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[RP] Boutique de Lance

Cymoril
Un bruit de casse en provenance de l'intérieur de la boutique interrompt le flot de réponses que la demoiselle était en train de lui servir comme un enrobage savant visant à noyer le poisson. Certainement une réminiscence de son expérience théâtrale à n'en point douter.

Un demi sourire, en coin.


J'ai toujours dit que c'était dangereux de se culturer...

Technique de base.
Se faire passer pour plus bête qu'on est. C'est souvent bien plus payant que de pérorer une éducation dont le vernis ne souffrirait pas le grattage. Et bien plus amusant aussi. Chacun ses petits plaisirs.
Retour d'une main sur la poignée de la porte et dans l'idée de faire d'une pierre deux coups.
Ouverture.
Le retour du départ sur le palier mais c'est qu'il pleut dru et fait meilleur dedans...


En avant pour le baume alors...

S'adressant à Harlem, évidemment. A moins que ça ne défrise la mule...

M'sieur Lance ?

Ca va ? Rien de cassé ?


Enchainant aussi sec, enfin, façon de parler.

Une cliente pour vous...Ou de la paye en nature hein...

Un sourire, presque innocent.
Juste presque.
C'est que sa candeur naturelle atteint certaines limites.
Et un regard en direction d'Harlem empreint d'un "T'inquiètes...C'est une connerie..."
Harlem...s
Ah ça...Dangereux...Toute Vérité n'est pas bonne à savoir ou dire. Des fois le Savoir prend le pas sur le Croire. Et là.. TINTIN! C'est sûr en même temps que si le théatre rendait intelligent ça se saurait. Faut croire. Enfin non...Pas besoin si on sait..Tu comprends ?

Arrivée là de sa phrase Harlem s'interrompit. C'etait tellement évident.La mule frisait mais elle attendrait.

Oui le baume!

Harlem espera qu'il les préparait mieux qu'il chauffait de l'eau...Mais ne fit pas de commentaires. Le regard porté vers les étagères...

Bonsoir Mr Lance. Je voudrai un baume pour ça s'il vous plait.

Harlem tendit sa joue un instant à la lumière, surprenant le regard de Cymoril.
Fronçant les sourcils...

Erf...Non non j'ai de quoi payer hein ? je paie en écus ! J'ai pas de jambons ou autre marchandise à troquer. Et pas question que je mette ma mule au clou pour un baume.
J'ai mal à la tête aussi.


Elle avait un humour bizarre la fourmi...Harlem avec sa capuche trempée sur la tête ne plaisantait ni ne déconnait avec le paiement! C'était un sujet sérieux! Ca coutait trop cher!

Est ce que le principe de la boutique était de s'acquitter de la note en ramenant chacun un client ?
Harlem évalua le concept sceptique. Ce qui lui prit un quart de seconde à envisager un fond de commerce ruiné et une caisse vide.......
La question qu'elle se posait.
Vendait il la boutique aussi ?
Elle pourrait toujours lui racheter un bon prix avant la faillite.......gnigni.

_________________
--Lance


Rien de cassé, non... Un godet, mais il me reste des verres obtenus à prix d'ami...

Un haussement de sourcils suit la proposition. De la main-d'œuvre ?
Ah, non, la jeune fille semble se récrier.

Cette chère Fourmi m'est redevable, que ce soit en me payant argent comptant, ou bien en me rendant un service.
Il semblerait qu'elle veuille vous offrir en guise d'employée... Remarquez, si vous me rendez le service que je désire, vous pourriez toujours vous entendre pour lui faire payer à son tour.. avec les intérêts...

Le baume plus les soins, et bien...
Lance s'avance vers Harlem, et la regarde dans le blanc des yeux.

