--Capitaine_pivoine
Un bon Capitaine est un Capitaine un poil sadique...
C'est en appliquant cette maxime que la Pivoine était arrivée sans s'annoncer à Laval. Une chevauchée fait toujours du bien. Surtout quand on veut prendre l'air et aller flâner un peu du côté de chez soi, à savoir le camps Licorne. Elle a laissé Léard aux bons soins d'Adrian et de Gaspard, Karyl aux bons soins de Laïs et de sa foule d'admirateurs et le camps à Alethea qui gère maintenant ça d'une main de maitre.
Elle a fort à faire en peu de temps. Elle a déjà rencontré Gauwyn qui lui a laissé une impression fort agréable. Ce petit semble avoir la tête sur les épaules et de la suite dans les idées. Elle a flâné dans la ville à son bras, apprenant à mieux le connaître... et elle aime bien ce qu'elle entrevoit dans les yeux qui se baissent obstinément à tout compliment ânonné. Elle regarde les traits et y retrouve un peu de passé. Elle a sourit...
Mais elle n'a plus le temps maintenant des promenades.
Les pas de Perséphone l'amène jusqu'au camps. La Pivoine rigole intérieurement quand les hommes d'armes ouvrent de grands yeux à son approche et qu'elle pose un doigt imposant le silence sur sa bouche. Elle descend de son promontoire sur patte pour donner les rênes à l'un d'eux en disant avec un sourire entendu, qui a des échos de bête carnivore :
Faites comme si je n'étais pas là...
Et de déambuler dans le camps en prenant son temps et en faisant trainer ses émeraudes sur tous les détails...
Tiens l'écurie et l'hersatz d'armurerie...
Le sourire s'élargit en coin pour venir flirter avec la cicatrice qui barre sa joue du menton à la tempe et elle presse un peu le pas pour rentrer....
Début de l'inspection des cuirs...
Tâche ingrate pour la plupart mais tellement... indispensable. Le cuir doit être nourri pour éviter qu'il se craquèle et elle a toujours dit à ses écuyers qu'il valait mieux prendre un peu de temps toute les semaines que de tomber bêtement de sa selle en plein combat parce que la sangle de sa selle s'est cassé et qu'on ait mort la tête fracturée par la chute...
La Pivoine se tient un instant au seuil des stalles qui ont été installées temporairement. Et les sourcils se froncent devant celle du cheval qui si ses souvenirs sont toujours frais appartient à l'écuyère Aldraien.
Dans la paille... il y a un licol. La Pivoine s'agenouille et le ramasse avec sa main valide... il y a des trous... mine qui se ferme instantanément... combien de fois va-t-il falloir qu'elle leur serine qu'on accroche tout en hauteur pour ne rien laisser en pâture aux rats...
Et de se relever en usant de ses poumons pour mugir le nom de l'écuyère...
On appelle ça... une arrivée en fanfare...
HRP/ Posté en PNJ par Aldraien pour cause de synchronisation qui veut pas se faire et qui m'em... /HRP
C'est en appliquant cette maxime que la Pivoine était arrivée sans s'annoncer à Laval. Une chevauchée fait toujours du bien. Surtout quand on veut prendre l'air et aller flâner un peu du côté de chez soi, à savoir le camps Licorne. Elle a laissé Léard aux bons soins d'Adrian et de Gaspard, Karyl aux bons soins de Laïs et de sa foule d'admirateurs et le camps à Alethea qui gère maintenant ça d'une main de maitre.
Elle a fort à faire en peu de temps. Elle a déjà rencontré Gauwyn qui lui a laissé une impression fort agréable. Ce petit semble avoir la tête sur les épaules et de la suite dans les idées. Elle a flâné dans la ville à son bras, apprenant à mieux le connaître... et elle aime bien ce qu'elle entrevoit dans les yeux qui se baissent obstinément à tout compliment ânonné. Elle regarde les traits et y retrouve un peu de passé. Elle a sourit...
Mais elle n'a plus le temps maintenant des promenades.
Les pas de Perséphone l'amène jusqu'au camps. La Pivoine rigole intérieurement quand les hommes d'armes ouvrent de grands yeux à son approche et qu'elle pose un doigt imposant le silence sur sa bouche. Elle descend de son promontoire sur patte pour donner les rênes à l'un d'eux en disant avec un sourire entendu, qui a des échos de bête carnivore :
Faites comme si je n'étais pas là...
Et de déambuler dans le camps en prenant son temps et en faisant trainer ses émeraudes sur tous les détails...
Tiens l'écurie et l'hersatz d'armurerie...
Le sourire s'élargit en coin pour venir flirter avec la cicatrice qui barre sa joue du menton à la tempe et elle presse un peu le pas pour rentrer....
Début de l'inspection des cuirs...
Tâche ingrate pour la plupart mais tellement... indispensable. Le cuir doit être nourri pour éviter qu'il se craquèle et elle a toujours dit à ses écuyers qu'il valait mieux prendre un peu de temps toute les semaines que de tomber bêtement de sa selle en plein combat parce que la sangle de sa selle s'est cassé et qu'on ait mort la tête fracturée par la chute...
La Pivoine se tient un instant au seuil des stalles qui ont été installées temporairement. Et les sourcils se froncent devant celle du cheval qui si ses souvenirs sont toujours frais appartient à l'écuyère Aldraien.
Dans la paille... il y a un licol. La Pivoine s'agenouille et le ramasse avec sa main valide... il y a des trous... mine qui se ferme instantanément... combien de fois va-t-il falloir qu'elle leur serine qu'on accroche tout en hauteur pour ne rien laisser en pâture aux rats...
Et de se relever en usant de ses poumons pour mugir le nom de l'écuyère...
On appelle ça... une arrivée en fanfare...
HRP/ Posté en PNJ par Aldraien pour cause de synchronisation qui veut pas se faire et qui m'em... /HRP