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[RP] Epidémie de l'hiver 1456

--La_marchande_de_fleurs
La marchande était inquiète, son coéquipier perdait la boule... Le pauvre commençait à divaguer... Il parlait de maisons alors qu'ils avaient gagné les sentiers battus, en direction du Château d'Arras, où se trouvait l'hospital militaire. D'ailleurs les remparts étaient en vue... la ville elle-même se rapprochait grandement.

Sentant son compagnon la lâcher peu à peu, elle l'encouragea de toutes ses forces, lui montrant avec ce qu'elle pouvait d'enthousiasme les remparts salvateurs.


Regardez, nous avons réussi!! Regardez donc! La ville, le château... Son hospital... Encore quelques foulées et nous y seront, nous pourrons consulter les soigneurs... Ils pourront nous aider, et vous aider à ne pas abandonner votre douce... Vous ne voulez pas l'abandonner je suis sure?! Courage mon ami, le plus dur est passé...

Elle ne croyait pas cependant le moins du monde à ce qu'elle avait ajouté dernièrement. Mais il lui semblait que le sieur avait besoin d'espoir. Arrivant enfin dans l'enceinte de la ville, force était de constater qu'ils n'étaient pas les seuls à être mal en point. Même le curé, sur le pas de son église semblait bien pale, fantomatique dans sa bure.

La ville avait un côté chaotique, et quelques cadavres déjà jonchaient son sol gelé.
Brylastar
La douleur se propageait; autant celle à la tête devenait plus supportable, autant celle aux poumons s'exagérait, et une nouvelle apparut au thorax. Tout mouvement le faisait souffrir, respirer lui faisait mal.

Il se sentait pas à sa place là, tout allait de travers, tout était étrange; et la dame qui ne comprenait pas? A quoi bon aller je ne sais où? Il voulait se poser, parler à la terre, la manger, la boire, ne plus bouger, se reposer, dormir, dormir...


Ecoutez... non, pas par là, regardez, suivez le ciel... c'est lui qui nous indique... et puis... oh... ma mie? phélia... où es-tu...

Ils pénétrèrent dans la ville, et une odeur fétide lui prit le corps, le réveillant un peu, quelques secondes. Il regarda la dame, et demanda:

Par Aristote... où sommes-nous? Et pourquoi ai-je mal partout??

Il la regardait dans les yeux, puis de nouveau fébrile, il sentit ses jambes flancher, s'appuya un peu sur elle, et, regardant sa main, demanda:

Dîtes... vous allez bien? Vous m'avez l'air... je ne sais pas... mais étrange.
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Nefi
descendant l'escalier quatre à quatre elle traversa la cuisine et arriva prés de chani au moment ou cathal arrivait traînant derrière lui la marie qui ne semblait rien comprendre à la situation.

Maman !!! Maman !!!

Nous sommes la...

Comment va Lauri ???

Et qu'est ce qu'elle à la dame...


mais nefi n'eut pas le temps de répondre au question de son fils qu'une cavalière arriva à vive allure stoppant devant la maison elle se jeta surchanell la prenant dans ses bras. l'appelant d'une voix suppliante

NEFI! NEFI

reconnaissant florence, elle se tourna vers la marie et cathal.

marie montez voir laureline je ne veux pas qu'elle reste seul, elle délire la pauvre reste toujours prête d'elle le contacte la rassure je reviens vite vous voir.


puis s'accroupissant devant cathal.

mon ange il va falloir être très sage, lauri est malade elle dit beaucoup de chose qui peuvent te faire peur mais se sont des cauchemars rien n'est vraie d'accord, il ne faut pas que tu t'inquiète je vais la soigner. et tu vas être mon assistant. prends un verre de lait et une brioche en attendant que je te dise quoi faire.


l'angoisse monter dans sa gorges elle aurait pu demander de l'aide à un adulte mais garder son fils prés d'elle et loin de sa soeur dont elle ignorais encore le mal la rassurer.

se tournant vers florence

aide moi florence on va l'emporter dans ma chambre que je vois ce qu'elle a.


elles la prirent sous les épaules chacune de leur coté et lasoulevèrentt pourl'entraînerr vers la chambre qui se trouvait aurezz de chaussé. puis nefi l'ausculta elle aussi chani visiblement souffrait des même symptômes que laureline. fronçant les sourcils elle demanda.

