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[RP] L'Église de Bourganeuf

Alino
Alino avait envoyé 3 pigeons à son ami Pomps. Il était maintenant Évêque. Quelle ne fut pas sa surprise d'en voir un revenir déjà. Il s'attendait à un plus long délais.

Et bien ma chère, vous êtes chanceuse. Il montra la lettre qu'il venait de recevoir

Citation:
Bonjour

Je suis évêque émérite en voyage détudes

Effectvement j'ai baptisée Sofja mais il y a bien longtemps

Bien à toi

Pomps de Noirlac.


Le tout est maintenant officiel. On ne remet pas en doute la parole d'un évêque. Dite à Sieur Dragonnet de communiqué avec moi si il veut validé.
Sofja
La damoiselle était satisfaite de votre la lettre du curé qui l'avait baptisé et de savoir que celui ci était évêque maintenant.
C'était un vieil ami de ses parents et avait l'air de se porter bien depuis le temps.


Je vous remercie grandement mon père pour votre rapidité et votre efficacité.
Je suis rassurée et je m'en vais prévenir le Vicomte Dragonet par missive.
Je vous souhaite une bonne fin de journée mon père.


Sofja salua l'homme d'église, se signa à nouveau devant la croix et déposa quelques écus dans la panière de l'église avant de quitter celle ci.
_________________

Le RP du mariage est ouvert : http://forum2.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=618925 , on vous y attend.
Marie*antoinette
Arrivant près de l'église Marie vit une jeune fille en sortir, , sur le moment elle n'avait pas fait attention mais quelque chose la frappa ce visage lui rappelait quelqu'un, elle reflechit quand soudain elle reconnut la jeune personne, elle se dit qu'elle avait bien grandit et que le temps passait vite, et surtout elle ressemblait tant à sa maman, elle voulut la saluer mais déjà sa jeunesse aidant elle avait deja presque atteint l'ange de la rue c'est alors que Marie poussa l'épaisse porte avec peine, pour entrer dans ce lieu calme et apaisant. Elle mit un genou à terre et se signa puis s'aidant de sa canne, elle se releva, et se déplaça doucement vers les prie-dieu non loin d'elle, puis elle s'y installa et resta plusieurs heures à prier.


Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

O glorieux Jean, qui avez été si cher à Christos que vous avez mérité de reposer votre tête sur sa sancte poitrine,
et d'être, par lui et en sa place, donné comme fils à sa mère;
mettez en mon coeur un amour vif pour le très Haut, Aristote et Christos.
Obtenez moi du Seigneur que moi aussi,
avec un coeur pur de toute affection terrestre,
Je sois digne d'être toujours uni ici-bas,
à Aristote et Christos, comme fidèle disciple,
et au très Haut, comme fils dévoué,
Afin de leur rester éternellement uni dans le ciel.
Ainsi soit-il.

Notre Dame,
sois au chevet de tous les malades du monde ;
de ceux qui à cette heure ont perdu connaissance et vont mourir ;
de ceux qui viennent de commencer leur agonie ;
de ceux qui ont abandonné tout espoir de guérison ;
de ceux qui prient et crient de douleur ;
de ceux qui ne parviennent pas à se soigner, faute d’argent ;
de ceux qui voudraient tant marcher et qui doivent rester immobiles ;
de ceux qui devraient se coucher et que la misère force à travailler ;
de ceux qui cherchent, en vain, dans leur lit, une position moins douloureuse ;
de ceux qui passent de longues nuits à ne point pouvoir dormir ;
de ceux que torturent les soucis d’une famille en détresse ;
de ceux qui doivent renoncer à leurs plus chers projets d’avenir ;
de ceux, surtout, qui ne croient pas à une vie meilleure ;
de ceux qui se révoltent et maudissent Dieu ;
de ceux qui ne savent pas que le Christ a souffert comme eux.



Ce que je sais c’est que la mort ne détruit pas l’amour que l’on portait à ceux qui ne sont plus … Je le sais parce que, tous les jours, je vis avec les miens…

Ce que je sais aussi, c’est que la vie doit avoir un sens.