Cela fera une toute petite centaine d'écus. Trois fois rien..
sourire narquois.. puisque, comme vous le criez si bien, vous pouvez payer.
Il reste un petit moment silencieux, le temps de laisser digérer un tel prix, puis reprend, rêveur.
Des armes... il en manque une à ma collection, et j'aimerai l'agrandir. Rapportez-moi.. et bien, je ne suis pas difficile, une arquebuse, ou une pertuisane..
A moins que vous n'alliez voir un vieux Grec, homme d'Église, traînant dans les parages, et récupériez mon dû... mon pauvre Célestin, je n'ai pas de nouvelles de lui.. Je vous donnerai leur description.

Vous voyez, vous avez le choix concernant le payement.
Quoiqu'il en soit, laissez-moi quelques petites minutes pour vous fabriquer le baume. Quant au mal de crâne, je peux toujours vous donner de quoi vous faire une décoction.

Il sourit à nouveau.
Une infusion de pavot des jardins.
Cymoril
Même pas vrai d'abord !
Ou si peu... Si innocemment en plus. Sur le coup de la plaisanterie. Pff, si maintenant on la prend au sérieux mais où va le monde je vous le demande...

Un sourcil haussé et une mine boudeuse qui s'affiche :



M'enfin, j'vous ai dit de m'envoyer la facture de vos honoraires...


Foutus bonshommes...
Pas un pour rattraper l'autre. Enfin si, mais si peu...
En tout cas celui là, quel fouteur de merdier...



J'ai jamais vendu personne... Pis c'est pas pour une centaine d'écus hein...


Ronchon.
C'est gagné tiens, maintenant c'est sûr elle boude.
Et revient une rengaine en fond de crâne... "Mais pourquoi j'ai pas pris ce foutu chanvre..." Et elle qui voulait s'rentrer... Pas gagné cette histoire...



Le laisse pas t'emberlificoter... c'est un rusé celui-là...


Cela s'adressait à Harlem évidemment, tandis que Lance se dirige vers l'arrière boutique pour confectionner le baume.
Puis, plus pour elle même que pour l'assemblée :


Bon sang d'bois c'que j'ai la dalle...
Harlem...s
Harlem est sceptique et réagit promptement!

Pas la peine pour le baume! Trop cher.A ce prix là je peux m'enduire de la tête aux pieds d'huile d'olive extra labelisée espagna.

Elle se tourne vers Cymoril. Catégorique.

Une escalope du marché ça sera très bien.

Il se gratte lui avec ses 100 écus le baume. Il veut pas qu'elle lui rapporte une Sica ou un Hachoir tiens ? Elle a bien un "harpon" appelé cure dent sous d'autres cieux. Oui avec l'heure qui avance Harlem perd en patience.Hin hin.
Non mais ça pue l'arnaque à plein nez cette histoire. A son tour de regarder dans le blanc des yeux.

Les parages j'en viens et j'ai pas vu de grec, ni de gens d'église. Avec ce temps pensez.......Puis entre nous chacun ses arrangements hein ? Je suis fatiguée et pas en état de jouer à cache cache.
Combien votre tisane ?


Pas un herboriste qui va l'emberlificoter Harlem! Elle surprend le petit commentaire de la fourmi. Harlem lui jette un regard étrange.

Toi aussi ?

Et une petite voix en coulisse. "Le Hazard se planifie. Gare à l'heure maudite! Tu sais qu'il faut que tu sois rentrée avant."

On est assez pressées Mr Lance.

Qu'il dise son prix. Harlem se demande pourquoi Cymoril ne lui a pas répondu au sujet du Savoir.

_________________
--Lance


Votre huile serait peut-être chère, mais ne soignerait pas.
Il lève les mains en signe d'apaisement après avoir déposé le baume enfin prêt sur son bureau. Au pire, cela servira pour d'autres clients.
Mes tisanes ne sont pas celles que vous trouvez dans les bouges du coin. Et vous ne semblez pas capable de payer, il semblerait... Cela dit, trois onces nous ferait une dizaine d'écus, à vue de nez.

Pas commercial ? Il s'en moque, il a de quoi vivre, largement, et ce ne sont pas des clients de passages qui vont le faire se rabaisser. Les affaires sont les affaires, et il utilise son propre chemin pour obtenir ce qu'il désire.
Il regarde de pied en cap la jeune fille à l'apparence piteuse, et se tourne vers la brunette.

