Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3   >   >>

[RP]Ne contrariez jamais une femme... Ni une môme !

Lorca
Lorca, dans sa belle tenue en velours d'architecte du port de Bordeaux regardait la scène depuis l'un des échafaudages qui avait fleuri du côté de la baie de la lune. Souriant, il frappa d'un petit marteau une cloche suspendu à un poteau, celle là même dont il se servait pour sonner la pause.

Hé les gars, d'habitude chez les paiens, on enterre vivant un gars dans les fondations d'un château ou d'un pont pour lui conférer force et solidité ! Ben là on a carrément un vicomte volontaire pour se faire enterrer vif dans les fondations du port, quelle chance hein !

Et les ouvriers, tous des amis du pêcheur, d'éclater de rire à cette blague et d'abandonner leurs outils pour mieux contempler la noyade.
_________________


Ben42
De mon retour de bordeaux,j eu l agréable surprise de voir istar ma fifi près d un pont , elle me dit qu alex venait juste de sauter et qu un petit garçon l avait repérer, je contemplais les eaux et je vis une ombres dans l eau ( pas celle du duché), ni une ni deux je posa mon bouclier et mon épée et je plonga
dans une eau tres froide mais la vie d alex était en jeu , je saisis ce qu il me sembla etre un corps et le ramena sur la berge, vite fifi il faut faire vite , immédiatement j entrepris un massage cardiaque suivi d un bouche a bouche , pendant qu istar le réchauffait au mieux, puis d un coup un gros toussotement arriva , je laissa reprendre sa respiration et on le couvris et le laissais au soins d istar.
_________________
Lorca
Tss, tss LJD Lorca, vos remarques par MP.
Ca commence à bien faire.
Je vous considère comme averti.


{Lilou}

_________________


Robindesbulles33
robin entendit des gens dire qu un viconte avait tenté de ce suicidé
il ce mit a courrire et vit istar et ben ce demener pres d un corp qui
semblait etre celui d alexandre.


bonjour les amis j arrive pour vous aider


robin pris sont épée et coupa du petit bois pour faire un feu afin de rechauffer alexandre
_________________

Betoval
Betoval se rapprochait de Bordeaux, sa charrette transportant des outils divers pour la construction du port.
Transporter son enclume lors du dernier voyage avait entrainé deux jours de lit pour se débloquer le dos. Là il avait sorti les grands moyens.
Il s'approchait du pont sur la Garonne quant il aperçut un carrosse immobilisé bloquant le passage.

Par expérience Betoval savait que les problèmes de circulations se réglaient dans un langage particulier à Bordeaux. Aussi il s'adapta aux coutumes locales.


Tu le pousse ton tas de boue ducon ou tu veux que je te jette dans le fleuve!

Le cocher semblait un peu nerveux et regarda ailleurs.

Oui toi espèce d'emmanché, tu crois que c'est le bon endroit pour admirer le panorama?
Comme quoi le vernis de bonne éducation peut s'écorner rapidement.

Aucunes réactions de l'intéressé, Betoval descendit de son bolide, dépassa ses bœufs et s'approcha du carrosse.
Les armes des Demessy.
Le vicomte de Nérac semblait invisible, juste le cocher qui semblait regarder vers la Garonne, l'air aussi gêné que si on l'avait surpris nu comme un vers dans un confessionnal.
Notre forgeron suivi son regard et aperçu un point dans l'immense fleuve. A juger par la cape Blanche qui flottait autour, ce ne pouvait être qu'Alexandre.

Betoval se retourna un peu surpris vers le cocher, la passivité du bonhomme le laissa pantois, avait il poussé son maitre?
Il savait qu'Alexandre pouvait être insupportable parfois.
Pas trop le temps de penser en tous cas, il monta à coté du conducteur et dit.

Au nom du Roy et d'Aristote fouette cocher, il faut porter secours à ton maitre.

Non pas qu'Aristote ou le Roi n'ai aucun intérêt dans l'affaire, mais c'était des noms qui feraient peut être réagir le loufiat .


Edit pour corrections d'orthographe et grammaire.
_________________
Eloin
Comme chaque dimanche, la jeune femme se promenoit sur les quais, après avoir prié chez elle, puisque le diacre arrivé depuys peu en Bordeaux ne sembloit point décidé à officier une quelconque messe pour ses paroissiens.

Après un rapide tour du marché, n'ayant besoin de rien, la jeune femme resserra les pans de son épaisse cape autour d'elle, pour se protéger du froid, et se dirigea à pas lents vers l'unique pont qui surplomboit une Garonne gonflée par les récentes pluies.

Alors qu'elle portoit son regard vers l'aultre rive, un cri attira son attention.


"Non!" "Alexandre!"

Son sang ne fict qu'un tour, elle qui ne connaissoit qu'un seul homme portant ce nom dans la cité, et ses yeux tombèrent sur la jeune femme ayant hurlé, puys sur le garçon désignant un point précis sur le fleuve. Un instant plus tard, elle remarqua le carrosse du vicomte de Nérac, et ses craintes se confirmèrent.
Prenant ses jupes entre ses mains, elle se mit à courir à la suite de la femme juchée sur son cheval, forçant ses jambes à aller plus vite que ce qu'elles ne le pouvoient d'ordinaire.

