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[RP CULTE] La Cathédrale de Toul

Zeiss
Après un moment à se faire écraser la tête au sol,le voleur commençait à perdre connaissance.Zeiss le remarqua et arrêta la pression qu'il exerçait et se releva,ramassant le bandit juste après.Celui-ci était complètement sonné,mais tenait à peu près debout,tant qu'on le maintenait un peu,ce que le caporal faisait.Baissant la tête,il remarqua du sang sur le sol,et la sensation que quelque chose de liquide coulait sur sa jambe ne trompait pas,sa blessure saignait.Il reporta ensuite son attention sur le voleur,toujours un sourire sadique aux lèvres.

Le jeune homme commença ensuite à regarder partout,cherchant visiblement quelque chose du regard.Aucune trace du chien,l'animal avait disparu.Peut-être avait il rejoins son maitre,ce que Zeiss n'aurait pas remarquer,trop content d'avoir coincer le voleur.Ou bien le molosse avait eu peur en voyant le caporal retenir l'homme,chose qui aurait été compréhensible,vu le visage d'assassin fou qu'il avait eu à ce moment.

Il dirigea son regard vers le bandit,un grand sourire aux lèvres toujours sadique,mais moins qu'avant.


Toi mon pote,tu vas pas t'en sortir comme ça!

Contemplant sa proie,il tourna la tête et fit un horrible rapprochement.Un raisonnement logique qui ne présageait rien de bon pour le pauvre Zeiss qui changeait déjà de face.Une équation à la logique implacable se construisait dans l'esprit du jeune homme.Blessure resaigne + Lavania qui remarque ce détail + Elle qui est pas loin = Potion bizarre + Epouse pas contente."Holy Excrement j'suis dans l'caca" furent les premiers mots qui vinrent à la tête du caporal après avoir trouver le résultat de sa cruelle opération.
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Lavania
Lavania regardait le Caporal relever le voleur, il semblait redevenir normal, son sourire s'effaçant peu à peu, ses yeux redevenant un peu plus humain. Elle regardait son visage, trop concentré pour remarqué quoi que ce soit à sa jambe, l'important à ce moment était de retrouver son mari et de l'empêcher de faire des bêtises.

Elle le vit soudain baisser doucement les yeux, suivant son regard, elle remarqua à l'endroit où se trouvait la blessure, su sang qui s'en échappait. Elle fronça les sourcils, croisant les bras. Ils allaient avoir une petite discussion en rentrant à la maison ses deux là.

En relevant les yeux, elle croisa le regard de son mari, elle pu remarquer rien qu'à voir ses yeux qu'il avait tout à fait compris ce qu'elle avait en tête. Il avait raison d'être inquiet le mari! Hooo que si! Elle était pas très réputé pour la douceur, la jeune Lavania quand elle était contrariée.

He voilà! C'était repartie pour l'Hospice! Depuis qu'elle le connaissait, elle avait visiter à peu près tout les hospice inimaginable et avait rencontré chacune des hospitalières. Et elle sentait que tout ça n'était pas encore finit.

Il allait sûrement finit par lâcher le voleur et le remettre à quelqu'un en état. Lavania n'osait pas s'approcher, on ne sait jamais ce qui peut se produire avec un voleur et un homme blesser de surcroîts. C'était comme avec les chiens... ou les animaux blessé... rester loin... On sait jamais ce qui peut se produire...
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Temudjin
tem voyant tout ce monde rentrer salua certains vieux amis et les autres puis se mit a coté de Uriel et ota son mantel arborrant avec honneur son uniforme de la garde

il se tint aupres de l'estrade et attendit son eminence pour qui il avait beaucoup de respect
--Blanche_de_blerupt
baronnie de Belrupt

Blanche c'était levé tôt pour se préparer. Aujourd'hui était le grand jour pour son papa, il allait être couronné.
Une fois son petit déjeuner avalé, elle avait enfilé sa plus jolie robe, attaché ses jolies boucles blondes en un chignon. Sa mère Kemaille lui avait prêtée une parure pour que le tout soit complet. Après plusieurs vérifications de sa tenue, elle était montée dans le carrosse, direction la cathédrale. Pendant tout le trajet, elle avait posé une multitude de questions sur le déroulement, jusqu'à en exaspérer sa mère. Le trajet avait été plus court que ce qu'elle avait pût penser et le carrosse était devant la cathédrale en peu de temps.