à tu vus d'autres personnes malade à peronne ? toi comment te sens tu ?


attendant la réponses elle entreprit de réveiller chanel avec des sels d'ammoniaque.

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Damechanel
A demi consciente, elle entendait des voix autour d'elle.

Quelqu'un l avait prise dans ses bras, mais qui ? elle essayait d ouvrir les yeux

Flo c est toi ma douce ,mais Florence ne lui répondait pas, elle avait chaud tellement chaud
Chanel essayait de parler mais aucuns sons ne sortaient de sa bouche, elle se sentie soutenue et transportée

oh que je suis légère , je m envole, une nouvelle douleur se fit ressentir puis une odeur infâme qui la sorti de sa torpeur
elle ouvrit les yeux et regarda les personnes qui la tenait

AAAAAAAAAArrgggggg lâchez moi , lâchez moi vous dis je, elle se débattait comme une diablesse, et réussit à se dégager, arrière démons laissez moi

Elle reculait et se retrouva bientôt acculée contre le mur, cernée par ses démons , depuis longtemps elle n avait ressenti une telle peur
ils avançaient , droit sur elle

NOOOOOOOOONNN Laissez moi , laissez moiiiii,les bras croisés sur elle , elle s'accroupit , essayant de se faire la plus petite possible, des larmes roulaient sur ses joues ......je vous en prie laissez moiiiiiiiiiiiii..........chanel s 'évanoui une nouvelle fois........
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tribun de Péronne
Florence.la.douce
Chani disait des mots fous, des mots dont Florence ne comprenait pas le sens. Une fois installée dans la chambre, Néfi l'avait auscultée. Elle semblait soucieuse ce qui alarma Florence un peu plus. Comme les gens au village, la jeune femme semblait perdre la raison. Qu'était ce donc ce mal? Et si les rumeurs disaient vrai? C'est un regard perdu, anxieux mué d'une terrible détresse que Florence lança à Néfi. Avant qu'elle ne pu répondre, Chanel perdait à nouveau connaissance. Florence la prit à nouveau dans ses bras tout en laissant Néfi s'en occuper.

Des gens? A Péronne?
Oh oui j'ai entendu dire que quelques un perdaient la raison ....
Les villageois se terrent dans leur demeure et les autres demandent l'assistance du curé! Ils pensent qu'il sagit d'un mal venant du malin envoyé par nos ennemis pour nous punir de je ne sais quel crime!
Je ne sais t'en dire plus. On dirait que les gens cachent les leurs quand ils deviennent fous....


Florence gardait Chanel serrée contre elle et la berçait comme une enfant. Doucement, elle caressait son visage en lui murmurant des mots rassurants. La jeune femme leva à nouveau son regard et interrogea Néfi.

Moi je vais bien, enfin je crois.
Que se passe-t-il? Néfi! Qu'est-ce que cela veut dire?
Et ici tu as connaissance d'autres malades? J'ai entendu le petit garçon parler de Laurie? Ais-je bien entendu?


L'angoisse de Florence ne faisait qu'augmenter. Chanel et peut être Laurie et qui d'autre encore? Elle n'avait pas de nouvelle de Lord...Et si?
Elle secoua la tête pour chasser ces idées macabres. Un sanglot vint la secouer quand elle posa son regard sur son amie, toujours inconsciente, dans ses bras. Elle n'avait pas l'habitude de la voir ainsi, sans vie ou presque. Chanel était le bonheur incarné, la joie de vivre...Et là, elle semblait si fragile, un peu comme si le fil de la vie était sur le point de se rompre.


