Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 6, 7, 8, ..., 11, 12, 13   >   >>

[RP] Sacre du Grand Duc

Don.
Auprès des siens, au centre de sa Bretagne, Dôn avait suivi l'entiereté de la cérémonie, ne lâchant pas Equemont du regard, pour qui elle espérait une journée sans accrocs. Pas de malaise, pas d'intervention divine le punissant au sommet de son ascencion, pas d'interventions extérieures, maudites ou à maudire.
Tout allait bien et c'est non sans émotion qu'elle assista au couronnement. Applaudissant de la sénestre sur son bras droit. Cadence accélérée lorsque les premiers cris dans la foule se font entendre.

Dana reste discrète lors des vocalises, et se contente d'emettre un son léger mais délivrant le même message.


Vive sa majesté Equemont, Grand Duc de Bretagne !
_________________
Roxane2
Le nouveaux Grand Duc était enfin couronné .Et les acclamations commençaient à fuser .
Le Capitaine de Bretagne placé derrière la duchesse se leva et clama fort quitte à casser les oreilles de ses voisins


Vive Sa Majesté Equemont, Grand Duc de Bretagne

Elle avait suivit des yeux pendant la cérémonie ses hommes qui patrouillaient et leurs fit signe de se diriger vers la sortie de l'église afin de contenir la populace quand le Grand Duc apparaitra sur le parvis
_________________
Roxane D'Alleaume de La Rosas Baronne de Bulat-Pestivien ( dicte Roxane2 )
Beeky
D'aucuns diront qu'elle était en retard, que nenni ! C'est juste qu'exceptionnellement Attigny s'était parée de ses attributs de noble dame pour l'occasion et que tout ce tralala ne lui était plus familier. N'ayant jamais été ce que l'on nomme une courtisane, il lui fallu un temps fou pour se préparer alors ne figurant point dans les premiers arrivants, elle avait su se faire discrète.

Le dernier et unique sacre auquel elle avait assisté remontait à Mathusalem alors, soucieuse de ne point rater l'événement, mue par l'envie de voir rayonner le faste de la Bretagne, elle avait fait chemin vers Nantes dès son retour de retraite.

Lorsque L'Ambassadeur Royal de France passa près d'elle, elle la salua d'un aimable sourire songeant qu'elle ne l'avait point vu de si près depuis bien long temps. Son départ imminent ne lui laisserait guère de temps pour faire ses civilités aussi comblerait-elle ce manque par une correspondance assidue.

A l'issue du sacre, le Grand duc Equemont se devrait d'assurer les promesses du candidat du Salar et remplir la lourde charge qui était maintenant sienne. Il avait fait un beau discours digne et emprunt de noblesse, point celle qui est feinte mais celle que l'on vit de l'intérieur. Un discours qui se voulait rassembleur, mettant au centre de ses préoccupations la Bretagne. Sans doute n'aurait-elle point l'occasion de le croiser aussi simplement que lorsqu'il était au Collège d'Armes mais cette distance imposée ne l'empêcherait nullement de prier le Très-Haut afin que son règne soit tel qu'il l'avait envisagé. C'est d'ailleurs la seule chose qu'elle pouvait souhaiter pour l'homme et pour son pays.

_________________
Theoden.
Le Maréchal de Bretagne redescendit les escaliers des galeries supérieurs avec son Etat-major. Une fois en bas, ils mêlèrent leurs voix aux acclamations de la foule.

Vive Sa Majesté Equemont, Grand Duc de Bretagne

Ils escorteraient le Grand-Duc couronné lors de sa présentation à la foule.
_________________
--Dantadur
    Dès lors que l’on revêt un costume digne, une épée au flanc et que l’on se donne un air digne, la garde vous prend pour un noble, ou du moins n’estime pas nécessaire de vous fouiller. Dans un premier temps, il avait pensé utiliser cette méthode, mais la suite n’était pas pour lui plaire, il se serait fait prendre et pendre sans autre forme de procès. Aussi, il avait choisi une autre stratégie, plus lente à mettre en place, mais réalisable à condition de s’y prendre en avance. Depuis quelques jours, il observait donc les allées et venues, puis la mise en place de la garde. Il avait calculé et repéré les positionnements des gardes, sur les toits de la cathédrale, ainsi qu’une fenêtre par laquelle il pourrait se glisser, après en avoir forcé le verrou.