Arrivée devant la cathédrale de Nancy


Elle descendit du carrosse et s'arrêta pour admirer l'impressionnante cathédrale. Le lieu de culte était d'une architecture étonnante pour la fillette. L'appelle de sa mère la sortit de sa contemplation puis elle alla se placer à coté de son frère, fort élégant pour l’occasion. Ils montèrent les marches du lieu de culte puis ils remontèrent l’allée. Arrivée sur le devant de la cathédrale, elle partit avec son frère se placée à coté des dignitaires, pendant que son père allait rejoindre son éminence Ecaterina.
La cérémonie avait à peine commencé qu’un conseiller devint fou. Il hurlait dans toute la cathédrale. Blanche le regardait avec de grands yeux, se demandant ce qu’il se passait. Heureusement, plusieurs personnes l’avaient maitrisé, et la cérémonie pût continuer son court.
Domi2309
Domi ayant appris que des facheux événements se passaient en la Cathédrale de Nancy, il décida de s'y rendre aussitôt.
Il pénétra dans le Saint-Lieu, il n'eut pas le temps de se signer, des chaises étaient en désordre, et des tâches de sang s'étalaient sur le sol.
"Que s'était-il passé?"se demanda t-il!
L'Aspirant Lieutenant vit que le Capitaine et nombres de gardes étaient présents.
Il se dirigea discrêtement vers son supérieur et se signant à genoux, se positionna sur une chaise libre.
Entre temps, la messe avait repris son cours normal.
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Ecaterina
La Cardinale regarda le tête, le genoux à terre.
Elle fit signe à un diacre qui lui apporta la couronne ducale.



Elle la posa sur la tête du Duc tout en disant:


Soyez un bon Duc. Défendez la Foy et les Peuples de Dieu. Que votre main ne soit pas une arme mais un bouclier.


Elle posa ses deux mains au dessus de lui puis murmura une bénédiction.
Après avoir fait un signe de croix, elle aida le Duc à se relever, puis le laissa s'exprimer.
Sebastien_de_belrupt
Sébastien ne put s'empêcher d'éprouver un sentiment de fierté en sentant la couronne se posait sur sa tête, il avait été choisi pour mener la Lorraine sur la voie de la propérité et il se sentait prêt à relever le défi avec le Conseil Ducal, nul doute que le chemin serait semé d'embuches mais il faudrait agir rapidement et intelligemment pour avoir une chance de changer durablement les choses en Lorraine. Il se releva, sourit à Ecaterina et se retourna vers la foule présente dans la Cathédrale.
Cher Lorrains, Chères Lorraines,

Je suis fier d'avoir été couronné Duc de Lorraine devant le Seigneur et devant vous. Ce couronnement ne me fait que prendre davantage conscience des responsabilités que ça implique et de l'occasion qui m'a été offerte de faire changer de manière durable les choses en Lorraine. Je suis profondément convaincu que nous tenons en main la possibilité de tourner définitivement la page de la crise institutionnelle qui paralyse la Lorraine depuis de nombreux mois.
Chacun d'entre nous à un rôle important à jouer, chacun là où il sera le plus efficace, que ce soit le paysan et les artisans à développer la production lorraine, que ce soit les marchands chargés de faire prospérer la Lorraine ou encore les parlementaires qui ont pour mission de proposer des textes au Conseil Ducal et enfin celui-ci qui doit coordonner tous ces efforts individuels pour en faire un mouvement d'union ducal qui vise à porter la Lorraine toujours plus haut, à repousser ses limites et croître de jour en jour.

Ca peut ressembler à de vaines paroles, un vain espoir répété inlassablement dans la bouche de tous les Ducs qui se sont succédés ici, mais jamais une élection ducale n'a sucité tant d'engouement, jamais il n'y a eu tant d'enjeux que ce soit au niveau politique, économique ou même au niveau de l'Empire. Et c'est tout cela en même temps que nous devons gérer, mais cette responsabilité n'incombe pas seul au Conseil Ducal, chacun peut y participer à sa mesure que vous soyez paysan ou membre de la Noblesse lorraine, chacun à sa place dans cette renaissance lorraine, chacun peut poser sa pierre sur l'édifice que nous sommes en train de construire.
Termina-t-il.

Maintenant, je vous invite à vous rendre au château de Nancy pour profiter du banquet et un peu après du bal du couronnement. Je vous souhaite à tous une excellente soirée et je vous remercie de votre présence en ce lieu. Le Duc rejoignit son épouse et ses enfants et ensemble ils regagnèrent le carosse à l'extérieur pour rejoindre le Château de Nancy.
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Toutes nos passions reflètent une étoile... chaque étoile a un sens.
Pilliwyggin
Pilli avait suivi la céréminie discrètement dans un coin. Tout cela était très émouvant. Elle vit Ecat couronné le nouveau duc et sourit.

Elle vit passer le nouveau duc passer non loin d'elle avec sa famille. Elle lui fit la révérence et sourit.
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Pm306
J'avais suivi l'arrivés de tous les nobles puis le courronement du nouveau Duc.
Que son reigne soit propîce à de grandes décisions pour le bien-ètre Lorain.
Pm306 de Beauregard d'youville
Simon78
Simon avait perdu de vue Isis et Slarkoss, losqu'il entendit applaudir à l'intérieur de la cathédrale. Dans trois minutes, une foule compacte allait s'ajouter à celle déjà présente sur l'esplanade.
Il reprit donc sa course, au trot. L'inconnu étant petit, il se faufilait avec facilité à travers la foule. Celui-ci s'engagea soudainement dans une ruelle déserte et se mit à courir. Le cavalier se mit au galop, le talonnant de près. Tout en le poursuivant, une question vint en tête de ce dernier : comment arrêter le fuyard à cheval ? Arrivée à la hauteur de l'individu, Simon l'empoigna par le col, le faisant monter sur sa monture. Il se dirigea vers le centre de l'Ost, puis le déposa là-bas, laissant un responsable s'en occuper.
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Uriel
Gbe
Gratien avait revêtu son uniforme de la Garde épiscopale afin de rendre honneur à l'un des siens ainsi que son ancienne mairesse. Tous deux étaient en route pour le paradis solaire. Il n'en doutait pas. Il se rendit donc en la Cathédrale de Nancy. Il poussa le lourd vantaux.

