[RP]Pension de famille de Belsa côté hopital improvisé ...

May.lee

Les combats avaient été rude cette nuit ... Tandis que Maruku était monté en haut des murailles pour faire rapatrier les blessés, la brunette s'active a preparer leur arrivée ... petit à petit on les lui amenait ... certain étaient blessés légerement , d'autre beaucoup plus gravement ... A chaque fois la peur de reconnaitre un visage connu la tenaillait, il faillait agir par priorité ...

Elle priait les kamis que Maruku revienne vite ....

Mamysaké ... occupe toi de celui ci ...

Vacances aventures qu'ils disaient à l'agence de voyage ... a pour sur sur ce coup là ... ils avaient été roulé ... comme lui avait dit Maruku ... il nous faudra des vacances pour récuperer des vacances ... la petite brunette a même une idée d'ou ils vont les passer leurs vacances ... logé , nourrit blanchit et des oranges a tous les desserts ...
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Membre du Clan Hotaru,Le Clan des Lucioles

Senshi

Senshi "le fier" Shimazu, descendant de sa ligne de vainqueur, a longtemps proclamé avoir eu une idole et une seule. Ce guerrier qui, blessé, revint tout droit du champ de bataille annoncer à son Seigneur qu'il avait remporté cette bataille. Puis il s'était écroulé, calanché sur l'instant. Sa ténacité l'avait fait repousser la mort jusqu'à ce qu'il puisse porter son annonce à celui envers qui était vouée son allégeance.

Senshi ne se voyait pas en cet homme en cet instant. Ses pensées étaient bien trop troublées pour qu'il puisse se remémorer cette vieille contine dont il a été un témoin actif. Actuellement, ses faibles pas le traînaient jusqu'à un refuge, après une rude bataille où il s'était tour à tour fait serpent, lion et dragon, précis, féroce, et destructeur.
Mais nul n'est indéfectible, et Senshi en a fait les frais. Histoire d'arranger le tableau, disons qu'après avoir perpétré un massacre chez ses ennemis, ils s'étaient mis à plusieurs sur lui. Oui, on va dire ça. Ca fait héroïque.

Lutte acharnée de plusieurs secondes, infiniment trop longues pour un être humain, et il s'était prit un violent coup de bâton dans le nez. Vacillant un instant, il fut prit dans l'engrenage des défaites. Il para un coup, de justesse. Il tenta d'en bloquer un autre, mais celui-ci lui trancha la cuisse, rouvrant sa blessure encore fraîche de quelques mois, et traçant avec cette dernière une ample croix dans ses chairs. Enfin, un estoc de bâton au buste le fit s'écrouler au sol.
Le coup fatal eut put être porté si Senshi avait été un PNJ, mais non, pas du tout. La lame impitoyable, qui lui fit précédemment l'affront d'entamer sa jambe, se planta dans son buste. Sans doute mal assurée, et ralentit par sa protection de métal, celle-ci ne fit que pénètrer le côté de son ventre, à la limite du poumon, et de tout autre organe vital.

Revenons au pèlerin, qui marche, s'appuyant sur le fourreau de sa lame, vidée de toute arme. Le domaine de Belsa. Ainsi donc il avait choisi cet endroit pour se recueillir dans ses toutes dernières peines. Une nippone l'ayant enfin aperçue, soucieuse de son sort, s'était approchée de lui pour lui porter aide et secours. À bout de force, Senshi lâcha sa canne improvisée, et désigna d'un geste du menton l'entrée du domaine, à seulement quelques mètres de là.

Allez chercher May-lee-san et Maruku-sama.. Et dites leur que je vais bien.

Il tombait ensuite, raide, sur le chemin, n'ayant apparemment pas fini de répandre son sang, puisqu'il tapissait de nouveau un sol avec. Ebahie face au quasi-cadavre à ses pieds, c'est une nippone horrifiée qui se mit à courir dans la demeure, demandant à qui voudra l'écouter où pouvait se trouver "May-Lee-San et Maruku-Sama".
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Shimazu Senshi, fils et vassal de Shimazu Kenshin, Bushi loin de ses racines.

"J'ai pas l'air gentil comme ça.. C'est pour une bonne raison."

Maruku

Après un rapide tour sur le lieu des drames, Maruku est revenu vers la pension, là où May.lee s'est chargée des derniers préparatifs. Les blessés se multiplient, il ne sait d'ailleurs plus vraiment où ils se trouvent tous, il réalise juste qu'il va devoir agir pour en sauver le plus possible, et que ce n'est pas le moment de flancher.

Lui n'a tué personne, il n'a pas participé aux combats, mais ses mains sont déjà couvertes de sang.
Avec application, le toubib' pas loin d'être dépassé par les évènements les frotte et les nettoie.

les obsidiennes disparaissent un instant derrière des paupières devenues bien lourdes, et la respiration se fait plus apaisée.
Dernier moment de calme avant de plonger au coeur de l'action, dans une autre frénésie emplie de cris et de sang, où le but n'est plus de prendre la vie par n'importe quel moyen, mais bien de la préserver.

Une dernière profonde inspiration, le regard déterminé revoit le jour, et Maruku Katanabe rejoint les premiers blessés pour entamer une longue et éprouvante journée...
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~ . ~ Luciole ~ . ~

Panyia

[Sur les remparts]

La jeune femme fermait les yeux. Elle préférait cette impression de flotter, de s'évader sereine plutôt que de subir l'insoutenable douleur qui la traversait quand elle se tenait éveillée.
Elle troquait bien volontiers les dalles froides aux odeurs de sang et de chairs contre cette atmosphère duveteuse qui l'entourait doucement.

Le cocon se déchira lorsqu'elle entendit la voix connue. Un cri de douleur s'éleva de ses lèvres lorsque les brancardiers la soulevèrent.
Pourquoi lui faisaient-ils mal encore ? N'avait-elle pas été assez punie ? Pourquoi avait-elle l'impression que tout son corps avait été brisé, tailladé..
Qu'on la laisse rejoindre ce monde de douceur qui l'attendait à quelques souffles de là.

Puis elle replongea dans cette demi-inconscience, le déni valant mieux que de comprendre ce qu'il lui était arrivé.

[Arrivée à la pension]

Panyia fut amenée et déposée dans le coin d'urgence aménagé à la pension, aux cotés d'autres blessés. Elle ne s'était pas réveillée, s'accrochant à ses paysages irréels de peur que la douleur ne la fasse mourir sur le champ. On s'agitait autour d'elle, ça gémissait, elle entendait des voix amies et des voix inconnues. Qui étaient ces voix ? Aucune idée, pour l'instant elle flottait.

Des flashs du combat venaient cependant brouiller sa sérénité, chaque vision plus cruelle l'une que l'autre. Et à chacune d'elle, le corps de l'ingénue était parcouru d'un soubresaut qui la ramenait violemment à la réalité.

Elle sentit qu'on enlevait la toile qui lui servait de vêtement. Elle voulu crier "Non ! Pas ici, mon corps ne doit pas être vu" mais un simple gémissement remplaça sa protestation. Qu'était son corps à présent de toute manière ? Son esprit ne préféra pas y songer, refoulant l'idée qu'elle ne serait plus jamais comme avant...
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May.lee

Une mèche de cheveux brun est repoussée du dos de la main , May.lee s’occupe des blessures qui sont à sa portée … nettoyer les plaies elle sait faire … coudre quand il s’agit d’un membre aussi … faire un bandage … rassurer d’un sourire , même quand l’état du patient est alarmant …

Elle termine un bandage , perdue dans ses pensées … cette nuit pour la première fois depuis longtemps elle avait fait un cauchemar … Elle n’en avait plus fait , depuis que Maruku la rencontrant au beau milieu de la nuit en gargote, lui avait proposé de dormir dans son futon … dans ses bras … en tout bien tout honneur, ils n’étaient alors que des amis … même si ses pensées envers lui étaient loin de n’être qu’amical … quoi qu’il en soit, elle n’était plus jamais retournée dans son futon et avait élu domicile dans la chambre de son « ami » … Elle aimait déjà jouer avec le feu …

En repensant au cauchemar de cette nuit, un long frisson lui parcours l’échine … Elle y avait vu la jeune Panyia entrer en gargote, les jolies couleurs qui ornaient habituellement ses joues avait disparut au profit d’une pâleur extrême … et elle s’était écroulée dans ses bras … murmurant d’une voix presque inaudible qu’elle n’avait pas réussit à les repousser tous … lui demandant si elle était déshonorée … Elle l’avait réconfortée lui assurant que non qu’elle s’était battue de toutes ses forces …

Elle sursaute quand Mamysaké fait irruption à ses côtés la tirant de ses pensées …

May.lee Chan … un autre blessé est arrivé … il parait qu’il vous a demandé toi et Maruku …. Il a dit « dites leur que je vais bien » … mais a vrai dire il est salement amoché et il va pas bien du tout ...

La brunette attache le bandage du villageois dont elle s’occupe, lui adresse un sourire … et rejoint la vielle femme …

Je te suis Mamysaké , sais tu si Maruku est revenu ?

Oui , il est là … il me semble l’avoir vu se diriger du côté des femmes …Comme par hasard …

Froncement de sourcil de la brunette …

Mamysaké … j’ai entendu … crois tu que ce soit le moment ?

Les deux femmes marchent d’un pas rapide … la petite Luciole est loin de se douter que la bas du côté des femmes , est allongée la jeune Panyia … elle est loin de se douter que la vielle femme l’emmène au chevet d’un ami très cher …

Elle entre dans la chambre, ou un seul futon est occupé pour l’instant … elle s’approche et sent son cœur se serrer en découvrant le visage blême de Senshi …

Oh non Senshi … pas vous …

Il semble avoir perdu connaissance … d’un rapide coup d’œil , elle évalue ses blessures une à la jambe dont elle pourra sans doute s’occuper … une autre au flanc, elle ignore si des organes ont été touché … c’est en dehors de ses compétences …

Mamysaké … aide moi a le débarrasser de ses vêtements , il va falloir compresser sa blessure au flanc en attendant que Maruku puisse y jeter un œil … je vais m’occuper de sa jambe …

Accrochez vous Senshi …

Elle ignore s’il l’entend, prépare une des potions de Maruku destinée à lui faire supporter la douleur s’il se réveille alors qu’elle est en plein travaux de couture …

Mamysaké … va voir Maruku … demande lui de passer ici dés qu’il le peut …
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Membre du Clan Hotaru,Le Clan des Lucioles

Guyhom

[Après la bataille]

En revenant des murs de Nakatsu,
Guyhom alla voir Maruku.
Dans son esprit, il pensait,
aider le médecin et les blessés,
à amputer des membres et achever des blessés,
tout cela, il le pouvait.

Ainsi franchit il la porte de la pension,
une infirmerie, un hôpital, s'organisait,
des blessés, graves ou douillets,
se rassemblaient autour d'un saké,
plaintes et cris, douleur et tristesse,
car c'est certain, ils avaient tous pris des gnions,
pour cela, il retroussa ses manches,
à l'ardeur renouvelée sans cesse,
se rajoutait la maladresse égale au manche,
mais après tout, que faire à part tuer, sinon aider.

Hey, maruku, si tu as besoin d'aide pour achever les bless...euh pour les amputations et autres choses ragoûtante, tu me dis hein? Et j'ai du saké pour ça...

