[RP] Des vassaux pour pour Cambremer et Lillebonne

Rodogune

Rodogune prit le présent

Altesse, mon Seigneur, grand merci, je le ferai planter en un endroit ou je pourrais le voir et le couver de mon regard depuis ma chambre.

Puis Rodogune alla récupérer le parchemin que lui tendit le Héraut. Les dessins du blason étaient magnifiques

Grand merci, ce blason est magnifique.

Puis elle alla se mettre dans un coin pour assister au dernier anoblissement

Julien_giffard

Dernier serment du jour à part surprise de dernière minute.

Ecoley, nous avons fait connaissance durant la guerre contre les bretons. Votre fidélité et votre dévouement ainsi que votre volontarisme m’ont incité à vous proposer de devenir mon vassal. Le temps passant, je ne regrette pas cette proposition et encore moins que vous l’ayez acceptée. Aussi, nous acceptons votre serment et vous promettons en retour justice, protection et subsistance.

Hop hop hop, là traditionnelle accolade avant d’aller chercher le petit cadeau. Sauf que cette fois, Julien sortit de la pièce avant de revenir avec .... un chiot.

Recevez ce présent comme symbole de notre lien. Il s’agit d’un dogue de Bordeaux. Heureusement que vous aurez de la place pour qu’il gambade, si j’ai bien saisi, il va bien grandir.
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Deedee

Et de 4 !
Si Normandie avait accordé une attention particuliere pour ce serment, elle ne put s’empecher d’hausser un sourcil de surprise, en voyant le Prince revenir avec… son cadeau.
Pour être original… C’était original !
Elle en avait vu des cadeaux etrange, mais celui là…

Plongeant le nez sur son pupitre pour ne plus y penser, Normandie redigea alors le contreseing avant de quitter son pupitre pour s’approcher d’Ecoley.
Elle en profita pour effectuer une gratouille à la petite boule de poils et déclara.

-Ecoley, de par la volonté de son Altesse Julien Giffard, Duc de Lillebonne, vous voici à présent Seigneur de Franqueville comme en témoigne ce document, scellant votre échange.

Spoiler:

Citation:

- CONTRESEING d'OCTROI de SEIGNEURIE VASSALE -

Normandie

Julien Giffard, Duc de Lillebonne

[ Julien_giffard]

Ecoley

[Ecoley ]

Franqueville

«Gironné d'hermine et de gueules de huit pièces»

Citation:

A Sa Magnificence Adeline de Courcy dicte Normandie,

Salut et Paix,

Par la présente, nous vous annonçons que nous souhaitons prendre vassal en nos terres de Lillebonne.

Nous apprécierions d'octroyer le fief de Franqueville à mestre Ecoley.

Nous vous remercions par avance des démarches que vous mènerez à cette fin,

Faict à Rouen le 22 août 1468

Citation:

Et dans un sourire encourageant, elle lui glissa un petit « félicitation » à l’oreille avant de rejoindre son pupitre et se tourner vers Julien, lui faisant signe… silencieusement… qu’il pouvait conclure la cérémonie.
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Ecoley.

Il se releva au moment de l'accolade avec Son Altesse avant de se voir offrir un chiot non sans un certains étonnement, et beaucoup d'attendrissement pour le petit animal.

Merci à vous, nul doute qu'il s'épanouira pleinement sur le domaine de Franqueville

La petite boule de poil dans ses bras, il reçu des mains de Normandie le contreseing et son petit encouragement qui lui fit chaud au coeur.

Il repris place parmi tout les convives attendant que son suzerain termine la cérémonie.

Julien_giffard

Petit clin d’œil à Ecoley, se doutant que le chiot et lui allaient rapidement devenir inséparable. Un petit moment de frayeur plus tard en pensant à la probable rencontre entre le chiot et le chat-ours d’Adeline, et Julien enchaîna pour mettre fin à la cérémonie.

Désormais, nous sommes unis par ces liens de vassalité. Tous autant que nous sommes. Nos serments ne sont pas à prendre à la légère et je vous invite à ne pas hésiter à me solliciter en cas de besoin, de conseil ou quoi que ce soit d’autre. Je souhaite également et j’espère surtout une bonne entente entre vous, et un respect mutuel.

Et maintenant, buvons un coup pour fêter cela.

Une fois n’est pas coutume, le chevalier s’affaira à servir à boire à tout le monde.

À votre santé à tous et toutes, et à notre mesnie!
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Melina

Melina prit a boire et remercia son altesse. Elle était fiere et cette cérémonie avait été rapide et c'était passer dans un bon ordre. C'était bien jouer par tous les participants.

A vostre mesnie vostre altesse!

Mel leva son verre et but une bonne rasade. Ce serment lui avait donner soif. Elle se tourna vers son époux et lui sourit.
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Écuyer de L'Ordre Équestre et Royal du Saint Sépulcre

Des vassaux pour pour Cambremer et Lillebonne

Julien_giffard

Melina

Écuyer de L'Ordre Équestre et Royal du Saint Sépulcre

Julien_giffard

Deedee

Spoiler:

Citation:

- CONTRESEING d'OCTROI de SEIGNEURIE VASSALE -

Normandie

Julien Giffard, Duc de Lillebonne

[ Julien_giffard]

Ecoley

[Ecoley ]

Franqueville

«Gironné d'hermine et de gueules de huit pièces»

Citation:

Ecoley.

Rodogune

Julien_giffard

Plus qu’un. Une cérémonie au pas de charge après avoir un peu patiné au démarrage. Le rythme de croisière était trouvé, ne manquait plus qu’à continuer.

Ecoley? Si vous le voulez bien, nous terminerons avec vous.
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Ecoley.

La cérémonie c'était déroulée sans encombre. Toute les femmes étaient passées avant lui, galanterie oblige. Il n'était pas malheureux de passer en derniers, cela lui avait donné un aperçu. Verifiant rapidement qu'il n'avait rien oublié de déposer à l'entrée comme arme, un petit regard vers Gwenn qui se tenais à coté de lui, puis à l'appel de son nom, il s’avança ployant le genoux devant Son Altesse.

Moi, Ecoley, fait serment à son Altesse Julien Giffard, de lui promettre Consilium, Auxilium et Obsequium. Sachez que je suis reconnaissant de votre confiance et que je mettrais tout en oeuvre pour ne pas vous décevoir, vous et votre futur épouse.

Deedee

Un petit sourire se dessina sur le visage de Normandie en écoutant le nouvel échange qui venait de se dérouler devant eux.
A ce rythme-là, tout serait fini, emballé et pesé et ils pourraient aller boire un verre et rentrer pour le gouter !
Elle pourrait peut-être même ôter sa robe et remettre ses frusques avant de partir… Tout en imaginant cela le regard de Normandie glissa vers Kathryn et elle secoua la tête.
« Ou peut-être pas… » se dit-elle alors en se penchant sur son vélin pour rédiger le nouveau contreseing.

Puis, comme précédemment, Normandie quitta son pupitre et s’approcha de la nouvelle dame d’Estree pour lui remettre le document.

-Rodogune, de par la volonté de son Altesse Julien Giffard, Duc de Cambremer, vous voici à présent dame d’Estrées comme en témoigne ce document, scellant votre échange.

Spoiler:

Citation:

- CONTRESEING d'OCTROI de SEIGNEURIE VASSALE -

Normandie

Julien Giffard, Duc de Cambremer

[ Julien_giffard]

Rodogune

[Rodogune ]

Estrées

«D'hermine à deux bandes d'azur, au lion de gueules brochant sur le tout, armé et lampassé d'or»

Citation:

A Sa Magnificence Adeline de Courcy dicte Normandie,

Salut et Paix,

Par la présente, nous vous annonçons que nous souhaitons prendre vassales en nos terres.