Chani, ma Chani....
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Laureline_squire
[[Artois,Cambrai, un matin toujours dans son lit…]]

Lauri venait de voir une furie entrer dans sa chambre, sa mère partir et s'éloigner d'elle avec la folle furieuse...


Ah !!! Je le savait voila elle va encore nous laisser pour la guerre...

Et Cathal...

J'ai peur...

Je suis toute seule...

Plus personne...


Lauri pris son drap de lit et fila se planquer sous la table qui ornée sa chambre et se mit en boule sous la table sous le drap...

L'ange t'es encore la...

Quelque instant de silence après...

Plus personne...

Je suis seule toute seule...

Plus de papa, plus de Cathal et maman repartie en guerre...

Toute seule...

Même l'ange de la mort il m'a abandonné...

Je suis abandonné...

Abandonné...


A ces mots, Lauri posa sa tête entre ses jambes et se mit à pleurer...
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Brylastar
Bry n'en tenait plus; à force d'être debout, de marcher dans tous les sens, de regarder les maisons, et la fourmi qu'il avait vu... il n'en pouvait plus.

Il lâcha d'un coup la main de la femme, repéra un mur, et s'y adossa; enfin... pas plus de quelques secondes, car ensuite il tomba par terre. Il souriait étrangement.

Apercevant quelqu'un qui se tenait proche de lui, il dit:


Non mais ça va... ne vous inquiétez pas... ça se calme là... et puis tout va bien, donc ça va... mais vous... attention... tiens, une autre maison??

Ses yeux se fermèrent petit à petit; la douleur physique se calmait, il se sentait progressivement mieux... mieux... dormir le ferait se sentir encore mieux, sans doute...

[HRP: je suis désolé, je ne peux pas intervenir pendant une dizaine de jours; vous pouvez "utiliser" mon personnage, genre l'amener quelque part, le faire réagir; mais pas de bêtises hein ^^ Ljd Bry /HRP]
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Damechanel
Flo....Flo s'est toi?, avait elle encore rêver

FLO...j'ai si mal , Flo ramène moi à Péronne, je t en prie........je veux mourir chez moi je t'en prie Flooooooooo

En larmes, le visage d'habitude enfantin et joviale, déformé par la douleur, Chanel plongeait ses yeux dans ceux de son amie ,
Pitié Flo ramène moi, l'implora t elle
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tribun de Péronne
Florence.la.douce
Impuissante devant tant de douleur et de larmes, la jeune femme ne savait que faire. Elle regardait Chani, sa Chani, qui la suppliait, qui pleurait...Jamais une larme n'avait frôler cette joue devant elle avant ce jour maudit. Florence était décontenancée. Elle continuait à bercer doucement son amie tout en jettant un regard suppliant à Néfi.



Néfi...Dis moi ce qu'il faut faire. Je la ramène chez nous.


Le visage baigné de larme, elle caressait doucement la joue de Chanel, esseyant de la rassurer, de lui enlever cette douleur si forte...

Chani, ma Chani....Je vais te ramener chez nous, parmis les tiens.
Je vais prendre soin de toi. Je te le promets.
Lààà ma belle, calme toi, je suis là.
Tu ne vas pas mourir ma Chani, non, tu ne vas pas mourir....


Néfi semblait si loin, plongée dans ses pensées.
Florence la supplia encore.


Néfi....Je t'en supplie! Que pouvons-nous faire?