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Shushie

Shushi avec l'aide de Maritito regagna son futon, épuisée par cette petite marche et d'avoir discuté avec son ami. Elle lui dit au revoir, et il partit aussi discrètement qu'il était arrivé.

Elle prit la potion laissée par May.lee, pour qu'elle ne souffre moins et vit qu'il y avait d'autres personnes qui avaient été emmenés dans la même salle qu'elle. Elle espéra que tous ses vaillants défenseurs et guerriers allaient s'en sortir comme elle.

La potion commençait à faire effet, elle s'endormit rapidement en fesant des cauchemars de batailles, et en gesticulant beaucoup aussi...
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Ex-Générale d'Uchi.

Maruku

C'est pas le boulot qui manque. Et encore, heureusement que depuis le début Akeo prend en charge une bonne partie des blessés de ce conflit.

Alerté par une vieille qui le regarde vraiment de travers depuis quelques jours, Maruku se retrouve penché sur le cas de Senshi, aux côtés d'une brunette déjà affairée sur la cuisse du combattant.

Fais lui une belle cicatrice de guerrier mon amour, qu'il pourra ensuite arborer avec fierté lorsqu'il racontera à sa descendance ses histoires de bataille.

Allez, on éponge, on nettoie, on coud, on soulage au mieux, on prie pour que les kamis soient bienveillants, et on passe au suivant. Les assauts vont se multiplier, faut faire de la place et se préparer à accueillir le prochain arrivage.

Enfin il dit ça, mais le brun exténué se surprend souvent à repasser sans cesse vérifier l'état de la douce Panyia depuis qu'elle a été ramenée ici. Pour changer ses pansements, la faire boire, s'assurer qu'elle n'a pas de fièvre, vérifier la finesse de ses plaies, qu'il a refermé avec la plus grande minutie. Mais après tout, c'est un peu normal, elle est prioritaire, l'ingénue rougissante a droit au forfait "jolie jeune femme". D'autant plus que son maître tient à la réparer au mieux, sachant que jamais il n'aura la chance de retomber sur une personne prête à l'écouter sans discuter.

Après s'être chargé du bushi au flanc déchiré, faisant tout son possible pour lui, Maruku quitte la salle d'opération sommaire pour tomber sur un Guyhom qui revient du carnage.

Pour le saké, avec plaisir. Faut reconstituer les réserves de remontant et de désinfectant artisanal. Il y a trop de blessures, je ne peux pas mettre un cataplasme sur chacune d'elles, il va falloir parer au plus pressé, même si ça doit piquer un peu...
Garde tes meilleures bouteilles pour trinquer cela dit.

Hum sinon, concernant les amputations... tu devrais peut-être plutôt voir avec la bouchère qui m'assiste.
D'un geste de la main, il désigne la pièce d'à côté, où se trouve May.lee.
Elle est plus a l'aise que moi quand il s'agit de trancher ou de désosser.

Partage des tâches peu commun.
La brunette ayant effectivement plus l'habitude de découper de la barbaque, alors que son compagnon se révèle incomparablement doué pour recoudre et garantir à ses patients que leurs malheurs actuels ne laisseront pas d'empreintes trop hideuses. C'est presque un chirurgien esthétique à ce niveau là. D'ici quelques semaines, ou quelques mois, la plupart des personnes recousues par Maruku "doigts de fée" Katanabe n'arboreront que de fines traces là où leur corps a été meurtri, tant il s'applique à réparer les dégâts. Surtout sur la population féminine, que le garçon veut à tout prix éviter d'enlaidir. Ce serait vraiment trop dommage...
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~ . ~ Luciole ~ . ~

May.lee

Non non Guyhom, cette jambe peut être sauvée voyons ... allez plutôt nous chercher du saké, un pti remontant nous fera du bien ...

[Un peu de répit avant les prochains arrivages …]

A la tombée de la nuit la plupart des soins ont été donnés, l’agitation à fait place au silence brisé de temps à autre par une plainte ici ou là … l’infirmière « brunette » fait une dernière tournée, Mamysaké prendra la relève ensuite …

Tout au long de la journée, elle est venue autant de fois qu’elle le pouvait au chevet de la jeune Panyia, elle espérait qu’elle se réveille, un signe qui leur donnerait de l’espoir … Elle espérait la même chose pour Senshi , lui non plus n’avait pas encore repris connaissance …

Elle entre dans la chambre , Maruku est là … Elle lui sourit, l’interroge du regard sans dire un mot … comprend qu’elle ne s’est pas réveillée encore … S’approche du futon s’agenouille et prend la main de la jeune fille … Elle est si pâle …

N’oubliez pas Panyia que j’ai promis de vous montrer les étoiles … je tiens toujours mes promesses, et je pense que vous aussi ….

La brunette se relève et vient enlacer le beau brun, on peut constater que la journée à été très agitée à sa tignasse plus hirsute que jamais …

Docteur … je pense qu’un peu de repos est de mise … j’ai terminé mon service et il me reste suffisamment d’énergie pour vous détendre d’un bon massage …

Un léger baiser vient celer la proposition … l’espace d’un instant elle pense aux joues de la jolie Panyia qui se seraient tintée à la vue de ce simple attouchement … elle resserre un peu l’étreinte de ses bras autour de la taille de son bien aimé … demain apporterait sans doute son lot de blessés … un peu de douceur dans ce monde de brutes … voilà ce dont ils ont besoin ...
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Membre du Clan Hotaru,Le Clan des Lucioles

Night_hooks

Tentant de garder le controle de ses émotions, Hooks ouvrit la porte a la volée, tenant Yoshe dans ses bras. Il l'avait pansé comme il l'avait pu, mais il n'avait pas l'expertise d'un médecin. Il entra et apercu May lee-san vers laquelle il se dirigea, tachant de ne pas aggraver les blessures de sa protégée.

May lee, je vous apporte Yoshe sama, elle souffre d'une blessure au flanc et une autre dans la cuisse. Elle respire faiblement mais elle vit. Où puis je l'installer?
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Connais l'adversaire et surtout connais toi toi-même et tu seras invincible. Sun Tzu " L'art de la guerre "

Yoshe

Yoshe se sentait fatiguée, elle se laissait panser, couvrir, puis transporter. Elle ne savait pas ou elle serait à son réveil, mais la douleur était trop intense pour ouvrir les yeux maintenant.

Elle pense à de belle chose, de bon moment vécu loin de ces moments de douleurs. Le sang qui recouvre sa peau blanche, les traits tirés, l'envie de revenir et de voir son ange pour gouter ses douces lèvres et se sentir au chaud dans ses bras.

Elle aurait voulut que le temps passe vite pour revivre à nouveau plein de bonheur.

Elle ne pouvait plus choisir son avenir, celui ci était entre les mains des soigneurs aujourd'hui ...
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Guyhom

[ souvenirs, souvenirs]

Guyhom chantonnait tout en reprenant les mêmes gestes que son métier de boucher...facile...en plus, c'était presque pareil, à la différence près, est que les carcasses qu'ils débitaient n'étaient pas destinées à la consommation.

des ptis bouts, des ptis bouts, toujours des ptis bouts!

des bouts de petites jambes....des bouts de petites mains...des ptis bouts, des ptis bouts, toujours des ptis bouts!

Guyhom versa le saké infect des soldats d'otomo qu'il avait chourré sur les cadavres...le boire équivaut à boire de la pisse, mais au moins il avait l'avantage de désinfecter les plaies...pis comme ça il gardait le sien pour souler les patients et pour se désaltérer.

- Guyhom?
- oui? quoi?
- un autre blessé des combats...il dit qu'il a mal en bas du dos...
- ah...montrez le moi...

May l'entraina vers un blessé...qui gueulait comme un porc qu'on égorge...

- AAAAAAHHHH j'ai mal....je souffre...
- il faudrait déjà qu'il se calme...
- oui mais comment...?
- bouhhhh je veux pas mourir....
- ben faudrait qu'il arrête de bouger et de crier...
- vous avez une idée...?
- oui...

PAF! un bon coup sur la tête et le silence, tout relatif, se fit...

- mais tu es fou!
- il a plus mal là. maintenant je vais enlever la flèche de...héhé...de ses fesses. la blessure à 10000 kobens ça...
- vous avez des compétences pour ça?
- non. Mais voilà on fait...comme ça!
- AAAAAAAIIIIEEEEE!
- voilà...l'est presque soigné!
- oui mais il pisse le sang...
- pas grave...
- il va mourir!
- non. attends...

Guyhom prit une lame qui chauffait dans un brasero,et l'appliqua sur la blessure!

- AAAAAAARRRRRGGG....enf...de fils de...puta...de...mer....
- l'est guérit
- oui peut être...il a l'air de vous en vouloir
- jamais content...n'a qu'à verser du saké dessus!
- ça risque d'être pire...
- bof...ça va juste piquer

Guyhom versa le saké sur la plaie cautérisée, faisant de fait redoubler les cris du blessé...ce qui incita le "médecin" a lui redonner un coup sur la tête!

- voilà, dodo maintenant. au suivant!
- euh...si vous alliez vous reposer?
- suis pas fatigué...
- sisi allez...revenez plus tard...
- grumpfff...tous des hommelettes!

Guyhom sortit prendre l'air...direction, la gargote.

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Shushie

Shushie se lève quand elle voit Night Hooks qui amène Yoshe dans ses bras et la pose sur un futon. Elle souffre toujours mais tiens absolument à aller voir l'état de son amie de toujours.

Konnichi wa Hooks. je suis Shushie, l'amie de Yoshe. Oh ! ma Yoyo, non pas toi, pas toi ma belle, je veux pas que tu meurres. Yoyo ne t'endors pas surtout, restes avec nous.

Ne vous inquiétez pas Hooks, je suis là pour 4 jours encore, je vais veiller sur elle quand vous combattrez. Mais vous êtes blessé vous aussi ?

Shushie appela May.lee pour qu'elle vienne voir Yoshe et Hooks.
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Ex-Générale d'Uchi.

Maruku

Et voilà, encore une tenue salopée!
Décidément Maruku ne peut pas travailler proprement dans ces conditions, entre les éclaboussures de sangs ou de liquides corporels difficilement identifiables et les éventrés qui se répandent un peu partout en faisant gaffe à rien.

Va finir en fundoshi si ça continue le médecin en herbe, et même s'il est tout ce qu'il y a de plus serviable comme garçon, il en a parfois raz l'chapeau de paille de jouer les raccommodeurs en série.

Faut se concentrer sur les cas graves, lorsque le pronostique vital est engagé. Aussi, quand une nouvelle jeune femme est amenée en triste état, et que son porteur s'adresse à la brunette en ne sachant plus où l'installer, le toubib' en chef se dit qu'il est temps de désengorger un peu les lieux.
Il s'éclaircit donc la voix et s'adresse à la foule d'éclopés qui commence à encombrer les accès et les couloirs, la plupart n'ayant pas grand chose et venant sans doute dans l'espoir de déguster un saké de qualité.

Votre attention s'il vous plait. A tous les blessés légers, ne vous inquiétez pas, Guyhom va revenir s'occuper de vous.

Le nom est lâché, et provoque cris de stupeurs, visages consternés, et regards affolés, tandis que tous ceux qui tiennent encore debout dégagent sans demander leur reste. Certains qui manifestement étaient bel et bien touchés, les pauvres, se mettent même à ramper le plus vite possible pour s'échapper.
Hem... peut-être un peu trop efficace comme procédé...