Bien... Cymoril, je vous contacterai en temps voulu, pour le paiement, et... continuer notre petite discussion. Portez-vous bien. Et si vous ne voulez pas payer, et bien... une tête de linotte anonyme pourrait bien avoir à le faire pour vous, elle n'est jamais contrariante...

Lance sait qu'il peut la retrouver, et qu'elle ne ferait pas de problèmes.
Sa morgue habituelle reprend le dessus sur la légère fatigue, et son regard glauque est on ne peut plus assuré.
Pour une fois, il n'est ni songeur ni narquois. Seule une expression froide prend possession de son visage taillé à la serpe.
Cymoril
Le Triangle infernal...

Voilà comment on devrait renommer l'endroit dans l'instant. Chacun jaugeant, évaluant sans en avoir l'air. Lançant ses rets et ses appâts, en attente de qui mordra et qui flairera le piège.

Belle migraine en perspective.
A se maudire de certaines promesses.

Néanmoins la main est portée à la bourse, pour la tisane. Sachet attrapé et lancé en direction d'Harlem.
Il lui semble qu'un air froid vient de souffler subitement, à moins que ce ne soit la menace sous jacente, qu'elle pressent, ressent involontairement aux mots qu'il prononce.

Déposant la pile d'écus sur la table, puis relevant le visage pour croiser le regard froid de Lance.



Je viendrai...

Et je paierai...

...

Laissez la tête de linotte tranquille...



Trois pas en arrière.
Un souffle contenu.
Surtout ne pas penser à ce dans quoi elle vient de mettre les pieds. Au figuré bien sûr.
Involontairement une main qui glisse furtivement sur le léger arrondi sous la chemise, et une crispation des machoires qui s'en suit.
Ne pas penser.
Pas maintenant.

Là.
En attente.
Harlem.
Marché.
Bidoche.
Maison.
Manger.

Dans l'ordre.
Harlem...s
Non désolée l'huile d'olive a des vertus thérapeuthiques reconnues. Vous ne pouvez pas l'ignorer. Et non je suis pas capable de payer 100 écus pour un baume aussi vite préparé...Je suis pas née de la dernière pluie Parisienne non plus.

Harlem louche dessus d'ailleurs, suspicieuse...Les tempes douloureuses.

Y a quoi dedans ? Je peux sentir ?

Elle attrape au vol le sachet. Met dix écus de plus sur le comptoir.

Trois onces encore.

Avec le mal de crane qu'elle se paie se sera pas du luxe. Elle n'a pas perdu le coup d'oeil du vendeur et se fiche bien de l'allure qu'elle a. Piège grossier de l'orgueil et du m'as tu vu ? Comme si elle allait étaler son aisance pour contredire l'allusion...Elle est plus fine que cela. Puis elle est plus trempée que piteuse. D'ailleurs elle constate la grosse flaque qui s'élargit à ses pieds sur le parquet.

Quel temps de chien.

A l'évidence il existe un contentieux qu'elle définit pas trop entre les deux...

Tu lui dois combien ?

Après tout 100 écus moins les 18 d'une escalope. Y a de la marge...
Harlem n'est pas si matérialiste qu'on puisse le croire parfois...
Quand la raison le justifie. tant qu'elle est rentrée avant l'heure maudite, ça reste gérable. Au delà elle ne répond plus de rien.
Le mystère se doit de rester entier....

_________________
--Lance
Votre huile d'olive est peut-être thérapeutique, mais vous devrez attendre un moment avant qu'elle ne vous guérisse complètement.. C'est surtout à utiliser pour les maux internes, et pour se faire une beauté, des cheveux, de la peau...

Pour le baume.. et bien, argile, liant, et surtout, une plante assez rare pour cet endroit, que l'on ne retrouve que dans les hauteurs.. l'arnica, vous connaissez ? Sentez donc...