Ce que je sais encore, c’est que l’amour, le bien, la fidélité et l’espoir triomphent finalement toujours du mal, de la mort, et de la barbarie.

Tout cela, je le sais, je le crois …





Je crois au Dieu de la vie.
Malgré les peines et les souffrances,
Il suscite l’espérance.

Malgré les échecs et les peurs,
Il conduit vers la liberté.

Malgré les haines et les guerres,
Il crée la réconciliation et la paix.

Je crois au Dieu de la vie.

Malgré nos refus et nos indifférences,
Il rend possible la rencontre et l’amour.

Malgré nos défaillances et nos incrédulités,
Il donne sens à notre vie.

Malgré la mort qui est en nous et autour de nous,
Il nous fait ressusciter chaque jour
à cause du Christ qui meurt et vit pour nous.



Les heures s'étaient écoulées sans que Marie ne bouge, mais elle fut surprise de sentir un creux au niveau de son estomac, la faim commençait à te faire sentir, elle voulu se relever mais son corps était engourdit, elle était fourbue. Elle se releva avec difficulté, fichues blessures, qui l'amoindraient encore dans ses gestes quotidien, elle finit par arriver à la porte elle se retourna une dernière fois , puis se signa et s'en retourna au château.[/i]
Desmont
Desmont ouvra les portes de l'église puis il se rendit devant le prètre. Il se mit aussitot agenou avant de predre la parole.

Bonjour monseigneur, je me nomme Desmont et je vien vous voir dans le but de vous demandé les démarches à suiver afin de recevoir le baptême.
pnj
Bouledogue poussa l'imensse porte de l'église se diriga vers le bénitié trampa ses doigts et fit le signe de croix.

l'église était vide il alla au premier rag et mit un genoux à terre et pria.

Joie de croire!
Joie de vivre et d'aimer!
Pour tout cela, tout Puissant,
nous te rendons grâce.

Toi qui te montres vivant
chaque fois que nous sommes rassemblés en ton nom,
remplis aujourd'hui nos cœurs de la joie de croire.


Toi qui nous fais goûter la joie de ta présence
chaque fois que nous sommes dans l'épreuve,
sois la source intarissable d'une vivante espérance.


Que cette joie de vivre et d'aimer en ta présence
nous donne de partager notre richesse et nos biens
avec toutes les personnes qui ont besoin d'amour et de paix.
Ainsi, nous pourrons te louer sans fin
et témoigner à chaque instant
que tu es le Vivant
maintenant et toujours.



Amen!

L'orsqu'il eu fini de rendre grace au tout Puissant il se leva et attandit passiament pour voir le père de la paroisse et de lui poser quelques questions
Chouquette
passablement emechée , chou se devait de passer a l"eglise , ce qu'elle avait entendu en taverne etait roooooooooooo pas imaginable , elle etait pas baptisée ni rien , mais elle sentait proche des voix d'aristote , il fallait qu'elle sache , cte histoire de cierge donné par les curés rooooooo .......; elle avait tenté d'ecraser ses oreilles toutes jeunes , mais le son s'etait inflitré et elle avait entendu ......roooooooo ..... poussant la lourde porte chouquette perd l'equilibre et se retrouve a genoux en pleins milieu de l'entrée ......... grimaçant qu"a peine , la biére ça amenuise la douleur qui parait , elle se reléve laissant deux grosses taches rouges sur ses articulations , c'est demain qu'elle va pleurer ......

elle marche bien droite dans ses chausses .....enfin le croyant jusqu'a l'autel et supllie .....

monsieur...... hips le curé .......hips ...... faut que je ......vous vois ....... j'entend des choses ......hippss horrible ..... que d'abord ......je sais me^me pas .......hips .......si je vais me faire baptiser ....... hips ..... une histoire comme quoi que ...hips ..vous donnez des cierges aux jeunes filles ....hipsss .......ouinnnnn monsieur le curé .....dites moi que c'est pas vrai .....pis qu'en plus avec la chaleur je sais pas quoi ........hips ...que ça ramollit ..... ouinnnnnnnnn........ dites moi la verité .......

ne trouvant pas reponse chouquette s'endormit au milieu de l'eglise a même le sol , puis se reveilla effrayé par son cauchemar de cierge qui tounrait autour d'elle , avec la meche enflammée , oubliant le lieu elle se mit a crier , puis se signant trés vite , elle se sauva loin dans les rues du village , se refugier a l'auberge ......
pnj
Ah! L'église enfin!