    Le jour dit, il avait préparé son arc, ses flèches ainsi qu’un flacon contenant un liquide ressemblait à de la pisse. Il put rapidement se glisser dans la cathédrale, en ayant neutralisé le seul garde qui stationnait de ce côté du toit. Il se glissa le long de la coursive entourant le chœur. La situation était parfaite. Il n’avait droit qu’à une seule chance pour pouvoir se sauver. Lentement, il ouvrit le flacon, trempa le bout de la flèche, le referma, puis le remit dans sa besace. Il observa un court instant la scène en contrebas.

    Le grand blond à la couronne venait de se retourner pour être acclamé par le peuple. Serrant son poing sur la poignée de l’arc, il ne put que retenir son souffle de rage. Il ne supportait pas ce genre d’homme qui se prenaient pour des dieux alors qu’ils n’étaient qu’une bande de vaniteux. La cible était suffisamment exposée pour que le tir soit une réussite. Il banda son arc et se leva. La flèche partit droit sur la cible. A n’en pas douter, le Grand Duc était touché, mais comme il se l’était dit, il n’avait pas moyen d’en décocher une deuxième.

    Désormais, on passait en mode survivor. Très rapidement, il prit le chemin retour, se conférant une large avancée sur ceux qui tenteraient de l’attraper. Qui veut faire grimpette pour choper un malfrat ?
Equemont
Le nouveau Grand Duc écoutait les acclamations de la foule. Quelle étonnante situation. Il laissa son visage grave pour convenir à la circonstance. Tout s'était bien déroulé et ils allaient sortir. Equemont jeta un coup d’œil au Primat pour deviner le moment du départ. Devenir Grand Duc signifiait dépendre chaque jour un peu plus des autres. Soudain, le Blond sentit comme une déchirure inexpliquée dans l'épaule gauche, le sceptre tomba à terre sous la surprise dans un grand bruit de tintement, dévalant les marches devant lui. Il porta la dextre à son épaule et sentit la flèche très profondément ancrée dans la chair. Son visage complètement défait, il vit le sang tâcher le manteau d'hermine très abondamment. Très rapidement, sa vue se troubla et il se sentait, les yeux ébahis, s'effondrer de son long par l'avant, dans les marches qui menaient au chœur.

C'est ainsi que la couronne chût, roulant le long de l'allée.

_________________
Amarante.
Comme tous, la brune avait regardé la cérémonie qui touchait maintenant à sa fin. Les divers petits bruits ou gestes de certains, étaient passés inaperçus pour elle et, s'en fichait carrément, comme la plupart des gens présents ici, ils n'avaient d'yeux que pour la personne agenouillée jusqu'à maintenant et qui venait de se relever ...

Elle en fit autant et applaudit, elle aussi ...


Vive sa majesté Equemont, Grand Duc de Bretagne !

Puis, elle ajouta ...

Longue vie à notre souverain ...

Bin quoi ? Manquerait plus qu'il ne s'éteigne avant l'heure ... Sauf que ... La brune cessa d'applaudir et poussa un cri d'effroi ...

A la garde !

(Edit pour ajout, pas vu celui de Equemont)
_________________

Don.
Sursaut de stupeur.
Equemont, qu'elle ne quittait toujours pas des yeux (c'te groupie) venait de choir, de tout son poids.

Sursaut de frayeur.
Le palpitant de la baronne se met à battre plus vite que de raison. L'incompréhension venait se lire sur son visage, également horrifié par la scène.

Malheureusement, de par sa taille et la distance mise avec le Grand Duc, il lui était impossible de voir s'il avait fait un malaise comme elle pouvait le redouter quelques instants plus tôt ou s'il avait été la victime d'un attentat à sa personne.
Comme lors de son investiture, la brune aurait aimé rendre la pareille à ce grand blond qui faisait battre son coeur et animait sa passion pour la Bretagne en le rejoignant et l'enlaçant, mais sa famille était là, et si les enfants seraient certainement vite mis à l'abris par la garde, l'épouse se chargerait sans doute, avec Aur du corps étendu au centre de l'édifice.

