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[RP] "An Poitin Still" auberge au bord de la Garonne.

Enored
Regard perdu au loin ... regard perdu dans un horizon qui n'est pas le sien ... du moins qui n'est pas celui qu'elle aime. Pas d'immense étendue aqueuse qui s'offre à son regard ... Emeraudes perdue ne de pas voir l'immensité changeante ... un manque. Elle a tout pourtant l'Irlandaise mais il semble lui manquer ce qui fait qu'elle est elle. Injuste ? sans doute est-elle injuste envers ce que la vie lui a offert ... mais le manque est là, puissant, violent ...

Elle vient de nourrir son enfant qui dort paisiblement endormi dans sa fameuse écharpe. Elle n'a pas quitté sa chambre depuis la naissance de Sean ... il était grand temps de refaire surface ... de sortir de sa bulle. Machinalement, elle ouvrit la fenêtre pour respirer l'air de l'Armagnac. Les yeux clos, elle resta ainsi un instant, main posée sur le dos de son enfant endormi contre elle. Sans s'en rendre compte, elle le caressait du bout du pouce. Geste instinctif. Un sourire se dessina sur ses lèvres. Son fils ... Sean-Alsender. Un regard vers la touffe de cheveux passant de l'écharpe.

Sortir ... oui il était temps.

Elle glissa ses pieds dans ses bottes, ferma sa chambre et descendit les marches qui la séparaient de la taverne. Accoudée à son comptoir, une tavernière amie rêveuse ... Caline ... elle savait si peu sur elle au final ... elle ne savait d'elle que ce qu'elles avaient vécu ensembles d'avant .... rien. Etrange non ? pas tant que ça au final pour une rousse et une blonde au fond si semblables ...


Dia duit deirfiúr .... *

Un sourire ... étonné ... c'était sorti tout seul et pourtant c'est ce qu'elle ressentait, Caline était la petite soeur qu'elle aurait aimé avoir ...

(*bonjour petite soeur)
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Caline
Mouvement qui la tire de sa réflexion, pas celui de la porte d’entrée comme elle l’aurait cru, non un mouvement perçu dans le coin du regard, de ceux qui vous font tourner la tête en se demandant si on a vraiment vu quelque chose. Ses azurs se tournent, se posent dans la direction voulue, vers l’escalier qui mène à l’étage et ou dans embrasure de la porte se trouve une rouquine aux émeraudes fixées sur elle. Elle se redresse en lui souriant et…

Dia duit deirfiúr ....

Étonnement, elle a bien compris ? Courte réflexion en repassant en mémoire les mots pour les traduire à nouveau…ben oui, elle a bien compris…petite sœur…sourire…si elle s’attendait…sourire toujours…les sentiments s’accordent …une grande, une petite sœur…on choisi pas sa famille – ho ça non, sinon elle aurait jamais celle sur laquelle dans laquelle elle était arrivée – mais ses amis oui et ils sont une deuxième, une vrai famille…bien mieux que ce qu’elle avait eu par les liens du sang…laissant là sa courte mais intense réflexion, elle posa deux verres sur le comptoir, prix une bouteille et interrogea du regard celle qu’elle considère comme une sœur, et à qui elle n'a encore jamais dit ces mots par peur surement de la déranger, de l’embêter, ou tout simplement de ne pas être comprise, de se faire rembarrer…

Demat vras c’hoar*….comment vas-tu ?

Une première…des mots qui sonnent bien, tout comme les cloches au loin …


*bonjour, grande soeur

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Enored
Etonnement mutuel et pourtant ... simple reflet d'un ressenti si vrai. Sourire de l'Irlandaise qui s'installe de l'autre côté du comptoir sans cesser de fixer les Azurs plantés sur elle et un hochement de tête pour répondre enfin.

Ca va ... je suis fatiguée, presque lasse mais ça va ... il y a ici ... quelque chose qui manque ... qui me manque.