Pour la demoiselle, c'est comme vous, une grosse trentaine d'écus pour le baume, si ce n'est que pour elle il s'agit d'un cataplasme, plus une trentaine d'écus pour le soin... sachant qu'elle en avait bien besoin, à se promener quelques jours en laissant les plaies s'infecter... Voilà pourquoi nous arrivons rapidement à la centaine... Mais enfin, je veux bien être bon prince et vous faire une ristourne de 20 écus..


Sans rien dire davantage, il attrape une nouvelle quantité de ce qu'il a fourni à Cymoril pour en redonner trois onces à la jeune femme.

En infusion, cela suffira.. mademoiselle..
Cymoril
Bah voilà...

Il avait mis le temps à estimer sa prestation. Quant à elle, elle estimait qu'à ce prix là, ouaip, elle aurait très certainement du prendre le chanvre. Nan mais quel escroc j'vous jure...



Hé bien...

30 écus pour de l'arnica... Alors qu'il en pousse plein les alpages entre Genève et Saint Claude... Ou c'est pour la délicatesse dont vous fîtes preuve en me soignant ?

Je vous l'ai dit...

Je paierai...

Mais n'oubliez pas de me faire envoyer la bure.



Pas tout ça mais elle commence sérieusement à ressentir le poids de la fatigue, sans parler de son estomac qui se tord à force de crier famine.


50 écus à la livraison du vêtement...

Sur ce, elle espère clore cet épisode, et regagner enfin ses pénates, si Harlem cesse enfin de jouer à la marchande.^^
Se tournant vers cette dernière et reprenant un point laissé en suspens :


Il est courant de faire croire qu'on sait... Surtout quand on ne sait rien... Et pour ce qui est de Croire et de Savoir... Vaste domaine de réflexion... Mais comme j'sais pas grand chose et que j'crois encore moins en ce que j'sais... Imagine un peu !...

Oulala...

Fatiguée la Fourmi...
Vivement qu'elle dorme !
Harlem...s
Rha mais on va la laisser chiner??? Même avec une migraine Harlem peut pas s'en empècher. Puis on n'est pas deux minutes non plus.
D'ailleurs elle renifle cherchant la confirmation de la composition.

En effet Arnica. Oui je connais pensez! Il en pousse partout par chez moi. Bien ça qui m'ennuie. Hum...Ca sent bon...Pis le pot est tout mignon...T'as vu Cymoril ?

Mouarf...Nan mais Harlem adore toutes ces petites choses, ça va être dur de résister.

"C'est utile"

"Oui mais pas donné!"

"Regarde le pot..peint à la main"

"TA FERME! J'avais remarqué^^"

"Y a une ristourne"

"Même!"


Citation:
Mais n'oubliez pas de me faire envoyer la bure.


Hein ? Tu entres dans les ordres ?

Etonnée Harlem......Qui relance le débat.

Mais non t'as rien compris, quand on SAIT on n'a plus besoin de CROIRE! Pardi!

Pis c'est tout. Elle triture ce petit pot, empoche l'once. Déduis les 20 de ristourne. Rajoute 60 sur le comptoir en refermant le flaconet.

Vendu. Le compte est bon. S'il est efficace je reviendrai et je pourrai même en distribuer à grande echelle. Le Baume Lance pour faire du bien là où ça lance hihi.

Harlem se perd une longue minute en songeries commerciales......

Dites votre tisane là..Demain matin je serai en forme ? Jolie collection d'armes aussi..

En désignant lesdites d'un regard appréciateur.

A tout hazard.. Vous auriez pas des cailloux ?

Harlem regarde Cymoril, montre un index et un majeur...D'un air désolé.

Deux tites secondes..

_________________
--Lance
Des cailloux... non mais c'est pas un bazar chez lui... déjà qu'elles le prennent pour un gentil apothicaire, si en prime elles commencent à le prendre pour un épicier..
Vous oublierez que vous aurez mal... c'est un anti-douleur assez efficace..
Il se reprend.
Oui oui, vous vous sentirez en forme.

