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[rp] 3eme Grande cérémonie des Pommes d'Or 1457

--Filtesous


Le mendiant suivit ses compagnons. Il avait jeté son dévolu sur une blondinette pas bien épaisse.

Il s'avançait à grandes enjambées vers elle, se lança dans le vide pour prendre appui sur la tête du boeuf et se lancer sur la croupe du cheval de la soldate.

Au moment où il se lança, il vit les boeufs s'avancer. Il paniqua, pensant prendre appui sur la tête, il se retrouva sur le cul du boeuf où il se fracassa ses organes reproducteurs.

Dans sa douleur, il eut l'intinct de lancer sa dague laquelle se planta dans l'épaule de celle qui semblait commander.

Ayant rebondit sur le sol, il ne demanda pas son reste et tout en massant sa virilité, il prit la poudre d'escampette.
Sate
sate qui avait voulu faire les choses bien pour la cérémonie,avait perdu beaucoup de temps en toiletage et coiffure pour un résultat passable!plus habituée à l'uniforme qu'aux tenues de soirées elle se sentait engoncée dans sa jolie toilette...

dans un petit mais petit pochon elle avait fait la liste des choses à faire..elle la consulta

Citation:
-prendre un bain-fait
-se coiffer et s'habiller-fait
-trouver nefi et les autres-


donc sate se mit en quète de nefi...mais elle se sentait perdue
_________________
Polgara2009


Le temps que les soldats se mettent en position après la désorganisation causée par l'échappée des boeufs, les bonnets rouges les attaquèrent de toute part.
Les deux brigands braillards bifurquèrent vers la droite de la carriole et y grimpèrent.
Polgara, de l'autre côté, ne put se porter à leur rencontre, la barrière boeufs-calèche lui en interdisant l'accès. La jeune femme, impuissante, ne put que les regarder atteindre la caisse.
Alors que Pol faisait pivoter Calypso pour monter à son tour sur la carriole, quelque chose l'atteignit violemment au visage. La jeune femme, sonnée par le coup, vacilla puis bascula sur le côté. Un pied toujours coincé dans l'étrier, elle fût traîner au sol alors que la jument s'éloignait au petit trot de la zone d'attaque.

_________________
Lndil
[En route vers la Grande Place pour la cérémonie des Pommes d'Or... Entrain de faire le ménage.]

Lndil entendit qu'on criait son nom

LLLLLLLLNNNNNNNNNDDDDDDDDDIIIIIIIIIIILLLLLLLLLL!!!!!!!!!!!
VIIIIIIIIIIIIIIIITE !!!

En se relevant il vue une soldate.
Il n'eut guère le temps de lui parler car très vite tout s'accéléra et, d'un peu plus bas dans la ruelle, il avait une vision d'ensemble de la scène.
Il était clair que le convoi se faisait attaquer pour son chargement.... il y avait 4 ou 5 assaillants tous habillés de diverses façon pour se fendre dans la populace, certains étaient déjà sur la carriole.
Son sang n'eut le temps que de faire un tour...

SOLDATS !!!!!!!!! VITE......... Scissions en deux groupes
Aboye rapidement mais simplement ses ordres
un groupe avec moi, on rentre dans le tas en remontant la ruelle en me suivant
l'autre groupe fait le tour et prend à revers afin que les brigands ne puissent s'enfuir.

_________________
Jehanne66
Jehanne ne voulait pas se perdre, elle reprit donc la ruelle en sens inverse accompagnant ainsi Lndil.

On rentre dans le tas ?!?!
Pas de problème !!!


Jehanne s'accrocha à son canasson, brandit son épée en l'air, car elle avait toujours rêvé de faire ça, puis tout en faisant cabrer sa monture, elle s'écria:

A L'ATTAQUE !!!!!!!!!!!!!!!!!