Pour le duché de Cambremer, nous décidons de confier la seigneurie de Crèvecoeur en Auge à Jeyshana Bellecour et le fief d’Estrées à Rodogune.

Pour le duché de Lillebonne, nous souhaitons prendre dame Melina de Franchimond comme vassale pour le fief des Trois Pierres.

Faict à Rouen le 18 août 1468

Citation:

Un sourire encourageant, avant de reprendre place et faire signe au Prince de poursuivre pour le dernier impétrant.
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Melina

Melina regarda Normandie l'approché, l'écouta attentivement et prit les documents qu'elle lui tendit. Melina la remercia d'un sourire et d'un signe de tête et rejoignit sa place aux cotés de son époux apres avoir fait une révérence a son suzerain. Elle était radieuse, et remplis de fièreté. Elle était dès lors dame de Trois pierres
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Écuyer de L'Ordre Équestre et Royal du Saint Sépulcre

Rodogune

C'était son tour. A l'appel de son nom, Rodogune ressenti un trouble profond. Surtout, ne pas flancher, marcher droit, et éviter de choir bêtement. Elle respira un grand coup et s'avança jusqu’à Julien et mis un genou à terre

Moi, Rodogune, fait serment à son Altesse Julien Giffard, de lui promettre Consilium, Auxilium et Obsequium, pour les terres qu'il a la bonté de me confier. Je sais, votre Altesse, combien ces terres vous sont chères, et j’espère être à la hauteur de l'immense honneur que vous me faites en ce jour.

Julien_giffard

Ecoute, attentif le serment de la jeune femme.

Rodogune, votre sens du dévouement, un tempérament bien trempé mais aussi votre rigueur m'ont conduit à vous faire la proposition de vous prendre pour vassale. Je vous l'ai dit, ce fief a une valeur toute particulière à mes yeux car ce fut celui de ma fille, Leha, avant qu'elle ne nous quitte. J'aurai plaisir à revoir de la vie dans ce manoir et je gage que vous êtes aussi pleine de vie que l'était ma Leha.
Aussi, nous acceptons votre serment et vous promettons en retour justice, protection et subsistance.

Comme pour les autres, Julien procéda à l'accolade puis se dirigea vers la petite table pour récupérer un présent. Cette fois c'est avec un petit poirier qu'il revient.

Tenez, cette fois ce sera un petit poirier. Charge à vous de vous lancer dans la confection de poiré. Vous nous ferez un petit concours de calvados avec Melina, l'une à base de cidre, l'autre à base de poiré. Mais plus sérieusement, que ce présent soit signe de la vitalité de notre lien vassalique désormais, qu'il grandisse et se renforce comme lui.
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Julien_giffard

Mais quel rythme dans cette cérémonie! Aller, hop hop hop on enchaine. Regardant Rodogune et Ecoley, il se décida rapidement.

Honneur aux femmes donc. Rodogune je vous prie? Voulez vous bien venir s’il vous plaît?
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Deedee

Et de deux.
Nouvelle promesse, nouveau serment, nouvelle réponse, et sans perdre de temps, Normandie rédigea le second Contreseing sur lequel elle apposa son scel, une nouvelle fois.

Puis quittant sa place, elle s’avanca vers la nouvelle dame des Trois Pierres.

- Melina de Franchimond de par la volonté de son Altesse Julien Giffard, Duc de Lillebonne, vous voici à présent dame des Trois Pierres comme en témoigne ce document, scellant votre échange

Spoiler:

Citation:

- CONTRESEING d'OCTROI de SEIGNEURIE VASSALE -

Normandie

Julien Giffard, Duc de Lillebonne

[ Julien_giffard]

Melina de Franchimond

[Melina]

Trois Pierres

«D'azur à la fasce d'argent chargée de trois épis de blé de sinople, accompagnée de trois pierres d'argent»

Citation:

C’est un sourire chaleureux qu’elle offrit a la futur mère avant de rejoindre une nouvelle fois sa place. Se tournant alors vers Julien, elle lui fit signe qu’il pouvait poursuivre.
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Marquisdefranchimont

Marquis suivait la cérémonie d'un air nostalgique. Sa femme, toute attentive qu'elle était, n'était pas à sa première cérémonie. Tandis que lui, c'était sa première en tant qu'invité.

Marquis tenait la main de sa femme, il sentait son excitation par la chaleur qui se glissait d'une main à l'autre. Puis, Julian appelle sa femme. Celle-ci sursaute et arrache presque la main de son époux. Marquis se lève pour aider son épouse à se lever à son tour, fessant son possible pour ne pas provoquer les contractions de naissance.

Melina s'approche de son suzerain et pose le genou a terre, Marquis trépigne sur son siège de l'avoir se courbé et se tortiller pour réussir à se mettre un genou a terre. Il s'avance sur le rebord de son siège, prêt à bondir pour l'aider à se relever.

Julien_giffard

Julien écouta attentivement les propos de la jeune femme avant de prendre la parole à son tour.

Dame Melina de Franchimond, j’entends votre serment et l’accepte. Si je vous ai proposé de vous prendre comme vassale, c’est en raison de votre sens du dévouement et du devoir qui m’ont interpellé. De surcroît, que vous fûtes la vassale de mon amie Agnès avant qu’elle ne disparaisse, n’a fait que confirmer cette volonté.

Aussi, je vous promets à mon tour justice, protection et subsistance pour les terres des Trois Pierres.

L’aidant à se relever, Julien procéda à l’accolade avant de se diriger vers la table où étaient disposés les présents, revenant avec une jeune pousse de pommier.

Puissiez vous faire prospérer dans les vergers des Trois Pierres cet arbre. Il grandira en même temps que votre future progéniture. Karhryn a également fait porter à votre intention un berceau dans le manoir qui est maintenant votre.
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Melina

Heureusement que son altesse l'avait aider a se relevé sinon ca n'aurait pas été aussi élégant. Puis vint l'accolade. Scellant ce lien et ces serments. Puis les cadeaux. Mel était ému pour ce pommier, plus qu'elle ne le laissait parraitre. Il grandirait avec l'enfant qui se faisait bien vivant vu les coups qu'il lui donnait en ce moment. Une main sur le ventre, comme une mère caresse son enfant pour le calmé ou le rassurer. Un geste pour aider a endurer les derniers milles de cette grossesses. Melina tenait le pommier de son autre main, très émus, un regard et un acquiescement de remerciement envers son altesse et Kathryn.

Je vous remercie grandement.

Restant la puisque cela n'était pas terminer, elle devait recevoir les documents officieux de Normandie. Melina fixait le pomier, et y voyait déja un enfant courir a ses cotés voir meme y grimper une fois bien grand.
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Écuyer de L'Ordre Équestre et Royal du Saint Sépulcre

Julien_giffard

D’une femme enceinte à l’autre donc. Après la finalisation héraldique terminée avec Jeyshana, Julien appela la suivante.

Dame Mélina? Si vous voulez bien vous avancer à votre tour je vous prie?
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Jeyshana.

Je remerciais bien vite Son Altesse et sa Grandeur pour leurs cadeaux qui me touchaient plus que je ne saurais dire, nouvelle révérence et retournais auprès de Mon Géant.
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Melina

Que c'était beau. Melina avait regarder attentivement et sursauta un peu a la mention de son nom. Il était vrai qu'elle s'y attendait puisque son altesse Julien l'avait bien dit. Mais la rapidité de ces cérémonies l'impressionnait quand même a cahque fois. Mélina s'assura qu'elle n'avait aucune arme sur elle, c'était rare qu'elle voyageait léger, mais connaissant cette particularité c'était rester dans la cariole familiale. D'un sourire , elle se leva assez facilement malgré sa condition. Avec des jumeaux de presque trois ans a la maison, ca nous faisait rester en forme. Mel s'approcha de son altesse, saluant de la tete, les trois présent et fit une révérence a son altesse Julien. Elle avait été quelques fois en armée avec lui et servis au conseil ducal pendant qu'il était duc. Elle déposa devant luiun premier genoux en s'appuyant sur l'autre, et ensuite le deuxieme.

