^^

Bonheur amour fidélité et tout ca!
*lancé de pétales de rose*
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Laure64, fière Cambrésienne
Forgeronne à ses heures et étudiante
Romanoff? t'es perdu?

Sergente de la Cavalerie de Cambrai, et notamment Chef de section (héhé)
Médaillée de guerre

Aterfalco.2
Aterfalco tint le bras de Rox et essaya de la faire s'eclipser sans que tout le monde voit ses bretzels! C'était toutefois peine perdu! Enfin pas grave, il l'emmena quand même boire un coup, pour fêter ce mariage, et les bretzels de Rox!
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Yosil
Que d'amour dans l'air


(oui j'ai enfin pris le temps de me créer un avatar XD)
Navigius
Tout était enfin prêt, se dit le diacre, tout en terminant de replacer la coupe sur l’autel, détail plus appréciatif de son point de vue que de celui des paroissiens, qui pour peu, ne verraient pas la différence de quelques millimètres. Telle était la vie de Navigius pourtant, le jeune diacre, aux traits plus vieux que son âge, et à la rigueur encore plus âgée tenait aux détails de la procédure. C’était là une vie de dévotions aux écrits et aux détails, qui avaient déjà valus des reproches à Navigius par le passé.
La Cathédrale commençait à se remplir petit à petit, les paroissiens revenant de leurs activités quotidiennes, l’air content d’avoir bien travaillé, mais les traits tirés par cette fatigue envahissante des journées à la mine où aux champs. Ils s’étaient visiblement débarbouillés en vitesse, afin de ne pas salir la demeure du Très-Haut, mais leur apparence n’interpellait guère le diacre. Ce qu’il voyait, c’était des étincelles rayonnantes de foi, des Saluts en devenir. Il se déplaça, dans les rangées, saluant et serrant la main des honnêtes paroissiens, un rare sourire aux lèvres. Tout, dans la Cathédrale Sainte-Raphaëlle-des-Archanges, apaisait Navigius et donc son humeur.
Un jeune sacristain du village de Cambrai s’empressa d’aller sonner la lourde cloche de la cathédrale. Il était huit heures, c’était donc l’heure de débuter la messe. Au son de la cloche, le village de Navigius se crispa, reprenant son sérieux si légendaire pour ceux qui connaissaient le jeune homme. Tout de blanc vêtu, dans son aube de cérémonie, il remonta l’allée centrale pour prendre place dans le cœur, et commencez la cérémonie.

- Paroissiens, Paroissiennes, bienvenus, en cette soirée de prière afin de rendre grâce au Très-Haut et à l’amour qu’il nous porte. Notre foi nous unis ce soir, et c’est pour célébrer ce fait magnifique que nous sommes réunis dans notre belle Cathédrale Sainte-Raphaëlle des Archanges, cette même Sainte-Raphaëlle qui nous inspire de sa conviction chaque jour.

- Commençons donc par nous purifier des péchés que nous avons pu commettre cette semaine, car nous sommes tous imparfaits, mais notre désir réel d’être pardonné nous illumine de la gloire du Très-Haut. Répétez avec moi, mes frères et mes sœurs, notre confession commune au Très-Haut.

- Je confesse à Dieu Tout-Puissant, à tous les Saints, et à vous, mes amis, parce que j’ai beaucoup péché, en pensées, en paroles, en action. Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très-Haut nous accorde le Pardon, l’absolution et la rémission de nos péchés.

Le diacre regarda les paroissiens qui peuplaient les bancs de la Cathédrale. Parsemé en ceux-ci, dans la grandeur de Sainte-Raphaëlle, ils laissaient paraître leur petit nombre, mais la grandeur de leur foi était rayonnante, et elle nimbait, pour le diacre, toute la Cathédrale. Le jeune diacre monta au podium, sous la chaire, puisqu’il n’était point en état d’usurper la chaire de notre bon curé, afin de lire un passage du Livre des Vertus.


- Chers paroissiens, écoutons ensemble la grande parole du Très-Haut, extraite du Livre des Vertus.

Le Livre des Vertus,Pré-Histoire VIII: Le paganisme a écrit:

Pré-Histoire VIII - Le paganisme

Les groupes d’humains ayant fui Oanylone s’étaient ainsi dispersés et avaient peuplé le monde. Leurs descendants avaient constitué des cités, formé des gouvernements et inventé l’argent, qui permettait le commerce. Mais ils avaient aussi inventé la guerre et, pour les encourager à mieux se connaître au lieu de se battre, Dieu avait divisé le langage unique en une multitude de langues.

Parmi tous ces humains, un groupe se forma, cherchant à comprendre la réalité divine. Mais ce groupe était tout aussi ignorant de Dieu que le reste de l’humanité. Les humains ne ressentaient plus l’amour divin, car ils s’étaient détournés de Lui. Ils cherchaient une explication à leur vie, alors que la réponse leur était donnée. Mais ils ne savaient plus l’écouter et y restaient sourds.

