--Les_enfants_de_choeur
L'église était calme et sereine. Un lieu parfait pour se recueillir. Les enfants Choeur, adorables comme toujours y pénétrèrent avec leur petits visages d'ange. Vu de lextérieur n'importe qui aurait louer le seigneur de voir ces petits se rendrent à l'église de bon cur.
Jean entra en premier, tous doucement, avec sa bande derrière lui. Il appela :
seul l'echo de sa voix lui répondit, et les autres ricanaient derrière..
Théodore en se retournant :
p'tit Louis eu un frisson...
p'tit Louis retourna à son poste à l'entrée.
La bande était arrivé à l'entré de la sacristie.
Le fils du forgerons, Alphonse, sort de sa poche un cloue piqué à son père et commence à forcer la serrure. Au bout de quelques minutes de stress intense, la porte s'ouvre et les Gars pénètrent dans la sacristie.
Et il s'empare d'une bouteille de vin de messe qu'il soulève au dessus de sa tête comme d'un trophée; Jean la récupère en vitesse...
La bande sort de la sacristie en courant, traverse l'église comme des furies pour en sortir au plus vite, suivit par p'tit Louis à la traine...
Jean entra en premier, tous doucement, avec sa bande derrière lui. Il appela :
- Y'a quelqu'un ?... Mère Roselalie ?... Vous êtes là ?...
seul l'echo de sa voix lui répondit, et les autres ricanaient derrière..
- c'est bon les gars !... la voie est libre allons y...
Théodore en se retournant :
-
ha non pas toi p'tit louis... toi tu monte la garde !
p'tit Louis : pffff... c'est pas juste pourquoi c'est toujours moi ?...... Et les gars ?... vous m'en laissez ?
la Bande : Shuuuut !!!
Jean : J'te préviens p'tit louis, si tu fait tous foirer, on t'enferme dans la mine du vieux cinqsol !
p'tit Louis eu un frisson...
- Ha non, pas le vieux fou... j'suis sur qu'c'est un mort vivant !....
p'tit Louis retourna à son poste à l'entrée.
La bande était arrivé à l'entré de la sacristie.
- Jean : Allez Alphonse ! à toi de jouer... et nous déçoit pas si tu veux pas finir avec la tête au Marron !
Alphonse : Si mon père l'apprend, il va me tuer...
Jean : dépêches on t'dit !!!
Le fils du forgerons, Alphonse, sort de sa poche un cloue piqué à son père et commence à forcer la serrure. Au bout de quelques minutes de stress intense, la porte s'ouvre et les Gars pénètrent dans la sacristie.
-
Théodore : Là !.. Elle est là les gars !
Et il s'empare d'une bouteille de vin de messe qu'il soulève au dessus de sa tête comme d'un trophée; Jean la récupère en vitesse...
- Jean : Allez on se casse !
La bande sort de la sacristie en courant, traverse l'église comme des furies pour en sortir au plus vite, suivit par p'tit Louis à la traine...
- P'tit Louis : Hééé attendez moi !






Procureur de Bretagne - Adjoint au Maire de Reoz - Ex Mairesse de Reoz









































































a société des hommes et des femmes était belle et raffinée.
insi, ils apprirent à produire du vin à partir du raisin, après de longues années passées à tenter de saisir les subtilités de laffinement dune telle boisson. Ils découvrirent également comment brasser la bière à partir de lorge et du houblon. Pour cela, ils inventèrent des fours à la taille impressionnante. Ils durent apprendre à travailler de concert afin darriver à de tels résultats. Mais aucun ne doutait que le jeu en valait la chandelle.
e plus, les arts et les sciences furent alors conçues pour les élever encore plus vers Dieu. Ils apprirent à composer de la musique, les chants devenant de plus en plus beaux et les instruments qui les accompagnaient de mieux en mieux conçus. Ils découvrirent les plantes qui soignaient les plaies et les maladies, afin que leur santé serve à glorifier le Très Haut plus longtemps. Ils inventèrent lécriture, qui leur permit de conserver tout leur savoir pour les générations à venir.
ais toutes les inventions que les humains avaient créées rendaient leur labeur moins dur. Ils avaient de moins en moins de travail à faire et de plus en plus de fruits à récolter. Là où auparavant, il leur fallait un mois pour récolter du blé, il ne leur en fallait plus désormais que le tiers. Alors quils ne pêchaient auparavant quun poisson tous les deux jours, ils en avaient dorénavant un par jour, parfois deux. Là où ils leur fallait jadis travailler chaque jour pour cultiver des légumes, il ne leur restait plus désormais quà récolter.
t la principale des sciences nexistait pas encore. La théologie était inconnue de ces humains. Nayant pas de clercs, il ny avait encore personne pour se consacrer entièrement à Dieu. Nayant pas de texte sacré, il ny avait rien à étudier. La foi humaine était brute, en cela quelle navait pas encore dintermédiaire. Mais cette apparente pureté de leur amour pour Dieu était justement ce qui allait les conduire à leur perte.




