Vostre altesse Julien Giffard, vous m'avez honnorer par vostre offre de devenir mon suzerain et de faire de moi vostre vassale. Bien que je vous aurais offert un soutiens sans ce lien, je suis prete a scellé mon serment, qui bien entendu

Jete un regard a Kathryn et lui sourit. Puis retourne son regard vers son altesse pour terminer son serment. Une certaine fiereté dans son regard mais aussi de l'admiration envers cet homme qui l'honnorait ce jour avec ce lien.

sera valable a mes yeux aussi pour vostre future épouse. En ce jour, Moi, Melina de Franchimond, je vous prete donc serment, Vostre altesse Julien Giffard, en vous promettant Consilium, Auxilium et Obsequium en tout temps.

Melina sourit et resta ainsi, a genoux devant lui.
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Écuyer de L'Ordre Équestre et Royal du Saint Sépulcre

Melina

Mélina restait attentive. Elle n'en était pas a sa premiere cérémonie pour elle meme, mais plus encore avait assiter a quelques unes de ses amis, meme celle de son époux d'ailleur l'an dernier. Ce fut avec joie qu'elle était présente, elle qui avait due restitué les terres de Croisilles qu'elle avait eux pendant 10 ans, suite au restitutions de fief de son ancienne suzeraine. Pendant que son altesse appellait parlait de femmes enceintes, il ne faudrais certe pas s'éternisé effectivement, elle pourrait accoucher d'un moment a l'autre, pas litérallement bien sure. Mais elle était fin prete et cela devrait se solder d'ici la fin du mois. Au nom de Jeyshana, Mel sourit et fit un regard vers son époux. Elle avouait bien que ces cérémonie lui plaisiait, ce lien de vassal a son suzerain était une chose sacré pour Mel. Son tour viendrait bien assez rapidement.
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Écuyer de L'Ordre Équestre et Royal du Saint Sépulcre

Jeyshana.

Léger sursaut quand Son Altesse prononce mon nom.
J’étais loin de penser que je passerais la première, je balisais un peu, ne connaissant pas la déroulement de la cérémonie sauf que je devais prêter serment à Mon Prince, devais je m’agenouiller sur mes deux genoux, sur un seul comme un homme… Non, je n’avais pas la tenue adéquate, devais je rester debout ?
Que de questions venaient envenimer mon esprit, *** Tais toi, pensais je, on va bien te dire ce que tu auras à faire, voyons !***

Tout en m’approchant de Son Altesse, entouré de Sa Grâce Kathryn Brehnian et de Sa Magnificence Adeline, je n'en menais pas large, mes mains étaient moites et j'en frottais régulièrement les doigts sur le haut de ma robe en faisant mine de tenir ma jupe.

Je pris place devant les trois personnes, au bas des marches, en faisant l'une de mes plus belles révérences.

Un valet avait prit soin de placer un petit coussin sur l'une des marches, après ma révérence, je m'agenouillais dessus, levais la tête et je fis mon sermon, à haute et intelligible voix.

Moi, Jeyshana, faisons serment à Son Altesse Julien Giffard de lui promettre, en tant que Suzerain, Consilium, Auxilium et Obsequium.

HRP : Modifié pour non consentement de la joueuse.

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Julien_giffard

Première vassale à passer. Maintenant c’était à lui de jouer.

Jeyshana, voilà plusieurs mois, je vous ai fait cette proposition de vous anoblir. J’ai vu en vous, outre un sacré tempérament, une jeune femme dont l’envie d’apprendre et de comprendre la guide dans sa vie, au service de son duché et de sa famille.

Aussi, pour ces raisons, nous vous promettons en retour de votre serment, protection, justice et subsistance pour les terres de Crevecoeur en Auge.

Goûtant fort peu le baiser vassalique, il opta pour l’accolade. Puis il alla chercher un cadeau comme il l’avait toujours fait avec ses vassaux. Prenant un vieux casque normand dans ses mains il lui tendit.

Par ce présent, je scelle notre nouveau lien. Vous disposez d’un château à Crevecoeur en Auge, avec remparts et douves. Vous aurez fière allure avec ce casque lorsqu’il s’agira de le défendre en cas de nécessité. Vous trouverez également, présent de Kathryn, un berceau dans la chambre seigneuriale. Il semblerait que vous en ayez bientôt besoin.
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Deedee

Helas non, Adeline n’était pas encore le larbin de la maison pour apporter des coussins ou disposer les fauteuils pour que les futurs vassaux puissent poser un genoux a terre.
Adeline, elle, étant tout simplement arrivée en retard, n’avait meme pas remarquer le cousin sur lequel la nouvelle dame de Crevecoeur venait de s’agenouiller occuper qu’elle était a suivre la cérémonie et s’assurer que l’échange qui viendrait serait correct.
Tel était son role de héraut.

Le regard posé sur Jeyshana, attentive, Normandie écouta le premier échange avant de tourner la tete vers le Prince pour ecouter sa réponse.
Et une fois les promesses echangés, le héraut se pencha sur son pupitre pour rediger le Contreseing, document officiel qui temoignerait de l’échange qui venait de se passer.

L’encre et la cire seche, elle quitta sa place pour s’avancer, apres la remise de cadeau vers la nouvelle dame de Crevecoeur.

-Jeyshana Bellecour de par la volonté de son Altesse Julien Giffard, Duc de Cambremer, vous voici à présent dame de Crevecoeur en Auge comme en témoigne ce document, scellant votre échange.

Spoiler:

Citation:

- CONTRESEING d'OCTROI de SEIGNEURIE VASSALE -

Normandie

Julien Giffard, Duc de Cambremer

[ Julien_giffard]

Jeyshana Bellecour

[Jeyshana.bellecour]

Crèvecoeur en Auge

«De gueules à trois coquilles d'or accompagné en centre d'une croix ancrée du même»

Citation:

Une fois le document remit avec un sourire bienveillant, quand même… Normandie regagna son pupitre et se tourna vers Julien pour lui faire signe qu’il pouvait appeler le suivant.

Merci de lire les post précedent pour situer le lieu et l'action du RP... Et de ne pas faire intervenir mon personnage sans mon consentement.
> cf règles de bases du RP ;)

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Deedee

S’étant avancée jusqu’au Prince, Adeline s’écarta légèrement pour rejoindre le petit coin qui avait été installé pour qu’elle puisse officier, laissant alors Kathryn rejoindre seul Julien. Puis, installant ses quelques petites affaires le temps que Julien fasse ses dernières annonces, Normandie releva la tête juste au moment où elle entendit prononcer son prénom.
Elle adressa alors au futur Suzerain un petit signe de tête, avant de se tourner vers l’assemblée.

-Bonjour à tous.
Je sais que nombre d’entre vous sont plutôt impatient que la cérémonie commence alors je vous épargnerais le récit de mes aventures.
Son Altesse étant prête, nous allons commencer sans plus tarder.

Petit raclement de gorge, parce que quand même, la poussière ça assèche et le héraut de poursuivre d’un ton solennel.

- Nous sommes donc ici de par la volonté de son Altesse Julien Giffard qui a souhaité, ce jour, prendre vassal sur ses terres de Cambremer et Lillebonne.
Deux duchés magnifique et porteur de grandes histoires, cela dit en passant.
Heum… pardonnez-moi, je m’égare.