Il lui fallait y travailler quelques jours pour gagner la confiance de ses concitoyens, elle se plia donc de bonne grâce à la tradition et se munit d'un seau d'eau savonneuse.

Suivant les explications du curé, elle gagna la zone à nettoyer et se mit à quatre pattes, entonnant une chanson pour se donner du cœur à l'ouvrage:


Ma mère m'a donné cent sous (bis)
Pour m'acheter des bretelles (bis)
J'ai gardé mes cent sous (bis)
Pour aller au bordel (bis)

Chemin faisant (bis)
J'ai rencontré grand-mère (bis)
"Où vas-tu mon enfant ?" (bis)
"Je m'en vais au bordel" (bis)

Garde tes cent sous (bis)
Je ferai bien l'affaire (bis)
J'ai gardé mes cent sous (bis)
Et j'ai baisé grand-mère (bis)

Chemin rentrant (bis)
J'ai rencontré mon père (bis)
"D'où viens-tu mon enfant ?" (bis)
"Je viens de baiser grand-mère" (bis)

"Fils de salaud (bis)
Tu viens de baiser ma mère" (bis)
"Salaud toi même (bis)
Tu baises bien la mienne" (bis)
Laurre
Laurre déposa au lieu des Bans la publication de son mariage à venir.

Citation:
Publications de bans

Nous Monseigneur Muad_dib de Lasteyrie, Archevesque de Rouen et Premier Aumonier de France,
faisons savoir par la presente que dame Laurre de Lasteyrie, dame de Saint-Règles, et le vicomte Ben-Elazar Kamps Vicomte de Lautrèc vont s'unir devant Le Seigneur et les Hommes.
Le mariage aura lieu dans la chapelle nobiliaire du domaine des Kamps le 5 Janvier 1457.
Par le pouvoir que m'a confié la Tres Sainte Eglise nous autorisons et benissons cette union qui se fera dans la Foy et selon les rites aristoteliciens.

Monseigneur Muad_dib de Latseyrie, Medaillé de l'ordre de l'etoile d'aristote.
Marie*antoinette
Cela faisait quelques temps que les Comborn étaient de retour en le grand château. LA comtesse se décida enfin à sortir par se grand froid, sa fille était mariée maintenant, son avenir était en de bonne main, elle se rendit au village accompagné de son fils, il est grand temps pour lui de s'initié à la prière, elle entra dans l'église tenant son fils par la main. Elle s'approcha du bénitier, prit son enfant dans ses bras, puis se saisit de la main droite de Théodore et la mouilla et le signa avec sa petite menotte, enfin elle le reposa à terre, puis elle fit de même pour elle et convia son fils à s'avancer puis Marie s'installa sur un prie-dieu et inciter son fils à faire même, elle lui joignit les mains, puis fit elle même la même chose et lui chuchota.