Le groupe décréta que dans chaque chose, dans chaque élément qui entoure les hommes et les femmes, il y avait un esprit dont la puissance dépassait l’entendement. Ces esprits élémentaux possédaient des pouvoirs surhumains. Ils étaient dotés de personnalités variées et ne manquaient jamais de se concurrencer afin de prouver lequel était le plus fort. Ils entraient souvent en colère et n’hésitaient jamais à se mesurer l’un à l’autre, par humains interposés.

Ainsi, n’ayant plus Dieu dans leur coeur, ils s’étaient inventés tout un panthéon de faux dieux. Comme le ciel couvre le monde et qu’il est la source de la lumière, il firent du dieu du ciel le roi de leurs divinités. Sa foudre devint rapidement célèbre et tout humain apprit très vite à la craindre. Comme les humains ne connaissaient plus la vertu, les dieux qu’ils s’étaient inventés étaient aussi débauchés qu’eux. Leur roi divin pouvait se transformer en nuage d’or pour pratiquer le péché de luxure avec des princesses.

Pour honorer leurs multiples divinités, les humains créèrent des églises qui leur étaient dédiées et les nommèrent “temple”. Eux-mêmes, faisant office de clerc dans leur paganisme, se nommèrent “prêtres”. Ils suppliaient l’aide de leurs dieux et, en échange, leur sacrifiaient des animaux. Alors que Dieu avait enseigné à Oane que les multiples créatures du monde, bien que soumises aux humains, devaient être respectées, c’est par leur sang que les païens révéraient leurs fausses divinités.

Mais il n’y avait pas d’amour pour leurs nouveaux dieux. Ceux-ci ne servaient qu’à rendre des services en échanges de ces sacrifices. Certes, ces païens respectaient leurs divinités, mais c’était par peur plutôt que par amour. De nombreuses cités se regroupèrent en royaumes, ayant à leur tête des rois. Ceux-ci firent appel aux prêtres païens afin que leurs divinités leur viennent en aide, et les faux clercs croyaient lire dans les entrailles l’avenir des cités.

Mais il restait un vide dans le coeur des hommes et des femmes. Il leur manquait ce pour quoi ils avaient été conçus. Il leur manquait l’amour que Dieu voulait leur donner et qu’Il attendait en retour. Alors, Dieu décida que le moment était venu de se rappeler à Sa Création. Il trouva un enfant dans la cité qui s’appelait Stagire et lui enseigna Sa Parole afin que l’Homme retrouve le chemin de la vertu. Cet enfant s’appelait Aristote.


[Suite dans 30 minutes]
Maeva83
Ils arrivèrent légèrement en retard et prirent place au fond de la cathédrale sans perturber Navigus qui lisait un extrait du livre des vertus.
Le froid de la dalle remontait le long de ses jambes, et elle sût très vite qu'elle ne risquait pas de s'endormir, malgré la fatigue qui la tenaillait, d'avoir veillé bien tard au Royal la veille.
Voilà un péché qu'elle pourrait bien confesser, le seul d'ailleurs, oui elle avait beau réfléchir, elle n'avait pas péché depuis bien longtemps.
Une petite boulasse dans la matinée , une indigestion de bourguignons , une querelle avec le pépère la veille à propos de la crèche vivante des baisers échangés dans la remise avec Luzi elle avait presque pas flemmardé aux champs, trop froid pour une sieste sous le grand chêne elle avait seulement raflé 8 écus à son parrain au rampo
Bah c'était pas des péchés à confesser, voilà qui écourterait le temps passé à l'église
Elle sortit un mini parchemin de sa poche et prit quelques notes. Il lui fallait encore faire tant de choses aujourd'hui et pour ne rien oublier il fallait les noter, surtout que ça concernait le comité des festivités.
Elle releva les yeux en direction de Navigus et lui sourit attentive à son sermont.

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Navigius
Navigius salua Rox du regard, souria, et continua de plus belle..

- Pensons ensembles, chers frères et chères sœurs, à ces sages paroles venant du Livre des Vertus. Faisons examens de notre propre conscience et de nos propres us et coutumes. Qu’est-ce que nous raconte ce passage? Il ne faut pas se détourner du Très-Haut et de son amour, car il est le seul amour véritable. Embrassez l’amour du Très-Haut, c’est faire un pas vers le bonheur de l’existence, vers la destinée des hommes.

Le diacre s’avança ensuite vers le tabernacle, afin d’en sortir le pain de la communion. Il s’avança vers les fidèles, les invitant à venir communier, à venir accueillir en leur sein le Seigneur et son Amour.

- Chers paroissiens, venons ensemble accueillir le don de notre Seigneur, son Amour et sa Bienveillance. Faisons-lui une place dans notre cœur et notre âme, afin de le remercier de sa bonté.

Navigius distribua la communion aux fidèles, avec tout le sérieux de la chose. Les paroissiens étaient si pieu, cela réjouissait le diacre. Malgré leurs saletés, leurs différences et leurs difficultés, chacun étaient présents à l’appel de Dieu, se sentant le devoir de le remercier.
Remontant sur le podium, Navigius haussa les mains vers la foule, afin de les bénirs. D’amples gestes des bras, il conclut la messe quotidienne.


