Oui jai regretté.
Jai eu peur davoir gâché la seule chance de ma vie de pouvoir me venger.
Heureusement que tu ne penses quà toi, et que tu nas pas pensé un seul instant, à lire mon journal. Je ne te remercierais jamais assez de ton égoïsme.
Te retrouve la seconde fois a été un jeu denfant. Tu navais pas bougé.
Une semaine avait passé, une semaine, cest bien assez pour mettre en place la vengeance de toute une vie. Elle serait grande, elle serait belle, comme nous, à lépoque. Et comme nous, à lépoque, je savais que tu la gâcherais.
Sache que rien, RIEN, ne pourra gâcher le plaisir que jai pris pendant ces six jours à tes côtés.
Jai toujours été bonne actrice, tu me le disais souvent. Parfois en riant, quand je te suppliais de céder à mes caprices, parfois en hurlant, quand je te suppliais darrêter de me mentir.
Jai toujours tout su de ta double vie. Si tant est quil ny en avait que deux.
Jai su que ton lit se drapait de femmes inconnues, moins nombreuses que les hommes cependant. Javais accepté Lestat. Et jai mis du temps à comprendre que ton cousin ne te suffisait pas, puisque tu y as ajouté ton oncle, son frère, la femme de loncle, lami. Et tant dautres trop honteux pour venir me lavouer.
Jai tout su. Tout. De tes mensonges, quand tu me disais détester Lestat et ne plus le supporter alors que tu lui chantais le même air à mes dépens. Jen ai voulu à mort à Lestat, et jai mis des années à le retrouver. Il na trop rien dit de ton retour Lui, il avait peur de toi. Peur, ou peut être taimait-il encore. Peut être avait il lui aussi des incompréhensions sur ta bipolarité. Il na pas bronché une fois, comme notre fils, quand tu minsultais, en disant refuser de me donner des nouvelles, quand tu me gueulais le contraire.
Mais jétais forte Louis, je nétais plus manipulable comme par le passé. Jai fait semblant de te croire. Actrice impitoyable dun vaudeville dont tu étais le héros, sans le savoir. Le héros, toi qui aimait lêtre.
Nicolas na pas compris, car jai mis du temps à lui avouer ce que je comptais faire de toi. Tu as tenté de le faire passer pour fou, pour un fumeur de chanvre, un alcoolique, un menteur même. Et au-delà du fait que je connais ma progéniture, je te connais, TOI. Jai du lui avouer ce soir là, quand il a vu tes yeux plongés dans mon décolleté. Avouer, alors quil men voulait de te sourire quand tu mavais détruite. Avouer, quand tu me regardais avec la ferme intention de me bouffer.
Jai joué à ton jeu, et vois-tu, lélève a dépassé le maitre.
Nous avons échangé des lettres, et puisque tu ne voulais pas que mon fils soit au courant, cest toute la ville qui le sera, car désormais, elles sont affichés, partout.
Bonsoir mon attachiante...
Que dire ? Te revoir... apprendre que tu t'étais libéré de ton mariage... ça m'a... fait quelque chose.
Définir quoi est une toute autre affaire !
Tu as raison de dire qu'il faut que je sache ce que je veux... Je ne le sais pas, je navigue à vue sans savoir où je vais.
Il y a des choses que je sais :
- Tu me manques
- Notre fils me hait
- J'ai plus envie de chercher à lui expliquer
Il y a des choses que je ne sais pas :
- Seras-tu un jour prête pour une relation durable ?
- Serais-je capable de rester tel que tu m'as vu ces derniers jours ?
Je boue à l'intérieur... Je tente de survivre, mais je ne trouve plus ma place depuis mon retour. Puisque Solène m'a posé la question, je me dis que toi aussi, tu t'interroges sur le corps que vous avez enterré...