Enfin maintenant il y a suffisamment de place pour travailler dans de bonnes conditions et se consacrer aux jeunes femmes à sauver.

L'apprenti docteur rejoint alors Night, et sa sublime infirmière pour les aider à conduire la nouvelle patiente dans la chambre la plus proche.

Ca va aller, on va bien s'occuper d'elle. Et Guyhom ne s'en approchera pas...

Cuisse et flanc, c'est à la mode. Un cas déjà rencontré, ils ont pu se faire la main sur Senshi.
Et puis... elle n'a pas l'air trop moche en plus, Maruku ne peut pas la laisser mourir...
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~ . ~ Luciole ~ . ~

May.lee

La petite brunette a nettoyé les plaies .. le medecin hirsute peut se pencher dessus ... Elle s'approche de Night, l'homme à la taille si impressionnante qu'il doit baisser la tête pour passer la porte des gargotes ...

Ne vous inquietez pas ... elle est entre de bonne mains ... vous savez que les coutures de Maruku font fureur ! tous le monde se les arrache ... c'est la grande mode !

Essayer de dedramatiser un peu ... A quoi bon prendre un air grave... Cet homme avait besoin d'y croire , s'il flanche comment insuflerait il l'envie de se battre à la jeune femme, sa compagne semble t-il ...

La petite Luciole lui sourit ...

Soyez confiant ... voyez , si j'étais à sa place je me battrais pour revenir ... je laisserais pas mon beau brun à la merci d'autres jolies filles ... les femmes sont tenace vous savez ...
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Membre du Clan Hotaru,Le Clan des Lucioles

Pension de famille de Belsa côté hopital improvisé ...

May.lee

Senshi

Maruku

Panyia

May.lee

Guyhom

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Shushie

Ex-Générale d'Uchi.

Maruku

May.lee

Night_hooks

Yoshe

Guyhom

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Shushie

Ex-Générale d'Uchi.

Maruku

May.lee

Panyia

L'ingénue poursuit son rêve, elle porte une superbe tenue de soie, digne des plus riches femmes, dans sa main droite, un katana avec lequel ses doigts agiles s'amusent à fendre l'air. Autour d'elle, les paysages défilent, montagnes, lacs, marais, prairies. Une voix vint lui susurrer.

Citation:

N’oubliez pas Panyia que j’ai promis de vous montrer les étoiles … je tiens toujours mes promesses, et je pense que vous aussi ….

Et aussitôt, le ciel s'obscurcit pour offrir à Panyia une constellation d'étoiles à en couper le souffle.

La rougissante semble soudain immortelle, pleine d'assurance, pleine de vie.
Capable d'allumer des incendies chez les hommes d'un seul regard, capable de faire rougir les jeunes prudes d'une seule parole, capable de faire régner le silence d'un seul mouvement.

Quelques piques ressentis sur son corps viennent troubler sa vision avant de s'apaiser. A présent, c'est un froid glacial qui la transperce, puis une chaleur insupportable.
Mais toujours ces murmures autour d'elle, qui raisonnent à travers ondes, forêts et collines. des chuchotis rassurants, des souffles apaisants.
Plus elle leur fait confiance, plus les picotements se font sentir, plus la douleur de ses plaies soignées devient présente.

Les images tremblent, se floutent, elle n'est plus une grande guerrière, elle n'est plus intouchable, elle se réapproprie son corps frissonnant et faible.
Ce corps si habile autrefois, qu'elle ne parvient à faire bouger que par des gestes maladroits à présents.

Ses paupières s'ouvrent, se referment pour habituer ses iris à la lumière puis recommencèrent les mêmes mouvements plusieurs fois avant qu'elle ne puisse distinguer ce qui se trouvait au dessus d'elle.

Elle ne comprend pas. Où est-elle ? Pourquoi est-elle allongée et surtout pourquoi a t-elle l'impression de ne rien maitriser alors que son corps endolori ne lui obéit presque pas ?

Elle perçoit des voix, des ordres, des suppliques, des murmures angoissés et des conseils avisés. Elle reconnait même certaines voix : Maruku et May.Lee bien sûr ainsi que Guyhom.

Doucement, les souvenirs reviennent, image par image. Elle tord légèrement la tête pour observer autour d'elle, replacer son contexte.
La douleur est virulente, mais les autres sont occupés et l'ingénue ne veut plus déranger.
Elle sait qu'on s'est occupé d'elle comme si elle avait été précieuse, elle sait que l'on a veillé sur elle comme si elle comptait. Inutile d'en réclamer d’avantages. Peut-être doit-elle libérer la place ? En a-t-elle le courage ?

Elle tenta de se redresser, ses cicatrices tout juste pansées tirèrent et lui arrachèrent une grimace.
Elle resta ainsi quelques minutes, espérant pouvoir convaincre les personnes qui tenteraient de la recoucher, qu'elle pouvait rentrer chez elle.

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Belsa

Guyhom est ici?

Grosse peur quand un garde lui avait dit avoir aperçu Guyhom à l'infirmerie et que les gens semblaient paniqués!

Non c'est pas possible... Guyhom!

Elle le cherche, parmi les blessés, les morts, angoissée, les larmes aux yeux!

Elle aperçoit May_lee et rejoint la jeune femme.

May_lee... me dis pas que Guyhom?

Elle la regarde avec incompréhension et la peur au ventre.

Mais c'est ce moment que choisi Guyhom pour faire une nouvelle démonstration de ses capacités curatives. Belsa observe la scène bouche ouverte. Gens paniqué... Guyhom... médecin et ça fait tilte.

Pendant que son homme est absorbé par les soins elle se rapproche de lui et lui prend la bouteille de saké des mains.

Vient m'aider à distribuer les rations de nourriture tu seras plus utile qu'ici.
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May.lee

Bien .. vous pouvez rentrer .. mais du repos encore quelques jours hein !

La brunette regarde la jeune femme qu'elle vient d'osculter d'un air taquin ....

et heu ... pas d'équitation !

Se retient de rire devant son air interdit ... et soupire deseperé quand la jeune femme lui dit qu'elle ne fait pas de cheval ... Quel manque d'imagination ... a moins que ce soit son pti cerveau qui soit pas aux normes ...

La petite Lucioles sort de ses pensées fantasmagorique en entendant la voix de Belsa juste derrière elle ... Elle devient pâle juste en entendant le nom de Guyhom ... se retourne et prend les mains de Belsa ...

Guyhom ... c'est a dire que .. comment te dire ... il faut que tu saches ... Belsa je t'en prie ...Emmène le loin d'ici ...

et la fin de la phrase de mourir dans un murmure, alors que Guyhom apparait à nouveau en chantonnant cette horrible chanson " des ptis bouts... des ptis bouts ...."

Sourire reconnaissant de la brunette à Belsa et soupir de soulagement quand elle le voit quitter les lieux ...

May.lee-chaaaannn ... Marukuuuuuuuuuuuu la petite s'est reveilléééééééééééééééée ....

La voix chevrotante mais neanmoins puissante de Mamysaké retentit dans toute la pension ...

Enfin ....

La brunette , file de chambre en chambre à la recherche du beau brun ... le trouve enfin ...

Maruk...

En train de frictionner le poitrail d'une jolie jeune femme ... elle ravale ses marmonement ... il est medecin après tout c'est normal ... répete encore une fois " Il est medecin après tout c'est normal " voilà ... ça va mieux ? non, je vais le repeter encore une fois " il est medecin après tout c'est normal ..." alors ? ... moui je sens que ça vient ... Mais qu'elle idée d'être blessée ET enrhumée ...

Maruku viens vite .. Panyia ... elle s'est reveillée ...
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Membre du Clan Hotaru,Le Clan des Lucioles

Guyhom

[ ce n'est qu'un au revoir]

voyant plein de gens sortir de la pension, Guyhom se dit que Maruku était un grand médecin. Tous guérit en moins de temps qu'il ne fallait le dire...il rentra dans la pension tout en chantant, essayant de retourner se rendre utile pour les blessés...Il retrouva Belsa! blessée? même pas...

Vient m'aider à distribuer les rations de nourriture tu seras plus utile qu'ici.

Plus de saké en main...et en plus on conspirait à l'éloigner de cet endroit, où il pensait trouver vocation à aider les gens? mais où va le monde...enfin...Guyhom préférant obéir dans ces circonstances, car après tout le sang ça tâche et les morts ça puent!

- d'accord, je viens.
- t'as intérêt. partons et laissons maruku et may travailler.
- bien chef. Sayo les gens...

Cris de joie avec le départ de Guyhom, limite une fête avec du saké...étrange...

[ la distribution de nourriture]

- tu viens pour?
- manger. y'a quoi au menu?
- rien pour toi. t'as pas de zori. tu sors.
- mais mais...j'ai fais la queue comme tout le monde! je défends moi!
- moi aussi et j'ai des habits.les vagabonds nu pied sont pas autorisés! casse toi! et toi tu veux quoi?
- euh...du riz?
- pourquoi?
- ben pour manger...
- mouai...dégage. tu pues du bec. et pis j'aime pas ta tronche.
- mais c'est injuste! Belsa nous avait promis à manger! vous êtes un grand malade!
- je sais. mais c'est moi qui distribue la nourriture! allez tiens...voilà un bol mais c'est tout.
- pfff radin
- tu dis?
- lapin...j'aime le lapin.
- a pas. tire toi.

File d'attente pour la nourriture des défenseurs. Guyhom râleur, houspillant les gens, finit par se faire dégager aussi de cette tâche par Belsa:

- GUYHOM! tu es insupportable! va t'en sur les remparts! là au moins tu ne feras de dégâts qu'aux ennemis!
- mais ils resquillent...je suis certain que y'a des traitres dans le tas!
- FILE!
- rohhlalala...jamais contente...vivement qu'il sort le gniard...saleté d'hormones...

Il partit se défouler sur les remparts...bien content d'avoir échappé aux corvées.

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Maritito

[dans la maison]
Il a juste le temps d'aider Son Chef Sushie à se remettre au lit.

Qu'il entend l'appel au combat, "pour la parlote ce sera une prochaine fois".

[sur les remparts]

Il remonte aux remparts et se démène comme il peut avec son bâton, il frappe à gauche, à droite, devant derrière "il faudra que je remercie le charpentier pour ce bon outil".

Il perçoit bien une lame qui passe près de lui zzzououou il a déjà entendu un tel bruit...
Il sent un katana s'enfoncer dans sa propre chaire "Ha non pas encore sur le ventre, dites donc les filles si mon ventre vous intéresse tant dites-le je vous le ferais voir un soir".
Quand la lame ressort, il regarde incrédule le sang jaillir d'un flot rapide et régulier.
Un autre coup plus fort dans le dos le fait tomber face contre terre......

Non pas aujourd'hui, pas tout de suite, pas là maintenant...

Les kamis l'ont rappelés auprès d'eux.

[sur le chemin]
Ben il est lourd le bougre, encore un de mouru.