Au fur et à mesure qu'ils s'approchaient, elle baignait dans un flou artistique monumental...
Après avoir cru voir Lou s'attaquer à une femme, elle resta stupéfaite de voir qu'un mendiant avait voulu se faire un des bœufs du convoi, sans succès...
Puis elle vit une des soldates partir la tête en bas, le pied coincé dans son étriers.

Rattrapant le cheval qui trainait sa cavalière, elle descendit du sien et décrocha la soldate encore inconsciente et la déposa à même le sol.

Occupez-vous d'elle, dit-elle en hélant les passants.

Puis elle se remit à courir en direction de la Capitaine pour rattraper Lndil, tout en faisant tournoyer son épée pour qu'on la laisse passer.

ATTENDEZ MOIIIIIIIIIIIII !!!

--Rosita..


Rosita et cinq membres des bonnets rouges arrivent par l'arriére du convoi qui n'est gardé que par une soldate et un drôle de zébre sur un bourricot qui va dans tous les sens.

Fonçant dans le tas, elle emmanche une belle droite au gars sur l'âne qui fonce sur eux, l'envoyant à terre et bousculent ensuite le cheval de la soldate

Ils sautent sur la cariole rejoindre Hrym et bousculent ceux qui se trouvent dedans.

ALLEZ Vous Autres, embarquez moi cette malle.

Les bonnets rouges s'éxécutent et se mettent de chaque côté de la malle.

ALLEZ OUST, on y va.

La malle se souléve.

CRAAAAAAAAAAAAAAAAAAAACKKKKKKKKK


Un bruit sourd se fait entendre et la malle traverse le plancher de la cariole.

Rosita n'en croit pas ses yeux. Ces abrutis, en tirant chacun de leurs côtés, ont réussi à arracher les poignées de la malle.

Ne voyant aucun moyen de récupérer cette maudite malle, elle préfére rebrousser chemin.

ALLEZ, ON SE REPLIE TOUS.
Lndil
Lndil arriva rapidement au niveau de la carriole...
Il n'avait pas quitté les yeux de la scène tout en courant de petites foulées. Il avait tiré son épée de son fourreau, fine lame légère, la tenant pointé en arrière vers le sol.
De l'autre main il avait sorti un de ses poignards sorti de sa ceinture.

Trop occupé à leur petite affaire et a regarder Jéhanne, les brigands n'avaient guère fait attention à l'arrivée du Lieutenant d'Arras.
Il semblait que ces abrutis ne pourraient rien emmener car la malle venait de retomber au sol, traversant la carriole, les poignées toujours dans les mains des brigands.


ALLEZ, ON SE REPLIE TOUS.


Rencontrant un premier brigand qui voulait fuir mais qui ne faisait pas attention, se tâtant les parties intimes, Lndil lui plante son poignard dans la hanche... et d'un ptit mouvement rotatif le fait bien tourner.
Au crie du brigand, en voila un qui ne disparaitrait pas.

Arrivant au niveau d'un autre brigand qui lui faisait dos, il lui glissa le fil de son épée à l'intérieur du genoux entaillant de faite profondément la chaire... et encore un de moins.
Puis prenant attitude offensive.

Et vous pensez allez où messieurs ?
Vous n'êtes plus que trois.... vous ne passerez plus par le bas de rue... et le haut va être de suite bouclée...
Rendez vous ... et votre vie vous sera épargnée
SINON je ne vous promets pas de vous laisser tous vos membres


Reprends un nouveau poignard en main, prêt à le jeter sur le premier brigand qui voudrait quitter les lieux.
Puis regardant en arrière.

CAPITAINE ! Comment allez vous ?
_________________
--Rufus
[Sur le chemin menant à la Grande Place ... Rufus bouc émissaire tout choisi, saleté de journée ...]





Tirant tant et si bien sur les rennes de sa mule en avant, en arrière, sur les côtés ... donnant ainsi des ordres et des contre ordres, la pauvre bourrique ne savait plus que faire et commença à s’affoler.