Epouvantée et ne pouvant tristement rien faire, la baronne se tourne vers Amarante à ses cotés, qui appelle à la garde.
Il est donc bien blessé, ou même mort. L'angoisse s'installe donc doublement en son abdomen, et le silence ainsi que la peur, l'empêche de tout mouvement.

Pour l'instant.

_________________
Mael.de.kerdraon
J'assiste a la scène avec effrois ! Et merde ce con va réussir à tenir encore moins longtemps que Lemerco !

Je fend la foule en criant.


Mais laissez moi passer, je suis médecin !

Et me voila devant deux garde a la mine plus ou moins patibulaire qui me barre la route.

Je suis Mael de Kerdraon, je suis membre du conseil du Grand Duc, et surtout, je suis médecin alors laissé moi passer !
_________________
Melian.de.ventoux
Elle avait suivi avec la plus grande attention chaque étape qui menait inexorablement vers le sacre du nouveau Grand Duc. Alors que tous se réjouissaient, un bruit par trop familier d'une flèche qui se fiche dans un corps la fit se lever. Etant dans les premiers rangs réservés aux dignitaires, elle ne put que contempler horrifiée Sa Majesté qui s'écroulait.

Entendant crier un homme qu'il était médecin et de le laisser passer, ni une ni deux elle se leva et alla vers lui, sans penser le moindre instant à sa propre sécurité.


Messire,
dit-elle ne sachant pas son rang, je suis la Chancelière du Béarn, Melian de Ventoux. Je suis médecin également, et à vostre disposition. lui dit-elle, en se demandant ce que c'était que ces gardes.

Il faudrait décidément qu'elle demande à Monseigneur Cathelineau ce qu'il en était.

_________________
Theoden.
Ayant assisté à la Scène en bas, il fut vivement surpris de cette attaque. Il se demandait comment il était possible que cela ait été aussi bien organisé vu que le placement des gardes avait été prévu au dernier moment. Reprenant quelque peu ses esprits, il donna les ordres.

Gardes, trouvez moi le coupable!!


Il donna ses autres instructions uniquement à ses hommes: que la garde reste dans les galeries supérieurs pour empêcher la sortie du scélérat par le haut. L'interdiction que toute personne sorte pour le moment. La fouille des travées, choeur, nefs ect... Qu'un cercle d'hommes d'armes se forment autour du Grand Duc et en défensive. Que le suspect soit appréhender donc assommer et maitrisé. Si cela n'est possible, l'abattre. Que des hommes bloquent le passage de toutes entrées et sortie au sol et l'arrivée des troupes de réserves sur la place pour dégager un passage, s'il faut sortir rapidement Sa Majesté.


Il alla vers Maël de Kerdraon et demanda qu'on lui laisse le passage.
_________________
--Dantadur
    La réaction était plus rapide qu'il ne l'avait escomptée. Aussi, il courut en lâchant son arc, ses flèches et sa bourse qui contenait le flacon. Il arriva à rejoindre la fenêtre mais voyait déjà des gardes qui commencent à le poursuivre en criant. D'un foulée, il enjamba la fenêtre pour se retrouver sur le toit. Un regard à gauche vers l'échafaudage, qui bien que gardé, permet de rejoindre directement le sol. A droite, il y avait ce cordage qu'il avait disposé pour s'échapper. Il hésita un instant de trop, probablement.

    Un garde qui lui emboitait le pas avait saisi l'arc et les flèches. Le criminel sentit alors qu'il courrait vers la corde des flèches passer à côté de lui. Alors qu'il s'accroupissait pour saisir la corde afin de descendre, une des flèches lui entra dans la cuisse.


      - Gast !

    Tant pis, il devait descendre, malgré la douleur. En espérant qu'ils ne couperaient pas la corde. Elle était bien épaisse. Le temps qu'ils y viennent à bout, il se serait à terre.