Donc, à l’appel de leur noms, les futurs vassaux devront s’avancer devant leur futur Suzerain, dépourvu d’arme – le futur vassal, pas le Suzerain- et mettre genoux a terre avant de prêter serment et lui promettre, Consilium, Auxilium et Obsequium, ce qui signifie, Conseil, Fidélité et Aide et Service armée.

S’il faut le rappeler, cette promesse n’est pas qu’une simple promesse, ce n’est pas non plus le gage d’une terre et d’un titre, c’est avant tout et surtout un engagement fait de droit, de devoir mais aussi de responsabilité.

Elle s’arrêta un court instant, espérant n’avoir endormis personne.

-En retour de votre serment, son Altesse vous promettra à son tour, Protection, Justice et Subsistance et pourra conclure par une accolade ou un baiser vassalique. Scellant ainsi la promesse mutuelle que vous vous serez faites.

Cette fois, Normandie se tourna vers Julien, et lui adressa un sourire lui indiqua.

-Votre Altesse, je vous laisse le soin d’appeler votre première victime.

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Julien_giffard

Habillée, lavée, et soignée, Normandie refit son apparition juste derrière sa cousine et avec sa joue légèrement balafrée, elle aurait presque pu rajouter : « engueulée, torturée, battue, ect » mais… personne ne l’aurait cru.
Forcement.

Adressant alors un sourire aux uns et aux autres, le (z')héraut du jour s’avança vers le Prince tout en se demandant ce qu'il avait bien pu leur raconter en attendant.

Avisant l'arrivée d'Adeline, Julien sourit. Enfin, il n 'aurait plus à noyer le poisson comme il l'avait fait jusqu'alors!
Souriant aux uns et aux autres, notant qu'il avait réussi à en perdre la moitié (au moins) avec son jeu farfelu, il se râcla la gorge avant de poursuivre. Du coin de l'oeil, il nota également que Kathryn était revenue. Le Prince les invita alors toutes les deux à le rejoindre. Jamais loin les uns des autres ces trois là...

- Bien. Merci à tous et à toutes de votre attente. Normandie sait se faire désirer comme vous avez pu le constater. Maintenant qu'elle est réparée et remise à neuf, nous allons pouvoir commencer.
Cependant, je tiens à vous faire part d'une annonce avant de débuter. Prochainement, nous nous marierons avec Sa Grasce Kathryn ABC. A la fin de cette cérémonie, nous formerons une mesnie, et de fait, sans lien de vassalité direct avec elle, elle sera quelque part une suzeraine par alliance? ça se dit ça?
Du coup, Adeline, c'est à toi de jouer désormais.

redigé avec Jd Ad
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Julien_giffard

Julien ne pu s'empêcher de sourire aux paroles d'Adeline. Déjà que la moitié -au moins- se demandaient ce qui allait se passer durant la cérémonie, voilà qu'elle enfonçait le clou en parlant de victime.

Bien, nous allons donc commencer. Honneur aux femmes enceintes. Il ne faudrait pas que la cérémonie s'éternise de trop, sait on jamais...

Avisant la taille des bidous respectifs de Jeyshana et Melina, Julien rajouta le critère de l'ancienneté de la proposition pour faire son choix.

Jeyshana, je vous en prie, si vous voulez bien venir pour les terres de Crèvecoeur en Auge.
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Ecoley.

Adeline venait d'arriver, et elle c'était faites remarquée... Ecoley n'avait pas manqué de remarqué son visage écorché, le sang, même léger, venant contrasté fortement avec le teins assez pale de son visage... Elle fut vite prise à partie par sa cousine. Il imaginais déjà les remontrances dans les quartier privés...

De son coté le Prince semblais un peu perdu... ou du moins il tentais de nous perdre avec sa Grelotine... Rodogune opta pour le choix arbitraire et sans attendre il acquiesça également cette méthode.

Votre Altesse, je ne pense pas que nous soyons venu pour enfiler des haricots sans vouloir vous manquez de respect... Puis faut reconnaitre que ça risque de prendre un temps fou...
Je suis d'avis de prendre le choix du Prince comme la si bien évoqué Dame Rodogune.

Melina

Mélina avait bien sure remarquer l'entrée de Normandie. Toutefois aussi vite arrivée qu'elle fut resortit avec la duchesse. Un regard vers son tendre, qu'ont lui apportait une chaise a la demande de Julien.

Merci!

Elle y prit place. Ses pieds et son dos la faisait souffrir. Il ne faudrait pas non plus accoucher ici dans la salle de cérémonie, quoi que cette idée ferait oublier l'entrée fracassante de Normandie. Un large sourire a cette pensée, qui resta bien entendu que dans la tete de celle qui l'avait pensée. Puis Julien avait donner la description du jeu, elle était presque tenté de choisir le jeu avec des haricots. Mais son coté taquin, elle le réservait souvent que dans sa tete, ou dans le privée de la maisonnée en famille. Peu de gens connait ce petit coté de Melina qui était toujours accentué durant ses grossesses.

Vostre choix sera le bon vostre altesse!

Pour appuyer les autres de cette cérémonie.
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Écuyer de L'Ordre Équestre et Royal du Saint Sépulcre

Jeyshana.

Comme tous les autres, je vis l'entrée d'Adeline suivit aussitôt de sa sortie avec notre Duchesse. Il nous fallait patienter encore un peu.
Je souris à Mon Géant même si je n'en menais pas largue et je lui murmurais :

J'ai un peu peur au point de trembler, Amour.
Mes lèvres sont sèches et je n'ai plus aucune goutte de salive, alors que mes mains sont terriblement toutes moites !
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Elion

L'eau avait coulée sous les ponts depuis les premiers jours où le jeune seigneur avait foulé le sol Normand , aujourd'hui il était au milieu des élites , si on puit dire ainsi , les personnes les plus influentes et importantes du Duché étaient présente en ce jour . De belles robes , de beaux vêtements , des rires et des sourires se dessinaient sur les lèvres des Dames , divers parfums flottaient dans les airs , les pétales et autres alcools de diverses plantes embaumaient l'horizon . Sentant l'angoisse de sa belle lorsqu'elle serra l'emprise de ses doigts dans leurs mains jointes . Nullement impressionné par la puissance en tout genre des personnes présentes , il souhaitait partager cette aisance avec celle qui possédait son coeur . Approchant son visage de son oreille , humant au passage son agréable parfum de rose qui survolait ses cheveux ondulés , un léger clignement des yeux et ...

" Ma fleur ... Soyez certaines que tous autant qu'ils sont , riches , beaux ... Il n'en reste pas moins qu'eux aussi vont aux latrines , comme vous et moi . Imaginez un peu leur postures , fessier nu et visage crispé ... "

Il espérait avoir détendu l'atmosphère , calmée sa chère et tendre ainsi , peut-être même l'a faire rire ? Comme il savait aussi bien le faire lorsque les circonstances étaient toutes autre . Soudain , une Dame se démarqua d'avantage , une robe pourpre au corset noir , une blonde . Celle-ci se présenta comme la Duchesse de Normandie , décidément le jeune seigneur aura croisé du beau monde , vraiment . Baissant le visage , une révérence sincère et un sourire se dessina sur la bouche du grand brun .

" Duchesse ... Madame de Courcy , je me nomme Elion Bellecour - Sainclair , Seigneur de Theizé , mes respects . "

Tout en aisance , après tout ce qu'il avait pu voir dans sa vie bien que courte existence , cela avait suffit ne plus être impressionné par les plus belles merveilles de ce monde , l'horreur des bas-fonds d'une guerre , la boue et le sang mêlés , la sauvagerie de l'Homme lorsque le désespoir s'empare de son corps , qu'aucune once d'humanité ne régit ses faits et gestes , que simplement la bestialité et la brutalité n'ordonne que son corps , l'instant animal , passant par la beauté des traits d'une jeune femme ou la couleur de ses lèvres et le touché délicat d'un pétale de rose , la fragilité d'une lys . Tout ceci faisait parti de ce monde , mais à peine un sourcil qui se lève se dessinait sur son visage lorsqu'il était étonné . Tout au plus .