Fesses posées sur le tabouret haut en même temps que l'aveu est lâché. Que dire de plus la Bretonne saura sans doutes. Emeraudes face au bleu changeant façon océan des yeux de celle qu'elle considère comme sa soeur.

Je dois te paraitre ingrate non ? mais vivre si loin dans les terres ... m'est difficile. Mais je ne veux, ne peux éloigner Sean de son père ... tout comme je suis incapable de vivre loin de lui. C'est un odieux dilemme ... odieux ? non insupportable. J'avoue ... après tout, elles étaient seules, personne autour ... et des confidences elles en avaient lâchées quelques unes déjà alors une de plus ... je suis totalement perdue ... à une époque j'aurais fuit, loin ... serais repartie en mer oui mais voilà ... main qui se pose sur le dos du petit dormant paisiblement contre elle ... il y a lui ... il y a son père ... et je ne peux les quitter et puis ... il y a toi aussi sourire gêné d'un aveu étrangement libérateur ... elle tenait à eux ... oui mais presque au détriment de sa liberté et avait la sensation de se perdre quelque part de n'être plus qu'une partie d'elle ou alors d'avoir changé ... et que le changement était lourd à digérer ? était ce tout simplement cela ? oser risquer de s'attacher aux gens même si un jour il fallait les perdre ? sans doute ...
Caline
Verre servi en réponse au hochement de tête…verres servis, bouteille posée et verre attrapé alors qu’elle l’écoute… verre levée en un toast silencieux avant d’être portée à ses lèvres, oui elle sait ce qui lui manque, nul besoin pour l’irlandaise de s’étendre, la bretonne sait, elle vit avec moins d’intensité ce manque….aveu…silence que la bretonne laisse s’installer…trouver les mots justes…pas évident…

Tu n’es pas ingrate…pourquoi n’aurais tu pas cela en plus de ce que tu as déjà ? léger voile de tristesse à réaliser le contraste entre leur deux situations …mais elle devait être honnêtece que tu asazurs qui se posent un instant sur le petittu t’es donné de la peine pour l’obtenir, ça ne t’es pas tombé tout cuit dans les bras…- l’image n’était pas forcément idéale mais elle n’en avait pas trouvé d’autre sur le moment…silence un instant encore et azurs qui se plongent dans les émeraudes alors que les derniers mots de la rouquine lui reviennent à l’esprit-... je n’ai eu le courage que tu as…s’attacher encore…

La voix de la bretonne s’est fait murmure au prononcé de ces derniers mots…jusque là, elle n’avait trouvé le courage de dépassé ce vide, ce gouffre qui s’était fait suite aux pertes douloureuses qui l’avaient affecté…mais aujourd’hui, depuis la naissance de Sean…elle avait enfin réalisé que même si les instants avec les êtres aimés étaient courts, ils valaient d’être vécu pleinement, totalement, sans penser constamment à la peur de la perte…forte de cette certitude, elle était même prête à les quitter pour les protéger, à se retrouver seule, à les perdre mais les savoir en vie, plutôt que de risquer leur vie…

Eno…je sais une chose…c’est que je tiens à toi, à ce petit qui vient de naître…parce que vous êtes là, je suis là…parce que vous êtes là, qu’un jour si je dois partir pour vous protéger je le ferais…- sourire, regard qui se fait plus doux, presque triste si j’ai appris une chose ces derniers temps, c’est qu’il faut aimer et vivre sans avoir peur de la perte sinon on ne vit pas vraiment…

Les azurs fixés, plongés dans les émeraudes avec intensité, la confidence avait appelé naturellement à une confidence, mais la bretonne ne s’était pas attendu à se livrer autant, cela la perturbait un peu – elle qui se livrait si peu d’habitude – et en même temps, elle se sentait libre…non, plus légère…