Allez presse-toi faut qu'on l'emmène au médecin, y'en a un qui veut faire des expériences y parait
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Maritito le petit vermiceau

--Mamysake

Y a pas que le jeune médecin qui veut faire des expériences … Mamysaké à force d’observer , se dit qu’elle aussi elle peut faire de la couture … Alors quand elle voit arriver le jeune homme, elle fait de grands signes pour qu’on le lui amène … par chance la blessure n’est pas profonde … elle va pouvoir s’en occuper … Il à l’air dans les vapes , mais elle prévient tout de même …

T’ention ça va piquer …

Et zou une rasade de saké pour désinfecter … et puis au passage , une rasade de saké dans son gosier … pour désinfecter aussi … c’est qu’il y a des enrhumées dans le coin … La plaie bien propre … Elle prend l’aiguille d’une main légèrement tremblante et la langue coincée entre les dent … fait un joli point de croix … au moins celui-ci aura une cicatrice originale « Made by Mamysaké » Fière de son ouvrage … elle appelle deux brancardiers …

Aidez moi à le transporter près du général Shushie …

sourire à la jeune femme qui bientôt pourra retourner au combat…

R’gardez qui j’vous amène ! a mon avis y voulais continuer de discuter avec vous … mais vous inquietez pas .. il va s’en remettre … m’en suis bien occupée …

Bouteille de saké à la main … elle en boit une nouvelle rasade …

Allez … j’y retourne ! pas tout ça mais y a du monde au portillon …

Maruku

Surveillé à la fois par la relique et la brunette.
Plus moyen de poser ses mains sur une vigoureuse poitrine sans avoir l'impression qu'il va se faire conspuer. Tssss... l'a pas fait médecine pour le côté puzzle de chair du blessé de guerre qui s'oublie sur le champ de bataille pourtant.

Enfin là, c'est pour une nouvelle plutôt rassurante qu'on vient le déranger, et le jeune brun à la tignasse plus en pétard que jamais esquisse un petit sourire satisfait en se tournant vers May.

J'arrive. Allons voir comment se porte ma "malade" préférée.

Ca continue de se bousculer dans les couloirs, chaque jour, chaque heure apporte son nouveau lot de souffrance. Maruku ne préfère pas voir une vieille infirmière au surnom bien porté verser directement de l'alcool fort sur une plaie à vif... là c'est sur que ça réveillerait un mort!
Le jeune médecin escorté d'une accorte brunette arrive finalement dans la salle des convalescents, et s'accroupit pour se retrouver à la hauteur de Panyia.

Alors, comment ça va ici?
Ravi de revoir ces beaux yeux s'ouvrir.

La main du praticien se pose délicatement sur l'épaule de sa patiente. Geste doux mais signifiant bien qu'elle ne doit pas se relever d'avantage, ni vouloir aller trop vite en besogne.

Vous allez devoir rester encore un peu parmi nous jeune fille. En observation.
Ensuite si ton état continue de s'améliorer, on pourra te ramener chez toi, et je ferai les visites à domiciles.

Un petit clin d'oeil vient ponctuer sa dernière phrase, même si bien sur il se fera inviter en tout bien tout honneur. Il n'a plus droit de toucher aux seins des autres en plus il parait, alors...

Au loin, l'assaut du jour semble s'être interrompu. Les murs ont tenu, encore une fois. Les défenseurs ont du être secoués mais ont de nouveau fait la preuve de leur vaillance.
Commence alors le concert des plaintes et des appels à l'aide, le décompte des pertes, et le ballet des brancardiers. Avec un drôle de pressentiment, une impression désagréable qui commence à le prendre aux tripes. D'habitude il s'arrange toujours pour rejoindre les remparts et s'assurer que les autres lucioles vont bien, mais à présent, les blessés sont si nombreux qu'il devient difficile de s'absenter.

Et il n'y a sans doute rien de pire que l'attente et le doute pour se sentir totalement impuissant face aux évènements...
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~ . ~ Luciole ~ . ~

Shushie

Shushie fait un pale sourire à Mamysaké en la voyant arriver avec Maritito, se lève avec difficultés encore. Elle va auprès de Maritito qui peut avant été en pleine forme, et voilà qu'il a été blessé gravement lui aussi.

Maritito, tu m'entends ?

Le pauvre a les yeux fermés et semble dans les vaps, cela vaut peut être mieux encore pour lui. Je prends une chaise, car la station debout m'est encore pénible, je m'assoies et je lui prends la main, tout en repensant aux jours heureux, ou nous étions toute la bande, à rire au Samourai-Katagi. Ce temps me semblait tellement loin...

Je resta un moment à le regarder, puis ne pouvant pas faire grand-chose, je me leva, et le laissa se reposer, de toute façon, il était à côté de moi, donc si il se réveillait, je le verrai, à moins que je dorme.

J'alla voir ma Yoshe, ma belle amie de toujours, j'arriva vers son lit et lui dit :

Konni ma belle, comment vas tu aujourd'hui ?

J'ai une mauvaise nouvelle à t'apprendre, Hooks est tombé au combat, mais ne t'inquiètes pas, il n'est pas mort, il va être transporté ici. Je suis désolée de t'annoncer cela ma puce, mais j'ai préféré te l'annoncer moi-même, plutôt que tu te poses pleins de questions, car il faut que tu te reposes ma belle.

Je pris une chaise, et attendit qu'elle me dise quelque chose, mais elle avait un drôle d'air la pauvre...
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Ex-Générale d'Uchi.

Yoshe

Yoshe avait ouvert les yeux après trois jours. Elle regarde autour d'elle, plein de futons occupés, des guerriers tombés, elle cherche du monde quelle connait, mais n'arrive pas à se concentrer.

Ou est Hooks ? Elle peut encore sentir sa main dans la sienne, il était passé à son chevet. Les remparts encore et toujours ...

Puis un petit sourire se dessine lorsqu'elle apperçoit Shushie venir vers elle et s'assoir à ses cotés.

Je suis contente de te voir marcher Shushie-chan, comment vas tu ? Tes blessures se guérissent ?

Puis le regard de Shu commençait à inquiéter Yoshe ...

Qu'est ce que tu as ?

Elle fronce les sourcils, se regard n'annonçait rien de bon. Puis la nouvelle tombe et la tristesse l'envahie.

Citation:

Konni ma belle, comment vas tu aujourd'hui ?

J'ai une mauvaise nouvelle à t'apprendre, Hooks est tombé au combat, mais ne t'inquiètes pas, il n'est pas mort, il va être transporté ici. Je suis désolée de t'annoncer cela ma puce, mais j'ai préféré te l'annoncer moi-même, plutôt que tu te poses pleins de questions, car il faut que tu te reposes ma belle.

Yoshe ne savait que répondre à cette nouvelle, elle aurait voulut se lever et aller elle même le chercher pour le ramener près d'elle et s'occuper de lui.

Puis pleins de questions passent dans sa tête, ou est il blessé, est ce grâve ... pourquoi ..
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Shushie

Yoshe ma belle, d'après ce que je sais, il est blessé au ventre et aux mains car il a pris le katana de l'ennemi dans ses mains pour pas qu'il ressorte et qu'il perde du sang.

Ne t'inquiètes pas ma puce, je suis là, pas bien droite encore, cette blessure au ventre sera longue à cicatriser et ce bras que je ne peux pas bouger en plus, la tête ça à l'air d'aller.

Je vais rester un moment avec toi si tu veux, mais ne parles pas trop, ne te fatigue pas, Hooks sera transporté ici de toute façon, tu le verras, t'inquiètes pas ma puce.

Shushie lui prit la main pour l'encourager et resta sans rien dire.
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Ex-Générale d'Uchi.

Belsa

Une plume...petite et menue, son corps parcouru d'un mince filet de vie fut déposé dans la pension... poids plume, elle ne fut pas difficile à transporter.

telle une poupée de tissus, ses bras et jambes, sa tête tombaient dans le vide. Une poupée sur laquelle on aurait un peu trop tiré et dont une déchirure laissait s'échapper ses plumes...
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Maruku

La plume délicate semble brisée, mais elle ne les a pas encore irrémédiablement quitté. Et même s'il doit faire appel à quelques forces obscures ou procédés innovants en matière de chirurgie réparatrice, ce démon de Maruku compte bien maintenir son corps et son âme dans le monde des vivants.

Cette fois c'est du sérieux. Le jeune médecin s'enferme avec sa patiente. Seule son infirmière est autorisée à pénétrer dans la pièce afin de l'assister. Nul autre ne peut venir le déranger pendant qu'il procède à l'un des actes les plus compliqués de sa récente carrière de raccommodeur et de sauveur de jolies filles. Il doit faire une double suture, stopper l'hémorragie, et tenter de limiter les dégâts internes.
Comme lorsqu'il a appris l'art de la forge et devait réaliser une pièce parfaite, Maruku s'entoure d'une sorte de bulle invisible. Il fait preuve d'une concentration et d'une implication dans sa tâche peu communes. Il ne parle plus, son regard reste fixé sur son objectif, et il fait totalement abstraction de tout le reste. Le quartier pourrait être secoué par un tremblement de terre que l'opération ne serait pas interrompue.

Seuls ses doigts s'agitent de manière presque mécanique, et le temps file sans relâche. Les minutes deviennent des heures, avant que le meneur des lucioles soit enfin satisfait du résultat et se permette un petit soupir de soulagement.

Mais le pouls reste faible, et Belsa a perdu pas mal de sang. Pour la vie qu'elle porte en elle, impossible de se prononcer si tôt. Son développement était encore trop précoce pour savoir si l'embryon a survécu ou non, et si oui, s'il parviendra à rester accroché longtemps malgré l'état de faiblesse de la mère.

Le garçon baisse les yeux sur ses mains une nouvelle fois tachées de sang. Il a l'impression que même en frottant il ne part plus. La vision et l'odeur du liquide carmin ne le laissent plus en paix, allant jusqu'à hanter certaines de ses pensées lorsque ses yeux se ferment.

Le visage défait, par la fatigue et l'inquiétude, Maruku finit par abandonner son amie à son sort. Les kamis en décideront à présent, lui a atteint ses limites, il ne peut rien faire de plus.

Je ne sais pas si j'ai réussi...
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~ . ~ Luciole ~ . ~

Kianjin

Kianjin traina , plus qu'il ne porta le général jusqu'à la pension , le désordre indescriptible qui régnait l'empêchait de solliciter quelqu'un afin de l'aider .
Arrivé à la pension , il demanda de l'aide afin de pouvoir déposer son patriarche et que quelqu'un le prenne en charge au plus vite

J'ai besoin d'aide , quelqu'un pourrait il s'occuper du général ?

Interpellant un homme qui semblait être médecin , infirmier il n'en savait rien , il lui demanda d'un ton essoufflé

Pouvez vous vous occuper du général , s'il vous plait ?
Je l'ai trouvé ainsi , et je ne sais pas du tout ce qu'il a

Ils déposèrent le général sur une paillasse , et l'homme s'occupa immédiatement de son nouveau patient .

Kianjin chercha Bandoru , ne le voyant pas il commença à chercher dans la pension ..
Revenu près du docteur en train de soigner Tocké , Kianjin demanda

Je vais chercher un autre officier blessé , un katana au travers du corps , je reviens de suite ... je vous laisse faire le nécessaire , j'arrive !

Sans attendre la réponse du médecin , Kianjin repartit ...
Bandoru n'était pas encore arrivé , il peinait à transporter le lieutenant ,comme lui en avait bavé avec le général , Kianjin imaginait trop bien , comment le portage du géant armé en guerre ne pouvait être qu'un problème .
Il se porta à la rencontre de son compagnon de lance , afin de l'aider .