Le pas décidé , la marche pleine d'assurance et le main rassurante tenant celle de Jeyshana dans la sienne . Il en était ainsi ...
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Jeyshana.

Je le regardais avec les yeux ronds, quelques peu offusquée par ses dire, m'imaginant le pire de l'homme, bien sur que personnellement je ne connaissais pas la guerre, mais de là à m'imaginer ces gens, fesses à l'air posées sur des latrines, visages rougis et crispés....

Peu à peu, l'idée fit son chemin, arrivant au plus de la bête, je commençais par un léger sourire puis un rire venant du plus profond de mes entrailles. Il n'y a aucun doute, Mon Géant réussit son tour de force... je fus complètement détendu !

Vous avez parfaitement raison !
Je me sens beaucoup mieux grâce à vous, plus de peur, plus de gêne.... rien qui pourrait assombrir cette belle journée.

Je le laissais se présenter à notre Duchesse, souriant toujours à cette idée qu'Elion m'avait mis en tête.
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Deedee

[Pendant ce temps-là dans les appartements privés]

- Non mais franchement...à quoi pensais-tu ?

Levant les yeux au ciel Adeline répondit simplement.

-A la cérémonie que je suis censé diriger à coté.

Maintenant que les deux cousine sont toutes les deux, et qu'elle a vu de près d'Ad n'avait rien de grave, elle peut sourire de la situation.

- Tu aurais pu au moins prendre quelques minutes pour te changer et venir te servir dans mes malles. Tu auras vu l'image que tu as donné en entrant comme cela dans la grande salle.

-Tss.... Nous aurions été a La Haye ou Angoville je dis pas. Mais pas ici. Et puis quoi... Je me moque complètement de l'image que je peux donner. La poussière ça salit, c'est bien connu.

Menton relevé, un poil... provocatrice quand même.

-Raconte, que t'est-il arrivé ?

-J'ai rencontré une branche.
Enfin deux.
Ma jument n'a pas pu les éviter.

Et de finir tout bas, en espérant ne pas être entendu

-Suis tombée de cheval quoi...

Kat ne reste pas inactive à attendre les réponses et nettoie rapidement les plaies, heureusement légères de sa cousine. Comme une impression de déjà-vu. Cela ne prend que quelques minutes puis vient la tache la plus ardue. Rappeler à sa cousine que derrière l'officier royal, elle reste une femme. Elle ne commente même pas, après tout, une chute peut arriver même aux meilleurs cavaliers.

- Ta chemise est fichue, tu vas devoir te changer. Exemplarité, et tout et tout.

-Mais...

Elle lui sert un verre pour atténuer les protestations et cherche dans sa malle une tenue adaptée.

-Je n'ai pas ton tabard, mais j'ai ceci.

Forcement avec un verre dans la main, difficile de protester et de râler, même si l'intention est là. Adeline fronce les sourcils et soupire.

-Sous le tabar ça ne se voit même pas !

Mais inutile d'en dire plus, quand la cadette de Courcy a quelque chose en tête, elle ne l'a pas ailleurs. Avisant alors la tenue qu'elle venait de sortir, Adeline arqua un sourcil.

Une robe bleue et jaune est sortie, qui devrait aller comme un gant à Adeline car elle a été faite pour elle. Comment se trouve t-elle dans les malles de Kat en revanche ? Mystère.

- Allez, enfile moi ça en vitesse. Nous sommes attendues, enfin surtout toi.

-Tu n'es pas sérieuse ? C'est une cérémonie d'anoblissement, pas un mariage hein.

Et vidant son verre d'un trait, Normandie quitta doucement son tabar et sa chemise avant de prendre la-dite robe en secouant la tête.

-Tu ne changera jamais...
Elle est magnifique...
Mais...

Il était inutile d'en discuter de toute façon, Adeline savait très bien qu'elle n'aurait pas le dernier mot... Un peu comme lorsqu'elle lui conseillait de porter autre chose que du noir. Comment lui faire comprendre qu'elle n'avait pour l'instant guère envie de porter des robes et autre joyeuseté de ce genre... Les manifestation mondaines n'était pas pour elle.
Elle haussa doucement les épaules avant de demander.

-Tu m'aide à la passer ?

-Volontiers.

Kathryn prit place derrière elle et laça le corsage avant de l'aider à ajuster ses cheveux

-Tu n'as pas besoin de la robe pour cela, mais tu es très jolie.

Le compliment est clairement en dessous de la réalité mais elle n'insiste pas.

Adeline ne répondit pas non plus au compliment, préférant taire le fond de sa pensée, plutôt que de contrariée une fois de plus sa cadette.
Cependant elle reconnaissait que la robe était tout à fait à sa taille, très agréable à porter et... à regarder. Kathryn avait toujours eut des doigts de fée, et rien n'avait changé.

Se mordant légèrement la lèvre pour taire ses pensées, Adeline donna simplement un petit signe de tête vers le tabar

-Il est propre, il était dans ma sacoche.

Petite moue à l'idée de "gacher" la robe avec le tabard informe mais il le faut et Kat la laisse le passer sur la tenue.

-Prête à y retourner ?

Léger hochement de tête avant d'ajouter simplement.

-Oui... Ne faisons pas attendre davantage vos invités.

Ecrit à 4 mimines et 20 doigts avec @Kate et @Adeline
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Rodogune

Rodogune regardait la scène avec circonspection, mais le summum fut atteint après les explications de Julien sur le choix

oui oui oui ..... ah c'est ce qu'on appelle le génie stratégique normand, ce jeu.... de quoi perdre les bretons dans nos bocages pour mieux les mettre en déroute ..... tant qu'à choisir, je serais plutôt partisane du choix arbitraire ... on dira qu'on appellera cela le choix du prince

Marquisdefranchimont

Bien entendu que nous pouvons allez saluer Gwenn.

Le couple patriarcale se dirige vers Gwenn lorsque son altesse vint les saluer. Puis sa femme fait grand sourire elle acquisse au fait que c'était Marquis.

Très bien vostre altesse. Oui voici mon époux, Marquis. Les futurs parents sont ravie que la maison deviendra encore plus bruyante. Les jumeaux court partout maintenant. Ça met de la vie dans une maisonnée les enfants! Mon époux le désirait, il sera combler d'ici quelques semaines de l'ajout, du moins je l’espère!

Mel reteint un rire. Cela l'amusait de taquiner son mari et elle avait une hate non dissimuler que cette grossesse prenne fin.

Marquis penche la tête vers l'avant, en signe de révérence et de respect pour Son Altesse.

Vostre Altesse. C'est un honneur de vous rencontrer en personne. Nous avons tant échangé de missive que je suis heureux de pouvoir mettre un visage sur les échanges que nous avons eu. Vous pouvez compter sur mon respect et ma fidélité.

Se tourne vers la Duchesse.

Vostre Grâce, très heureux de vous rencontrer et je vous remercie pour cette médaille que vous nous avez remis.

Kathryn.brehnian

Un sourire à Julien quand après avoir fait le tour des invités elle revient à lui.

- Rodéo sur les ânes de Gwenn ? Les époux font l'épreuve pour les femmes enceintes bien sûr et ceux qui tiennent le moins longtemps passent en premier ?

Elle le taquine ainsi quand la héraut arrive...dans un état surprenant.
Un rire qui se fige et des sourcils qui se froncent.

- Avouez-le, entre toi et elle, vous voulez ma mort,

murmure t-elle à mi-voix en direction de Julien.