Lorsqu'elle put enfin arriver à sa hauteur, passablement essouflée par cet exercice improvisé, elle se permit de se présenter à celle qui avoit demandé de l'aide à tous les passants qu'elle avoit croisé.


Dame, je me nomme Eloin... Je suys médicastre, je puys vous aider... Si vous avez besoin...
_________________
Ben42
Je surveillais au mieux l état de santé d alex qui n avait malgré tout pas repris connaissance, sa respiration était haletante mais bonne , istar et robin
le réchauffa comme ils pouvaient, arrivant en toute hâte je vis messire betoval se joindre a nous ainsi que dame eloin, toute les aides était bonne a prendre car il fallait prendre soin de lui et surtout ensuite le transporter
dans un lieux chaud, une fois que son état le permettrais.
_________________
Shushi
Shushi se baladait à cheval avec Prince, quand elle entendit des cris, venant du bord du fleuve. Elle se mit au galop pour voir si elle pouvait venir en aide. Quelqu'un se noyait-il ?

Elle arriva sur les lieux et vu Istar, Ben, une Dame qu'elle ne connaissait pas, Betoval, ainsi que le carosse d'Alexandre*. Que c'était-il passé ?

Elle descendit de cheval et vu Alexandre* étendu par terre, et Ben qui lui fesait des massages cardiaques. Mais qu'avait fait Alexandre* ?

Puis la jeune Dame, qui s'appelait Eloin, dit qu'elle était médicaste, et elle la vit s'approcher d'Alexandre* qui recracha à ce moment la, toute l'eau qu'il avait bu. Oufff, il était sain et sauf.

J'alla vers Prince, et sortis une couverture de la selle. Je m'approchais vers Ben pour lui donner cette couverture pour Alexandre*, et attendit.

_________________


Isambre
La silhouette noire tenait résolument dans sa main droite les plans de construction du port de Bordeaux. Après une petite discussion avec Lorca, le chef de port, elle s'était installée à un poste pour lequel elle était toute désignée: l'inspection des travaux finis... De toute façon, enceinte jusqu'aux yeux, elle n'aurait pas été d'une grande utilité.

Les yeux ambres se dirigèrent vers le tintement strident que venait de provoquer Lorca, en grand costume de cérémonie. Un instant surprise, elle tendit l'oreille à son petit commentaire et d'un haussement de sourcil braqua son regard interrogatif vers le sujet d'hilarité des ouvriers.


Le visage blafard n'indiqua pas la moindre petite parcelle de sourire lorsqu'Isambre prit conscience de ce qui venait de se produire. Ce fut même une once de mépris qui traversa ses yeux ambres alors qu'on repêchait le noble de Guyenne, qui avait ajouté à son mauvais goût habituel, celui d'une tentative de mort d'une indignité totale.


Non pas qu'Isambre méprisa le suicide, non. Mais cette façon de se donner en spectacle, en plein Bordeaux alors que les rues grouillaient de monde... C'était soit le signe d'une sottise monstrueuse, pensant qu'il aurait pu mourir tranquillement devant un parterre de bordelais aussi nombreux ou alors, pire hypothèse, un suicide volontairement raté, une nouvelle façon de se rendre intéressant et de faire pleurer dans les chaumières.

Il fut un temps où le vicomte ambitionnait d'être pitoyable à la guerre, au moins y avait-il un semblant d'utilité. Désormais c'était dans une eau sombre, un cloaque d'immondices, d'une rivière débordant d'excréments les plus divers, qu'il semblait vouloir laisser sa vie. Pitoyable scène. S'il ne pouvait pas compter toujours sur ses amis, au moins pouvait il être bien certain qu'une de ses ennemies ne se dédierait pas. Isambre ne lèverait pas même le petit doigt.

Elle s'approcha de Lorca qui se remettait, comme toujours, fort difficilement de sa plaisanterie et lui indiqua le regroupement d'une moue pleine de mépris:

- Ne t'agite pas tant. Il s'en sortira, il a tout fait pour. De toute façon, il ne prendrait pas le risque de rater les élections. Les ambitieux sont durs à la mort, même quand ils la simulent.
_________________
Lorca
Lorca toussota distraitement en regardant isambre.

Ouais, j'aurais du le harponner quand j'en avais l'occasion. j'aurais dit que je l'ai confondu avec un phoque, et comme ça, on s'en serait débarrassé !

S'essuie les mains sur son tablier, et regarde un instant les ouvriers reprendre le boulot.

Dis, tu crois que le suicide est conciliable avec le vivre noblement ? C'est suffisant pour se faire virer de la licorne même, non ?
_________________


Isambre
Isambre tenta un instant de visualiser la scène que venait de lui décrire Lorca. Embroché sur un harpon... Elle décocha au prêtre, pour la première fois depuis le début de ce triste spectacle, un petit sourire en coin:

- Je doute que cela ait une quelconque résonance sur son engagement à la Licorne. Ils lui passent depuis si longtemps ses différentes inconséquences... Cependant, puisque tu es fort bien placé pour me le confirmer, il me semble que le suicide n'est pas une mort fort aristotélicienne...