- Chers fidèles, il ne me reste qu’à vous souhaitez la bonne soirée. Retournez dans vos chaumières et méditez-y les paroles du Très-Haut en famille. En sortant, ayez une bonne pensée, et qui sait, un piécette, pour les moins nantis, car eux-aussi sont aimés de dieu. Bonne soirée!
Mrs..sparrow
Une personne entra dans la cathédrale... Vêtue très lérèrement pour la saison, elle semblait boulversée... Elle marchait d'un pas lent... Elle regadait dans le vague... De ses yeux immensément tristes coulaient sans arrêt des larmes... on aurait dit un torrent innintérompu... Elle avençait ainsi... ses pas résonnaient dans la cathédrale vide... Arrivée devant l'autel, elle se jeta à genoux et s'éffondra en larmes... Ses cheveux tombaient sur son visage qu'elle cachait de ses mains... Ses sanglots déchirants résonnaient dans ce lieu sacré... Oui, la tavernière alcoolique de Cambrai était à nouveau brisée... D'un coup, on lui avait tout enlevé... Tout ce qui comptait pour elle... Pourquoi Aristote rappelle t il ses enfants aussi indifférament... en laissant d'autres dans une tristesse sans nom...? Pourquoi...? Est ce que ce Aristote est n'aurait donc aucun sens de la pitié...? Laisser d'autres de ses enfants dans le malheur...? Oh, Juste Ciel... pourquoi? Pourquoi donc? cambrai a encore perdu un enfant... Mais que ce passe t il ? Toutes ces questions se bousculaient dans la tête de cette jeune femme alors qu'elle déversait ses larmes de déséspoire sans interuption... De détresse, Spa s'éffondra sur le sol marbré... Secouée de violent sanglots, elle se recroquvilla sur elle même devant d'autel... Elle serrait contre sa poitrine son tablier de tavernière alcoolique donné il ya longtemps par Eleph... Elle le serrait comme une petite fille serre son doudou favorit après un vilain cauchmare... Ses larmes coulaient sur ses joues déjà marquées par des sillons de larmes qui étaient là depuis longtemps.... Qu'elle se réveille enfin de ce rêve, que quelqu'un la tire de ce cauchmare... Que quelqu'un la réveille... Un cri muet de détresse fit se cambrer la tavernière alcoolique qui reveint ensuite imédiatement dans sa position initiale du foetus... Sans parvenir à stopper ses larmes, Spa resta ainsi recoroquevillée sur elle même, sur le marbre glacial de la cathédrale... Des courant d'air froid qui normalement la faisait trembler de froid ne lui faisaient aucun effet... Elle n'avait ni chaud ni froid... Elle ne sentait pas le froid mordant qui la gagnait... Elle ne sentait pas non plus son souffle chaud et triste... Elle ne sentait plus rien... Seulement une immense tristesse et un grand sentiment de solitude... Spa avait le regard dans le vague... Elle regardait sans voir les statues des Saints et les images qui retraçaient la vie d'un certain Christos... Elle était pâle comme la mort, ses cheveux châtains cachaient son visage en partie renforçaient encore plus cette pâleur mortelle... Si quelqu'un l'aurait touché il la trouverai à moitié congelée... glaciale, froide comme le marbre... Elle voulait dissparaître... Se fondre dans ce sol froid... ne faire plus qu'un avec lui... Elle veut devenir terre... pour ne ressentire plus rien... pour ne rien comprendre... pour ne rien voir... Des larmes maintenant silencieuse coulaient sur ses joues d'une blancheur terrifiante... Ses yeux bleus verts brillants de larmes semblaient implorer la divine providence de venir la chercher elle aussi... Le tablier contre sa poitrine, immobile... Pâle comme la mort... Spa ne ressemblait à rien d'autre qu'à encore une mort... Mais ses épaules se soulevaient doucement, au rythme de sa respiration regulière et calmée... Devant l'autel se trouvait une masse blanche à chevelure brune, habillée de haillons marrons et beiges... Et cette masse restait là... sans bouger... sans avoir conscience du temps qui passe... Mais elle restait là... elle restait là... Jusqu'à ce que la mort vienne la chercher... jusqu'à ce que quelqu'un la trouve ici, frigorifiée... Dans la cathédrale... serrant contre elle, comme une petite fille après un vilain rêve... son tablier de tavernière... SOn tablier qu'elle avait tant chéri... Sur lequel était marqué "J'adore mon patron" Cette inscription n'avait été faîte par personne d'autre que Eleph... Où était il maintenant...? La voyait il? Que penserait il d'elle? Elle, qui était si forte d'habitude... Qui ne prenait pas en compte les brimades des autres, des étrangers, des inconnus... Qu'allait il penser d'elle? A cette penser... Une larme solitaire perla de cet oeil bleu vert si triste... Coula sur cette joue blanche, presque livide... Et vint mourir sur ces lèvres rouges entrouvertes, qui laissèrent échapper un gémissement de détresse... Spa se retourna, ses cheveux recouvrirent tout son visage blafard... Qu'était devenue la jeune femme joyeuse et pleine de vie de la taverne "Chez Moe" ?
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