Espèce de carne, vas-tu m’écouter nondediousssssssssssss, qui commande zici !!! zety moi le maîstre, tudieu !!!
Avance, mais avance donc, faut se tirer de là, j’te dis …



Tandis qu’il vitupérait à l’encontre de sa mule, le vieux Rufus ne put se douter une seule seconde du danger immédiat qui fonçait droit sur lui.

FLOUFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFF


Ouchhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh


L’homme eut l’impression que sa mâchoire venait de se décrocher de son visage … en tout cas, ce n’était pas une banale impression car un de ses chicots avait bel et bien disparu … Il se massa la joue droite, quelque peu sonnée du choc, et mira vers la zone d’où venait le projectile d'origine végétale tout en tentant de garder le contrôle de la bestiole à quatre pattes … Son regard tomba sur l’Asticot … Regard qui devint noir

… Marmonnements rufulesques …

L’a fait exprès cet espèce de baltringue … Me défigurer ainsi, de la zalousie tout za … zaloux de mes charmes oui, hein des charmes du vaillant Rufus … et une attaque de planqué en plus de ça … Pfffff, et ça se dit soldat d’élite, hein, un major, ah ça peut bien faire le coq, parader …. Manque pas d’air, quel couard, quel mariole, oui ...

… Marmonnements rufulesques …

Mais voilà, à force de se concentrer bêtement sur l’Asticot et cette jalousie maladive qui le tenaillait, il ne vit point le second danger poindre … Et en parlant de jalousie, sa joue gauche si elle l’était ne pouvait plus s’en plaindre. Une main féminine et bien ferme s’abattit sur elle …



Claccccccccccccccccccccccccc



Le pauvre vieux avait sans doute eu son compte pour la journée, voir de la semaine, il tomba comme un sac mou de sa mule. Il tenait encore l’une des rennes entre ses gros doigts boudinés quand il baragouina quelques paroles.

Ohhh yé zolies toufftes zes éfftoiles, là …. Zoli, zoli …
--Hrym



[Dans une ruelle arrageoise - Les Bonnets rouges à l'action !!!]


Le maraud observa d’un air jouissif la blondasse qui avait pris en pleine poire le légume. Sa monture s’était même emballée, il ne pouvait pas mieux être satisfait de lui même pour le coup. Rosita n’allait assurément plus tarder à le rejoindre avec le reste de la bande, en attendant, il poursuivit les lancers de légumes et de tout ce qu’il trouva dans la carriole, notamment des balluchons d’étoffes féminines, à se demander d’ailleurs ce que cela fichait là… mais bon l’heure n’était point à la réflexion philosophique. Il visa cette fois les deux dernières drôles de Dames. Après tout, pas de jalouse ainsi.


Prenez cela, les donzelles … Et ça encore !!!
Allez fais risette, la rouquine.



Hrym cria de nouveau après son comparse toujours inanimé au bas de la carriole.

Skzykwciz, tu m’entends ? Ce n’est pas le moment de piquer un roupillon !!! Si Rosita te voit, vais en avoir pour les esgourdes toute la sainte soirée encore, secoue toi la couenne !!!!
Tiens, en parlant d’elle, la voilà !!!


Un sourire illumina son visage.

Astigots, vous allez voir ce qui arrive quand on s’attaque à un bonnet rouge !!!
Vous allez le regretter et mordre la poussière, bande de bousseux , de phallocrates, d’astigots !!!
Elite militaire de pacotille !!!


Rosita et cinq membres des bonnets rouges arrivèrent donc par l'arrière du convoi. Le Chef admira la belle à l’action tout en tirant la caisse vers lui avec un des bonnets rouges à ses côtés mais bien trop lourde encore pour deux. Deux, enfin plus que lui finalement au bout de quelques secondes de tentatives, vu que Le Borgne venait de se prendre une rasade de légumes en pleine face, et sans doute un truc guère sympatoche aussi au vu des cris qu'il beugla et de sa chute qui le laissa à terre.