Un bruit sourd retentit avant que la jeune femme n'achève sa phrase. Le regard ambre se braqua immédiatement sur un des ouvriers qui venait de faire tomber une poutre, menaçant de faire choir son compagnon de l'échafaudage:

- Dites moi, espèce d'empoté, vous savez combien cela coûte!

Puis, s'adressant à Lorca:


-je te laisse au spectacle. Celui-ci m'ennuie fort et ne mérite pas qu'on s'y arrête avec trop d'attention. Je vais aller mettre un peu d'ordre dans ce chantier.


Joignant le geste à la parole, la jeune femme tourna les talons, en direction de l'infortuné maladroit.
_________________
Syriuss
Syriuss qui se baladait tranquillement sur les bord de la rivière fut prit d'un besoin naturel , il baissa braie et se laissa aller dans un grand

haaaaa!!!!!!
quand il entendit un grand ploufff!!!!!!!!!!!!!!!

pas quand même !!


il se retourna et vit que c'etais plus loin , il reconnu sur le pont les armes d'Alexandre* sur le carrosse en haut du pont , sa première pensée fut que lui aussi voulu faire comme lui , mais du haut du pont ça faut le faire

et il entendit les gens accourir pour le secourir et là il comprit le pourquoi du comment

connaissant l'artiste , il était septique a la pensée du suicide !
non Alexandre* s'il avait voulu se trucider il aurait mis sa belle armure pour aller au fond

pour Syriuss c'etais clair , il avait bu et avait eu une envie présente
_________________
Istar.333
Istar se tentait de réchauffer Alexandre avec l'aide des amis quand la dame se présenta...


Citation:
Dame, je me nomme Eloin... Je suys médicastre, je puys vous aider... Si vous avez besoin...


Elle la regarda..

"Biensure dame faite s.v.p." Elle céda sa place pour qu'Eloin puisse examiner Alexandre. C'est en s'éloignant légèrement que sont attention fût porter au port. Bien silencieux pour un sentier, les gens semblaient regarder par ici mais n'avaient même pas fait un geste pour aider. Cela ne la surprenait même pas, regardant de plus prêt elle reconnue Lorca, pour un homme sois-disant d'une foi énorme il agissait comme le plus vulgaire des gueux. Ricanant comme une hiènne en attendant de se nourrir sur les carcasses vides. Tssss, maintenant elle comprenait que le port ne soit pas encore terminé. Elle reporta son attention sur ce qui se passait devant elle.
_________________
Eloin
Elle eut un simple hochement de teste et un regard de remerciement en réponse à l'autorisation de la dame, puys s'agenouilla près du corps du vicomte. Elle eut juste le temps de s'écarter par réflexe lorsqu'elle vit Alexandre* se torde sous la force d'une toux qui luy permit d'expulser l'eau ingurgitée lors de sa baignade, et revint se poster près du suicidaire.

Posant un doigt sur son cou, elle se concentra et finit par sentir un pouls très faible. Les mains et le visage du jeune homme estoient froids, le bout de ses doigts jà bleuis, et un léger tremblement secouoit ses épaules.

Prestement, Eloin dégrafa la broche retenant sa cape et étendit le vestement sur le corps inerte jà couvert d'une couverture, ce qui n'estoit visiblement point assez pour un corps plongé dans une eau si fraische vu la saison.
Relevant la teste, elle s'adressa à la femme qui estoit restée quelques pas en arrière.


Nous allons devoir le transporter en un lieu chauffé, sinon il risque de mourir de froid. Je vais le garder chez moy jusqu'à ce qu'il ait repris conscience, il a besoin d'estre veillé près d'un feu.

Portant un regard circulaire sur les gens rassemblés là, elle manda.

Y a-t-il des volontaires pour le porter jusqu'en ma demeure ? Ce n'est guère loin, et ceux qui voudront le venir visiter une fois qu'il aura repris un peu de force seront les bienvenus.

Elle attendit les réponses, celles des hommes surtout, espérant en elle-mesme que la fièvre ne s'installerait point, sinon la situation serait bien plus grave...
_________________
Syriuss
Comme chacun sait ! Syriuss est une commère , il avait entendu des gens crier" au suicide " et rien sur une cuite , l'affaire se corsait , il voulu en savoir plus

il s'approcha discrètement et vit maitre Lorca tout beau dans ses habits en grande discutions avec une dame bien jolie et en un éclair reconnu dame Isambre , il leur fit un petit signe discret mais avant c'etais assuré d'avoir bien remonté ses braies

il pensa aussi sec

par Aristote espérons qu'il s'agit pas d'un suicide , il avait combattu avec les Licorneux et savait que c'était des gens de devoir et d'honneur , tout comme les dames Blanches , il en avait les larmes aux yeux car il trainait par là car il était a la recherche de sa doucette

il eu une pensé pour les valeureux tombé en Berry et se dit qu'Alexandre* aurait dut y aller que de faire son intéressent sur un pont alors que des braves tombaient
_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)