Me voilà Bandoru , alors tu en baves ?
Je vais t'aider .
Mon lieutenant , si vous m'entendez ?
On y est presque , encore quelques dizaines de pas , tenez le coup ...

Ils entrèrent dans l'infirmerie de campagne en titubant sous le poids de leur fardeau .

Nous y voilà , quelqu'un s'il vous plait , de l'aide .....

May.lee

[au chevet de Belsa ...]

Une fois de plus c'est quelqu'un de cher qui se trouve là allongée devant eux ... C'est dans le plus grand silence qu'elle seconde du mieux qu'elle peut, un Maruku plus concentré que jamais ... rarement elle l'a vu sous cet angle, jamais même ...

Elle sait l'operation délicate ... deux vie a sauver ...

Force est de constater que le jeune medecin a prit de l'assurance dans ses gestes ... elle aussi d'ailleur ... l'operation est longue, très longue ... épuisante et il semble à la brunette qu'elle ne recommence à respirer que lorsque que le soupire de soulagement du jeune meneur des Lucioles annonce qu'il en a terminé ...

Toujours silencieuse, la brunette lui adresse un sourire confiant ... Elle n'a qu'une envie ... l'eloigner un moment et l'entourer de tendresse ... une bouffée d'oxygene au milieu de toute cette violence ...

Elle se hisse un peu sur ses pieds ... depose un leger baiser sur ses lèvres et entoure sa taille de son bras ...

Viens ...
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Membre du Clan Hotaru,Le Clan des Lucioles

Night_hooks

Conscient de la difficulté que devrait éprouver les hommes chargés de transporter un homme de son gabarit, le lieutenant Hooks fit de son mieu pour leur faciliter la tache. Une main fixée sur le katana qui le traversait de part en part, le colosse s'appuyait sur son gunso et le soldat Bandoru pour arriver jusqu'a la pension. Plusieurs fois, ses jambes tremblantes lui firent défaut, mais bien qu'épuisés, ses hommes l'empechèrent de s'écraser a nouveau sur le sol.

Ils parvinrent ainsi a la maison improvisée des soins. Hooks n'était pas beau a voir, un filet de sang coulait de sa bouche, qu'il toussait, ou plutot recrachait pour ne pas s'étouffer, il était livide, une nuit entière passée avec un katana fiché dans le ventre était rarement bénéfique. Sa respiration était sifflotante et il luttait pour ne pas retomber inconscient.
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Connais l'adversaire et surtout connais toi toi-même et tu seras invincible. Sun Tzu " L'art de la guerre "

--Mamysake

Tous les matins c’était pareil … des arrivages de blessés en pagaille ! On ne savait pas ou donner de la tête et personne ne chômait. La vielle Mamysaké infirmière improvisée, vit arriver deux hommes transportant un géant ! Déjà aperçu d’ailleurs lorsqu’il était venu accompagner sa compagne ! L’ancêtre secoue doucement la tête … quel merdier ! enfin ces deux la pourront se tenir compagnie durant leur convalescence …

Venez … déposez le ici … houlà … pas joli ce Katana encore fiché dedans , mais vous avez bien fait de ne pas le retirer … dite donc .. . c’est passé pas loin de ses organes vitaux … si sa compagne n’était pas déjà ici, je dirais qu’il a une chance de cocu … erf … et regardez moi ses mains !

Tout en parlant, la vielle femme s’active … s’occupe de ses mains … pour le katana, elle ne se risquera pas à l’enlever laissant ce soin au médecin le plus à même de réagir en cas d’hémorragie quoi que leur moyens soient limité … ça passe ou ça casse …

Allez … vous faites pas de bile, c’est un grand gaillard ! je peux déjà vous dire que pour ses mains tout ira bien … Guyhom ne viendra pas faire des ptis bouts ici … Pour le reste c’est au médecin de voir …

Yoshe

Yoshe peine à se lever, mais elle ne pouvait pas rester dans son futon et laisser Hooks loin d'elle.
Elle prit son courage à deux mains, une main sur le ventre pour soutenir sa cicatrice encore fraîche, traînant un peu la patte, mais elle avance le visage crispé en direction de son géant.

Elle attrappe un linge propre pour essuyer le sang qui s'échapait de sa bouche et caresse doucement sa joue en lui souriant pour lui donner du courage.

Ce katana plantait dans son ventre lui rappelle alors de mauvais souvenir.

Ne t'inquiète pas, je vais m'occuper de toi une fois que le médecin t'aura retiré cette arme et soigné tes plaies.

Une sourire pour remercier la vieille Dame qui avait pris soin de lui bander ses mains, Yoshe l'air triste mais à la fois soulagé de le savoir en vie et surtout auprès d'elle.
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Kianjin

La vieille femme savait se qu'elle faisait .Le lieutenant semblait être en de bonnes mains .
Kianjin et Bandoru , restèrent quelques minutes afin de s'en assurer , sait on jamais .
Cependant , il restait surement à faire dehors , et le devoir repris le pas sur l'inquiétude .
S'accroupissant au côté de la vieille femme , Kianjin après s'être présenté lui murmura

Prenez soin de nos officiers , je compte sur vous mama sama.

Puis avec un sourire las , il la remercia chaleureusement en inclinant la tête

Domo arigato ,
nous devons y retourner , je crois que ça ne s'arrêtera jamais la haut

Viens Bandoru , on y va .

Belsa

[...]

Des larmes... des larmes de colère d'une petite fille qui regarde avec envie ses frères.

Papaaa! veux aussi jouer avec mes frères!

Non Belsa, l'art du combat n'est pas un apprentissage nécessaire pour les femmes de notre famille. Retourne avec Ichiro travailler ta calligraphie!

Mais je m'ennuie!

Belsa! Il est temps que tu grandisses! Tu n'as pas à aller jouer avec tes frères!

Je veux faire comme mes frères!

Ichiro emmenez la dans sa chambre et donnez lui une correction!
Il va falloir que tu apprennes à servir tes frères et ton futur époux... les combats c'est pas fait pour toi!

Des cris! des larmes! la correction fait mal...

...

La fièvre..

non...

Des gouttes de sueurs glissent le long d'une peau blanche, les cheveux sont humides, il fait chaud...

Non...

...

Mais t'as fait quoi de tes cheveux et cette tenue...

Je veux ressembler à mes frères!

De longs cheveux noirs qui trainent sur le sol, une jeune adolescente qui tient encore un couteau dans sa main droite. Un père fatigué qui gifle sa fille.

Aiiie!

Tu resteras enfermée jusqu'à ce que tes cheveux aient repoussés!

Que va-t-on faire de toi...

...

Une douleur intense.. des voix lointaines.. ou suis-je?

La bouche est sèche...

non..

Une douleur qui se réveille.. il fait chaud... des yeux qui s'ouvrent et fixent le vide...
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Maruku

La pause est salutaire, mais de courte durée. Vraiment pas le temps de s'ennuyer ici, le défilé continue. C'est au tour d'un colosse à la drôle d'allure avec ce katana jaillissant de son abdomen d'être amené devant lui.

Dites les gars, faut pas vous sentir obligés de tous me rendre visite hein...

Le médecin-forgeron s'approche. Il sait les dégâts que peut faire une arme bien affutée, mais au moins la blessure est nette. Le sabre est rentré tout droit, et s'il a évité les points vitaux, ça devrait aller.
Une petite fiole est tendue à Yoshe avant de procéder.

Faites lui boire ça s'il souffre trop, ça devrait le soulager un peu.
Ca va légèrement picoter...

Les obsidiennes croisent un instant le regard du géant blessé. C'est bien le genre à pouvoir rester stoïque pendant qu'on le charcute, et de toute façon trois hommes ne suffiraient pas à le maintenir immobile contre sa volonté.
Maruku pose sa main sur l'entaille, y applique une épaisse compresse, et d'un geste assuré entreprend de retirer cet intrus d'acier en prenant garde de lui faire suivre le même chemin qu'il en emprunté en entrant pour éviter d'élargir la plaie et de causer plus de dommages. La lame glisse juste entre deux de ses doigts et finit par ressortir sans temps d'hésitation. Immédiatement le linge se teinte de rouge, mais le jeune docteur comprime au mieux l'ouverture, avant de rapprocher les chairs et de la refermer pour de bon.

A présent, l'apprenti médecin va d'un futon à l'autre, certains sont même allongés à même le sol. Il se déplace sans cesse, toujours dans ce sentiment d'urgence, pour aller là où il sera le plus utile.
Nettoyer, arrêter le sang de couler, estimer les dégâts d'un coup d'oeil, recoudre, filer un remède ou deux à l'occasion, et passer au suivant.

Parfois il pose un regard reconnaissant sur May ou Mamysaké qui le secondent et sans lesquelles il aurait déjà baissé les bras, puis recommence.
Il a seize ans et demi, et jamais il n'aurait imaginer faire face à telle situation si tôt dans sa vie...
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~ . ~ Luciole ~ . ~

Night_hooks

Un jeune médecin s'approche de lui, Maruku, il ne le connait que très peu, mais il n'a pas le choix. Il doit retourner se battre le plus vite possible a la tête de ses hommes, ou de ce qu'il en reste, il n'avait que peu de nouvelles. Yoshe est a ses cotés, il réussit a articuler un pâle sourire avant de recracher le sang qui lui monte a la gorge.

Citation:

Faites lui boire ça s'il souffre trop, ça devrait le soulager un peu.
Ca va légèrement picoter...

Le colosse secoua négativement la tête a ces mots et parla avec difficulté, s'arretant pour cracher un nouveau filet de sang.

Gardez ça pour les plus touchés, contentez vous de m'enlever sa, que je puisse y retourner rapidement.

Hooks fit le vide en lui, ne pensant qu'a Yoshe pour oublier la douleur lorsque l'apprenti lui enleva la lame du ventre. Il serra néanmoins les dents, et les poings au risque de se briser les phalanges tentant de rester aussi immobile que possible duran la délicate opération. Enfin, le katana fut extrait de son corps. Hooks tomba a genoux, pressant de ses larges mains, les chairs fraichement refermées.
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Connais l'adversaire et surtout connais toi toi-même et tu seras invincible. Sun Tzu " L'art de la guerre "

Guyhom

[ après un non combat]

- Dit la vioque, elle est où ma Belsa?
- là bas...tu l'embêtes pas hein?
- aucun soucis à te faire! vais la soigner à ma manière.
- moui tu parles...pis si elle crève, je peux la remplacer si tu veux...
- non merci la vioque. je préfère les jeunes filles
- je suis riche...
- moi aussi. va t'occuper des autres...
- pfff ces jeunots...rien dans le calbute!
- si mais c'est pas pour toi...

Guyhom renvoya la mamysaké et se dirigea vers le lit de Belsa...elle comatait tranquillement pendant que son serviteur bossait à la remplacer et pendant que lui, son homme, se les caillait sur le rempart.

- koni ma douce...tu vas te réveiller oui? parce que j'en ai marre de te regarder pioncer!

ptite baffe pour la réveiller

- houhou...ça y est?
- aie...t'es méchant...ça te suffit pas ce qu'ils m'ont fait?
- ben quoi...c'est pour te réveiller...et pis t'as de la chance, on t'a rien coupé
- encore heureux...
- wai...j'ai voulu te ramener ici mais ils voulaient pas, soit disant parce que tirer quelqu'un qui pissait son sang par les pieds aggraverait ses blessures!
- ils ont eu bien raison...tu tiens plus à moi?
- si...toujours, mais je peux plus rien faire! même les totos veulent pas échanger des coups avec moi!
- normal, tu leur fais peur...
- j'espère bien.