    De fait, il parvint, non sans gémir de douleur à arriver sur le sol de Nantes. Il était presque sauvé. Le temps que la garde se pointe jusqu'à lui, il aurait disparu dans les venelles de la ville.

    Enfin, s'il ne boitait pas...
Annesolenn_wolback
Pétrifiée de stupeur, Anne n'avait pas bougé de sa place. L'incident s'était produit au moment où elle s'apprêtait à faire comme tout le monde et crier "vive le nouveau Grand duc". Aussi était-elle là, immobile, la bouche grande ouverte, comme une vieille carpe échouée depuis trop longtemps sur la rive.

L'énorme brouhaha et le chaos résultant de la chute du Grand-Duc la tirèrent brutalement de son état second. Elle se leva d'un bond, rappelée à ses devoirs de chambellan et essaya tant bien que mal de rassurer les diplomates étrangers, dont certains semblaient complètement affolés par l'événement.

La chancelière du Béarn, cependant, n'avait pas perdu son sang froid, ce pour quoi le chambellan lui serait éternellement reconnaissante. Décidant d'aider la Béarnaise à atteindre le Grand duc, Anne éleva la voix et, avec autorité, ordonna:


Laissez passer la Chancelière du Béarn, elle est médecin, laissez passer.

S'adressant à la chancelière:

Suivez-moi, Excellence, vous passerez plus facilement.

Comme prévu, la foule s'écarta, les Gardes les laissèrent passer et elles furent bientôt tout près du Grand Duc à terre.
_________________
Alix_ann
Pendant la cérémonie Alix s'était tenue discrète, non par choix mais parce que sa somnolence la contraignait à se tenir tranquille. Affalée un banc, vers le devant, à côté de Amarante et Dana, Alix attendit la fin de la cérémonie et se laissa porter le plus naturellement du monde. Elle ne s'en cachait pas, ce genre de mondanité elle n'y allait que parce qu'il le fallait, ou peut-être aussi un peu pour se montrer, avec de belles parures (ce qui n'était plus le cas depuis qu'elle n'avait plus aucune à dépenser dans de pareilles "broutilles" #toofuckingbusy).

Cependant, un sifflement marqua son attention et la sort de sa rêverie. Il faut quelques secondes à la jeune Montfort pour réaliser ce qui vient de se passer : Equemont vient de se prendre une flèche.

Amarante s'époumone, appelle la garde. La jeune Montfort regarde simplement, l'air ahurit. Elle n'est pas étrangère au sang, aux blessures, aux tueurs (sa marraine en avait épousé un avec qui elle avait dû cohabité bon gré mal gré tout son enfance). Un peu en retard, Alix dirige son regard vers d'où la flèche est partie, vers le toit. Un peu trop tard. Il lui est impossible de distinguer quelque chose correctement, si ce n'est l'ombre d'un mouvement qu'elle a encore moins le temps de décortiquer. Voilà son amie qui affiche un teint livide et reste clouée sur place.


Dana!?

Avec l'air un peu paniqué. Je suis pas médecin, moi ! Tombe pas toi non plus !
_________________
Roxane2
le Capitaine de Bretagne ,déjà près de la sortie quand elle entendit un hurlement venir du fond de l'église et vis les gens se précipiter vers l'autel

Puis retentit le cri du Maréchal .


Gardes, trouvez moi le coupable!!

Et la cavalcade de ses hommes dans les escaliers et les coursives

Elle sortie son épée de son fourreau et se fraya un chemin parmi la foule suivi des Manteaux Blancs .

Attrapez- moi ce scélérat, essayez de le garder en vie.
Il est blessé .
Il a reçu une flèche


Elle courrait aussi vite que ses jambes le lui permettaient rattrapant son retard sur l'homme qui claudiquait .
Un de ses hommes la dépassa et coursa le malandrin et allait bientôt le rattraper du moins elle l'espérait

_________________
Roxane D'Alleaume de La Rosas Baronne de Bulat-Pestivien ( dicte Roxane2 )
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 6, 7, 8, ..., 11, 12, 13   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2025
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)