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Nefi
nefi garda le silence un moment mais réfléchissait à toute vitesse passant en revue ses connaissances la marche à suivre, quel plantes utiliser...

les suppliques de chani et de flo la firent sortir de cette état d'intense réflexion.

tu me dit que d'autre personne sont atteinte ?

bien calme toi flo, j'ai besoin que tu garde la tête froide, la fièvre la fait délirer ou peux être autre chose.

elle entendit sa fille qui criait à l'étage et son coeur se serra. c'était atroce pour elle de la voir ainsi, de l'entendre l'appeler.

bien voici ce que nous allons faire.

je vais envoyer cathal chercher les plantes à l'herboristerie pour préparer une infusion qui feras descendre la fièvre et calmer les douleurs.
nous ne pouvons rester ici il faut donc atteler ma charrette et nous les emmènerons à l'hospital si il y a d'autre cas comme tu me dis il faut que je soit là-bas de plus j'aurais l'espace et le matériel nécessaire.
je vais allé voir laureline et l'installer ici elle panique la haut.


prenant du papier sur son écritoire elle griffonna une liste vite fait et alla voir cathal.

mon ange j'ai besoins que tu m'aide voila la clé de l'herboristerie et cette liste. tu arrive à tout relire ?
il faut que tu me ramène toutes ses plantes. tu te souviens je t'ai montré comment elle sont rangé ? va maintenant.

elle l'embrassa tendrement, et le laissa filer.

puis elle monta quatre à quatre l'escalier rencontrant la marie totalement hystérique, criant que le malin était entrer dans la maison que la petite était possédé. puis elle céda soudain regardant éberlué nefi qui venait de la gifler pour qu elle cesse.

arrête ça marie, tu vois pas que tu l'affole....


entrant dans la chambre de ses enfants nefi ne voyant pas sa fille dans son lit mais l'entendant pleurer, parcouru la pièces du regard et vi la petite forme enveloppé dans son drap sous la table. elle s'approcha et la prit dans ses bras.

la mon chaton je suis la prés de toi je pars pas je ne te laisse pas, calme toi...


elle la berça un instant dans ses bras puis elle la souleva pour l'installer avec chani dans sa chambre.

passant devant la marie.

marie fait chauffer de l'eau s'il te plaît.


puis elle descendit et vient étendre la petite au coté de chanel la gardant dans ses bras le temps que cathal revienne.

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Florence.la.douce
Florence regardait Néfi s'affairer autour d'elles. Laurie était donc malade elle aussi! Quel drame! Que tout cela était injuste! Mais qui? Et surtout pourquoi? Aristote serait-il devenu sourd ou aveugle pour s'en prendre à des femmes et des enfants? La colère s'empara du coeur de la jeune femme. Comment pouvait-on faire du mal ainsi?
Florence regarda Néfi partir et sourit tant bien que mal à Chani. Elle la berçait toujours, la rassurait, lui contait Péronne, ses champs, la douceur de vivre....Elle lui disait aussi combien elle comptait pour elle, combien elle était chère à son coeur. Elle la rassurait en lui disant que la mort n'aurait pas d'emprise sur elle tant que Florence était là...



Allez ma douce, courage....
Néfi va te donner un remède qui va te faire du bien, tu verras.
Tu te sentiras mieux après hum?
Et puis nous repartirons vers la maison.....

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Chiquette62
[au moulin]

La nuit avait été pénible pour Chiquette, du moins cela faisait plusieurs fois qu'elle avait le sommeil agité...
Ses nuits n'étaient plus que cauchemards sanglants, illustrés d'images terrifiantes et de scènes de la vie dont on se passerait bien...

Ce qui était étrange, c'est que elle même semblait être maître de ses cauchemards,elle incarnait différentes personnes monstrueuses, quelque fois sous le nom d'"Hannibalette", mais aussi "Styxie reine de l'enfer" ou encore "Jackette l'éventreur"!

Sans doute avait elle subit un choc ces derniers temps...
Mais que nenni!!!
Chiquette n'était plus sortie de son terrier depuis les lustres; elle hibernait tranquillement entouré de son maroilles...

Quand elle pointait le bout de son nez à l'extérieur, ce n'était que pour écouter les divers comérages, tradition oblige quand on a le surnom d'inspecteur Kekette.