ALLEZ Vous Autres, embarquez moi cette malle.

Oui, feignassez pas, allez qu’on se barre avant que ça devienne chaud les marrons pour nous les gars !!!

Les Bonnets rouges tirèrent comme des bœufs de chaque côté de la caisse. La malle se souleva sans peine mais chuta avec moult fracas. Hrym resta avec l’une des poignées dans la main et ne put que mirer le trou béant dans la carriole et la caisse au fond de ce dernier.


ALLEZ, ON SE REPLIE TOUS.


Hrym prit tout à coup la carnation de sa bonnette. La moutarde lui montait au pif, tout avait été pourtant prévu, impossible d’échouer et qui plus est si près du but. Hors de question de laisser les Astigots rire sous cape. Il frappa contre la caisse afin de l’ouvrir, refusant de suivre les autres comparses, les poches vides. Pendant qu'il décochait des coups avec sa dague, il put clairement entendre les menaces d'un des soldats, ce qui lui donna encore plus le cœur à l'ouvrage afin de clouer le bec à ce blanc bec.


Et vous pensez allez où messieurs ?
Vous n'êtes plus que trois.... vous ne passerez plus par le bas de rue... et le haut va être de suite bouclée...
Rendez vous ... et votre vie vous sera épargnée
SINON je ne vous promets pas de vous laisser tous vos membres

Poildecawotte
Poildecarotte vit apparaitre un brigand qui s'approcha d'eux. Que fut pas sa surprise quand, elle le vit frapper la pauvre bête du Rufus qui la fit s'enfuir. Elle était seule maintenant contre ce gaillard mais cela ne lui faisait pas peur.

A nous deux ma jolie. Viens voir Papa! dit-il en lui faisant signe d'approcher de son index.

J'ai un cadeau pour toi!!! dit Poildecarotte et d'un mouvement vif lança la première tomate au visage de son adversaire. La tomate bien mûr, vint ce cogner sur la bouche mais Poildecarotte ne se laissa pas dérouter, elle lança la deuxième qui atteint son but et aspergea les yeux du vilain d'un liquide rouge limitant sa vision. Le temps était maintenant venu de faire comprendre à cet homme que l'on attaquait pas au festivité de dame Néfi.

Elle se précipita vers l'homme et le frappa au bras de son épée, une belle entaille vint rendre compagnie au autres déjà existant. Elle recula et d'un regard noir attendit de voir si il avait compris le message.
_________________
Ombeline
[En route vers la Grande Place pour la cérémonie des Pommes d'Or... Escouade face à l'attaque du Gang des Bonnets rouges.]


Les adversaires ne manquaient vraiment pas de toupet ... Vraiment ... Elle donna quelques coups de talons afin de guider son destrier dans l'assaut tout en faisant elle aussi virevolter Saint Ange tout en esquivant la pluie de légumes ... Après tout, elle avait déjà assez donné de sa personne de ce côté là, grâce au soldat Leportel. Elle encouragea sa troupe.

mon capitaine on fait quoi maintenant la questionna, le soldat Orick.

On les capture tous !!! Ils goûteront avec plaisir un séjour en nos geôles, gîtes et couvert, que demandez de plus, hein^^... après qu’on ne dise point que l’Artois ne sait pas accueillir correctement ^^.
Un plissement de nez suivit quand elle aperçut Hrym viser le trio féminin

Attention Polgaaaaaaaaaaaaaaaa !!!!!!!!!!!!!!!!

La pauvre n'eut point le temps d'esquiver le légume qui vint la désarçonner tant ce fut soudain et violent. Ombeline vit le duo cavalière, destrier, partir au galop ... Cette vision ne fit que croire la sourde colère qui montait en elle. Elle aperçut alors le reste d’un groupe avec en tête une femme, venant rejoindre le reste de la bande. Elle leva son arme en l'air d'une main, tout en faisant cabrer son cheval.