- et pourtant vous savez bien que c’est tout le contraire que nous voulons

lui répond il dans sa barbe
Mais avant qu’il ne puisse poursuivre, elle lui coupa l’herbe sous le pied.

- Très chers invités, Son Altesse va vous dire quelques mots, le temps que Normandie se rafraichisse après son voyage.

Euphémisme quand tu nous tiens. En quelques enjambées, Kathryn arrive auprès d'Ad et lui indique juste de la suivre du regard. Celui qui indique clairement que refuser n'est pas en option.

Et mer***, pour une entrée discrète, ce fut une entrée remarqué ! En même temps, en arrivant la dernière, avec une petite balafre sur la joue, les vêtements poussiéreux et déchirés, a quoi s'attendait-elle ?
Et vu la réaction de sa cadette qui fonçait vers elle comme son chat sur les intrus, Normandie hésita un bref instant à prendre ses jambes à son cou.

Elle tenta toutefois de minimiser la chose en levant légèrement les mains innocemment et secouer la tête.

-Nan mais Kate, je te jure que c'est rien ! Ce n'est pas du tout ce que tu crois !

Chuchota-t-elle à sa cousine tout en la suivant.

Se retrouvant comme deux ronds de flan face à tout le monde, il regarda Kathryn et Adeline s’éloigner. Un tantinet inquiet. Il regretta un peu de ne pas assister au spectacle des explications d’ailleurs.

- Comme vous le constatez tous et toutes, notre Normandie est à l’image de la Normandie après le passage des bretons. En plus jolie que ces derniers je vous le concède volontiers. Plus sympathique aussi. Et non je ne ferai pas de commentaire sur le caractère, puisqu’elle est une crème. Du moins avec moi.

Il n’y avait pas à dire, mais une vie dans les arcanes du pouvoir au Louvre aidait bien quand il s’agissait de meubler en attendant que le héraut revienne.
D’un geste de la main, il fit porter deux sièges pour les femmes enceintes. S grattant la tête, cherchant bien ce qu’il va dire et surtout comment choisir qui va passer en premier, il eut un petit éclair de génie.

- Bien, en attendant Normandie, nous allons décider de qui commencera. Je vous propose un petit jeu. C’est simple mais il faut suivre. On va jouer à la Grelotine*. C’est un jeu du pays de Galles. C'est facile.
On peut jouer avec soit des haricots soit des lentilles.
Le premier qui annonce la mise dit, mettons, 'lance de 16' ou 'lance de 32″, ou une 'quadruplée' qu'on appelle, c'est une lance de 64, parce qu'on avance de 16 en 16 sauf pour les demi coups.
Là, celui qui est à sa gauche soit il augmente au moins de 4 soit il passe et il dit 'passe grelot' , soit il parie qu'il va monter au moins de 6 ou de 7, il peut tenter la grelotine.
A ce compte là il joue pas, il attend le tour d'après et si le total des mises des 2 autres ne suffit pas à combler l'écart, il gagne sa grelotine et on commence le tour avec des mises de 17 en 17.
Mettons là que le suivant annonce une quadruplée, là elle vaut 68, il peut contrer ou il se lève et il tape sur ses haricots en criant 'grelote ça piquotte' et il tente la relance jusqu'au tour d'après.
Je fais apporter des lentilles ou je choisis arbitrairement?

* kaamelott, saison 1, épisode 57
Ecrit à 6 mains avec JD Adeline et Julien

Julien_giffard

Haussant un sourcil à la manière de Gwenn de s’adresser à lui, il se rappela rapidement qu’il s’agissait de leur grand jeu à tous deux bien souvent.

Les invités continuaient d’arriver les uns après les autres. Il regarda d’un air attendri Kathryn évoluer parmi eux. Comme quoi, malgré ce qu’elle pourrait dire, elle avait un sens aigu des relations publiques. Parfait! il n’aurait plus à se forcer même si à ses côtés, il ressemblait de moins en moins à un ours dans sa caverne.

D’ailleurs en parlant de caverne, un autre mot dont la sonorité était très proche lui vint en tête: taverne. Association d’idée justement, il remarqua qu’Adeline se faisait attendre. A moins que ce ne soit l’absence d’Adeline qui lui fit penser à la taverne. Vous savez, un peu l’histoire de l’œuf et la poule...

Votre Grace de Cany, c’est un plaisir de vous voir. Vous avez perdu Phebus dans les couloirs?

Jeyshana, dame Melina et j’imagine messires Elion et Marquis, la bienvenue également. Les futurs parents se portent bien?

Puis, se rapprochant de Kathryn, il lui souffla à l’oreille quelques mots après qu’elle les ait interpellé quant à l’ordre de passage.

Rappelez moi déjà pourquoi elle n’a pas voulu dormir chez nous? Organisons nous un petit jeu pour savoir qui commence? De toute façon, j’ai une annonce à faire avant.
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Melina

Melina sourit. Elle salua avec un large sourire Kathryn. Elle avait de bon souvenir du conseil ducal en sa compagnie. Puis se tournant vers Marquis.

Bien entendu que nous pouvons allez saluer Gwenn.

Elle allait se dirriger vers Gwenn lorsque son altesse vint les saluer. Puis un grand sourire elle acquiesca au fait que c'était Marquis.

Très bien vostre altesse. Oui voici mon époux, Marquis. Les futurs parents sont ravie que la maison deviendra encore plus bruyante. Les jumeaux court partout maintenant. Ca met de la vie dans une maisonnée les enfants! Mon époux le désirait, il sera combler d'ici quelques semaines de l'ajout, du moins je l'espere!

Mel reteint un rire. Cela l'amusait de taquiner son mari et elle avait une hate non dissimuler que cette grossesse prenne fin.
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Écuyer de L'Ordre Équestre et Royal du Saint Sépulcre

Rodogune

En arrivant, Rodogune constata qu'"elle n'tait pas en retard, mais presque en avance. Elle salua Ecoley

Bonjour Messire Ecoley... oui et je pense pour la même raison que vous, mon anoblissement....

Puis son futur Seigneur arriva accompagné de la Duchesse. Si elle avait pu encore avoir des doutes sur leur relation, ils étaient levés.

Bonjour Votre Altesse, bonjour Kathryn. La route a été assez bonne, et je suis à là fois excitée et angoissée de ce qui va se passer. J'avais, comme vous me l'aviez autorisé, invité mon jeune frère à venir, mais je ne suis pas sur qu'il le fasse, compte tenu que les frontières sont encore fermées.

Les participants arrivaient progressivement et Rodogune les salua, tout en restant un peu à l'écart pour mieux se concentrer

Bonjour Gwenn, belle journée en effet, et à tout point de vue.

Deedee

[Sur la route de Cambremer, quelques heures avant la cérémonie]

Pourquoi avait-elle refusé de dormir à Cambremer la veille au soir ? Ca… ce n’était pas encore tout a fait clair dans l’esprit de la marquise.
Peut être parce que Caen n’était pas trop loin.
Peut être parce qu’elle avait eut envie de finir quelque dossier dans son bureau à l’hérauderie.
Peut être parce qu’elle n’avait pas eut envie de déranger, même si à l’inverse elle aurait bien aimé passer une petite soirée avec eux et pour une fois… Se laisser materner.

Quoi qu’il en soit, c’est toute seule et a cheval que Normandie avait pris la route bien avant l’aube, quittant Caen pour Cambremer. La campagne normande avait l’avantage d’être magnifique en cette fin d’été et puis… elle n’était pas pressé, la cérémonie n’était fixé qu’en fin de matinée.

Profitant de ce vent de liberté, loin du château, de ses bureaux, de l’armée, des caprices de petits chiens frustrée, la normande s’accorda même un petit galop à travers champs, laissant ainsi a sa jument la possibilité, elle aussi, de gouter a cette liberté.