Guyhom sourit et moment de tendresse oblige, embrassa sa douce tout en lui caressant la joue...

- repose toi bien
- pour ça que tu m'as réveillé?
- ben vi. pour voir si tu étais toujours là.
- c'est tout? je risque pas de m'en aller dans cet état!
- ah oui j'oubliais: je t'aime.
- tant mieux...reviens vite...entier s'il te plait!
- je ferais de mon mieux.

Guyhom embrassa une dernière fois Belsa et repartit dispenser ses soins.

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un touriste, incarné par Guyhom

[Ville de Nakatsu, Japon, XXI siècle]

Un touriste français se promenait dans la ville, découvrant la ville, flânant sans but, pour finir par tomber sur une vieille demeure restaurée, architecture du 15ème, ancienne demeure d'un shomin historique de la ville. Il la prit en photo et s'approcha d'une plaque commémorative, écrite en japonais et en anglais...il l'a lut...et repartit en rigolant...ils sont fous ces japonais!

A la mémoire de nos pères,

Ici se dresse la Pension de Belsa, shomin historique de Nakatsu, qui résista à l'invasion de la province voisine d'otomo.

Lors de ces évènements, la population subit un siège et de nombreux soldats et volontaires furent blessés.

Cette demeure fut transformer à l'occasion en hôpital qui vit exercer deux médecins célèbres: Maruku et Akeo, tout deux précurseurs de la médecine moderne nippone.

Ils ont été assisté par un étrange jeune homme qui lorsqu'il les aida contribua à soigner la majorité des blessés grâce à sa présence et son aura mystérieuse: Guyhom.

Il est rapporté qu'un jour, alors qu'il pratiquait à amputer avec succès un bras d'un blessé, le succès étant pour l'amputation par pour le blessé qui mourut, Maruku déclara que tous les blessés seraient soignés par son assistant! Dès lors, on put assister à un véritable miracle: tous les blessés se mirent debout et partirent joyeusement vers les remparts combattre l'ennemi!

De fait, Guyhom fut considérer comme un saint, protecteur de la médecine et des blessés au combat.

Il est dit aussi qu'en fait il tuait plus souvent les blessés amis que les ennemis au combat, mais ce sont des racontars malveillants de la part des ennemis!

Pour Guyhom, la médecine reconnaissante.

Hinowa

Ljd Guyhom ^^

Une petite.. non une grande faim l'avait conduite à la gargote du Nippon.
Saluant la seule jeune femme qui se trouvait là, elle avait commandé un plat.
Hinowa se rua sur une assiette de riz et voyant que l'autre personne n'avait pas l'air bien, elle lui tendit son assiette, la bouche encore pleine, pensant qu'elle aussi avait faim.

Ce n'est que lorsque Lin_chan déclina son offre en se tenant le ventre que Hinowa découvrit le Kimono imbibé de sang. Aussitôt elle alla chercher sa brouette sans tarder, chipa quelques coussins, et après avoir installé la jeune femme délicatement, fonça à la maison des soins.

Hey! Quelqu'un ! Elle dit qu'elle va mourir.. faites quelque chose!

Hinowa regarda partout ébahie en poussant sa brouette au beau milieu de la salle de soins.
Partout! Des blessés sur les couches, par terre... il y en avait partout. Cette nuit encore, une attaque de l'armée Ottomo avait fait son lot de blessés et de morts.
Hinowa s'en était sortie en brisant son bâton sur une femme dans le camp ennemi et cette nouvelle était loin de la réjouir, même si elle faisait son devoir en défendant son village.

La jeune femme chercha du regard quelqu'un pouvant s'occuper de la blessée qu'elle avait ramené en brouette.

May.lee

Atchhoum … erf …

Pas le moment d’attraper froid … la brunette frissonne et se dirige vers une jeune femme qui pousse une brouette … transport d’urgence comme un autre … bonne idée d’ailleurs … faudrait peut être une flottille de brouettes ambulance … Elle fait signe a deux gaillards de poser la blessée sur une table de soin ….

Ne vous inquiétez pas … On va s’en occuper … tsss … encore une blessure au ventre , a croire qu’ils n’apprennent qu’une seule attaque … ça manque d’imagination tout ça … faudrait inventer un protège bidon et on aurait plus de blessés !

La brunette un peu fébrile, nettoie la plaie … pas de viscères sortit c’est déjà bon signe …

Elle devrait s’en remettre … une jolie couture … beaucoup de repos …

La petite Lucioles arrête son babillage pour se concentrer , tente d’imiter le si joli point pratiqué par Maruku pour les cicatrices fines … termine par un beau pansement … s’essuie le front du dos de la main …

Voilà … Reste plus qu’a lui trouver un futon … Celui de Hooks doit être libre … parait qu’il trouvait les futons trop petits et qu’il s’est fait emmener ailleurs … merci Hinowa –san vous lui avez sans doute sauvé la vie …

[chevet de Senshi …]

Atchouuuum … mince …

Le plateau sur lequel sont posés Theière , bols et petit biscuits aux sesame s’ébranle tandis que la brunette éternue … mais non pas sur le plateau .. Elle a tourné la tête ! tsss …

Depuis son arrivée Senshi ne s’est pas encore réveillé , pourtant tout semble bien aller, il a repris des couleur, les cicatrices sont saines … Elle en est a se demander s’il ne médite pas les yeux fermés … pour en avoir le cœur net, une seule solution … le thé vert ! Senshi ne résiste pas à une tasse de thé vert … agenouillée à côté du Futon, la petite Luciole verse cérémonieusement le précieux liquide dans un bol qu’elle passe sous le nez du Bushi … Elle sourit croyant avoir vu frétiller une narine …
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Membre du Clan Hotaru,Le Clan des Lucioles

Belsa

[Retour dans la vraie vie]

Ouai mais en faite j’étais mieux dans mon monde comateux !
- SOS femme battue
Parce que se recevoir des baffes quand on a le ventre qui tiraille, de la fièvre, bref que ce n’est pas la grande forme, y a mieux comme réveil.

Elle avait quand même réussi à planter son regard vitreux sur un Guyhom qui ne tenait pas en place et était reparti effrayer d’autres malades.

Mouai enfin ce retour dans le monde des vivants ne la réjouissait qu’à moitié… maintenant elle ressentait tout le mal qu’on lui avait fait et toute la culpabilité de voir ces hommes et ces femmes défendre alors qu’elle-même ne pouvait plus bouger.

Pourtant un mal plus profond la rongeait….
Un petit être arrivé par accident et repartit bien trop vite ne connaîtrait jamais ce monde…
Ce liquide visqueux entre ses cuisses, cette certitude de ne plus porter de vie… Elle pleura seule, elle pleura en silence.
Elle ne dira rien : ne pas inquiéter ces gens qui souffrent déjà bien assez… ne pas faire pitié.

Elle demanda simplement à Mamysaké de l’aider à se nettoyer, éliminer toute trace…
Mais Belsa se sentait mal : n’étais-ce pas une juste punition ? Elle avait maudit ce petit être, elle n’avait pas écouté les conseils qu’on lui donnait… la perte de cet enfant n’était donc que le résultat de son comportement, elle était la seule responsable. Et elle devrait porter cette responsabilité toute sa vie…

Elle vomit. Elle se maudit, se détesta.

Un marchand vint lui rendre visite.. il avait de la nourriture pour Nakatsu mais pas seulement. La shomin acheta une pipe et de l’herbe.. fumer pour oublier.. Fumer pour retourner dans cet autre monde ou il n’est pas nécessaire d’affronter ses démons et la douleur.

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Hinowa

Ne vous inquiétez pas … On va s’en occuper … tsss … encore une blessure au ventre , a croire qu’ils n’apprennent qu’une seule attaque … ça manque d’imagination tout ça … faudrait inventer un protège bidon et on aurait plus de blessés !

Hinowa hocha la tête, rassurée qu'on prenne en main la blessée qu'elle venait d'amener. Elle observa silencieusement May.lee, la petite brunette qui fit les soins avec beaucoup de dextérité malgré qu'elle ne paraisse pas dans une forme éblouissante non plus. En regardant partout le nombre de blessés, Hinowa comprenait pourquoi.

Voilà … Reste plus qu’a lui trouver un futon … Celui de Hooks doit être libre … parait qu’il trouvait les futons trop petits et qu’il s’est fait emmener ailleurs … merci Hinowa –san vous lui avez sans doute sauvé la vie …

La jeune femme inclina la tête en signe de respect et lui répondit:

La seule qui lui ai sauvé la vie, c'est vous May lee-san. Et la dessus il n'y a aucun doute . Bon courage à vous pour le travail que vous faites ici.

Hinowa regarda Lin chan qui s'était enfin endormie et jeta aussi un regard sur toutes les personnes alitées dont Belsa, mal en point, qu'elle vit au loin.
Ne voulant pas déranger leur repos à tous, la jeune femme s'en retourna sur les remparts rejoindre Keanu et tous les défenseurs de Nakatsu.

Kianjin

Kianjin vint faire son rapport au lieutenant Hooks .
Même si celui ci était alité , Kian pensait bien que ça ne serait pas un "client" facile que celui là .
Il vint donc lui donner les dernières nouvelles , n'oubliant aucun des hommes et femmes , qui , tous étaient tombés sous les coups des attaquants Otomos .

Il chercha du regard , s'il reconnaissait la douce Kiriki parmi les blessés .
Il fouilla du regard les coins sombres , puis n'y tenant plus , il prit congé du lieutenant et fouilla plus à fond l'infirmerie .
Il salua certaine personnes alitées , échangea quelques mots avec d'autres qui demandaient des nouvelles de l'extérieur .

Il ne voulait pas être pessimiste , car beaucoup de blessés voulaient entendre de bonnes nouvelles , mais il ne pouvait pas non plus leur mentir .

Ça allait mal , une nouvelle armée siégeait devant les rempart , comme si les Otomos se reproduisaient plus vite que des lapins .

Kireo

On avait emmené Kireo dans la pension de Belsa tranformé pour l'occasion en hopital. Il était gravement bléssé, entre la vie et la mort. Il entendait des voies autour de lui appercevait des visages sans pouvoir les distingués puis quelques minutes après perdait concience.
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Kianjin

Arrivant presque en courant avec Kiriki dans ses bras , Kianjin chercha un soigneur .
N'en trouvant pas inoccupé , quoi de plus normal , il pris la première paillasse de libre pour y déposer doucement Kiriki dessus .
Le sang coulait doucement de sa plaie , il déchira un morceau de la robe afin de le presser dessus et essayer d'endiguer la perte du liquide vital .
Il fouilla du regard la salle bondée afin de trouver de l'aide

Quelqu'un pourrait il m'aider , elle perd son sang ?

Kiriki

Kiriki sort du brouillard et entr'ouvre les yeux.

Une voix maintenant familière lance un appel.
Quelqu'un pourrait il m'aider , elle perd son sang ?

Elle perd son sang... elle ... c'est d'elle dont il est question. C'est elle qui semble lui causer autant d'angoisse.
Elle pose son regard sur lui et tente de le rassurer.