Elle cogitait sans cesse, histoire de comprendre ce qu'il lui arrivait!Peut être devrait elle prendre l'air?Revoir ses biloutes adorées de Cambrai?
Cela lui ferait sans doute le plus grand bien!

C'était décidé, demain, elle irait bavarder en taverne avec ses amis, pincer quelques fesses, rouler quelques galoches et boire une bonne peinte!

Cependant, Chiquette se sentait tres mal dans sa peau, fiévreuse, courbaturée...
Cela devait être dû à ses nuits tres agitées...Manque de sommeil et angoisses, étaient certainement les causes de ce mal être...

Motivée par l'envie de revoir ses amis le lendemain, Chiquette décida de se coucher un peu plus tôt espérant ne pas revivre ses terribles cauchemards...



[Le lendemain]


Le réveil ne fut pas difficile, les cauchemards n'avaient pas disparus à la différence que Kekette se sentait en forme. étrange, n'est ce pas?
Mais au moment ou Chiquette s'apprêtait à faire sa toilette, elle se rendit compte que sa peau avait foncé!

Pire!!! Diverses cicatrices recouvraient son corps!

Avait elle des hallucinations? Pas possible...Il était tres loin le temps des champignons hallucinogènes...

MALEDICTION!!!!!!!!

Ses cheveux avaient notamment changé de couleur!
Etait-ce de nouveau un cauchemard? L'un se ces cauchemards ou elle se transformait en créature immonde?

Il fallait vérifier cela mais comment??????

Déterminée, Chiquette partit au village , là elle saurait ce qu'il en était, cauchemard ou réalité.




[ Sur la route]



Mais que se passait il?
Chiquette avait des idées noires, des envies sanglantes!
Quand elle apercevait une chouette, elle pensait systématiquement à la dévorer!
Quand elle croisait un lapin, elle voulait lui tirer les oreilles, et à la vue d'un sanglier, elle eut envie de lui arracher les yeux pour la décoration de son moulin!

Que de pensées malsaines qui lui passaient par la tête...

Alors qu'un villageois l'observait bouche bée, elle lui donna un coup de pieds aux fesses!!!

Pourquoi une telle transformation physique et psychique?




[au village]



Il y avait du monde dans les rues, et les villageois se sauvaient des lors que Chiquette s'approchait d'eux.
Ce n'était pas un mal vu ce qu'il lui passait par la tête...
Elle avait terriblement envie de les [censuré]





Rêve ou réalité? Chiquette attendait un signe, celui qui pourrait la délivrer de ce vilain sort, qui la ferait redevenir l'inspecteur kekette plutot que cette créature descendue tout droit de l'Enfer!

Retrouvera t'elle son "corps maroilleux"?
Ou restera t'elle "fiancée à l'enténébrement"?



[EDIT: Pour Incohérence RP]
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--Cathal_squire
[[Cambrai Chez les Squires...]]

Cathal avait obéit à sa mère même inquiet pour sa sœur il se trouvait dans la cuisine à boire un verre de lait, l'appétit n'étant pas présent il n'avait donc pas pris de brioche... Sa maman arriva elle avait besoin de lui, il l'écouta attentivement...


mon ange j'ai besoins que tu m'aide voila la clé de l'herboristerie et cette liste. tu arrive à tout relire ?
il faut que tu me ramène toutes ses plantes. tu te souviens je t'ai montré comment elle sont rangé ? va maintenant.


Cathal regarda le papier avant de partir pour être sur de tout bien lire...

C'est bon maman, je cours te chercher ça...

Cathal pris ses jambes à son cou et parti en courant vers l'herboristerie de la famille... Dans sa course il ne fit nullement attention aux gens qu'il croisait et qui avait l'air affolé, jusqu'à ce qu'il croise la marraine de sa soeur complètement transformée...