Ce qu’elle n’avait pas prévu par contre… C’est cette branche en plein milieu du chemin et pile au dessus d’une autre branche.
Trop tard pour l’éviter.
Trop tard pour reculer.
Trop tard pour éviter le bouffer la poussière.

Assise par terre, toussant et crachant pour reprendre son souffle, Normandie se releva péniblement, constatant, par chance, qu’elle était encore entière, si ce n’était…

-Et merde… Kathryn va me tuer…

Marmonna-t-elle en constatant la manche de sa chemise déchirée.

-Et merde… Julien va me tuer…

Grommela-t-elle en constatant son coude écorché.

Puis portant la main à sa joue elle grimaça à nouveau avant de lâcher.

-Ils vont me tuer….
Cette fois c’est sur… Je serais privée de sortie !

Et tout en rattrapant sa jument, Adeline tenta de réparer les dégâts, ou du moins… nettoyer ses égratignures au ruisseau avant de reprendre sa route… Plus lentement.
Adieu l’galop !

[Cambremer - #jsuispresquepasenretard]

Finalement, le soleil était déjà bien haut dans le ciel lorsque Normandie passa les grilles du château du Prince.

Laissant sa monture au palefrenier, elle avisa un garde qui commençait à la connaitre et lâcha simplement tout en enfilant son tabar.

-Je sais… je sais… Je suis en retard.
La salle des cérémonies ?
Je vous suis…

Et juste le temps d’épousseté ses braies, camoufler tant bien que mal sa chemise déchirée – et Normandie de trottiner jusqu’en salle des cérémonies où visiblement… Elle était attendue.

Un regard à droite.
Un autre à gauche.
Un sourire plaqué sur son visage et…

-Bonjour tout le monde.

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Kathryn.brehnian

Arrivée au bras de Julien, encore amusée par ses compliments non-objectifs sur sa tenue

tenue

elle va saluer tous les futurs vassaux dès qu'ils arrivent.

C'est qu'elle n'est pas chez elle, même si Julien la reprendrait surement s'il l'entendait le formuler à voix haute et ne s'autorise pas encore à se comporter en maitresse des lieux. Donc elle pose juste un oeil admiratif devant le décor floral, se demandant s'il reste encore la moindre fleur dans le jardin du chateau et croisant les doigts pour que personne ne supporte pas l'odeur des fleurs.
Avec deux femmes enceintes...on ne savait jamais. Mais au pire ils délocaliseront dans le jardin...maintenant vidé de ses fleurs.

Rodogune, Ecoley, Gwennj'espère que vous allez bien !

Elle lève les yeux au ciel en direction d'Ecoley et Gwenn qui lui donnent du Duchesse et se dirige déjà vers les nouveaux arrivants.

Jeyshana, messire, bienvenue à vous.

D'une phrase, elle se présente à l'homme qu'elle ne connait pas personnellement.

Melina, Marquis, heureuse de vous voir ici.

Association d'idée, elle se demande s'il y a des macarons prévus pour le banquet d'après octrois.

Il ne manque plus que Normandie et la cérémonie pourrait débuter. Un regard au suzerain et à tous les futurs et elle questionne :

Qui sera le premier à se lancer ?

Elion

A la fin de l'été où les nuits prennent leur manteau au parfum de l'hiver d'ores et déjà , où la lune se couvre de son voile de brume , la douceur surprenante de certaines journées de septembre , voici enfin venu le jour tant attendu pour la jeune Normande de savourer les joies de la noblesse , après de longues années de services accomplis pour cette terre magnifique et riche d'histoire , bien que cela n'était que simple formalité car en effet , elle jouissait déjà d'une vie confortable depuis que le jeune Elion à qui elle avait offert son coeur . Qui lui-même était déjà Seigneur , dans un Duché plus ou moins lointain en ce Royaume de France .

" Il semblerait que nous approchons ma chère , le castel est à l'horizon . J'en aperçois déjà les tours . "

Le vacarme des roues du coche de la famille Bellecour sur les chemins rocailleux se faisait entendre , la charrette avançait cependant à une vitesse plus que convenable , pour cause ; deux belles bêtes étaient attelées devant et avec fougue et fierté trottaient en direction de Cambremer .
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Jeyshana.

Nos deux tourtereaux étaient en passe d'arriver au Duché de Cambremer. La calèche fait enfin halte dans la cour d'honneur et c'est mon vieux Turold qui en ouvre la porte, nous permettant de descendre.

Nous y sommes enfin, Mon Géant !

Regardant le Vieux Capitaine, auquel je prendrais bientôt la place :

Bonjour Turold, voici la missive reçue par son Altesse Julien qui nous attend !

Celui ci nous conduisit dans la Salle des Cérémonies du Domaine, somptueuse et grandiose. Et pour l'occasion, j'avais mis ma robe rouge, celle dite de 'Bal'.
Je saluais d'un sourire Rodogune, un Messire que je ne connaissais pas, ainsi que Gwenn de Lescart

Puis , je fis une petite révérence devant Son Altesse et Sa Grandeur Kathryn Brehnian.

Bonjour Votre Altesse et Votre Grandeur. Ravie d'être là !

Mon époux, Elion, se tenait juste derrière moi, une main délicatement posée sur ma taille, qui commençait à s'arrondir à cause de ma grossesse, saluant d'un léger signe de tête.
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Ecoley.

Le prince et la duchesse venant d'arriver dans la salle de cérémonie, vinrent le saluer lui et les autre convive. Il s'avança vers eux avec le sourire.

Bonjour à vous, la route a été bonne, surtout par cette belle journée.
Duchesse, content de vous voir parmis nous. Votre Altesse, merci de votre confiance.

Derrière lui son amie Gwenn venait d'arriver dans une belle robe bleue. Il l'enlaça amicalement, lui glissant au creux de l'oreille.

Merci d'être venu Gwenn...

avant de lui répondre

Oui c'est une belle journée, ensoleillée et visiblement, très fleuri !

Melina

La route vers Cambremer

Mélina avait fait préparer les chevaux d'avance et la carriole pour le voyage avec Marquis. Le couple s,était préparer et Mélina avait mise la seule robe qui lui faisait encore en ces temps ci. La tenue de Mel lui allait a ravir selon la maisonnée. Ce fut agréable comme voyage et le paysage était toujours aussi beau. Cambremer, un bel emplacement tout de meme!

Nous allons arrivée de justesse Marquis, faut pressé un peu les chevaux. Ca parraitrait mal d'arrivée en retard tu penses pas?

Un large sourire et la requete a arthur de pressé le pas fut donner. C'est ainsi qu'a toute allure ils arriverent sur place. Melina laissa son époux descendre avant elle. Son aide pour pas tomber en plein visage avec son bedon arrondit était une necessité. Une fois diriger vers la salle des cérémonies, Melina au bras de son époux entrere a leur tour dans la salle. Elle fut soulager que la cérémonie n'avait pas débuter. Melina saluat les présent de la tête et alla se placer.
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Écuyer de L'Ordre Équestre et Royal du Saint Sépulcre

Marquisdefranchimont

Appartement de Rouen

Marquis avait mal dormit et c'était levé très tôt. A son habitude, il avait monté Tempête et était parti galoper sur les terres de la Normandie. Il prenait ce temps pour lui, car sous peu sa femme aura besoin de lui et c'est son intention d'être plus que disponible pour lui.

Enfin bref, lorsqu'il arrive de sa promenade Martin l'informe que selon l'horaire de sa femme, il est... en retard. Comme toujours. Il sourit. Peut-être inconsciemment il aimait faire pâtir un peu sa femme. Grande stratagème qu'elle est, elle organisait toujours tout au quart de tour. Il se dirige donc vers la chambre, sa femme est parer de ces plus beaux autours. Un sourire, une étincelle dans son oeil quand il regarde sa femme. Il s'approche et l'embrasse. Clin d'oeil et hop il trempe ces mains dans la bassine d'eau pour se laver le visage.