édit pour correction faute de frappe
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Williamax
Un nouveau batîment se dresse à Muret, merci à toi d'avoir investit ici.
Landyves
Septembre. Mois qui annonçait une vie plus sereine.
Depuis plusieurs semaines déjà, le blondinet n’avait pas vraiment eu le temps de se reposer sur ses lauriers, et il s’avouait bien volontiers qu’il n’était pas contre l’idée de repartir très vite chez lui, il y avait toutefois un devoir auquel il ne dérogerait pas, cette escorte qui l’avait conduit jusque là et qui n’était pas encore tout à fait terminée.
En effet, Oisèle en retraite, il devait encore attendre, le voyage étant de ce fait retardé.
Mais qu’importe, il restait à Muret en attendant le retour de la prélat. Sa condition pour mieux patienter était de se trouver une chambre dans une auberge bien moins austère et bien plus entretenue que la précédente.
C’est donc ainsi que le jeune lieutenant se retrouva à pousser la porte du "An Poitin Still". Autant dire qu’un nom qui lui semblait anglophone ou de cet ordre là avait de quoi dépayser en Armagnac et Comminges, mais l’idée amusait suffisamment Yves pour qu’il décide de combler sa curiosité.


Boundjour !

Se contenta-t-il de lancer dans l’échos de la salle principale qui n’était pas spécialement bondée de monde. Il allia tout de même l’inclinaison du buste à la parole pour ne pas donner l’impression d’arriver comme une fleur. Il avait déjà pris la liberté de laisser sa chère mule sous l’appentis, il n’allait donc pas encore prendre totalement ses aises.

S’approchant enfin du comptoir en gardant fermement empoignée sa gibecière, le blondinet adressa un léger sourire de circonstance à celle qui devait très certainement tenir l’endroit à défaut, peut-être, d’en être la propriétaire.


Auriez-vous une chambre avec lit simple s’il vous plait ? Je pense rester quelques semaines.

Rebroussant énergiquement sa tignasse claire tout en reprenant discrètement sa respiration en espérant que ses pommettes retrouveraient très vite leur couleur habituelle, le lieutenant attendit bien sagement qu'on lui réponde.
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(Recherche joueur pour Samuel, le fils de mon blondinet. MP si intéressé.)
Caline
Conversation, confidence interrompue par une arrivée impromptue voir totalement grossière…prise sur soi pour calmer son caractère enflammé de bretonne mais envie d’envoyer paître l’arrivant, même si celui-ci vient féliciter de l’ouverture de leur taverne….envie de l’envoyer balader mais bon ça se fait pas…surtout si on veut une taverne qui marche…quoi que des fois faut savoir en mettre certain dehors….sourire en coin...et manifestement il a de la chance, une nouvelle arrivée l'arrête dans son élan…arrivée polie….signe de tête et sourire engageant en réponse à celui de l’arrivant…

Demat messire, bienvenue au Poitin still…

Regard qui se pose doucement sur celui-ci qui se rapproche d’elles, azurs qui notent chaque détails de l’homme… un blond à l’accent chantant du sud…le sud étant vaste, il pouvait bien venir de n’importe ou…impossible de savoir à moins qu’il ne le disse…remarque tout comme elle, si elle ne s’évertuait pas à parler de temps en temps breton personne ne saurait d’où elle vient le nord étant aussi vaste que le sud…sourire en coin…elle en avait des pensées ce matin…

Oui messire, nous avons une chambre de libre pour vous…

Bretonne qui sort une miche de pain toute chaude, produite du jour par ses soins et la pose doucement sur le comptoir…

Avez-vous faim messire ?

Attente d’une réponse, regard interrogateur un instant vers la rouquine, nul besoin de mots alors qu’un regard suffit pour se comprendre, avant que ses azurs se reposent sur l’homme…

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Landyves
La réponse ne tarda pas, tout comme le sourire de celle dont l’azur des yeux était aussi perçant qu’effrayant. Allez savoir ce qui le fit penser à ce deuxième point, toujours est-il que la voix posée et agréable de la donzelle ne lui fit aucunement regretter son choix de venir s’installer quelques semaines en cette auberge.
Elle lui assura qu’il y avait une chambre de libre, et bientôt l’odeur exquise et enivrante du pain chaud vint lui caresser les narines. Trouvant la tentation trop grande, et n’ayant aucune volonté pour y résister, à la question que lui posa la blonde il ne put qu’acquiescer d’un signe de tête en lorgnant la nourriture, avant de nouveau s’intéresser à la jeune femme.