Soldat Orick, regardez en vl’a d’autres.
Bon sang, filez un coup de main aux filles devant, l’espèce d’escogriffe là bas, à l’air de leur donner du fil à retordre et son humour laisse à désirer.
Faîtes lui en voir de toutes les couleurs pour la peine de se payer de notre pomme.... qu'il déguste du légume lui aussi !!!


Elle jeta un œil vers sa gauche … duo Poil et Rufus … puis plus loin … Leportel et compagnie …

Du nerf, ne vous faîtes pas démonter.
Allez, allez soldats !!!
Ne nous laissons pas impressionner par des arsouilles en bonnette !!!



Elle se tourna pour aller porter secours à Poil marmonnant après Rufus se demandant se qu’il pouvait traficoter encore… des papouilles avec sa mule, c’était bien le moment d’avoir des envies de zoophile … Ah celui là mais pourquoi avait-elle eu l’idée de l’emmener ... La voix du Lieutenant Lndil retentit au loin ainsi que celle de Jehanne … Les renforts étaient là, ce n’était donc plus qu’une question de minutes de boucler tous ces maudits petits lutins en bonnette rouge. La Capitaine était à quelques foulées de la soldate Poildecarotte quand elle ressentit une vive douleur au niveau de l’épaule, sans pour autant stopper son avancée. D’une main, elle tâta la zone endolorie devenue quelque peu poisseuse, et retira d’un coup sec, l’objet encombra sous une vilaine grimace. La lame chuta au sol. ... Grumpffff … Elle talonna de plus belle sa jument pour se river auprès de Poil, toujours l’épée en main. Poil semblait être de taille finalement face au maraud, elle changea alors de cap pour chopper la brigande du gang qui tentait de fuir. Ombeline entendit Lndil lui adresser la parole au moment qu’elle attrapait par la chevelure, la ribaude.

CAPITAINE ! Comment allez vous ?


Aussi bien que l’on peut l’être mais ça ira mieux quand ces escogriffes seront tous hors d’état, Lieutenant Lndil.

J’crois que nous avons assez rigolé !!!

Attrapez moi donc l’autre là qui croit pouvoir partir seul avec la caisse.

Et que quelqu’un vienne s’occuper aussi de cette donzelle là, avant que je la scalpe malencontreusement.


A peine eut-elle terminé ses directives que la jeune femme grimaça de douleur. Son épaule blessée la faisait souffrir et les mouvements désordonnés de la maraude n’arrangeaient rien.

***

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Jehanne66
Arrivée à la hauteur de la carriole, Jehanne marcha malencontreusement sur quelque chose... Oup's... c'était Rufus qui semblait être dans les étoiles avec un p'tit sourire bête et quelque peu édenté !

Observant l'intérieur de la carriole, Jehanne se retrouva éclaboussé par de la tomate bien mûre.

Elle s'écarta vivement, et vit la Capitaine qui avait encore amélioré son déguisement à base de jus de tomates visiblement.
Elle avait attrapé une sorte de bohémienne par la tignasse, tout en donnant des ordres.


"Et que quelqu’un vienne s’occuper aussi de cette donzelle là, avant que je la scalpe malencontreusement."

La pauvre, j'aimerai pas être à sa place !!!
Vous vous en tirez fort bien Capitaine ?!?!

Mais Jehanne cru remarquer une mimique étrange sur le visage d'Ombeline qui n'inspirait rien de bon...
Elle se précipita aussitôt sur la donzelle et la plaqua au sol en criant:


J'LA TIENS CAPITAINE !!!

Ayant perdu son épée en la désarmant, Jehanne s'acharna sur elle à main nue.
Et s'ensuivit une lutte endiablée entre les deux femmes, avec crêpages de cheveux, morsures, griffures, coups de poings et coups de boules, accompagnés de quelques mots doux !

Chany




[ sur la place]

Toujours assise sur son fût , elle regardait les autres finir les préparatifs , tout était presque prêt , ne manquait que les pommes

OHEEE vous avez pas l impression qui a quelque chose qui cloche vous???