Sache que mon père est riche, très riche, et noble... Bref tout l'inverse de moi. Avec son argent, on a trouvé un gars qui me ressemblait, son bourreau l'a abimé pour qu'il me ressemble... et il a été placé sur la route d'un homme avec ordre de dire une certaine phrase.. En échange de quoi, sa soeur qui devait être pendue serait libérée. Elle l'a été... Il a payé de sa vie pour elle. De toutes façons, ils allaient mourrir tous les deux s'il n'avait pas accepté.
Nicolas ne veut rien entendre, veut me faire rentrer dans les mêmes petites cases où Lest voulait m'enfermé. C'est ce qui m'a fait partir il y a trois ans pour une quête personnelle... Et ce qui me fait penser que j'ai eu raison. Notre fils parle comme Lest, agit comme Lest... me juge comme Lest... Est-ce que j'ai dit quoi que ce soit pour juger sa vie ? Non... Pourtant, je sais aussi ce qu'il fait, on me rapporte aussi ce qu'il fait, mais je considère que je n'ai pas à le juger.
Tu es toujours la même Déa, je t'ai retrouvé telle que je te connaissais, mais je ne sais pas ce que je veux, sur ce point tu as raison... Je voudrais le feu, et en même temps l'eau, la chaleur torride et en même temps le calme de la volupté, je voudrais la tempête qui fait se sentir vivant et en même temps pouvoir souffler tranquillement... Il va falloir que je fasse un choix, soit la tempête, soit le calme. Pour le moment, j'avoue que je savoure le calme, et tant pis si je dois me contenter de ma senestre et de mes tisanes... même si je rêve d'un corps de déesse, et d'une chataigne qui me fait lever les yeux.
Tu m'as manqué. Te revoir a été une révélation, te revoir et partir une semaine, puis te retrouver, m'a plongé dans nos souvenirs. Ils ont été ternis par l'attitude de notre fils, mais je ne lui en veux pas. Après tout, il ne fait que répéter ce que Lest lui a dit, ce que les autres ont voulu que je dise... Ils ne veulent pas tenir compte de mon passé, ne veulent pas se souvenir que Vlaad a tué ma mère... Il le nierait ? Vlaad n'est pas mon père, je l'ai répété mille fois à Lestat... Vlaad est celui qui m'a vendu... Ce n'est pas à Lest de choisir ce que fut mon passé... Ce n'est pas un choix. Ce n'est pas non plus à Nicolas, notre fils, de décréter ce qui a pu ou pas pu être : il n'était pas né, et ne fait que répéter...
Avec son attitude, j'ai pensé que Solène fuirait... Lui balancer le nom de mes maîtresses et de mes amants ? Très subtil... sauf que je lui avais déjà dit que j'étais bi... mais que j'ai changé depuis que j'ai rencontré mon véritable père. Je ne dirai pas son nom, ni à toi, ni à Nicolas je ne tiens pas à ce qu'il pourrisse mon père comme il me pourrit moi.
Je suis heureux que tu aies accepté mon défi pour demain. Se battre l'un contre l'autre, on en a l'habitude, nous verrons bien si ça se termine en position debout ou allongés.
Que le Très-Haut veille sur toi, mon attachiante, mon premier Amour...
Louis
De Le_g. de Kelkeparre
Date d'envoi Le 09 Novembre 1466 à 00h06
Objet Mon attachiante
Expire le 25 Novembre 2018
Bonsoir mon attachiante...
Alors comme ça, tu donnes ton courrier à lire à notre fils ? Mes félicitations...
Si j'avais un doute, je n'en ai plus.
Je te confirme ce que j'ai écrit... Tu m'as manqué. Te retrouver, pouvoir enfin parler avec toi, tranquillement, c'était agréable. J'ai savouré ces instants.