Cela m’en met tant l’eau à la bouche que je me restaurerai bien volontiers oui, merci !

Aussi intense que courte, sa réflexion d’alors le poussa à soupirer légèrement, ayant remarqué comme un oubli de sa part. Après tout, c’était bien gentil de prendre une chambre, mais sans nom la tenancière ne saurait trop sur quelle note adresser tous les frais. Certes, il n’était pas du genre dépensier, mais tout de même …

Oh et vous pourriez mettre tout ceci au nom de Yves Land s’il vous plait ?
Je suis désolé d’être un peu tête en l’air, en général ce n’est pas moi qui se débrouille pour trouver les chambres …


Il se mit à rire légèrement. N’était pas d’un coin reculé et rustre qui voulait après tout ! Il avait l’art et la manière, et s’il ne se comportait pas en goujat, il n’avait pas toujours la présence d’esprit de faire les choses avec une organisation précise.
C’est alors qu’il se risqua à faire la conversation.


Vous venez du grand duché de Bretagne me trompe-je ?
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(Recherche joueur pour Samuel, le fils de mon blondinet. MP si intéressé.)
Caline
L’homme est agréable, le regard franc, les manières simples et pas dans le sens péjoratifs du terme, non simple de ces personnes qui prennent les événement comme ils viennent qui font les choses simplement sans en faire tout un plat, sans faire de manière exagéré…peut être se trompe-t-elle, mais telle est la première impression qu’elle a de cet homme alors qu’elle entame la croute du pain d’un geste sur et précis à l’aide de son couteau.

Enchantée messire Land …tenez voici pour vous…- morceau de pain posé, couteau qui découpe à nouveau ne vous excusez pas, il n’y a pas de mal on ne saurait penser à tout.

Sourire et miche de pain chaude déjà morte sous les assauts du couteau, morceau devant chacun. En tavernière zélée, elle sort un verre qu’elle remplie de poitin avant de le poser devant le sudiste…oui vu son accent chantant, elle est certaine qu’il est du sud…presque aucun doute…si peut être un tout petit, un petit comme une souris...

Vous ne vous trompez pas, j’ai effectivement mes origines dans ce duché…- azurs qui se parent d’un voile léger alors que l’espace d’un instant elle repense à feu sa chère mère…à son père qu’elle espère mort et enterré…sourire de ces sourires que l’on prend quand justement on se reprend, mais intérêt vrai lorsqu’elle lui demande ...Je m'appelle Caline et voici Enored.... - impossible pour la bretonne de rester sans savoir, elle deteste avoir des questions sans réponse aussi ne résiste-t-elle pas...- vous par contre vous venez d’un duché ensoleillé, d’un duché ou les cigales chantent…je ne me trompe pas ?

C’est ce qu’elle aime dans son métier de tavernière, c’est ce qu’elle aime et qu’elle avait oublié, les rencontres, les différents horizons qui l’espace d’un instant, voir parfois plus, devant un verre de vin, de bière ou de poitin, se mêlent, font connaissance, échangent…oui elle avait oublié tout cela en s’enfermant trop longtemps dans sa douleur. Parfois il faut du temps pour réaliser certaines choses…

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Landyves
L’odeur parfumée s’approchait de plus en plus du jeune homme qui décidément n’en pouvait plus. Lui qui se contentait de bien des plats simples agrémentés de temps à autre de maïs n’imaginait pas avoir l’opportunité de se faire plaisir en n’avalant ne serait-ce qu’une seule bouchée de ce pain.
Toujours est-il qu’il préférait ne plus penser à la décapitation qui s’était jouée devant lui, espérant alors que le Très-Haut protégeait ceux qui auraient dans l’idée de s’approcher de l’auberge avec de mauvaises intentions. Couteau manié aussi bien que l’accueil, qu’elle femme !