Ne t'inquiètes pas Kianjin san, je ne crois pas que ce soit grave... je sens que c'est l'épaule qui a été touchée...
lui murmure-t-elle en tentant de lui sourire
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Kiriki
Le véritable courage consiste à être courageux précisément quand on ne l'est pas.
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--Grincheux

Grincheux, serviteur du râleur de Nakatsu alla s'enquérir de l'état de santé de son maitre...direction la pension hôpital...certain de voir son maitre faire encore des choses insensées...déception! Guyhom était allongé dans son lit, dans sa chambre personnelle de la pension.

- Maitre, vous allez bien?

les yeux s'ouvrent, fièvreux, mais avec un éclat amusé...

- à ton avis abruti?
- je vois. toujours aimable à ce que je constate.
- toujours. qui m'a ramené ici?
- moi. j'ai du vous trainer par les pieds, car vous êtes trop lourd pour mon dos.
- c'est malin ça...pour ça que j'ai des blessures dans le dos...
- je n'avais pas le choix maitre. les totos s'ils vous avaient trouvé, vous aurait achevé voir pire. et puis qui me nourrira si vous n'êtes plus?
- bah...suis coriace. J'ai même réussi à en buter deux.
- oui...on a vu ça...vous nagiez dans le sang...le vôtre et celui de l'ennemi!
- ah...ben faudra brûler mes vêtements alors. doivent être contaminé de vermines à cause d'eux.
- je le ferais maitre.
- c'est bien. quoi d'autre?
- la ville résiste.
- Belsa?
- elle va bien. je crois...j'irais la voir pour vous si vous le souhaitez.
- oui. dit lui que je vais bien.
- bien maitre.
- distribue aussi de la nourriture et des armes pour les défenseurs qui restent.
- parfait. ils seront contents.
- peut être. cela m'est égal.

les yeux se ferment...à mi mot...

- remercie maruku.merci à toi...

respiration lente...apaisée...Guyhom dormait. Le serviteur parti, il savait pour Belsa...son maitre apprendra la nouvelle d'elle même. pas de lui.

Il s'enquit de ses tâches...défendre toujours le village. Jusqu'au bout. comme son maitre l'avait fait. envers et contre tous.

--Mamysake

On vient … on vient … enfin JE viens …

C’est pas possible sont encore passé ou les deux autres ?

C’est que j’ai que deux mains moi … et vlà deux blessés … voyons voir …

Mamysaké reconnait le jeune Kireo … dans les vapes , mais il ne semble plus perdre son sang … la jeune fille par contre …

Très bien … continuez de faire pression sur la plaie … je vais chercher de quoi nettoyer la plaie et recoudre … mais ne vous inquiétez pas , ça n’a pas l’air trop grave …

Z’étaient mignon ces deux la … et Mamysaké avait du nez pour sentir les choses … ces choses … au passage elle attrape un blessé valide et lui demande de lui trouver Maruku ou May.lee pour le jeune Kireo , il est fort a parié qu’il trouveras les deux en même temps … ah ces jeunes … c’est fougueux … c’est passionné …. C’est introuvaaaable …

Petit sourire réconfortant à sa patiente et au jeune homme qui l’accompagne …

Bon … voyons voir cette épaule …Mmm … l’entaille n’est pas trop profonde … par contre ça risque de faire mal … buvez une bonne rasade de ça ….

L’ancêtre lui tend une bouteille de saké, termine de déchirer la manche de son kimono … de toute façon l’est foutu … nettoie … et recoud en essayant de pas trop trembler … ah fait pas bon vieillir … c’est plus de son âge tout ça …

Voilà jeune gens … et maintenant du repos et éviter de vous servir de votre bras … de toute façon j’ai fait le pansement de manière à l’immobiliser …

Oui vraiment … sont mignon ces deux là ….

Belsa

Belsa accompagna ses gardes avec les quelques personnes qu'elle espérait encore pouvoir sauver.

Elle s'assura que tous étaient pris en charge par les médecins et apprentis médecins qui aidaient Maruku et May_lee.

- Vous! soignez cette jeune femme! Elle est gravement blessée! Il faut vite faire quelque chose...

Et consciente qu'elle-même ne pouvait rien faire de plus, elle se rendit au chevet de Guyhom. Elle n'avait pas encore osé aller le voir. Belsa s'était simplement assuré qu'il était encore en vie.

Guyhom dormait. Elle ne le réveilla pas et l'observa. Elle s'assit sur un petit siège, sortit sa pipe et l'opium d'une petite poche et l'alluma.

- Guyhom...

Elle redoutait le moment ou elle devrait lui annoncer la nouvelle. Rendre cette réalité bien plus présente... Elle était responsable de tout.

Elle ferma les yeux et aspira cette drogue qu'elle consommait bien plus souvent. Ne plus penser, ne plus avoir mal...

Elle observa de nouveau Guyhom et frôla délicatement sa joue avec le bout de ses doigts.

- Reprend des forces...

et elle se leva pour repartir, travailler... occuper l'esprit.
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Bandoru

Après 2 jours passé dans l'inconscience Bandoru se réveilla parmi les autres blessés. Il avait le torse bandé, et reposait sur un lit. On s'était occupé de lui apparament.

Il ferma les yeux et soupira. Pas encore mort, pas cette fois. L'idée le fit sourire, il était bien à réver de moment simple, de pêche, de travaux à la rizière. Il se rendormit.

Saiiko

Saiiko se réveillait peu à peu, son corps blessé la faisait souffrir, son âme meurtrie lui donnait envie de se battre à nouveau.
Elle se souvenait maintenant...
Le choc, la douleur, le bâton qui éclate et le gout du sang dans la bouche.
Puis des bras qui la soulèvent et la trainent, elle se souvenait maintenant...
Une voix douce et apaisante, un souffle de vie qui lui redonnait, une force..
Son amie Dai l'avait ramenée du monde des ombres et maintenant elle devait guerrir, pour elle pour ceux qui se battent.
Dai où était sa chère amie, avait elle retrouvé celui qui faisait battre son coeur...Son amie continuait elle à se battre...
Elle trouva à coté de son épaule un message, qui la fit frémir, son amie avait combattu et était tombée aussi, gravement touchée, très gravement...
Un léger sourire se méla à ses larmes, le message disait que Dai avait trouvé le souffle de l'amour pour résister au royaume des ombres...
Saiiko était épuisée...
Saiiko était si seule...
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Airi

Chancelante, le visage en sang, elle avançait péniblement. Sa main été crispée sur son ventre rebondit. Une idée saugrenue que de se battre dans son état, mais il le fallait, c'était sa nouvelle terre, il ne pouvait en être différemment.

Airi avait vu son frère Uryu tomber avant elle et son ami Guyhom. Voilà qu'elle les avait rejoins dans cette chute sous l'assaut de l'ennemi. Sa main libre se posa sur le mur pour ne pas qu'elle s'effondre. Son regard scruta le dispensaire, tant de blessés, tant de souffrance...

Il lui était impossible de se souvenir de la manière dont ses pas l'avaient mené ici, alors qu'il y a quelques heures, elle était laissée pour morte sous la main de l'assaillant.

Sa voix se brisa quand elle tenta de demander de l'aide. La jeune femme glissa le long du mur tout en articulant péniblement...

Aidez moi...

La tornade joyeuse qu'elle était d'habitude, avait laissé place à un corps mutilé et une rage grandissante en son âme, tandis que ses dernières pensées avant l'évanouissement furent pour l'enfant qu'elle porte.

--Mamysake

Pourquoi a-t-elle cette impression qu’elle s’est faite rouler une fois de plus par la brunette et son hirsute de médecin ? pas très convaincue par ces histoire d’étoiles à étudier qui les tiendraient éloignés de la pension une bonne partie de la nuit ! Et qui c’est qui se retrouve de garde ? bah c’est bibi !

Long soupire désespéré de l’ancêtre qui passe de futon en futon voir si tout le monde va bien … le jeune Kireo soigné la veille … Kiriki , Bandoru …

Elle s’arrête un moment auprès de Saiiko …

Allons allons … qu’est ce que c’est que ces larmes hein ! les larmes sont interdites demoiselle … affichez moi un beau sourire …

Petit clin d’œil à la jeune femme et la voilà qui entend un appel à l’aide …

Par tous les kamis …

Elle se précipite autant qu’elle le peut … maudit kimono ! ah comme elle regrette les kimono de sa jeunesse , bien fendu sur les côtés … au moins elle n’était pas obligée de faire du sur place pour avancer ! Elle rejoint la jeune femme et demande à deux des personnes volontaire pour l’aider de l’installer sur un des rares futon libre …

Visiblement, la jeune femme à reçu des coups à la tête … les plaies sont nettoyées , quelques points de sutures sont nécessaire … Mamysaké fronce les sourcils alors que son regard glisse vers le ventre de sa patiente … elle mettrait sa main a couper qu’il y a un mouflet la dedans … faudra demander à Maruku de passer la voir , en attendant … du repos …

La vielle femme s’éloigne en bougonnant …

Je t’en ficherais des étoiles …

Zasso

Zasso entra en boitant dans l'hôpital improvisé.
Il regarda autours de lui et vit que tous les médecins et les infirmiers étaient occupés auprès de gens plus gravement blessés.
La vue de tous ses compagnons d'armes blessés l'attristait.

Lui avait seulement une profonde entaille à la cuisse.
Mais le pansement qu'il avait réalisé n'avait pas tenu et la plaie saignait beaucoup.
Mais ce n'était rien comparé à ce qu'il voyait, aussi ne voulant pas en rajouter au travail de ces hommes et femmes dévoués, il fit demi tour et sortit discrètement.

I SHIN DEN SHIN

Maruku

Et ça n'arrête pas, jamais!
Les défenseurs semblaient en mauvaise posture à un moment donné, promis à une proche défaite même, mais ces gens sont si obstinés qu'ils continuent de se faire charcuter aux portes de la ville, et parviennent même à rameuter quelques potes pour combler les trous et faire durer le plaisir encore un peu plus longtemps.

Quelle bande de têtus! Et après c'est qui qui trime pour rafistoler tout l'monde? C'est bibi!
Ah merci les amis, mémorables les vacances!

Enfin, même si quelques escapades romantiques, retraites amoureuses, et siestes crapuleuses ont fait râler une mamie qui n'arrivait plus à mettre la pogne sur un jeune couple dissipé, l'apprenti médecin et sa sublime infirmière ne peuvent pas totalement déserter les lieux tant que l'on a besoin de leurs services.

Cette fois ils ont même droit à une femme enceinte. Son bidon bien arrondi ne laisse aucun doute sur son état, et même si hélas elle doit être déjà prise manifestement, et qu'il n'y a pas grand chose à espérer niveau reconnaissance envers son bienfaiteur ou paiement en nature, faut bien essayer de sauver le tout.
Avec ce visage maculé, impossible de dire si elle est jolie en plus, mais bon, Maruku en est arrivé à un point où il soigne presque sans distinction. La nouvelle blessée est donc prise en charge après le passage de Mamysaké, qui est repartie en bougonnant sans même le voir. C'est jour de bonté, encore pour ça aussi, profitez-en, quand il sera pirate ça ne sera pas forcément la même...