Il courit encore plus vite vers l'herboristerie il fallait prévenir maman au plus vite...


[[A l'herboristerie...]]

Cathal déplia le papier qu'il avait mit en boule en le tenant au creux de sa main... Il prit sur les étagères toute les plantes de la liste et même un peu plus ... il mit le tout dans un panier qu'il trouva dans le dit lieu, et après avoir tout pris et refermé la porte à double tours il reparti vers la maison...

[[De retour chez les Squires...]]

MAMAN !!! MAMAN !!!


Cathal entra comme un fou furieux dans la maison, oubliant qu'il ne fallait pas faire de bruit pour ne pas affoler sa soeur et la dame... Le petit déboula dans la chambre de sa mère après avoir fait celle de sa sœur ou plus personne ne se trouvait...


J'ai tes herbes et j'ai aussi croisé la marraine à laurie, elle est toute bizarre et toute transformé, elle fait très peur...

Tu veux que je retourne la chercher...


Cathal débita toute ses paroles d'un coup sans se soucier du monde autour. Une fois les choses dites il espérait que sa maman ne l'enverrait pas chercher chiquette car elle faisait vraiment très peur...
Nicolas__eymerich
Un grincement sinistre trainait dans les rues d'Arras, le bois craquait sous le poids de son fardeau, tandis que les roues cerclées de métal crissaient en roulant sur les pavés disjoints de la ville. Sur le passage du chariot, les gens se signaient et rentraient chez eux ou se précipitaient dans l'échoppe d'un boutiquier, qui s'empressait de fermer juste après.

Le funèbre cortège était tiré par une vieille carne, trop maigre pour être mangée, trop dure pour crever d'un simple hiver un peu rude, trop vieille pour faire autre chose. Et au dessus tournoyaient les corbeaux, qui noirs comme le mal qui s'était emparé de ville, piquaient vers les corps blafards entassés à l'arrière du véhicule, puis remontaient rapidement pour se jucher sur une balustrade, un lambeau de chair dans le bec.

A la tête du convoi, tirant le cheval par son licou, un homme du guet, vêtu pour l'occasion de noir, avec des gants, des bottes et un masque grotesque de médecin pour essayer de repousser l'infection, lançait son sinistre cri.


Fossoyeur, Fossoyeur, venez jeter vos morts,
Fossoyeur, Fossoyeur, venez jeter vos morts


Et de temps à autre, un volet s'ouvrait, une masse sombre obscurcissait la lumière pisseuse du soleil, et un nouveau cadavre venait alourdir la carriole.

Mais jamais le convoi ne s'arrêtait, ç'aurait été l'émeute sinon, les habitants du quartier croyant qu'on voulait les empoisonner.
--Hectorleforgeron
outre les traces des grosse cloque qui déjà le défigurer la terreur se lisait dans ses yeux hagard, il hurlait comme un déments se pensant poursuivit par le malin, il n'avait qu'une idées en tête rentrer chez lui prés des siens. sa marche était difficile la faiblesse de ses membres inférieur et les pavé glissant de verglas le firent plus d'une fois choir lamentablement glissant de le caniveaux ou s'écouler les immondices des riverains.

l'eau

le crie qui d'ordinaire l'aurait fait longer rapidement le haut du pavé, lui parvient déformé inintelligible. le contenue d'une seau d'eau l'atteint alors balancé par une ménagère du haut de son étage.

ahhhhhhrrrrrrrgggg


le crie suivit mais point un crie de dépit ou de rage, mais un hurlement atroce de terreur incontrôlable.

du sang, il pleut du sang, nous sommes tous maudit


du rouge partout une rivière de sang autour de lui tombé du ciel comme une malédiction, maudit,... il était maudit... fou de peur toujours dans la tournante de ses hallucinations il pris la fuites comme un dément courant presque à quatre patte tant la tête emporter sur la faiblesse des jambes qui noircissait déjà sous les bas de grosse laine...
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