L'édifice était encore désert. Un soleil d'automne faisait rougoyer les vitraux. Gratien s'approcha à la droite de l'autel et se recueillit quelques instants. Il avait apporté avec lui un cierge qu'il allait offrir au très haut. Il alluma celui-ci et le posa auprès de l'autel.

Il se recula et médita sur la finitude de la vie terrestre. Il pensa également à son vidame qui luttait également pour l'instant.

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Gratien du Bas Ermitage dict GBE - Garde épiscopale - Aspirant Major - Saint-Empire - Duché de Lorraine - Verdun
Marges

Ils n'avaient pu faire route ensemble, mais dès qu'elle put se libérer Margès rejoignit Gratien en la Cathédrale de Nancy.

En chemin, elle avait beaucoup pensé à Dame Mac Chipie et aux enfants qu'elle laissait, aussi... Elle avait de la peine pour Isis, sa marraine. Elle savait que son amie avait assisté sa soeur dans ses derniers instants.
Elle se dit qu'elle irait la visiter prochainement à Epinal et cela lui fit du bien de penser ainsi ; oui, il fallait se soutenir dans les moments difficiles de la vie.

Elle approcha de l'imposant bâtiment et entra doucement mais ne put empêcher la lourde porte de gémir. Elle avança vers l'autel. Une douce lumière rouge orangé filtrait à travers les vitraux. L'automne présidait à l'instant... la lumière, Mac Chipie l'avait sûrement déjà trouvée... celle qui éclaire le chemin qui mène au paradis solaire.
Et le Major Arghun, lui aussi, devait à présent marcher sur le même chemin, baigné de la même lumière...

Arrivée près de l'autel, Margès aperçut Gratien. Elle le trouvait beau dans son uniforme. Il semblait triste aussi, perdu dans ses pensées. Il méditait pensa-t-elle.

Elle déposa au pied de l'autel un bouquet d'Asters pour Mac Chipie et un autre de feuilles d'automne pour le Major.
Puis elle fit don d'une petite médaille bénie représentant un soleil qui brille (elle l'avait fait réaliser spécialement par un artisan) et prononça une douce prière pour la guérison de son parrain, Monseigneur Frédéric Von Frayner, qui était bien malade ces derniers temps.

Enfin elle s'approcha de son doux ami et s'assit tout près de lui, heureuse de le retrouver. Elle ôta son gant et plaça sa main dans la sienne ; ils prièrent ainsi tous deux en silence et en parfaite communion d'esprit pour Mac Chipie et pour le Major Arghun, en souhaitant qu'ils trouvent rapidement la paix que tout bon aristotélicien attend ; ce dont ils ne doutaient pas un instant.
Et ils priaient aussi pour Monseigneur Frédéric*Guillaume, leur Vidame.
Uriel
Uriel s'était préparé moralement toute la journée pour faire ce double enterrement, et cela ne l'enchantait guère - comme tous les enterrements d'ailleurs ...

Morne journée de novembre, brume sur les toits s'entremêlant aux volutes de fumées des cheminées, le froid tombait doucement sur la Lorraine.
Ainsi, il se rendit à la Cathédrale de Nancy.

Ouvrant les lourds battants, il laissa l'air entrer dans le lieu solennel et contempla l'immensité de l'intérieur de l'édifice.
Il se signa et remonta l'allée centrale pour se rendre jusqu'à l'autel où il fit une génuflexion devant la croix de Christos.

Enfin, il prépara tout pour l'office.
Puis, se rendant vers le clocher, il avisa Margie, Gratien, et les salua respectueusement, l'heure hélas, n'était point au bavardage.
Il était néanmoins content que des représentants de la Garde de Trèves furent là.

Le Premier Archidiacre fit sonner la cloche.

Dong ... ! Dong ... ! Dong ... !


Trois coups, seulement, trois.
Ceux-ci suffiraient bien ; leur son, quasi-iréel se répandit sur la ville, appelant les fidèles à venir saluer une dernière fois leurs amis ...
Gbe
Gratien sentit une présence. Du coin de l'oeil il avisa son amie, Margès. Il était content qu'elle ait pu se libérer pour cette célébration. Lorsqu'il sentit la main de son amie dans la sienne, son âme s'apaisa doucement.

La tristesse du rappel auprès du très Haut persistait néanmoins.

Uriel arriva également pour préparer l'office. Ils se saluèrent.

Les cloches retentirent.

Gratien et Margès prirent donc place dans un des bas-côtés.

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Gratien du Bas Ermitage dict GBE - Garde épiscopale - Aspirant Major - Saint-Empire - Duché de Lorraine - Verdun
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