Son habit d'apparat est déjà prêt sur le lit. Marquis l'enfile et il prêt. Un baiser pour les jumeaux, une grosse accolade pour Tim qui grandit plutôt vite.

La route vers Cambremer

Le voyage se déroule même si, vers la fin, ils avaient roulés plus vite. Marquis descend le premier et aide son épouse à descendre à son tour. Il ne voudrait pas qu'elle tombe. Il prend son bras et ils avancent vers la salle des cérémonies. Marquis salue Gwenn qu'il connait déjà et regarde si il n'y verrait pas un autre visage connu.

Approchons-nous de Gwenn, ma chérie. Je voudrais bien qu'on l'a salue...

Rodogune

C'etait le jour J. Avec beaucoup d’émotion et un peu d'appréhension, Rodogune se rendit au Castel de Cambremer pour son anoblissement. Pour la circonstance, elle avait vidée sa cagnotte pour s'offrir une robe en soie bleue nuit de Florence, aux motifs de fleurs. Elle voulait ainsi faire honneur à son suzerain.

Elle arriva à l’accueil où elle vit le factotum de service

Le bonjour Messire, je suis Rodogune actuelle prévot de Normandie et je suis attendu par son Altesse Julien Giffard

Ecoley.

Le Prince l'avait convié à venir en se jour pour se faire anoblir. Il n'était pas forcément à l'aise, la noblesse, à la base ce n'était pas son truc... Mais les circonstance faisais qu'il avait accepter et que dans un sens il souhaitait faire ses preuves et quoi de mieux qu'un fief a gérer pour faire ses preuves.

Il arriva devant Turold, qu'il avait deja rencontré lors de sa précédente visite au Prince Julien Giffard. Il n'était pas en retard, mais il n'était pas le premier. Rodogune était déja présente dans une robe ravissante. Lui c'était contenter de mettre des vêtement sobre mais différent de sa tenue de garde de nuit.

Bonjour Messire Turold, j'ai rendez vus avec son Altesse. se tournant vers la jeune femme. Dame Rodogune, vous venez également pour un anoblissement ?

Julien_giffard

[duché de Cambremer, 9 septembre au matin]

Apportant un plateau avec un bol de tisane et quelques fruits à une Kathryn à moitié endormie, Julien se posa à ses côtés.
Caressant doucement ses cheveux pour l’aider à se réveiller, il réalisa que ce n’était peut être pas la meilleure façon de s’y prendre. En même temps, il avait hésité avec le réveil en fanfare, un peu impatient à l’idée de cette journée. Sauf qu’il commençait à la connaître et la réveiller brusquement n’était pas une chose à faire. A moins de vouloir passer une sale journée ensuite. Et ça, si ce pouvait être évité....

- mon étoile? Il est l’heure. C’est une grande journée. Il faut se lever sinon vous n’allez pas être prête. Merci à vous d’ailleurs d’être à mes côtés pour cette cérémonie. Après tout, cela vous engagera par la même occasion.

Le Prince déposa un baiser sur son front avant de poursuivre.

- A mes côtés hein, pas témoin. Etes vous d’accord pour que nous leur fassions part de notre projet de mariage?Cela nous permettra d’expliquer le pourquoi du comment de votre place particulière ce jour.

- Hummmmm...

C'est le seul son qu'il obtient dans un premier temps. On n'a pas idée d'être si bavard dès le réveil. Et malgré tout, il serait capable d'y déchiffrer la réponse à toutes ses questions.
Elle cherche à tâtons sa main et la porte à ses lèvres.
Un premier oeil ouvert et elle ne reconnait pas le décor. Puis les souvenirs reviennent. Cambremer, la cérémonie du jour.

Elle se redresse et sourit en découvrant la collation qu'il lui a apporté. Après avoir bu une gorgée de tisane, elle consent enfin à reprendre point par point.

- Je serai prête à l'heure, ne vous inquiétez pas pour moi. Si vous désirez que je sois à vos côtés, je le serai et bien entendu, nous pouvons leur parler de nos projets. Et donc expliquer que je serai la future suzeraine consort.

Une pomme est saisie et croquée alors qu'elle passe un plaid autour de sa chemise.

- Tout est prêt ? Ad est déjà arrivée ?

Sourire qui l'incite à filer aller vérifier tout cela s'il veut qu'elle soit prête à temps.

Répondant à son sourire par un autre, il lui laissa croire que la ruse avait fonctionné. La suivant des yeux, il se retint de lui proposer de l’aide. Pas sûr qu’ils n’auraient pas perdu plus de temps qu’autre chose. Faut dire que certains lacets pouvaient être récalcitrants...

- vous savez bien qu’elle arrivera à l’heure de l’apéritif voyons! Ce qui veut dire qu’il vous reste deux heures!!!

[fin de matinée, salle des cérémonies]

Rejoint par Kathryn, il resta un instant ébloui en la regardant. Simple mais gracieus. Secouant la tête pour se reprendre, il lui tendit la main.

- vous êtes somptueuse. Comme à votre habitude. Oui je sais, je ne suis pas objectif. Vous me le répétez suffisamment. Mais là quand même...

Main dans la main, ils gagnèrent alors la salle de cérémonies. Une partie de leurs invités étaient déjà présents.

S’approchant de Turold il remercia celui qui, au fil des années, était devenu un ami, avant de se diriger vers Rodogune et Ecoley.

- la bienvenue à tous les deux. La route fut bonne? Prêts pour ce grand jour? Nous attendons un peu de monde encore avant de commencer. Notamment Adeline sans quoi rien ne sera possible.

rédigé par Jd Kathryn et Jd Julien
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Gwenn_hoel

Gwenn arriva à son tour, vêtue d'une robe plutôt sobre d'un beau bleu roi. Pas en retard. Mais pas en avance non plus. Bref, dans la norme. Entrant dans la salle de cérémonie, elle rejoignit le petit groupe qui s'était formé.

Bonjour Rodogune, bonjour Ecoley. Quelle belle journée n'est-ce pas ?

Puis se tournant vers le couple nouvellement formé :

Mes respect Votre Altesse... Duchesse... Merci d'avoir laissé Ecoley m'inviter pour ce jour très important pour lui. Promis, j'ai laissé mes ânons à l'entrée, ils ne devraient pas interférer.
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En Deuil de Laure, à jamais ♦ Le Dragon normand ♦ Protectrice de Normandie ♦ Duchesse de Normandie

Turold

Voilà un moment que la salle des cérémonies n’avait pas servi. Et depuis que Jeyshana reprenait le poste de Capitaine de la Garde, Turold se retrouvait une nouvelle fois à jouer les gardes du corps mais aussi les factotum. A dire vraie, cela ne le dérangeait pas. Notamment quand il fallait s’occuper des fleurs. La belle dame qui accompagnait désormais son maître, en plus d’être fort sympathique, avait la main verte. Et aimait partager des discussions et des conseils concernant les fleurs et plantes diverses. D’ailleurs, il faudrait qu’il en touche deux mots au Prince, parce que celle là, il n’allait pas falloir la laisser partir. Non mais!!!!
Arrangeant la salle de cérémonie, il réalisa qu’il s’était peut être un peu emporté, trop enthousiaste et que la salle était un peu voire beaucoup, remplie de fleurs. Croisant les doigts pour que personne ne soit allergique, il termina en installant le pupitre pour Normandie. Elle était gentille Normandie, elle pensait toujours à rapporter la prune!

Ne manquait désormais que les invités et le maître des lieux. A moins que cela ne se conjugue uniquement qu’au pluriel désormais.

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[RP] Des vassaux pour pour Cambremer et Lillebonne