Je te réécris quelques phrases de mon dernier courrier, les plus importantes à mes yeux :
Tu es toujours la même Déa, je t'ai retrouvé telle que je te connaissais, mais je ne sais pas ce que je veux, sur ce point tu as raison... Je voudrais le feu, et en même temps l'eau, la chaleur torride et en même temps le calme de la volupté, je voudrais la tempête qui fait se sentir vivant et en même temps pouvoir souffler tranquillement... Il va falloir que je fasse un choix, soit la tempête, soit le calme. Pour le moment, j'avoue que je savoure le calme, et tant pis si je dois me contenter de ma senestre et de mes tisanes... même si je rêve d'un corps de déesse, et d'une chataigne qui me fait lever les yeux.
Solène a fui ce soir devant les dernières paroles de notre fils... Je prierai le Très-Haut qu'il arrive à trouver la paix qui lui manque, et je le prierai aussi pour que Solène ne prenne pas la fuite.
As-tu eu l'impression que je te... refaisais la cour ? Déa... Je pensais que nous avions dépassé ce stade... Quand tu plaisantais pour dire que tu allais me demander de te faire un enfant, j'ai pas pensé à autre chose qu'une plaisanterie... Pour moi ça ne voulait pas dire que tu me draguais ! Ai-je tord d'avoir pensé que nous pourrions être amis, nous taquiner comme autrefois sans que cela dérape ?
Tu es mon premier Amour, je ne t'oublierai jamais, mais j'ai du rêver en imaginant que nous pourrions être amis...
Prends soin de toi, mon attachiante, oui, tu resteras à jamais mon attachiante... Mais amicalement. Je pensais que c'était clair pour toi comme pour moi... Et notre fils a pensé que je... Bref...
Pardonne-moi si mon comportement t'a fait croire que c'était autre chose que de l'amitié.
Tu avais raison en disant que je ne sais pas ce que je veux, mais là, je sais ce que je ne veux pas. Je ne veux plus que notre fils dirige ma vie sentimentale et sexuelle. Je ne serai JAMAIS à ses ordres. Malgré tout, il reste notre fils... et je lui souhaite d'être heureux.
Que le Très-Haut veille sur vous, lui et toi, mon attachiante.
Louis.
Louis,
je n'ai pas encore pris le temps de répondre à ta première missive, que déjà la seconde pointe son nez, et précédée de peu par un courrier de notre fils, j'ai compris directement qu'il y aurait entourloupe!
Cependant, et même si je sais que tu ne me croiras pas -tu ne l'as pas fait par le passé, pourquoi commencer maintenant?-, je t'assure que JAMAIS Nicolas n'a lu mon courrier. Mon propre époux n'a jamais lu mes courriers, je ne vois pas pourquoi je commencerais avec mon fils, surtout quand le contenu ne peut qu'accentuer son animosité envers toi. Je suis désolée que tu aies pu penser que c'était le cas, et déçue aussi.
Nicolas a beaucoup de mal à croire à ton retour, et il use parfois d'un langage imagé -c'est mon fils hein!-, peut être est-ce le seul moyen qu'il a de montrer son animosité, lui qui a tant de mal à ordonner ses pensées pour mettre des mots sur des maux. Je suis en partie responsable de ce problème, mais toi aussi, ne va pas le nier. Il a passé énormément de temps avec Lestat, par ton fait, alors s'il sait aujourd'hui, et qu'il formule des choses qui ne te plaisent pas, je n'y suis pour rien.
J'ai accusé, moi aussi, les révélations difficiles, du fait que tu me considérais comme une belle salope -peut être ai-je rêvé le "belle" d'ailleurs. Chacun gère ses casseroles à sa manière.
Je ne te cache pas que nos retrouvailles datant d'une bonne grosse semaine m'ont chamboulées, et j'ai été très en colère de te voir si désinvolte face au mal que nous nous étions fait. Je crois ne jamais t'avoir haïe autant que la semaine dernière.
