Akyu
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La sauvage avançait l'oeil aux aguets, poussant ou écrasant du pied les bestioles qui avait le front de se mettre en travers de son chemin.
Les rouages de sa cervelle senclenchent à toute allure, elle na jamais croisé de monstre pareil, dune hauteur impressionnante. Sa peau semble épaisse, un coup de hache risque de ne le blesser que légèrement et enfler sa fureur. De plus une épaisse toison le recouvre.
La sauvage se plaque contre un arbre en grognant, tenaillée par un besoin fou et irrépressible dabattre ce mastodonte dans une indifférence glaciale, elle doit avant tout éviter ce bras mouvant quil balance, susceptible de la saisir et surtout ne pas se faire embrocher par les deux immenses lances recourbées qui sont de chaque coté.
Elle visionne le terrain alentour, cherche dans sa mémoire un précipice où lentrainer en courant dans un exercice périlleux, laguichant pour quil charge et y tombe lorsquelle lesquivera dans un bond ultime.
Elle émit un bref ricanement, et dun saut accompagné dun long hurlement vint le braver avant de prendre ses jambes à son cou. La terre se mit à trembler tandis que résonnait le bruit énorme de la colère de la bête.
Les buissons sont très serrés et les épines énormes. Elles lui déchirent les bras et les cuisses. En sang, elle a le sentiment de se battre avec la forêt, mais doit prendre des passages difficiles pour tenter de le ralentir.
Elle perçoit une corne 3 ou 4 m au dessus delle, un éclair de pensée lui annonce quelle va être piétinée.
La respiration se bloque et sa main se ferme sur le manche de sa hache quelle plante pour virer sur le coté, au moment où il passe. Il tenta de sarrêter devant le talus abrupt, pris dans son élan, saffola et le dégringola pour sécraser en contrebas.
Elle en fut soulevée de terre et projetée à son tour contre lanimal
Etourdie par le choc, fétu de paille posée sur lénorme masse, elle se redresse vivement, levant sa hache à deux mains pour labattre à plusieurs reprise dans le creux juste sous loreille, sans vérifier sil sétait rompu le cou ou juste assommé, elle ne devait pas attendre
Quand le sans jaillit, les bras levés au ciel et jambes écartées, elle poussa un étonnant cri libérateur
AHHHIIIIIIAAAAAAAAAAHIHAAAAAAAAAAAHIIIIIIIIIIIYAAAAAAAAAAHHHIIIIIYYYOOOOOOOO
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La sauvage avançait l'oeil aux aguets, poussant ou écrasant du pied les bestioles qui avait le front de se mettre en travers de son chemin.
Les rouages de sa cervelle senclenchent à toute allure, elle na jamais croisé de monstre pareil, dune hauteur impressionnante. Sa peau semble épaisse, un coup de hache risque de ne le blesser que légèrement et enfler sa fureur. De plus une épaisse toison le recouvre.
La sauvage se plaque contre un arbre en grognant, tenaillée par un besoin fou et irrépressible dabattre ce mastodonte dans une indifférence glaciale, elle doit avant tout éviter ce bras mouvant quil balance, susceptible de la saisir et surtout ne pas se faire embrocher par les deux immenses lances recourbées qui sont de chaque coté.
Elle visionne le terrain alentour, cherche dans sa mémoire un précipice où lentrainer en courant dans un exercice périlleux, laguichant pour quil charge et y tombe lorsquelle lesquivera dans un bond ultime.
Elle émit un bref ricanement, et dun saut accompagné dun long hurlement vint le braver avant de prendre ses jambes à son cou. La terre se mit à trembler tandis que résonnait le bruit énorme de la colère de la bête.
Les buissons sont très serrés et les épines énormes. Elles lui déchirent les bras et les cuisses. En sang, elle a le sentiment de se battre avec la forêt, mais doit prendre des passages difficiles pour tenter de le ralentir.
Elle perçoit une corne 3 ou 4 m au dessus delle, un éclair de pensée lui annonce quelle va être piétinée.
La respiration se bloque et sa main se ferme sur le manche de sa hache quelle plante pour virer sur le coté, au moment où il passe. Il tenta de sarrêter devant le talus abrupt, pris dans son élan, saffola et le dégringola pour sécraser en contrebas.
Elle en fut soulevée de terre et projetée à son tour contre lanimal
Etourdie par le choc, fétu de paille posée sur lénorme masse, elle se redresse vivement, levant sa hache à deux mains pour labattre à plusieurs reprise dans le creux juste sous loreille, sans vérifier sil sétait rompu le cou ou juste assommé, elle ne devait pas attendre
Quand le sans jaillit, les bras levés au ciel et jambes écartées, elle poussa un étonnant cri libérateur
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