Après cette nouvelle intervention, et après avoir fait le tour des patients de la pension, le toubib' en herbe s'adosse à un mur et se laisse glisser jusqu'au sol, se retrouvant alors auprès d'une autre jeune femme amenée récemment.
Il ne sait pas trop si elle est consciente ou non, mais il lui adresse un léger sourire et tire une fiole de saké des replis de son kimono. Oui, va se mettre à picoler lui aussi, y a pas d'raison! Le bouchon de la petite bouteille encore entre ses dents est recraché en direction du sol tandis que les obsidiennes parcourent le dernier message reçu.

Et voilà, encore du boulot!
Pffff... t'as bien d'la chance de pouvoir roupiller tiens. Moi j'commence à en avoir plein l'dos...

Le meneur des lucioles ne réalisant alors pas à ce moment que son sort reste enviable par rapport à celui d'un éminent collègue, qui à cette heure, en a lui plein le c...
Mais de grâce, qu'on ne lui amène pas ce nouveau cas, car sinon cette fois il est bon pour rendre son tablier et son aiguille à tricoter...
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~ . ~ Luciole ~ . ~

Yoshe

Une nouvelle journée dans la pension, allongée attendant que les blessures se cicatrisent elle regarde les nouveaux blessés arriver en espérant ne pas y trouver Hooks ...

Soulagée elle replonge dans sa lecture, une missive de son frère lui donne le sourire.

Aujourd'hui elle va essayer de se lever et de faire quelques pas autour de la pension. Le jardin y est magnifique a ce qu'il se dit.

Elle prend quelques lettres quelle garde toujours avec elle car elle aime les relire et essaye de se lever.

Une grimace, un soupir, sa jambe la fait encore souffir, elle aura du mal à marcher pendant encore quelques temps, mais rien que le fait de pouvoir se mettre sur ses jambes la ravie.

Elle attend un peu avant de faire quelque pas, la tête lui tournait ...
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Night_hooks

Hooks avait l'habitude de rendre visite a sa belle après les combats. Il n'avait pas été touché, et comptait en profiter pour passer un peu de temps avec Yoshe. Le colosse se baissa mécaniquement pour passer la porte de la pension en maudissant au passage les fabricants de porte qui les faisaient trop basses. Il fut surpris de trouver la belle debout, tentant d'esquisser quelques pas maladroits. Il se hâta d'aller lui prêter main forte pour ne pas qu'elle tombe.

Un long baiser fut échangé, puis, le panda ( ainsi était il surnommé ) lui preta son bras pour l'accompagner dans sa rééducation. Il était heureux de constater que la belle se rétablissait rapidement compte tenu de ses blessures.

Comment te sens tu aujourd'hui? mieu a ce que je vois...

Il lui adressa un large sourire, le visage couvert de sang et de poussière dû au combat qu'il n'avait pas prit le temps d'enlever.
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Connais l'adversaire et surtout connais toi toi-même et tu seras invincible. Sun Tzu " L'art de la guerre "

Airi

Tentant d'ouvrir ses billes sombres, mentalement elle faisait le constat de sa condition physique. Sa main toucha le futon, elle n'est plus à même le sol. Ses jambes bougeaient, un rictus qui se voulait sourire, vint étirer ses lèvres fines, mais elle réprima vite fait cette grimace qui fit surgir la douleur qui irradiait tout le coté de son visage. Du bout du doigt elle en fit le contour. Il lui semblait bien boursouflé et sentant des sutures sur son arcade sourcilière, elle tenta l'ouverture de l'oeil non amoché.

On s'était occupé d'elle, elle ne saurait dire qui. Puis se redressant difficilement elle aperçut un homme penché sur un autre blessé et une vieille femme qui allait de futon en futon s'enquérir des doléances des souffrants. Ce devait être eux qui l'avaient soigné.

Puis comme ce souvenant d'une chose plus qu'importante, une fois assise, elle déposa ses main sur son ventre. Elle l'observa un moment, comme si il pouvait lui parler et lui donner des nouvelles sur son enfant. Ce qui ne se fit pas attendre... Son ventre se déforma légèrement sous le coup que l'être à naitre vint lui donner.
Au diable les douleurs faciales, elle sourit largement, quand une crampe vint assaillir son bas ventre.
Airi se mit à respirer fortement, tout en massant sa bedaine de prégnante.

Pas maintenant... dit elle.

Il était bien trop tôt, elle était dans son sixième mois. Le tiraillement se fit élancement jusqu'à disparaitre totalement. Elle soupira de soulagement et se rallongea.
Pas d'imprudence, voilà ce qu'elle pensa. Elle avait envie de venir en aide à tous ses gens, elle se le promit, mais en attendant, elle avait sommeil, elle était tellement fatiguée. Elle s'endormit la main sur le ventre pour sentir la vie bouger en elle.

Akeo

Grmbllblblblb....

Akeo rageait dans son coin. Le séant recousu, il trouvait le temps long, très long. Il ne se passait pas une minute sans qu'il qu'il essaie de bouger ses doigts de pied et le bas de ses jambes pour activer et faire travailler ses terminaisons nerveuses.
Il savait que la guerre se terminerait probablement sans lui. Un mois et demi... ça laissait amplement le temps de sonner le glas des ambitions otomiennes.

Akeo réduit à l'immobilité se consolait comme il le pouvait. "Mais tu en as eu deux avant de tomber, tu n'as pas servis à rien".
Trouver un moyen de se rendre utile. Il avait le séant recousu, mais pas la bouche. Il lui tardait vivement qu'il puisse se remettre à la verticale.

Soigner, motiver, reprendre une alimentation riche, se préparer à harceler les otomiens quand il se seront retirés d'Uchi la queue entre les jambes.
Il fomentait ses projets pour l'après.

Sa main se hasarde sur son séant. Vif soulagement quand il présente ses doigts secs face à ses yeux.
La cicatrisation prend bien. Parfait. Ne pas bouger le postérieur d'un pouce. Ne pas bouger pour pouvoir bouger le plus rapidement possible.

C'est que la guerre et ses blessés ne l'attendraient pas.
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Dayzo

Laissez moi passer! Fanfan est mourante!!

UUUNNN MEDECIIIIIIIIINNNNN!!!!

Saiiko

La pension se remplissait, Saiiko voyait ces visages crispés de douleur passer à coté de sa couche, des visages vaillants qu'elle avait vu sur les remparts.
Elle essayait de sourire pour donner le peu de courage qui lui restait, semblant ainsi se rendre utile.
Elle se languissait de se lever à nouveau.
Sa première idée était de retourner au bord de l'eau pour y puiser sa force.
Elle n'avait pas de nouvelle de son amie Dai... n'avait pas de nouvelle de son mentor....
Elle se sentait seule... Elle se savait seule...Inutile....
La vieille dame lui avait dit de sourire, alors elle souriait donnant ainsi le change.
Mais seule il était si difficile de lutter.
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Senshi

(Aujourd'hui je fais concis.)

Rien ne l'eut fait réagir pendant sa longue convalescence. Pourtant, par un hasard impressionnant, c'est le jour même où l'armée pénètrait dans la ville que Senshi ouvrit les yeux.

May-Lee et Maruku s'était occupé de lui très convenablement (je dis ça afin de ne pas leur jeter trop de laurier, il ne faudrait pas qu'ils prennent la grosse tête èé.), et quand il retrouvera ses esprits, avec toute la lenteur d'un mort qui s'élève de sa tombe, il n'y avait ni l'un ni l'autre de ses sauveurs.

Oubliant les quelques petits tracas que son corps meurtri pouvait encore lui faire subir, il se tenait debout, constatant ses amples blessures déjà partiellement guéries. Il se pare d'un drap pour couvrir la partie inférieure de son corps nu. Il est, comme d'habitude, fier dans son allure, mais il faut admettre qu'il accuse le coup : Engourdi, souffreteux, nauséeux, le guerrier tient plus de la petite mamie grabataire et gastro-entéreuse que du noble habitué à la géhenne, au froid et à la fatigue.

Il décide de trouver à manger. Oublie sa tenue, sa condition, et marche vers la sortie pour tenter de se faire offrir de quoi se rassasier. Rien qu'une fois. Sa survie en dépend.
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Shimazu Senshi, fils et vassal de Shimazu Kenshin, Bushi loin de ses racines.

"J'ai pas l'air gentil comme ça.. C'est pour une bonne raison."

Kireo

Kireo se leva ce matin, cest blesures au ventre le faisait teriblement souffrir et rendait le moindre de ses mouvements pénibles. Il avait froler la mort pour défendre sa ville, qui aurait pu croire ça de lui, un simple cultivateur de riz qui n'avait jamais rien fait pour se rendre utile à qui que ce soit, qui n'avait jamais défendu la moindre cause.

Il se leva donc, serant les dents et grimaçant pour resister à cette vive douleur qui lui prenait le bas du ventre, s'assit sur le bord de sa couche, regardant autour de lui, voyant ces corps mutilés, ces vies sacrifiées...
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May.lee

[La fin des vacances ...]

La pension s'est vidée peu à peu de tous les blessés de guerre ... Ce qui sonne la fin des vacances pour la brunette et ses acolytes ... Il convient de rendre à l'endroit son calme et sa sérenité et surtout de ranger tout le fatras ... Ce a quoi s'emploient la plus jeune et la plus vielle Luciole ...

et il est partit comme ça ... juste vêtu d'un drap !

Entre deux coups de balais bien sur , elles ne peuvent s'empêcher de papoter ...

Oui May.lee-chan ... nu sous son draps mais droit comme un i ...

Petit sourire amusé de la brunette ...

Tsss ... c'est du Senshi tout craché ça ... on se demande des fois ce qu'il se passe dans cette vielle tête de mule !

Il est où Maruku ?

A bein à cette heure là, il dort !

Mais il est presque midi !

Oui bein tu sais ... tant que je vais pas le tirer du futon !

Quel flemmard !

Eclat de rire de la plus jeune ...

Oh dis pas ça ... c'est qu'il aime bien se faire reveiller !

Tu veux que j'y aille ?

Par tous les kamis non !

Quoi ? toi ou moi c'est pareil !

La brunette rosi un peu ... s'active un peu plus a balayer ... et tente subtilement de changer de sujet ...

Pas sur non ... hum ... je pense que ça devrait aller là, c'est calme hein sans tous les convalescents ... vont me manquer tous ...

l'ancêtre plisse les yeux ...

Je vois oui ... bein reste pas là comme une nouille vas y le reveiller ... je termine !

La brunette rosi d'avantage ... mais ne se fait tout de même pas prier ...

Bon , bein si tu insiste ...

Elle plaque au passage un gros baiser sur la joue frippée ...

Merci !

et disparait plus vite que l'éclair ... c'est qu'elle aussi elle adore le reveiller ...

C'est ça oui ... pfff ...

Mamysaké grimace en imitant May.lee ...

"pas sur" ... jeune impertinante ... ah si j'avais encore 16 ans ... je te ferais voir moi .... "pas sur" ...
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Membre du Clan Hotaru,Le Clan des Lucioles

Guyhom

[ après les combats]

Guyhom revenant du lac, passa à la pension voir si on avait encore des blessés qui trainaient...il en trouva mais Maruku avait paré au plus urgent, sauvant ceux qui demandaient de lourds soins.

Les autres...reposaient parmi leurs ancêtres.

Akeo s'était occupé du suivi des autres blessés graves. En fait Guyhom ne trouva que peu de monde, beaucoup se reposait dans les chambres, d'autres étaient chez des amis et vaquaient à leurs occupations.

Il alla dans sa chambre...

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[RP]Pension de famille de Belsa côté hopital improvisé ...