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Correspondance privée Julien/Kathryn

Julien_giffard
Citation:
Ma Complétude,

vos mots me vont droit au coeur. Comme tout ce qui sort de votre bouche, il faut bien l'admettre. Mots, fredonnements, et certains gémissements si doux à mes oreilles.
Même si je vous l'ai dit hier soir, je pense qu'il est bon, à froid (notion pour le moins paradoxale tant je brûle d'amour pour toi), de vous dire également que je n'ai aucun regret. Bien au contraire.

La dernière chose qui me réfreinait était nos dissolutions respectives non encore actées. Ce préalable nécessaire ayant été levé, tous mes doutes et angoisses étant disparus et apaisées, plus rien ne me retenait.

Comme toi, lorsque nos corps n'ont fait plus qu'un, j'ai eu ce sentiment que nous ne faisions aussi plus qu'un. Et ce sentiment perdure, ne s'estompe pas alors que les heures passent. Sous cette pluie battante, j'ai l'impression qu'un doux soleil brille tout autour de nous et nous abrite des gouttes.

Vous êtes fichue Kathryn. Vous allez vous trainer un époux fou amoureux, dévoué, attentionné, qui va vous consacrer sa vie, qui va se consacrer à vous faire et à vous donner du plaisir, prêt à décrocher la lune pour son Etoile, et ce jusqu'à la fin de vos jours. En parlant de "lune" d'ailleurs, je dois bien reconnaitre que celle que j'ai pu mordiller cette nuit était ravissante et tout à mon goût.

Comme vous je ne trouve même plus les mots pour vous dire combien je vous aime et rien que de penser à vous, je me sens submergé de bonheur et d'amour. Alors je vous laisse lire entre les lignes tout ce que je n'arrive pas à vous exprimer comme sentiments.

Je me contenterai donc d'un chaste...

...Je t'aime

J.

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Julien_giffard
Citation:
Mon Amour,

j'ose espérer que votre nuit fut aussi douce que la mienne dans la fraicheur de ce feu de camp improvisé. Vos baisers et vos caresses ont su en tout cas réchauffer mon corps plus que de raison. En même temps, pourquoi devrions nous être raisonnables lorsqu'il s'agit de notre bonheur? Je vous laisse méditer là dessus au saut du lit.

Hier soir, nous évoquions la question de la séduction. En vous admirant ce matin, caressant votre peau laiteuse je le confesse, essayant de ne pas vous réveiller pour autant, je me suis demandé comment une femme pouvait s'introduire aussi simplement dans le coeur d'un homme juste par des regards, des sourires.
Il semblerait qu'il soit possible de caresser le coeur sans même effleurer la peau. Votre charme est phénoménal. Du moins, ne puis je y résister. Le voudrais je seulement? Assurément que non.

Mais rassurez vous, votre charme et votre beauté, s'ils sont indéniables, ne sont pas le coeur de mon attachement à vous, à l'amour que je vous porte. Vous êtes bien plus qu'un sourire et qu'un regard. Vous êtes... vous, tout simplement. Une belle âme, douce, intelligente, pleine d'humour et de répartie.

Bref, je t'aime Kathryn.

Ton fiancépoux pour quelques jours encore

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Kathryn.brehnian
Citation:
Mon Amour,

Savez-vous ce que Karyaan, Lola et moi-même avons commun ? A priori pas grand chose. Et cependant, en cherchant bien,  Vous. Je ne peux que vous dire à quel point je suis heureuse que vous ne soyez pas un homme à femmes en constatant celles qui s'attardent dans vos pas même sans cela. Je peux néanmoins les comprendre et même ressentir une once de pitié envers elles. Cela semble logique puisque vous n'êtes pas seulement tout ce que j'ai jamais désiré. Vous êtes ce que chaque femme peut désirer.

Aimant, attentif, attentionné, altruiste, généreux, juste, drôle, et tant d'autres choses. Prince aussi, mais il faut bien un défaut au milieu de toutes ces qualités. Un vernis un peu brillant qui pourrait masquer pour les moins attentifs votre vraie noblesse, qui ne doit pourtant rien à votre situation.Même dépouillé de vos titres, de vos terres et dans le dénuement le plus complet je vous suivrai au bout du monde. Vous le savez, je le sais, mais il est plaisant de vous le confirmer.

Vous êtes le chevalier, le prince de mes rêveries enfantines, l'épaule dans la tempête, le mari idéal, l'amant fantasmé, vous êtes mon Rêve et ma Réalité. Mon Passé et mon Futur.