Sautant à terre , elle rejoignit le groupe auprès de l 'estrade

_________________
--Kheltar


[A l'arrière du convoi.......Kheltar VS Poildecawotte ]

Intrigué, Kheltar observait les mains de la jolie fille.


J'ai un cadeau pour toi!!! dit la soldate

Oh, déjà ma douce. Je t'en offrirais un pour notre nuit de noce dit-il avec un clin d'oeil et un sourire qui se voulait charmeur, ce qui n'était point gagné, vu l'état de ses dents.

En un mouvement vif, la soldate propulsa ce qu'elle avait dans la main.

Mais qu'est ce ......

Avant même qu'il eut pu esquissé un seul geste, Kelthar se fît bombarder de tomate. La première atterrit sur sa bouche; d'abord surpris, le brigand éclata de rire.

Mmmmmmmmmmm, elle est délicieu......

Il n'eut pas le temps d'achever sa phrase, qu'un second fruit s'écrasa sur ses yeux, l'aveuglant momentanément.
Alors qu'il tentait de se débarrasser du coulis écarlate d'un revers de la main, une intense douleur traversa son bras armé; il en lacha son épée qui toucha le sol avec un bruit métallique.

AILLLLLLLLLLLLLLLLLLLLEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Sa vision éclaircie, il put constater, sur son bras, une belle entaille d'où un flot de sang jaillissait. Relevant la tête, le colosse regarda la demoiselle avec colère.

Alors ça ma petite, tu vas me le payer.

Ignorant la douleur, il se baissa rapidement pour récupérer sa lame. Alors qu'il allait se jeter sur la soldate, un grand fracas se fît entendre.

CRAAAAAAAAAAAAAAAAAAAACKKKKKKKKK

Kheltar, tournant la tête, comprit vite que la situation tournait à leur désavantage; la caisse était passée au travers de la carriole.

Arf, nous v'la bien.

ALLEZ, ON SE REPLIE TOUS. hurla la délicieuse Rosita

Partagez entre le désir de mettre ses fesses à l'abris et celui de se remplir les poches, Kheltar regardait tour à tour la soldate qui lui faisait face et Hrym qui s'acharnait sur la caisse.

Une bonne partie des bonnets rouges étaient à présent à terre, tout semblait perdu.
Kheltar, sourit de toutes, enfin, de ses quelques dents, à la jolie brunette et prit la poudre d'escampette sans demander son reste.
Orick95
[ sur la carriole a côté de la caisse]

Soldat Orick, regardez en vl’a d’autres.
Bon sang, filez un coup de main aux filles devant, l’espèce d’escogriffe là bas, à l’air de leur donner du fil à retordre et son humour laisse à désirer.
Faîtes lui en voir de toutes les couleurs pour la peine de se payer de notre pomme.... qu'il déguste du légume lui aussi !!!



aussitôt les ordres données par le capitaine, orick se précipta sur la cariolle plongeant à l'intérieur il percuta le souave qui essaye de se remplir les poches, avec une telle violence que les deux hommes furent précipité à l'extérieur de la carriolle sur le sol et retombère dans les jambes du destrier du lieutenant Lndil, ce qui eu pour conséquence de désarçonné l'oficier.

se remmettant immédiatement sur ses jambes, orick constata que sa hache de guerre était resté planté sur la caisse, tirant son poing nain il fit face au brigand. cette situation fit remonté à lui des souvenirs qu'il avait espéré enfui à jamais, ceux ou sa douce sania avit été tuer par les infames soldat du sombre kran qui ne rêvait que de voir périr son clan.

se retrouvant 50 ans en arrière il se précipitat sur l'homme et bondit dans ses jambes et telle un ours des cavernes il assena de nombreux coups de poing à son adversaire.

un voile rouge devant les yeux il frappa et frappa encore l'infortuné brigand jusqu'à ce que ce dernier gise innerte sur le sol

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