Quant à me faire la cour, que te dire. Je ne suis pas née de la dernière pluie, et j'ai bien vu certains gestes qui ont pu me faire penser que tu tentais de rattraper quelque chose. Je n'ai pas oublié la manière dont tu as cloturé ta première missive : "debout ou allongés, nous verrons bien comment se terminera ce combat". Je suppose que Nicolas a pu voir aussi une certaine complicité, et malgré toi peut être, une proximité déroutante. Tu as quand même lorgné ma poitrine! Mais tu es un homme. Le reste de la missive nous regarde, toi et moi, seulement toi et moi, et j'espère que tu n'auras pas l'audace -pour ne pas dire le culot- de la partager avec ta moitié. Même pour la rassurer.
Il me semble que Nicolas a peur que nous remettions le couvert, et il me parait parfois flagrant que c'est ce que nous voulons aussi, au fond. Puis je me rappelle qui tu es, et qui je suis, et mes doutes s'évanouissent. Pas les siens.
Je ne suis pas responsable de ses pensées et encore moins des mots qui sortent de sa bouche. Ça n'a jamais été le cas, et ça ne le sera jamais. J'en suis parfois désolée, mais la plupart du temps j'en suis fière, il m'aime d'un amour inconditionnel et c'est le seul enfant que j'ai auprès de moi, pour ça, toujours, toujours il sera mon adoré. Il me ressemble autant qu'il te ressemble, il est ton fils, et tu devras vivre avec ça toute ta vie.
Et si tu as le sentiment qu'il cherche à diriger ta vie sexuelle et amoureuse, j'en suis désolée. C'est son côté protecteur envers sa mère, il a souffert de me voir souffrir par ton fait, comme par le passé. Crois moi, chacun des hommes que j'ai fréquenté ont du affronté ce côté de Lui, mais j'ai toujours le dernier mot.
Ne me demande pas de choisir qui croire, j'ai toujours su mettre de l'eau dans mon vin, moi, et si j'ai par le passé failli à mes devoirs et obligations de mère et d'épouse, ce n'était que pour continuer à vivre sereinement.
Il y a, et il y aura toujours, dans une vie, des choix à faire.
J'espère te voir avant notre départ.
D.
Bonsoir Déa,
S'il n'a pas lu ma première missive, il te l'a volée. D'une part, il l'avait en main en taverne, et a été à deux doigts de la donner à Solène, qui elle, ne l'a pas lue.
D'autre part, il a cité des bouts de phrases, comme le fait qu'il me jugeait, me pourrissait... que tu m'as manqué. Je n'ai pas prononcés ces mots, à personne, je ne les ai que couchés sur le vélin à ton intention. CQFD. Je n'ai pas besoin d'en savoir plus. J'ai eu la preuve qu'il l'a lu. Personne en dehors de toi et moi ne sait que j'ai pu rêver de toi, même pas mon confesseur. Il n'y a que dans la missive qu'il a pu l'apprendre.
Je veux bien te croire que tu ne le lui as pas remis, après tout, il est fils de brigands... Possible qu'il ait su trouver la lettre tout seul.
Tu crois que ça me faisait quoi que tu parles de faire un autre enfant ? Quand tu rappelles qu'on a été mariés deux fois et que tu rajoutes "jamais deux sans trois" ? Déa... On s'est toujours cherchés, et je crois qu'on se cherchera toujours. Mais il me suffit de penser au nombre de séparations, aux souffrances engendrées pour que je n'ai plus de doute. Solène a cru que tu me draguais... Je lui ai expliqué que si tu m'avais dragué, ou moi... on n'aurait pas eu grand chose à faire du reste du monde, que nous nous taquinions, mais qu'il n'y avait que des souvenirs et une amitié, une sorte de connivence amicale entre toi et moi. Sincèrement, te prendre contre un mur ou sur une table n'aurait pas été au-dessus de mes possibilités, tu t'en doutes, si nous en étions là, mais nous n'y sommes pas, loin s'en faut.
