Einigriv
Elle écouta le texte, puis réfléchit quelques instants, il y aurait bien quelqu’un d’autre qu’elle pour prendre la parole, elle qui ne savait pas se taire…
Mais ce jour-là, un silence poignant frappa l’église, elle n’entendait que les grognements de la vieille bique juste derrière elle d’où s’échappait de petit nom d’oiseau, parfois lui étant destinés parfois visant tout simplement la diaconesse.
Alors pour briser ce silence à vous glacer les sangs, elle finit par prendre la parole, elle qui parlait trop.
Hum… Hum…
Elle se retourne et chuchote à la vieille :
Pourriez vous vous taire pendant que nous parlons, ce serait fort courtois de votre part.
Regard à Passi avec un léger sourire de défi sur les lèvres.
Et bien, que nous inspire ce texte… enfin du moins à moi.
Je dois dire que je reste assez hum… admirative du sang froid dont Gabriel fait preuve, parce qu’en imaginant que su été mon père – non pas ton père Eini mauvais exemple – hum je vais plutôt prendre un exemple vague, un ami proche, et bien je ne pense pas que j’aurais eu la présence d’esprit de lui clouer le bec à Léviathan comme Gabriel l’a fait.
Malgré mon manque évident de force, à coup sur je me serais ruée sur lui pour lui tordre le coup…
Enfin bref, après ce dont nous avons parlé toutes les deux, je dois te dire que ceci m’inspire une notion tout à fait relative aux hommes : le courage.
Car Gabriel a fait preuve du plus grand courage qui puisse être en ne s’avilissant pas à ces instincts les plus primaires… Enfin moi c’est ainsi que je le conçois.
Puis se retournant vers la vieille bique, dans un esprit de pure provocation elle lui chuchota :
Certain devrait en prendre de la graine…
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Mais ce jour-là, un silence poignant frappa l’église, elle n’entendait que les grognements de la vieille bique juste derrière elle d’où s’échappait de petit nom d’oiseau, parfois lui étant destinés parfois visant tout simplement la diaconesse.
Alors pour briser ce silence à vous glacer les sangs, elle finit par prendre la parole, elle qui parlait trop.
Hum… Hum…
Elle se retourne et chuchote à la vieille :
Pourriez vous vous taire pendant que nous parlons, ce serait fort courtois de votre part.
Regard à Passi avec un léger sourire de défi sur les lèvres.
Et bien, que nous inspire ce texte… enfin du moins à moi.
Je dois dire que je reste assez hum… admirative du sang froid dont Gabriel fait preuve, parce qu’en imaginant que su été mon père – non pas ton père Eini mauvais exemple – hum je vais plutôt prendre un exemple vague, un ami proche, et bien je ne pense pas que j’aurais eu la présence d’esprit de lui clouer le bec à Léviathan comme Gabriel l’a fait.
Malgré mon manque évident de force, à coup sur je me serais ruée sur lui pour lui tordre le coup…
Enfin bref, après ce dont nous avons parlé toutes les deux, je dois te dire que ceci m’inspire une notion tout à fait relative aux hommes : le courage.
Car Gabriel a fait preuve du plus grand courage qui puisse être en ne s’avilissant pas à ces instincts les plus primaires… Enfin moi c’est ainsi que je le conçois.
Puis se retournant vers la vieille bique, dans un esprit de pure provocation elle lui chuchota :
Certain devrait en prendre de la graine…
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La question ne se posait plus en fait ...
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qui tomba lamentablement marcus fit de gros yeux à la petite qui sourit d'un sourire d'ange comme si de rien n'était et continua a prier
Procureur de Bretagne - Adjoint au Maire de Reoz - Ex Mairesse de Reoz
a société des hommes et des femmes était belle et raffinée.
insi, ils apprirent à produire du vin à partir du raisin, après de longues années passées à tenter de saisir les subtilités de l’affinement d’une telle boisson. Ils découvrirent également comment brasser la bière à partir de l’orge et du houblon. Pour cela, ils inventèrent des fours à la taille impressionnante. Ils durent apprendre à travailler de concert afin d’arriver à de tels résultats. Mais aucun ne doutait que le jeu en valait la chandelle.
e plus, les arts et les sciences furent alors conçues pour les élever encore plus vers Dieu. Ils apprirent à composer de la musique, les chants devenant de plus en plus beaux et les instruments qui les accompagnaient de mieux en mieux conçus. Ils découvrirent les plantes qui soignaient les plaies et les maladies, afin que leur santé serve à glorifier le Très Haut plus longtemps. Ils inventèrent l’écriture, qui leur permit de conserver tout leur savoir pour les générations à venir.
ais toutes les inventions que les humains avaient créées rendaient leur labeur moins dur. Ils avaient de moins en moins de travail à faire et de plus en plus de fruits à récolter. Là où auparavant, il leur fallait un mois pour récolter du blé, il ne leur en fallait plus désormais que le tiers. Alors qu’ils ne pêchaient auparavant qu’un poisson tous les deux jours, ils en avaient dorénavant un par jour, parfois deux. Là où ils leur fallait jadis travailler chaque jour pour cultiver des légumes, il ne leur restait plus désormais qu’à récolter.
t la principale des sciences n’existait pas encore. La théologie était inconnue de ces humains. N’ayant pas de clercs, il n’y avait encore personne pour se consacrer entièrement à Dieu. N’ayant pas de texte sacré, il n’y avait rien à étudier. La foi humaine était brute, en cela qu’elle n’avait pas encore d’intermédiaire. Mais cette apparente pureté de leur amour pour Dieu était justement ce qui allait les conduire à leur perte.