Maintenant tu restes là sagement et tu fais comme moi, et tu restes silencieux

Puis elle baissa la tête, et entra en prière
--Theodoremilamber


Dans un premier temps l'enfant fit ce que sa mère lui avait dit, mais bien vite il trouva le temps long, bien long, il releva la tête et se mit à regarder partout, tel un petit curieux. Il fut attirer par les lueurs que faisaient les cierges. Il glissa sans bruit du prie-dieu sur lequel il était installé et fila droit dans leur direction, il y régnait un calme, qu'on pouvait entendre ses petits pas trotter, d'autres gens se trouvaient là à prier et pleurer, il les dévisagea et se demanda pourquoi toutes ces personnes avaient l'air anéanties, brisées, il repris sa marche et arriva devant un belle statue, c'était une grande dame belle, dont il trouvait le visage apaisant, elle brillait de mille feux surtout ses pieds, tellement il y avait de bougies. il était captivé quand soudain une voix qu'il connaissait bien se fit entendre. Il se retourna et vit sa mère, là elle aussi avait l'air anxieuse.
Marie*antoinette
Maire eut vite compris de l'impatience de Théodore, elle se hâta de terminer ses prières, puis se leva le plus silencieusement possible et fila en direction de son fils. Elle était fort fâchée et lui lança un regard noir.

Mon fils, vous m'avez désobéit! Vous serez consignez, faites votre signe et rentrons. Nous prenons la route dès ce soir, nous partons en voyage.

Théodore fit un signe à la hâte puis mit sa petite menotte dans celle de sa mère et prirent la direction du château.
Ursin
Le comte se dirigeait maintenant vers la belle Eglise de la ville, il y avait vu son épouse et son fils s'y rendre afin de faire leur dévotions.
Au moment ou il se préparait à entrer dans le saint lieu, sa douce épouse en sortait accompagnée de son fils


Ma tendre, notre enfant a t il bien fait ses dévotions et ne vous a t il pas créer de désagréments ?
_________________
Suisse38
Arrivée depuis deux jours à Bourganeuf, elle trainait a travers les rues du village, sans doute le froid rebutait les habitants à sortir. La solitude était encore sa compagne.
Ses pas l’avaient emmenée jusque devant l’église. Un couple et un enfant semblaient en sortir. La dame affichait une mauvaise humeur. Suisse les salua d’un signe de tête et rentra dans l’église.

Là aussi personne, juste le bruit de ses pas qui raisonnait. Elle ôta sa capuche pour écouter ce son particulier que renvoyaient les murs des églises. elle aimer ces différences de notes qui se répétaient.

Se souvenant de la cathédrale de limoges, Suisse choisit une place similaire, un rayon de soleil filtrait aussi ici à travers le vitrail. Il y avait toujours une atmosphère étrange dans ces lieux.
Quelques mots lui revinrent en mémoire,


« De mes journées, que fais-je?
Quel son? quel arpège? ..
»

« Que fais-je? Ah oui , justement, je ne sais plus, si longtemps que j’attends ! »
« J’attennnnd » lui répond l’écho.

Puis toute a ses réflexions, et poussée par la fatigue, elle finit par s’endormir sur le banc.
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Marie*antoinette
Au sortir de l'église, la Comtesse se trouva nezà nez avec son époux, elle lui fit un grand sourire.

Je suis heureuse de vous voir, vous savez Théodore est un jeune enfant qui est d'une grande curiosité. Il n'est pas rester bien longtemps dans la même position, il n'a pas su s'empêcher d'aller fureter partout, mais ceci dit il progresse, il ne court plus ni ne parle fort dans ce lieu.
Allze, venez mon époux, notre voiture nous attend, il est grand temps de partir le route est longue.

Tout en se dirigeant tous les trois dans cette direction, il rencontre, une jeune femme qui les salua, salut qu'elle lui rendit, la voiture, sur laquelle on pouvait y voir leur armes les attendait. Le comte aida son fils et son épouse puis monta à son tour et fit signe au cocher de partir, la voiture s'ébranla.
pnj
Le moins que l'on puisse dire c'est qu'il n'y avait pas foule devant la petite église de Bourganeuf!

Le curé devait être à ce point rasoir que les fidèles fuyaient ses sermons, oubliant d'en remettre leur âme à Dieu.

Le parvis était désert et elle attendit patiemment son heure, adossée à une colonne des halles. A demi dissimulée par l'ombre, elle se remémorait l'échange qu'elle avait eut en taverne un peu plus tôt ce matin là.
Les gens n'étaient finalement peut-être pas tous stupides à Bourganeuf, elle se demandait si elle y retournerai.
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