Je ne te demande pas de choisir entre notre fils et moi, je t'informe, ni plus ni moins. Pour ma part, je t'ai avoué que je ne savais pas ce que je voulais, sur ce point, tu as raison, mais je sais ce que je ne veux pas, et je veux une vie sereine, calme, tranquille.
Ne t'inquiète pas, je n'en veux pas à Nicolas... Je n'ai pas été à la hauteur de ses espérances, je l'ai déçu, il souffre... Je le comprends, je le vois, je ne suis pas idiot. Je n'ai aucune haine envers lui, et tout ce que je lui souhaite, c'est de trouver le bonheur, ce bonheur qui fera qu'il ne ressentira pas le besoin de détruire pour exister. J'aspire à ce bonheur, et je m'en approche, même si la route est encore longue.
Lorsque tu as souhaité me voir hier, j'ai répondu "Oc. Nous trouverons un moment". Sauf que je ne souhaite pas envenimer les choses avec Nicolas. Il va encore imaginer que nous allons nous remettre ensemble. J'aurais sincèrement apprécié une conversation détendue, calme, entre toi et moi, mais je refuse de faire souffrir davantage notre fils. S'il nous aperçoit par une fenêtre de taverne, il va se sentir trahi, par nous deux. Il faut au moins qu'il garde confiance en l'un de ses parents, donc toi. Crois-tu que ce serait judicieux de prendre le risque de lui faire perdre sa confiance en toi ? Moi pas, mais je reste à ta disposition, tant que cela reste purement amical.
Déa, tu as failli à tes devoirs, mais cela fait bien longtemps que je t'ai pardonné, puisque j'ai moi-même failli aux miens, je n'ai pas su te rendre heureuse, entre autres choses. Je suis heureux qu'il cherche à te protéger, désolé que tu aies souffert par ma faute. Nous nous sommes blessés mutuellement, autant que nous nous sommes aimés... Tes départs, ma jalousie maladive m'ont aussi apporté mon lot de douleurs lorsque tu nous laissais. J'ai surmonté tout cela depuis bien longtemps, me suis noyé parfois dans l'alcool, parfois dans l'opium, parfois dans les bras d'un amant ou d'une maîtresse pour oublier que j'avais mal. Aujourd'hui, je n'ai plus besoin de tout cela. Finalement, le bonheur est simple.
Que le Très-Haut vous garde, notre fils et toi.
Louis
À Le_g.
Date d'envoi Le 09 Novembre 1466 à 19h24
Objet Mon casse bonbon.
Expire le 16 Décembre 2018
Louis,
Evidemment que je range mes missives dans un coffre que je trimbale partout, ce n'est un secret pour personne. Peu de personnes y ont accès, mais en effet, Nicolas est fils de brigand.
Après ce n'est un secret pour personne que tu as des retours de flamme quand tu recroises tes amants et maitresses, peut être ne suis que l'une d'elle.
Compte sur moi pour lui couper les oreilles en pointes, tu sais combien je DETESTE qu'on touche à mes affaires, et encore moins qu'on s'en serve ensuite. Ce n'est pas nouveau. Il me semble que certaines choses vont devoir être remises au clair.
Toujours est il que même si une relation entre nous et notre fils semblent compliqué, il est néanmoins possible d'en avoir une entre adultes. Je l'espère du moins.
Je ne souhaite pas savoir ce que tu as resssenti lorsque j'ai évoqué un éventuel troisième mariage, et je me dis qu'un jour peut être, ça arrivera, que ça nous pend au pif comme de la morve au nez d'un gosse. Je ne souhaite pas savoir car je préfère idéaliser la chose, tout simplement.
Quand bien même une partie de moi pense -la plus grosse partie de moi- pense que tu te payes ma tête et qeu tu joues de mes sentiments, une petite -infime- espère que tu es sincère.
J'espère tout de même te croiser avant mon départ, en privé, je vais m'en assurer.
Je suis assez grande pour gérer les réactions de Nicolas a ce propos.
D.
Et si seulement, l'histoire s'était arrêtée là..
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