Pour votre autre demande..
Navré.. Je n'ai pas.. de cailloux.. Concernant l'arnica... et bien, si vous êtes de ces coins-là, ce n'est pas le cas de la plupart des gens.. nous ne sommes pas tous vagabonds ou marchands ambulants...


Il prend bien note de la somme sur son bureau, et va lentement s'en emparer. De manière nonchalante, il n'est pas un vautour assoiffé par l'or. Ou du moins, il sait se contenir.
Vous semblez pressées.
Et puisque votre retour est conditionné par l'efficacité de ce baume... à bientôt, en ce cas.

A bientôt Cymoril.. et la bure sera gratuite, je n'ai qu'une parole.
Harlem...s
L'affaire conclue.

Parfait! A bientôt alors! tant que j 'oublie pas de me réveiller tout va bien.

Harlem empoche petit pot mignon, fait une croix sur ses cailloux sans relever l'air ahuri du vendeur. Offrir des cailloux c'est normal...Elle voit pas ce qui à l'air de le choquer. Puis y a des cailloux thérapeutiues. Si si!
Fernand en distille même pour en faire un alcool aux effets étonnants.
Elle salue, ravie en acquiésant du chef et de la capuche trempée, prend Cymoril par le bras.

Ce qu'ils font pas pour recruter ces curés! Mais encore heureux que ça soit cadeau la bure!

Harlem pressée guide Cymoril qui à l'air encore plus fatiguée qu'elle vers la sortie.

M'enfin tu vas pas faire curé quand même!!

Harlem trouve ça invraisemblable!!! Encore quand on a le physique de Foulques on peut le comprendre..M'enfin... Harlem se pose des questions. Elle en causera devant une bonne tisane tiens!

Au revoir et merci Mr Lance.
A bientôt puisque vous le dites!


Harlem ouvre la porte, pressée d'aller essayer ce baume. En évitant de regarder la mule qui doit la regarder d'un air de mule trempée.
L'averse coure son chemin sur les pavés, ruisselants glissants, Harlem qui ne risque plus rien niveau étanchéité se jette à l'eau.

T'as vu ma charette ? Je te présente Trombe.

Déjà installée Harlem. Et des plus satisfaite. Un si bon prix! Tant pis pour les cailloux.

_________________
Cymoril
L'art d'être désagréablement méprisant sans en avoir l'air. Très fort l'apothicaire...
A dire vrai il lui fait froid dans le dos.
Pourtant elle aimerait bien percer certaines choses à jour.
Plus tard.
A chaque jour suffit sa peine.



A bientôt...


Rien de mieux.
Un frisson peut-être.
Furtif.
Avant de se reconcentrer sur la petite marchande d'allumettes.^^



Curé...

Ca risque pas.
Juste un déguisement...
J't'expliquerai...

Ou pas.


Retour à l'extérieur et au gris pluvieux.
Certaines choses de la capitale ont un aspect immuable. Comme cette grisaille pesante.
Un oeil sur la charrette et déjà elle envisage le parcours.



Sympa...

Un supplice pour grimper.
Et dire que Lance lui avait recommandé de ne pas bouger.
Capuchon rabattu sur la tête.
Une tentative de sourire de chien battu.


Bon, on démarre... en Trombe !

Et tombe la pluie...
--Caracole



Parce que la vie est un long fleuve tranquille.

Coucou !

Sa tête remuait en cercles d'émerveillements, le regard rebondissant sans cesse sur toutes les curiosités que recelait la boutique de monsieur Lance et qui lui seraient, pour la plupart, inaccessibles.

Sissi !

Il trébucha alors sur des bottes de cuir, probablement dix fois trop grande pour ses petits petons de clown chétif.

Vous êtes chic, vous me faites un prix !

Affreuse grimace du clown sans nez, qui ferait vomir un putois.

Et plus vite que ça !

Parce qu'il avait l'intention de profiter du beau temps pour pique-niquer avec sa toute nouvelle chérie.
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