Et vous êtes vous tout simplement.
Et je t'aime.
Ta Kath
Julien_giffard
Citation:
A la femme de ma vie,


A mon épouse,


A celle à qui j’ai trop tardé à écrire,


Voilà à peine quelques jours que nous sommes mariés et le sentiment d’euphorie que je ressens ne s’estompe pas. En fait, depuis que j’ai pris conscience de mon amour pour toi et que j’ai su que j’étais aimé de toi en retour, il ne s’estompe pas.

Un feu brûle en moi et échappe totalement à mon contrôle. Le voudrais je seulement d’ailleurs? Certainement pas. Tu es ma flamme en plus d’être ma femme. Oui je t’imagine amusée de ce petit jeu de mot et tu as parfaitement deviné que cela risque de se rajouter à ma liste de surnoms affectueux et tendre dont j’aime à t’affubler.

Je voulais revenir avec toi sur notre petite lune de miel. Finalement, ce n’est pas un mal de ne pas être partis en voyage de noces. Du moins pour le moment. En effet, je ne crois pas qu’il nous aurait été possible de passer autant de temps nus, lovés l’un contre l’autre si nous avions dû nous déplacer régulièrement.

Notre petit nid d’amour, me sied à ravir. Simple et beau. Comme notre amour. Des mots qui veulent dire tant de choses. Leur simplicité leur confère à mon sens une intensité inégalable et je sais que c’est ainsi que vous les percevrez.

Quelle longue entrée en matière me direz vous, car oui, je n’en suis pas encore arrivé aux points que je voulais développer avec ce petit courrier qui se voulait bref à l’origine.

Que voulez vous, voilà longtemps que je ne vous ai pas écrit et cela me manque. La puissance des mots et des non dits qui transpirent dans nos lettres me manquent.

A dire vrai, je rédige cette courte missive en te contemplant, nue. Je ne suis d’ailleurs guère plus vêtu que toi en cet instant et je doute que nous ayons trop souvent à nous habiller durant les prochains jours. A moins que ce soit pour le plaisir de nous dévêtir l’un et l’autre, ce qui a son charme.

Il va vraiment falloir que je vous écrive plus souvent mon cœur parce que je digresse en permanence.

Ce matin je voulais te rendre hommage, et dire combien j’aime la femme que tu es. Intelligente, drôle, passionnée, douce et tendre. Et pleins d’autres choses à la fois. La liste serait trop longue.

Non, cette fois, c’est à ton anatomie que je voulais rendre hommage. Très souvent j’ai pu te dire que c’est la beauté de la femme que tu es que j’aime avant tout. Car oui, tu serais couverte de pustules, de cheveux blancs, boiteuse, bossue et borgne, je t’aimerai quand même.

Mais j’ai la chance inouïe qu’en plus d’être une belle personne, tu sois belle.

J’aime croquer tes seins et sentir tes tétons se durcir sous ma langue. Quand tu te cambres de plaisir lorsque je les caresse, m’attardant sur tes aréoles. L’éclat de tes yeux lorsque je te caresse ainsi est inégalable et vaut tout l’or du monde.

J’aime sentir ta langue contre la mienne, quand tu te fais plus fougueuse et que je sens le désir monter en toi.

Couvrir ta peau de baisers, de morsures et de quelques petits coups de langue est un ravissement tant ta peau est douce et.... sucrée. Pas pour rien que tu es ma petite fleur de miel.

Goûter à ton intimité et te sentir frémir au bout de ma langue est un délice que je compte assouvir dès que possible. Je suis certain qu’appuyée sur le bureau ducal, ta robe légèrement retroussée, je saurai ainsi apaiser en quelques minutes les tracas de la future duchesse normande. Et n’aies aucune crainte d’en user et d’en abuser, prenant autant de plaisir à t’en donner qu’à en recevoir. Ce moment où tu te crispes et te laisse aller sous mes derniers coups de langue est un réel délice.

Mais quand je viens en toi, d’autant plus quand je peux te regarder dans les yeux à ce moment là, je sais que je ne m’appartiens plus. Comme si je pouvais en douter encore me diras tu. Ce Nous qui sert à nous définir prend encore plus de sens en cet instant. Nous sommes alors Un.e. Les mouvements de nos deux corps, fiévreux et en sueur, attentifs au plaisir de l’autre, sont bouleversants. Et jouissifs. D’ailleurs... c’est un peu la conclusion de ces moments là.

Voilà mon tendre amour ce que je voulais vous dire ce matin. Et si l’effet que j’ai voulu produire en vous est réussi, je vous attends pour un bain. Ne tardez pas trop même si je me doute que nous nous chargerons de réchauffer l’eau...

Ton mari qui t’aime pour toujours,

J.


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