Kileron
Kilérön, trouvant une vieille grange accueillante, s'y reposa quelques instant, des vers venant malgré lui. Tandis qu'il les laissait venir à lui, il les écrivit, mettant un peu de temps à les retrouver, bouillonnant en lui.
Puis, pas trop mécontent de lui, les laisse icelieu, dédiant cette grange délabrée aux âmes quelques poétiques abandonnées.
Puis, pas trop mécontent de lui, les laisse icelieu, dédiant cette grange délabrée aux âmes quelques poétiques abandonnées.
Kilérön dAmüor a écrit:
- Bleu,
Un lumineux matin, je plonge en toi ma douce mer,
Quun amour si fort, puissant nous unissait naguère,
Tu mas tant manqué, tout me revient si vite, si fort,
Comme si rien ne sétait passé, Je taime mi amor.
Un océan de fraîcheur coule doucement sur ma peau,
Je frissonne de plaisir, jaurais dû te revenir plus tôt.
Sensuelles et douces caresses quencore tu me fais,
Non ma belle, non, de toi je ne peux plus me passer.
Jaurais attendu, frémissant toujours seul, si longtemps,
Quenfin nous retrouvant, nous passions ce doux moment.
Tai je manqué ? Le doute en moi sinstalle si profond,
Que notre amour si exceptionnel ne soit plus à lunisson.
Mais très vite, revient ce contact si intime entre nous,
Et tout ce pourquoi, font quà jamais tu me rendras fou.
Fou de toi, fou de nous, laisse mon amour sexprimer,
Laisse mon corps contre ton être, laisse le te pénétrer.
Et pourtant jamais, jamais je ne pourrais être tiens,
Amour impossible, mais je ne peux me suffire de rien.
Un simple visiteur, à jamais pour te voir je devrais être.
Tant de désire entre nous, aucun ne pourra se soumettre.
Pourtant, jaurais tant essayé, je ne cesse de tattraper,
Mais à chaque fois, si fluide de mes doigts tu tenfuis,
Vient alors le désespoir de ne te revoir au grand jamais,
Tu le sais et en joue, plus forte de revenir se fera lenvie.
Douce et chaude mer, comme je te hais, oui je te hais.
Je te hais, pour ce qui fait que je taime et taimerais
Tant de haine et damour se côtoient ensemble si près,
Mais attention au mélange, dangereux être il pourrait.
Détruire, encore et toujours, nous ne faisons que ça,
Doucement tu effrites la roche qui résiste vainement,
Mais mon cur jamais, jamais blesser tu ne pourras,
Car jamais ouvert il ne te sera plus quinfimement.
Car bien trop grande a toujours été la peur que jai de toi.
Que tu me vaincs, ma mienne, toi la si grande, la si belle,
Mais jamais je te promets de rester à tes côtés, juste coi
Je préfèrerais déposer un baiser, sur ton corps immatériel.
- Océan