Enfin bref, remerciant la donzelle pour ce repas bien plus copieux qu’il n’y paraissait, accompagné de plus d’une boisson que manifestement il ne connaissait pas, lui qui pourtant avait goûté bien des vins et des liqueurs, le voilà avec une curiosité piquée au cœur, tout comme son hôte semblait l’être avec ses origines.

Après avoir avalé une gorgée de ce qui lui réchauffait doucement la gorge, il laissa la bretonne s’exprimer avant de saluer la dite Enored, puis en vint à répondre lorsque sa bouche fut vide de toute nourriture ou boisson.


En effet, je suis bien du sud.

Il afficha un très large sourire après s’être assuré discrètement que la croûte du pain n’avait pas trouvé le moyen de se blottir contre ses dents.

Je suis précisément de Nîmes chère dame. L’ennui c’est qu’il y a autant d’occitans parlés que de villes dans cette région et qu’il vaut mieux faire dans la généralité et moi je suis donc du côté Est.

Tatillon ? Oh si peu ! Puis enfin:

Mais dites moi, quel est ce breuvage aussi fort que délicieux que vous nous avez servit ? Goût que je ne connaissais pas encore, et quelque chose me fait penser que ce ne sont pas les distilleries d’ici qui le produisent ?!
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(Recherche joueur pour Samuel, le fils de mon blondinet. MP si intéressé.)
Landyves
    [Quelques jours plus tard]

A peine le temps de faire connaissance, que déjà les mauvaises nouvelles lui parvenaient.
Quelques heures auparavant, le blondinet avait reçu une missive du prévôt lui indiquant que suite à de récents et tragiques évènements qui avaient sérieusement secoués le comté il se devait de quitter le territoire. Chose qu’il avait apprécié, c’était le ton parfaitement calme et diplomate que l’on ressentait dans l’écriture de cette missive. Lui-même avait répondu, en se risquant à poser l’unique question qui pour lui était primordiale: savoir si en tant que Lieutenant de la Garde Episcopale il pouvait rester quelques jours de plus. Malheureusement, que la réponse soit favorable ou non il n’était pas certain que dame Oisèle soit sortie du couvent pour la prévenir à temps.

La gibecière prête, le lit machinalement refait, une main caressant lascivement le lin de la couverture, et le regard mélancolique, il n’avait que deux jours pour partir, et le temps qu’il rejoigne la frontière, il lui fallait déjà dire au revoir à la quiétude du Poitin Still, de Muret, et du comté d’Armagnac.
Il aurait bien voulu prendre un dernier verre et trinquer à la santé de Caline et Enored, mais il n’avait plus le temps … vraiment plus le temps.

Le comptoir se dessinait devant lui.
Mélancolique, et soupirant profondément, il retrouva donc la blonde et lui tendit une bonne poignée d’écus. Il devait y en avoir assez pour payer la chambre ainsi que les repas et les extras, mais aussi pour le pourboire.


Boundjour dame Caline !
Je vous remercie très sincèrement pour votre accueil mais je me dois déjà de vous quitter. Je devais rester quelques semaines parmi vous mais il semble que cela ne soit pas possible aux vues de ce qui se passe actuellement. J’ai tout de même été ravi de ce séjour ! Je vous souhaite une excellente continuation.


Un dernier sourire, un signe de tête en guise de salut, et le jeune homme tourna les talons pour reprendre la route. Avant il irait récupérer Faustynn, surnom de la mule qui lui avait été offerte par une amie du même nom, et l’Armagnac l’oublierait très vite. Dommage tout de même …
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(Recherche joueur pour Samuel, le fils de mon blondinet. MP si intéressé.)
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